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société

  • Vive la France!

    Tour de France : il est interdit d’embrasser sa femme

    L’histoire prêterait à sourire et même rire. Mais voilà, l’absurde a déjà de loin dépassé toute logique et, accompagné de la démagogie la plus folle, poursuit ses ravages dans notre société.

    La dernière expression en date de la déliquescence insensée de notre civilisation à laquelle de mauvais génies nous contraignent résume à elle seule l’idiotie permanente qui nous entoure.

    Pour bon nombre de nos compatriotes et moi-même, heureux et fiers franchouillards que nous sommes, piaffant d’impatience à l’approche de cette compétition plus que centenaire incarnée au sens premier du terme, véritable morceau de bravoure virile, anthologie de la souffrance physique, la Grande Boucle, puisque tel est son nom, renvoie à une certaine histoire de la France.

    Je me souviens de mon grand-père installé devant son poste de télévision, journal du jour sur la table, ouvert à la page sport cycliste, stylo à la main et notant les classements d’étape, général, etc. Pour rien au monde, cet homme n’aurait manqué une étape du Tour de France, seule distraction qu’il s’accordait pendant trois semaines d’une année remplie à travailler dans les champs puis plus tard à faire son jardin jusqu’au soir de sa vie.

    À l’heure où les technologies nous apportent de façon instantanée culture, divertissement, voyage, il est difficile d’imaginer l’importance de cette épreuve dépassant largement le cadre sportif en invitant quotidiennement au voyage dans toute la France ceux qui ne pouvaient pas se déplacer, ceux pour qui les vacances restaient une utopie. Les paysages de notre beau pays se succédaient, la montagne et ses cols impossibles, les bords de mer bretons, aquitains, méditerranéens, les bocages vendéens, normands et puis Paris, sa Tour Eiffel, ses Champs-Élysées consacrant tous ces champions, ces forçats de la route, dixit Albert Londres.

    Le Tour, c’est aussi une ambiance. Folle. Il n’est qu’à voir et prendre peur pour ces damnés du bitume, dans les cols, se frayant péniblement un chemin, cernés par la masse joyeuse, criarde, rougie par le soleil et le pinard saucisson, encourageant ces héros… ses héros.

    En famille… Eh oui, toute la famille est conviée au spectacle éphémère de ces quelques instants de coups de pédale, de cet effort suintant la sueur et le courage. Enfants et grands, frères, sœurs, épouses et maris se retrouvent en communion pour accueillir cette caravane du Tour distribuant petits cadeaux et préparant l’arrivée d’un peloton multicolore sur des machines rutilantes aux guidons à cornes et autres cintres route. Une ambiance quoi…

    Alors comment ne pas exprimer notre tristesse la plus profonde en apprenant par quelle imbécillité crasse des organisateurs peu soucieux de cette histoire, de cet héritage laissé par des anciens, ont cru indispensable de sanctionner un coureur, Julien Bernard, qui, croyant certainement encore à cette petite magie, celle qui fait briller les yeux des enfants, a cru bon de s’arrêter pour embrasser sa femme et son enfant, de se laisser aller à cette communion entre un public et ses acteurs authentiques.

    Nous y voyons un amour, celui pour sa famille, celui pour son public. Ils y voient un comportement déplacé. La démagogie destructrice LGBT a encore frappé.

    Dans l’indifférence générale.

    Patrice MAGNERON - Président IDNF

  • Ce n'est pas de la cuisine... MAIS!

    84 ans, handicapé expulsé mais pas relogé… ben oui c’est pas un migrant!

    L’histoire se passe dans les Hautes-Alpes, à Puy-Sanières.

    Une vingtaine de gendarmes (il fallait au moins ça!) ont  passé par la fenêtre Claude F qui se cramponnait à sa chaise et ne voulait pas sortir. Et hop! Une nuit dans un logement d’urgence (quelle générosité, monsieur le Préfet!) et, depuis, cet homme handicapé, souffrant de 2 cancers, vit… dans sa voiture!

    La préfecture se défend en disant que Claude F n’a pas fait les démarches nécessaires pour demander et obtenir un logement d’urgence. Ben voyons!

