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  • Tortellini sauce crémeuse au jambon et camembert

    Pour 6 personnes

    500 g de tortellinis; 2 gousses d'ail, 40 g de beurre

    40 g de farine; 30 cl de lait; Sel, poivre

    1/2 cuillère à café de noix de muscade moulue

    1 camembert, 150 g de jambon

    1 cuillère à café de persil frais

    Faites cuire les tortellinis dans de l'eau bouillante comme indiqué sur le paquet.

    Pelez et hachez l'ail. Dans une casserole faire fondre le beurre et l'ail.

    Ajoutez la farine et mélanger. Laissez cuire jusqu'à ce que cela devienne mousseux. Ajoutez alors le lait petit à petit en fouettant bien entre chaque ajout.

    Salez, poivrez et ajoutez la noix de muscade.

    Hachez le camembert et le jambon. Gardez quelques morceaux pour la décoration. Ajoutez le camembert et le jambon à la sauce.

    Laissez fondre à feu doux en remuant régulièrement. Passez la sauce au mixer.

    Dressez les tortellinis avec la sauce crémeuse.

    Décorez avec des morceaux de jambon, de camembert et un peu de persil.

  • On a toujours besoin de petits pois chez soi!

    Les petits pois, ces petites perles vertes souvent cantonnées à l’accompagnement de carottes, méritent bien mieux! Leur douceur sucrée et leur texture fondante les rendent parfaits pour des recettes originales et savoureuses. Voici dix idées pour réinventer les petits pois en cuisine.

    GUACAMOLE DE PETITS POIS

    Remplacez l’avocat par des petits pois mixés avec du jus de citron, de l’ail, de l’oignon rouge et une touche de piment. Une sauce surprenante et légère

    CREPETS SALES AUX PETITS POIS

    Incorporez des petits pois mixés à une pâte à crêpes très épaisse, avec du râpé et des herbes. Original, non???

    Idée amusante

    Petits pois rôtis à la moutarde (graines apéritives)

    Mélangez 200 g de petits pois secs avec 1 cuillère à soupe d’huile d’olive, 1 cuillère à café de moutarde forte, du sel et du paprika.

    Étalez-les sur une plaque de cuisson et enfournez à 180°C pendant 20-25 minutes, en remuant à mi-cuisson. Laissez refroidir avant de déguster.

    Croquants et savoureux, ces petits pois rôtis sont parfaits pour l’apéritif!

    PESTO DE PETITS POIS ET BASILIC

    Délicieux avec des pâtes ou en tartinade.

    Mixez des petits pois avec du basilic, du râpé, des pignons de pin et de l’huile d’olive.

  • Feuilletés tomate camembert

    Vite fait, facile et... tellement bon!!!!

    Pour 4 personnes

    1 pâte feuilletée, 4 cuillères à soupe de crème épaisse

    1 camembert frais, 50 g de tomates cerises, 3 cuillère à café de romarin frais

    sel, poivre

    réchauffe le four à 200° et recouvrir une plaque allant au four de papier sulfurisé.

    À l'aide d'un petit emporte-pièce, découpez une vingtaine de petits ronds de pâte dans la pâte feuilletée. Posez les ronds de pâte sur la plaque. À l’aide d’une fourchette, piquez plusieurs fois.

    Étalez la crème sur les ronds de pâte, garnir de morceaux de camembert, de rondelles de tomates, saupoudrez de romarin, ajoutez du sel et du poivre.

    Faire cuire 10 minutes environ.

  • Spaghettis aux poivrons et cœurs d'artichauts

    Depuis toujours, j'adore les spaghettis... et, lorsque j'en prépare j'en mange trop, beaucoup trop!

    Pour 5-6

    400 g de spaghettis , 20 tomates cerises

    2 poivrons rouges, 4 artichauts; 1 tête d'ail

    20 g de beurre; 30 g de parmesan en copeaux

    Basilic frais

    2 cuillères à soupe de jus de citron, Sel

    1 cuillère à soupe d'huile d'olive; 1 cuillère à café de paprika

    Coupez la queue des artichauts, le haut des feuilles et celles qui entourent le cœur. Penser à citronner aussi souvent que possible pour éviter qu'ils ne noircissent.

    Faire cuire les artichauts pendant 20 minutes dans un grand volume d'eau bouillante salée additionnée de jus de citron.

