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  • Supprimer le porc à la cantine comme le veut Mélenchon est dangereux pour nos enfants

    Pour dégoûter les non musulmans de manger du porc, ils sont capables de priver de viande tous nos enfants et ils sont capables de faire courir les rumeurs les plus absurdes sur nos amis les cochons. Certains écrivent absolument n’importe quoi dans  les commentaires sous notre article consacré à la volonté de Mélenchon de supprimer le porc et même toutes les viandes dans les cantines pour éviter les problèmes avec les musulmans.

    Les contrôles sanitaires font que ces animaux n’en sont pas réduits à manger des cadavres ou des excréments! Ce sont de pures sottises que d’affirmer de telles choses.

    Le porc est une viande bonne et peu chère, ce qui est très appréciable pour les budgets serrés… et donc les cantines scolaires, qui s’efforcent de proposer des menus à un prix accessible. Ce n’est pas au contribuable de supporter le surcoût lié à un renchérissement du prix de revient pour les cantines.

    Quant à imposer des repas sans viande, c’est grave car cela provoque des carences alimentaires de façon générale. De plus, certaines personnes comme moi qui suis malade ne peuvent pas se passer de viande rouge, qui fournit le meilleur fer à l’organisme :

    http://jactiv.ouest-france.fr/vie-pratique/forme-sante/je-ne-mange-plus-viande-cest-risque-2906

    "elle est riche en fer: "Nécessaire toute la vie, ce minéral est indispensable chez les jeunes, car il participe activement à la croissance, explique le Pr Patrick Tounian, responsable de l’unité de nutrition pédiatrique de l’hôpital Armand-Trousseau, à Paris. Leurs besoins en fer sont accrus, surtout chez les filles qui en perdent pendant leurs règles. " En cas de carence, ce qui serait le cas chez environ 25 % des jeunes femmes (2), on observe une anémie (fatigue, pâleur, lassitude…), des troubles neurologiques (difficultés scolaires, manque de concentration…) et une diminution des défenses immunitaires (infections à répétition).

    Mais on peut la remplacer, non?

    "Difficilement, met en garde le nutritionniste. Certes, beaucoup d’aliments sont riches en fer : légumineuses, légumes, poisson. Mais la viande, notamment de bœuf, l’est beaucoup plus : 100 g de steak apportent autant de fer que 1 kg de lentilles ou 2 kg d’épinards ! De plus, le fer de la viande, dit ‘héminique’, est mieux assimilé par l’organisme. "En consommer un peu (100 à 150 g, trois fois par semaine), en alternance avec du poisson et des œufs, reste un des meilleurs moyens d’éviter les carences".

    La proposition islamophile de supprimer la viande à la cantine scolaire est donc particulièrement dangereuse et malvenue.

    Il faut que chaque petit(e) Français(e) puisse se voir offrir la chance de manger du porc à la cantine.

    1) s’agissant de l’importance de la consommation de viande pour la santé et son caractère difficilement substituable (sauf à manger des kilos de légumes et grossir ou se faire éclater l’estomac) : l’article de Ouest France, avec un entretien avec un professeur de médecine.

    2) pour le prix du porc, c’est très simple, une belle pièce de filet mignon tourne autour de 7 euros en supermarché. Les autres viandes sont notablement plus cher.

    Un site qui propose à la vente différentes viandes établit ainsi un tarif de 7 euros le kilo pour une cote de porc contre presque 20 euros pour une cote de boeuf ! http://www.viandes-fermieres.fr/tarif-general/boeuf,1.html

    Il est beaucoup plus intéressant donc pour les cantines d’acheter du porc que d’autres viandes.

    Comme ce fut dit aussi, ce n’est pas au contribuable de nourrir tous les enfants vivant en France, il y a déjà beaucoup d’aides pour cela (qui ne se justifient d’ailleurs guère si l’on ne mène pas de politiques identitaires, mais c’est une autre question…), augmenter le prix de revient des menus pour les cantines impliquerait d’alourdir les impôts locaux de tous injustement.

    Il est indispensable que les enfants et adolescents mangent de la viande pour être vigoureux et en bonne santé.

     De plus, vouloir interdire la viande dans les cantines, c’est accélérer le trépas de la profession d’agriculteur français.