    Je ne savais pas que tous les migrants, MNA ou dans la force de l’âge qui passent par les passoires que sont devenues nos frontières faisaient des demandes aux préfectures pour bénéficier de logement en CADA, de l’aide d’associations dites humanitaires dont les dirigeants gagnent plus que Macron, et pourtant… hôtels et logements vides réquisitionnés sont légion. Sans parler des innombrables centres d’accueil, de transit… qui fleurissent un peu partout sur notre sol. Dois-je rappeler qu’à l’heure où les services d’urgence ferment les uns après les autres, que, pour avoir un médecin, il faut se lever de bonne heure ou bien aller dans une pharmacie complaisante qui met à disposition un ordinateur et aide à trouver un médecin en ligne, les migrants, eux, sont prioritaires, comme les détenus. Ils ont des médecins, que dis-je, des systèmes de santé dédiés  qui leur permettent d’être pris en charge au moindre bobo. Et ils ont les hébergements d’office, eux!

    Le fameux “en même temps” de Macron, d’un côté on laisse crever/on fait crever les Français, de l’autre côté on sort l’argenterie pour ceux qui s’imposent chez nous.

    Je ne sais rien de l’histoire personnelle de Claude F qui l’a amené à être expulsé de sa maison par une vingtaine de policiers, et ce n’est pas le sujet.

    Une vingtaine? C’est ce qu’il dit. Un handicapé, malade, sans armes, c’est si compliqué que cela de s’emparer de lui, qu’il faille mobiliser plus d’hommes que pour Merah?  On avait appris que, pour un Merah, un Kouachi, ingambes, il fallait 17 policiers pour en assurer la filature.

    Eh bien, pour un vieillard impotent, il en faut 20! Sans rire! Qu’est-ce qu’ils doivent se marrer, les dealers et autres voleurs arrêtés et relâchés dans la nature chaque jour!

    Tout ce que l’on sait de l’histoire de Claude F, c’est une banale histoire de divorce qui se passe mal, et qui amène son ex-épouse à gagner après des lustres de procès la propriété entière de la maison où vit Claude. Je ne parlerai pas de la justesse ou pas du verdict ni de l’arrêté d’expulsion. Peu importe en l’occurrence.

     

    Je ne parle ici que des fameux “droits des migrants” qui ont remplacé les “droits de l’homme”, le souchien n’est plus considéré comme un homme a priori. C’est typique de tous les pays conquis ou en voie d’être conquis par l’islam. Cela s’appelle le djihad. Il y a les protégés et il y a les autres, juste bons à travailler et essuyer des coups de la part de leurs nouveaux maîtres. Et ceux-là n’ont droit à rien. Les assistantes sociales ont trop à faire avec “les autres” et les “cas sociaux” qui pullulent en ce pays ?

    Le maire de Puy-Sanières est choqué lui aussi qu’il n’y ait aucune offre de relogement d’urgence pour Claude F. Mais a-t-il cherché ? A-t-il mobilisé ? Les assistantes sociales ont trop à faire avec “les autres” et les “cas sociaux” qui pullulent en ce pays ?

    La préfecture? Ah ben, il fallait que Claude demande ce-dit logement d’urgence. Il ne l’a pas fait, donc circulez, il n’y a rien à voir! Nul n’est censé ignorer la loi et encore moins la jungle des règlements et processus inventés par des fonctionnaires pervers obéissant à des fous payés pour nous compliquer la vie.

    Le résultat: une personne handicapée de 84 ans, gravement malade, vit dans sa voiture… La honte en ce pays. Pas une assistante sociale sur le pont? Je ne parle évidemment pas des associations, les nôtres ne les intéressent pas, elles partagent avec la Macronie la haine des nôtres.

    https://www.economiematin.fr/immobilier-expulsion-handicape-octogenaire

    https://www.ladepeche.fr/2024/05/09

    Je vous invite, à appeler la mairie et le préfet pour leur rappeler l’existence de Claude F.

     

    Mairie de Puy-Sanières 04 92 43 38 88

    Préfecture des Hautes-Alpes 04 92 40 48 00

    Christine Tasin

  • PFAS: polluants éternels

    Voici ce que vous devez savoir sur les PFAS, que l’on surnomme "polluants éternels"

    Les PFAS, produits chimiques toxiques. On l'a su car, une usine de production de PFAS a causé une vaste pollution de la région, et affecté ses employés et les gens qui buvaient l’eau contaminée. Depuis ce scandale, les connaissances sur la toxicologie des PFAS, soit l’étude de leurs effets nocifs sur la santé, évoluent constamment.