    Pendant ce temps, coupez les poivrons en lamelles et la tête d'ail en deux dans le sens de la hauteur. Déposez les poivrons, la tête d'ail et les tomates cerises sur une plaque allant au four recouverte de papier cuisson.

    Arrosez d'huile d'olive et enfourner 20 minutes à 170°C.

    Faire cuire les spaghettis dans un grand volume d'eau bouillante salée pendant 5 minutes. Égouttez et réservez.

    Faire revenir les cœurs d'artichauts dans une poêle avec un peu de beurre et du paprika jusqu'à ce qu'ils soient bien dorés des deux côtés.

    Servir les spaghetti dans une assiette creuse avec les tomates confites, les poivrons rouges cuits et les cœurs d'artichauts poêlés. Ajouter une gousse d'ail confite par-dessus, des copeaux de parmesan et quelques feuilles de basilic frais.

  • Magret de canard fumé au foie gras

    Il vous faut des ramequins 1 par personne soit ici pour 4

    2 à 3 pommes (j'ai utilisé des granny); 150 g de tranches de magret de canard fumé (en sachet)

    150 g de foie gras mi-cuit de préférence; 4 tranches de pain

    beurre

    Préchauffez le four à 180°C. Epluchez et coupez les pommes en lamelles comme pour une tarte.

    Faire revenir les pommes dans une poêle avec du beurre: les faire légèrement dorer, environ 5 minutes de chaque côté.

    Préparez les 4 ramequins. Disposer une couche de lamelles de pomme, une couche de magret. Puis de nouveau des pommes et du magret et ainsi de suite.

    Pour finir

    Mettre au four 5 minutes. Démouler sur une tranche de pain et recouvrir d'une tranche de foie gras. Servir aussitôt.

  • Cuisses de lapin à la basquaise

    4 cuisses de lapin; 2 poivrons rouges; 4 tomates bien mûres

    1 cuillère à soupe de concentré de tomates, 2 cuillères soupe à soupe d'eau

    Huile d'olive; Sel; 1 cuillère à café rase de piment d'Espelette

    Retirez le chapeau des poivrons, coupez-les en deux, retirez les graines et les parties blanches puis coupez la chair en lanières. Retirez le pédoncule des tomates et coupez-les en 8. Faites chauffer 1 cuillère à soupe d’huile d’olive dans une sauteuse.

    Ajoutez les poivrons, 2 pincées de sel et faites-les revenir pendant 3 minutes sur feu vif. Versez-les dans un bol. Ajoutez 1 cuillère à soupe d’huile d’olive dans la sauteuse, les cuisses de lapin et faites-les dorer de chaque côté, sur feu entre moyen et vif.

    Quand elles sont bien dorées, ajoutez les poivrons, les tomates, le concentré de tomates, un peu de sel et l’eau. Portez à ébullition, baissez le feu et faites cuire en couvrant, pendant 40 minutes. Servez avec le piment d’Espelette.

    Bon à savoir : le piment d’Espelette, tout comme le poivre est bien meilleur ajouté en fin de cuisson.

  • URGENCE

    3 h 47 du matin. Votre téléphone vibre.
    La voix de votre mère tremble au bout du fil:

    " Mon chéri... j'ai… mal à la poitrine... je ne sais pas… quoi faire... "

    Vous vous redressez d'un coup dans vos draps. Votre cœur s'emballe.
    Elle habite à 200 kilomètres. Seule.

    – Maman, appelle ton médecin tout de suite!

    – Il n'y en a plus... Docteur Mercier a fermé… le mois dernier...

    Le vertige vous prend. Votre mère, 73 ans, au milieu de la nuit, avec cette douleur qui lui coupe le souffle. Et vous, à des centaines de kilomètres, incapable de l'aider.

    Qui appeler? Où l'envoyer? Les urgences les plus proches sont à 50 kilomètres, avec 6 heures d'attente...

    L'angoisse. Ne pas pouvoir sauver quelqu'un qu'on aime. 

    Dans le pays de Pasteur.
    Dans le pays où la Sécurité sociale est née pour que chacun puisse se soigner sans mendier.
    Dans le pays qui s’est relevé des ruines de la guerre en garantissant des soins gratuits pour tous.

    Cette menace pèse sur des millions de Français, 6 millions de Français n'ont plus même de médecin traitant. 