    Nous sommes en pleine bataille électorale. JLM prône un discours du vivre ensemble ce que la plupart d’entre nous rejetons. Il est très adroit dans ses discours et manière de pensée. Le fait de vouloir proposer des menus végétariens comme alternative n’est que le début de la destruction de notre cycle alimentaire. Cela permet de jouer sur tous les tableaux. C’est écologique, cela conforte l’islam, cela réduit les coûts financiers etc… mais ce n’est pas ce que nous voulons. La gauche dans son ensemble à tellement besoin de voix pour se maintenir au pouvoir, qu’elle est prête à dire et faire tout et n’importe quoi. A ce rythme, le plat national en France recommandé sera le couscous, tajine et autres plats dans le genre. On s’attaque à tout ce qui est traditionnel rappelant notre manière de vivre depuis des siècles afin de satisfaire un peuple qui ne partage en rien nos coutumes. Non, désolé pour certains qui préfèrent la soumission au combat de nos valeurs, nos ancêtres mangeaient bien plus que nous lorsqu’ils étaient jeune, avec de la viande régulièrement, ne se posaient pas la question de l’utilité ou pas de savoir son intérêt alimentaire. Avec l’immigration extra européenne qui s’impose de plus en plus dans notre pays, nos enfants font les frais de cette politique dévastatrice au profit d’élus politiques qui ne savent plus quoi inventer pour se faire remarquer.

    La France restera la France dans son jus, avec toutes ses traditions qui cela plaise ou non, ceux qui ne sont pas d’accord peuvent partir et aller voir ailleurs si l’air est meilleur. Les compromissions ça suffit, nous devons plus reculer. L’histoire du porc est un symbole pour nos ennemis qui veulent le supprimer définitivement et nous les patriotes c’est aussi notre symbole car il doit vivre avec nous, c’est un plaisir de la déguster sous toutes ses formes autour d’un bon vin bien de chez nous.

    La filière porcine doit se maintenir dans la tradition Française, Christine à dit une chose importante récemment dans un article sur RR, nous sommes arrivés à une situation devenu incontrôlable, le pays est réellement divisé en deux blocs et quelque soit l’élu le 7 mai, les affrontements sont malheureusement inévitable. La semaine prochaine sera un avant goût de ce qui nous attend. En attendant défendons avec courage le fait de manger de la viande car cela reste un plaisir immense et continuons le combat pour le porc !!!!!

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/04/18/supprimer-le-porc-a-la-cantine-comme-le-veut-melenchon-est-dangereux-pour-nos-enfants/

     

  • Le musée de l'Affiche fait peau neuve, et ça vaut le détour

    Le musée de l'Affiche de Toulouse (Matou) rouvre ses portes au public vendredi 21 avril 2017, après deux ans de fermeture et des mois de travaux, dans un quartier en ébullition.

    Le Musée de l'affiche de Toulouse rouvre ses portes après deux ans de fermeture.

    C’est un espace complètement rénové que le public pourra découvrir dans le quartier Saint-Cyprien, à Toulouse, dès le vendredi 21 avril : l’ancien centre de l’Affiche (Cat) est devenu Musée de l’affiche de Toulouse (Matou).

    Accès par les allées Charles de Fitte

    Près de deux ans de travaux ont été nécessaires pour donner naissance au nouveau Matou, seul musée français entièrement dédié à l’affiche. Et les changements se voient dès l’extérieur: désormais, l’accès au musée de l’affiche se fait en effet par les allées Charles de Fitte. "C’était l’un des enjeux de cette rénovation", estime Jérémie Harter, l’architecte en charge du projet. "On voulait rouvrir le musée sur les allées, l’inscrire dans une logique de parcours, entre le métro et le musée des Abattoirs".

    À l’intérieur, la boutique du Matou a été agrandie, puis prolongée par une galerie vitrée qui mène à une toute nouvelle salle d’exposition, plus vaste, à l’emplacement d’un ancien centre petite enfance qui jouxtait le musée jusqu’alors.

    Pour exposer les affiches, nous avons opté pour des panneaux d’acier suspendus, explique Sonia Gaja, la directrice du Musée de l’affiche de Toulouse. C’est un système flexible qui permet de moduler l’espace selon les expositions. Et les panneaux d’acier brut permettent de se passer d’encadrement et d’avoir un contact direct avec l’affiche, comme si elle était collée dans la rue”.

     

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    Plus de 700 000 euros de travaux

    Les 793 360 euros de travaux ont été financés par la mairie de Toulouse. Pour François Grass, adjoint en charge de la culture, « ils ont permis de redécouvrir un lieu qui s’inscrit dans un quartier dédié à la culture avec les Abattoirs, l’espace Saint-Cyprien, le Château d’eau, le théâtre Garonne, ou encore le futur site culturel de la Grave ».