    Ces contaminants sont associés à une augmentation des concentrations sanguines de cholestérol, une réduction de la croissance fœtale, une diminution de la réponse immunitaire aux vaccins, et une augmentation des risques de cancer du rein. La liste des problèmes de santé causés par les PFAS continue de s’allonger au fur et à mesure que les études épidémiologiques s’accumulent.

    Les deux PFAS originaux, PFOS et PFOA, sont considérés comme des polluants organiques persistants et ont été bannis par la Convention de Stockholm. Malheureusement, l’industrie est ingénieuse pour contourner les règles en modifiant une portion de la structure chimique complexe des PFAS. Dans quel but ? Celui de générer un composé aux propriétés industrielles et commerciales très similaires, mais qui échappe à la réglementation. Au fur et à mesure que les chercheurs et les agences gouvernementales de protection de l’environnement accumulent des données pour tenter de réglementer certains PFAS spécifiques, l’industrie a le beau jeu de changer de molécules et d’utiliser de nouvelles versions alternatives.

    De plus, plusieurs des nouvelles formulations de PFAS sont appelées des "précurseurs", puisqu’elles peuvent se dégrader dans l’environnement et se transformer en d’autres PFAS, dont le PFOA ou le PFOS, les deux molécules bannies.

    Les multiples applications des PFAS

    Le nom est plutôt rébarbatif et vient de l’anglais « Per and polyfluoroalkyl substances », soit des substances alkylées per – ou polyfluorées. Les PFAS sont des molécules chimiques synthétisées en laboratoire. Elles sont composées, d’une part, d’une chaîne d’atomes qui a les mêmes propriétés que l’huile. Ces atomes rendent les PFAS particulièrement stables et difficiles à dégrader (de là, leur surnom de polluants éternels – Forever Chemicals). D’autre part, les PFAS sont aussi constitués d’une partie qui aime l’eau et qui fuit l’huile.

    Que sont les PFAS ?

    On les utilise également pour protéger nos meubles, tapis et textiles contre les taches (les produits de type "Scotchguard").

    Les PFAS peuvent être utilisés pour imperméabiliser une multitude de vêtements. Ils sont également présents dans certains cosmétiques dits hydrofuges ou "résistants à l’eau", comme le fond de teint. Plusieurs papiers et cartons résistants à l’eau ou aux graisses sont aussi traités aux PFAS et beaucoup de plastiques en contiennent.

    Une excellente façon d’augmenter son exposition aux PFAS est de manger du maïs soufflé en sac chauffé au four au micro-ondes (le sac est traité aux PFAS pour résister à la graisse qui fait éclater le maïs). Bien entendu, tous ces produits risquent de se retrouver dans nos déchets. Conséquemment, les sites d’enfouissement représentent des sources potentiellement inquiétantes de PFAS.

    Finalement, les mousses anti-incendie formant une pellicule aqueuse (Aqueous film-forming foam-AFFF), qui sont utilisées pour combattre les feux à base d’hydrocarbures (pétrole, gaz naturel), représentent une source majeure de PFAS. Les endroits où ces mousses ont été utilisées font face à des problèmes de contamination aux PFAS; on parle ici de la plupart des sites d’entraînement des pompiers, plusieurs aéroports et de multiples bases militaires.

    La complexité du nombre de molécules et leurs propriétés uniques rendent l’analyse des PFAS complexe et difficile. De plus, leur omniprésence dans l’environnement réduit la fiabilité des résultats de laboratoire, qui peuvent être contaminés si la préparation d’échantillons et les procédures ne sont pas appropriées (surtout pour l’analyse de l’eau potable). Il est aussi important d’intégrer un maximum de PFAS possible aux suivis environnementaux, afin d’éviter qu’un ou plusieurs composés particulièrement problématiques échappent au suivi.

    Des contaminants qui s’accumulent dans les tissus

    Leur persistance et leur capacité à s’accumuler dans les tissus des organismes vivants (bioaccumulation) font en sorte qu’on les retrouve en haut des chaînes alimentaires. On les détecte notamment chez les mammifères marins de l’Arctique, ce qui impacte les populations principalement autochtones qui en dépendent pour se nourrir. On assiste ainsi à une injustice environnementale, puisque ces communautés subissent les effets d’une pollution à laquelle elles n’ont aucunement contribué.