    Dans les déserts médicaux, il faut parcourir 250 kilomètres pour enfin voir un dentiste qui accepte de nouveaux patients… Plus de deux mois d'attente pour un cardiologue… Et même 9 mois ou un an pour un dermatologue, quand c’est encore possible… La moitié des maternités, fermées en 30 ans… Des urgences bondées… Nos anciens, abandonnés…

    Nos grands-parents trouvaient un médecin au coin de la rue.
    Nos enfants doivent traverser trois départements.

    Nos campagnes sont même contraintes de faire appel à des "médicobus" pour remplacer les médecins absents, comme en brousse africaine…

    Aujourd’hui en France, le système de santé est-il devenu celui d’un pays sous-développé?

    L’HOPITAL PUBLIC EST A L’AGONIE

    En région parisienne, l’AP-HP a perdu 627 infirmiers, rien qu’en une seule année (2022). Et l’hémorragie continue.

    De plus en plus de services doivent fermer la nuit, faute de personnel.

    " Il y a des nuits où une seule sage-femme est présente, contre quatre normalement ", témoigne l'Ordre des sages-femmes. 

    Imaginez cette soignante, seule, face à tous les accouchements de la nuit, à travailler pour 4, sans pause. On se croirait en temps de guerre.

    La quasi-totalité des soignants (96 %) souffrent de fatigue intense au travail. 57 % ont connu la dépression ou le burn-out!

    Le résultat fait froid dans le dos.

    CHAQUE JOUR, AU MOINS UN PATIENT MEURT DANS LE COULOIR DE L’HOPITAL, PARCE QU’IL NE PEUT ETRE PRIS A TEMPS!

    Et attention: ces décès concernent des patients ne présentant initialement aucun signe de gravité ou dont l’état aurait pu évoluer rapidement. 

    Oui, aujourd’hui, les services d’urgences deviennent dangereux pour les patients!

    Et quand ce n’est pas la mort, c’est l’humiliation.

    À Langres, en Haute-Marne, en octobre 2024, Gérald, 53 ans, a été hospitalisé… dans le garage de l’hôpital, dans un bruit assourdissant!

    Voilà où en est notre hôpital public. Il faut immédiatement sauver nos soignants et nos hôpitaux, c’est littéralement une question de vie ou de mort!

    Les plus faibles d’entre nous sont les premiers touchés: 

    • Les maternités ferment: les femmes enceintes doivent accoucher toujours plus loin, au péril de leur vie et de celle de leur enfant. Alors qu’en Europe la mortalité infantile baisse, en France, elle augmente depuis une quinzaine d’années!
    • Les soins palliatifs manquent partout: certains sont tentés par le choix terrible de l'euthanasie car ils ne peuvent pas être soulagés correctement.
    • Le vieillissement explose, les structures manquent. Des cas de maltraitance se multiplient. Les services gériatriques s'effondrent. Les personnes âgées finissent oubliés dans des couloirs d'hôpital.

    SOS HÔPITAL!
    Ne laissons pas mourir notre système de santé!

    Chaque jour, au moins un patient meurt dans le couloir de l’hôpital!?

    Prenons exemple sur la Suisse, l’un des systèmes de santé les plus performants du monde.
    Aux Pays-Bas, des "  maisons de santé " accueillent 24h/24 les patients non graves, désengorgeant les hôpitaux.
    Ils ont relevé leur système de santé. Pourquoi pas nous?

    SIGNEZ LA PÉTITION!

     

    Notre souveraineté sanitaire est brisée

    La France subit des ruptures de médicaments en cascade.

    En 2023, l'Agence nationale de sécurité du médicament a enregistré 4 925 signalements de ruptures ou risques de rupture de stock, soit une augmentation de 31 % en un an.

    Nous sommes donc en dépendance grave aux chaînes d'approvisionnement étrangères. Pendant le Covid, nous avons découvert avec effroi que la France ne savait même plus fabriquer des masques…

    Résultat: en 2024, 39 % des Français ont été confrontés à une pénurie de médicaments, et 35 % d'entre eux n'ont pas trouvé d'alternative thérapeutique, selon une étude.

    Il y a quelques jours, le Doliprane, médicament le plus prescrit en France, a même été vendu aux Américains…

    Un pays qui ne maîtrise plus ses médicaments essentiels n'est plus souverain.