    Les affiches de Roger Broders jusqu’en août

    C’est l’artiste Roger Broders, affichiste spécialiste des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée du début du XXe siècle qui étrenne la nouvelle mise en espace du Matou, et ce, jusqu’au 27 août. Trois expositions différentes devraient être organisées chaque année. Avec un fond de près de 20 000 affiches et plus de 200 000 documents, le nouveau Matou a encore beaucoup à faire découvrir…

    Les affiches de l'artiste Roger Broders dans la toute nouvelle salle d'exposition.

    Les affiches de l'artiste Roger Broders dans la toute nouvelle salle d'exposition (Photo :

    Infos pratiques.

    Musée de l’affiche, 58, allées Charles-de-Fitte, à Toulouse.

    Tél : 05 81 917 917

    Ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h.

    Plein tarif : 4 euros. Tarif réduit: 2 euros. A noter; la visite est à 2 euros pour tous entre midi et 13h30.

    Première visite commentée, samedi 22 avril à 11h (3 euros).

     

  • Histoire de salmis et de cansalade

    Le salmis de palombe est un mets traditionnel de la région du Sud-Ouest préparé à partir des pigeons ramiers tués lors de la chasse à la palombe. D'autres gibiers peuvent être aussi cuisinés en salmis: la perdrix, le canard, le faisan, la bécasse, le lièvre ou le chevreuil.

    À défaut de pouvoir faire cuire les palombes à la broche ou au grill, il faut les mettre à dorer dans l'huile d'olive. Le salmis se prépare dans une cocotte en faisant revenir deux gros oignons jaune haché et deux gousses d'ail, relevés de laurier et de thym.

    S'y ajoutent les lardons de cansalade que l'on fait bien cuire à brun. L'ensemble est saupoudré d'une cuillère de farine afin de faire un roux. C'est alors que sont rajoutées les palombes, coupées en deux parfois, et le vin rouge. Le tout est mis à mijoter longuement et à tout petit feu.

    Traditionnellement, ce mets s'accompagne d'un vin rouge tels que des Bordeaux, un Cahors, un Madiran, un Irouléguy, un Corbières, un Gaillac rouge, bien sûr.

    Quand on déguste le salmis, il faut faire bien attention à ne pas croquer un plomb de chasse!

    La cansalade (rappel) c'est de la ventrêche coupée en lardons. Les lardons, on les fait bien revenir à la poêle pour qu'ils rejettent leur gras. Surtout, mettez-les directement dans la poêle sans huile… sinon, vous devrez passer les lardons pour supprimer le gras (à mettre dans un bol et conserver pour une omelette, en cuisine, rien ne se perd!). On trouve de la cansalade roulée, c'est une sorte de gros saucisson. Achetez une tranche épaisse que vous couperez en gros cubes. Si vous la prenez plate, vous pourrez la couper en lanières plus fines.

    En Occitanie, je vous l'affirme, la cansalade, plate ou roulée, n'est jamais de chez Jamais fumée; d'ailleurs, aucune charcuterie n'est fumée. Nos ancêtres avaient déjà compris que le fumage, cela donne les cancers gastriques.
    Entre parenthèse, si vous voulez ne pas vous retrouver avec un cancer estomac ou intestins, je vous recommande DE NE PLUS JAMAIS CONSOMMER DE CHARCUTERIE FUMEE: en effet, il y a bien longtemps que les huttes de charbonniers ont cessé leur vie dans notre pays. Pour que toute la charcuterie soit fumée, il faut la tremper dans un bain de fumée qui n'est autre qu'un mélange chimique: bonjour les dégâts.

    La cansalade, elle est très poivrée, avec du bon poivre “mignonette“!

    Bon, c'est de la répèt, j'ai maintes fois abordé ce sujet.

     

     

  • Hélas, on n'en trouve plus: la sanquette

    La sanquette (sanqueta en occitan) est une préparation culinaire de l'Occitanie, à base de sang. Elle est préparée au moment même de l'abattage de la volaille ou de l'agneau par une saignée.

    Le sang est récupéré sous l'animal en remuant vigoureusement dans un récipient garni d'un peu de vinaigre pour ralentir la coagulation, d'ail, d'oignons doux, de persil frais haché, de morceaux de cansalade, de sel et de poivre. Une fois le sang caillé, la galette obtenue est frite à la poêle dans de l'huile d'olive (tournée, retournée, cela cuit très vite), puis consommée bien chaude.

    À la manière de la " tue-cochon " ("la tuada") qui rassemble la famille, les amis, les voisins, la dégustation de la sanquette peut clore un travail d'abattage et de préparation en série.

    La sanquette, comme le boudin, contient beaucoup de vitamine B12 qui est si bonne pour les neurones! (et oui!).