    En plus de leur persistance dans l’environnement, plusieurs PFAS sont également persistants dans le corps humain. Même en réduisant l’exposition à ces contaminants, les PFAS peuvent prendre des années à être éliminés de l’organisme. En raison de l’exposition ubiquitaire et de cette persistance, plusieurs PFAS sont détectés dans la quasi-entièreté des échantillons de sang récoltés dans le cadre de l’Enquête canadienne sur les mesures de santé, menée par le gouvernement fédéral.

    Une étude canadienne a par ailleurs démontré que ces contaminants se retrouvent également dans les échantillons de sang du cordon ombilical et dans le lait maternel ; nous portons donc des traces de PFAS dans notre organisme dès notre conception.

    L’épineuse question du traitement des eaux usées

    Les propriétés chimiques des PFAS les rendent aussi particulièrement difficiles à éliminer quand ils se retrouvent dans notre eau potable ou notre eau usée. Les traitements usuels pour l’eau potable enlèvent très peu ou pas du tout des PFAS présents dans l’eau). Des investissements significatifs sont donc nécessaires pour modifier les procédés de traitement dans le but de les éliminer.

    De plus, le traitement de l’eau usée peut augmenter très significativement les concentrations de PFAS dans les boues d’épuration, principal déchet issu du processus d’épuration. Ces boues, aussi appelées biosolides, contiennent bien souvent des concentrations de PFAS comparables aux niveaux ambiants détectés ailleurs. Mais si les eaux usées contiennent des rejets d’un procédé industriel ou commercial qui utilise des PFAS, les biosolides qui en résultent pourraient être très contaminés aux PFAS.

    La solution pour pouvoir valoriser les biosolides passe par une meilleure réglementation de l’utilisation des PFAS pour prévenir leur apparition dans les eaux usées et les boues d’épuration municipales. On peut aussi très bien vérifier les concentrations dans les biosolides avant leur valorisation et ainsi éviter les risques de contaminer nos sols en établissant des seuils de PFAS à ne pas dépasser.

    Le dossier des PFAS est particulièrement complexe, les experts et les diverses agences de protection de l’environnement du monde n’étant pas encore capables de trouver un consensus pour définir ce qui est sécuritaire.

    Nous devrions être particulièrement vigilants et appliquer le principe de précaution, qui stipule que :

        Une substance doit être considérée comme potentiellement nocive pour la santé humaine et pour l’environnement, jusqu’à preuve du contraire.

    Il importe également de mieux réglementer cette famille de polluants inquiétants qui se retrouvent absolument partout.

    Et aussi: Les "polluants éternels" du fart des skis se répandent sur les pentes enneigées

    Les pailles "écologiques" contiennent aussi ces "polluants éternels" potentiellement dangereux

    Les pailles de papier ou de bambou dites "écologiques" contiennent des PFAS, des "polluants éternels" associés à de nombreux problèmes de santé, tant chez les humains que chez les animaux. Procurez-vous des pailles en inox

    Polluants éternels: le milieu marin n’échappe pas à la contamination par les PFAS

    Les PFAS polluent les terres et les eaux douces, mais également tous les océans du globe, où ils peuvent subsister pendant de très longues années.

  • Jeux Olympiques

    Attention aux augmentations des prix!

    Les professionnels du secteur de la consommation prévoient une demande extrêmement forte pendant toute la période sur certains produits. Le prix de certains "produits plaisir", qui sont parmi les grands classiques des rencontres sportives, va augmenter:

    bières blondes, sodas, tablettes de chocolat, biscuits apéritifs, pizzas et snacks, en ce qui concerne l’alimentaire.

    Une étude, relayée par Le Parisien et établie sur ce qui s’est passé à Londres lors des JO de 2012, montre que les touristes internationaux ont dépensé 6% de plus que l’année précédente dans la capitale britannique.

  • NON… MAIS….. QUOI?  QUOI?

    Un couple convoqué devant la justice pour avoir prénommé leur fils Fañch avec un " ~ " (diminutif de Frañsez, équivalent breton de François)

    Le prénom de leur fils avait déjà posé problème à d’autres parents. Mais à chaque fois la justice avait validé l’utilisation du tilde et les petits garçons avaient pu garder leurs prénoms.