     LA BUREAUCRATIE: LE CANCER QUI RONGE NOTRE SYSTEME DE SANTE

    Asphyxiés par la paperasse, les soignants n’ont plus le temps de soigner! Ils passent des heures à remplir des dossiers, justifier chaque acte, répondre à des normes kafkaïennes… pendant que les patients attendent. Et c’est pareil pour les médecins généralistes.

    L’hôpital est devenu une machine bureaucratique où les décisions se perdent dans la hiérarchie, où chaque innovation doit franchir une montagne de procédures, et où le temps de soin est grignoté chaque jour un peu plus. 

    Nous ne voulons pas d’un hôpital géré comme une entreprise de reporting. Nous voulons des médecins qui soignent, pas des infirmières croulant sous la paperasse.

    LES VRAIS RESPONSABLES DE CE DESASTRE 

    Pendant des décennies, l'État a volontairement bridé la formation de médecins avec le numerus clausus. Les politiques savaient mais ont tardé à réagir. Une erreur criminelle dont nous payons le prix aujourd'hui. Pendant que nos facultés de médecine refusaient des milliers d'étudiants brillants, on savait déjà que les générations de médecins partiraient massivement à la retraite.

    Résultat: nous importons aujourd'hui des médecins formés à l'étranger, exactement comme font les pays pauvres incapables de former leurs propres élites.

    Les ARS – ces Agences Régionales de Santé – ferment nos hôpitaux de proximité depuis leurs bureaux, en totale déconnexion d'avec le terrain. La grande machine administrative décide du sort de nos maternités à coups de tableaux Excel.

    Quarante ans de mauvais choix: fermetures d'hôpitaux ruraux, sous-financement chronique, bureaucratisation à outrance. L'hôpital français est étouffé par une administration pléthorique pendant que les vrais soignants craquent.

    Et pour couronner cette gestion désastreuse: 1,2 milliard d'euros donnés chaque année pour soigner les clandestins par l’Aide Médicale d’État – sans parler de la fraude à la carte Vitale qui atteint des sommets –, pendant que les Français renoncent aux soins faute d'argent!

    ILS ONT CASSE LE SYSTEME DE SANTE FRANÇAIS.

    Maintenant, ils vous demandent de payer toujours plus cher pour des soins toujours plus rares, alors que des étrangers se font soigner à vos frais!

    SIGNEZ LA PÉTITION !

     Il est temps de reconquérir notre santé 

    Cette spirale mortifère doit s'arrêter.

    Il ne s’agit pas seulement de santé. Il s’agit de justice, de dignité.

    Notre système de santé est en train de s’effondrer. 

    C’est pourquoi en signant cette pétition nous exigeons de tous les élus locaux et nationaux de se battre pour:

    1. Première urgence: mettre fin aux déserts médicaux. Recruter 1000 médecins salariés par l'État dans les déserts médicaux. Rouvrir des services hospitaliers de proximité: maternités, urgences, soins palliatifs. Que les femmes qui vont accoucher n'aient plus à faire 100 kilomètres, que nos grands-parents puissent finir leur vie dignement près de chez eux.
    2. Deuxième priorité: sauver l'hôpital public en recrutant 40 000 nouveaux personnels hospitaliers. Rendre le métier attractif en limitant l’administratif au maximum. Privilégier les soins plutôt que la rentabilité en modifiant la tarification à l’activité dans les hôpitaux. 
    3. Troisième action: reconquérir notre souveraineté sanitaire. Plus jamais dépendre de pays étrangers pour le paracétamol de nos enfants. Relocaliser la production des médicaments essentiels sur notre sol. Mettons fin aux pénuries de médicaments dans nos pharmacies.

    La France qui soigne plutôt que celle qui gère la pénurie 

    Imaginez: votre mère peut à nouveau voir un médecin dans l'heure. Votre fille accouche dans une vraie maternité, pas dans un couloir d'hôpital. Votre père âgé reçoit des soins palliatifs dignes, apaisé, entouré des siens.

    Imaginez: nos étudiants en médecine n'émigrent plus au Canada faute de places. Nos infirmières ne craquent plus, épuisées par la surcharge. Nos pharmaciens ne vous disent plus " désolé, rupture de stock ".

    Cette France-là est possible. À condition d’agir ensemble.

    Signez cette pétition, pour dire: nous ne laisserons pas notre système de santé mourir en silence.

    Signez pour vos proches. Signez pour vous. Signez pour tous ceux qu’on n’écoute plus.

    La santé des Français d'abord. Toujours.

    Signez et partagez maintenant.