    Un couple du Maine-et-Loire est convoqué en février devant un juge des affaires familiales pour avoir prénommé, l’été dernier, leur fils Fañch avec un tilde (~), un signe qui reste officiellement interdit à l’état-civil en France, selon un courrier consulté ce dimanche.

    Le Code civil prévoit que "les prénoms de l’enfant sont choisis librement par ses père et mère" mais cette liberté a pour limite l’intérêt de l’enfant, rappelle le parquet d’Angers dans sa décision.

    "On nous dit que nous ne prenons pas en compte l’intérêt de notre enfant. C’est violent. On sous-entend qu’on est de mauvais parents, juste pour un tilde", a déclaré la maman au Courrier de l’Ouest, qui a révélé l’existence de ces poursuites.

    Le couple avait été prévenu à la maternité par l’officier d’état-civil que l’orthographe de ce prénom pouvait poser problème aux termes de la loi mais "nous avons fait le choix de le garder et de nous battre si nécessaire", a expliqué la mère au journal. (…) Le Parisien

    Sur Wikipédia

    François: Frañsez en breton (diminutifs Fañch, Fañchig, Saig, Soaig).

  • Quelle est la société idéale pour demain, selon les Français?

    image générée par I.A.

    Les Français ressentent avant tout un sentiment d’appartenance à leur famille et, dans un second temps, à leur pays et à leur groupe amical. Les autres types d’appartenance sociaux (l’humanité, voisinage, groupe religieux ou sexuel…) ou territoriaux (région, ville, Europe) sont nettement plus minoritaires. Les éléments qui contribuent aux yeux des Français à renforcer ce sentiment d’appartenance à leur pays sont avant tout les célébrations traditionnelles, qu’elles soient solennelles et portées par l’État (les commémorations historiques, le défilé du 14-Juillet…), nationales et festives (la fête du travail, les fêtes religieuses fériées, la fête de la musique…), voire très locales (les fêtes des écoles et les kermesses).

     (…)

    En termes de cadre de vie, les Français mettent l’accent sur le calme et la tranquillité, autant d’aspects qu’ils valorisent dans le choix d’un lieu d’habitation. Le corollaire est l’importance de l’espace privé (rejet de l’habitat collectif) et notamment du jardin, de la proximité de la nature, mais aussi des relations sociales apaisées avec le voisinage (espace, nature, jardin…). Sans surprise, le modèle de « ville nature » mettant l’accent sur la protection de l’environnement et de la biodiversité est privilégié et, dans l’idéal, les Français préféreraient se déplacer au quotidien grâce à la marche et aux transports en commun. Autre aspect important dans le choix des Français en matière de cadre de vie : la présence à proximité des services publics (santé, école, poste, commissariat…).

    En ce qui concerne la vie familiale, l’idéal du couple reste très fort dans la population française, et même le mariage reste une situation idéale pour un peu plus d’une personne sur deux. De plus, avoir des enfants est un objectif largement partagé (seuls 15% des Français n’en souhaitent pas), une famille composée de deux enfants étant l’idéal aux yeux d’un sondé sur deux. La fidélité au sein du couple reste aussi un idéal pour 70% des Français. Pour autant, ce rapport relativement classique d’une majorité des Français à l’idéal familial n’empêche pas une forte acception des modèles alternatifs : couples sans enfant, couples homosexuels et homoparentaux, célibat…

    En matière d’éducation, les Français souhaitent très majoritairement que l’école éveille les enfants et leur donne le goût de la curiosité ainsi qu’un esprit critique par rapport à des options davantage marquées par l’autorité (effort et discipline) ou par l’utilitarisme (préparation à la vie active). Mais parallèlement, ils souhaitent aussi que l’école se concentre avant tout sur l’enseignement des matières fondamentales (français, mathématiques, histoire). Enfin, ils désirent que l’institution scolaire évolue dans un sens qui en ferait un cadre plus accueillant (lutte contre le harcèlement), plus adapté (mois d’élèves par classe, plus de matériel) et où l’autorité des enseignants serait mieux reconnue par les élèves et leur place valorisée dans la société française.

    En matière de rapport au travail, les idéaux d’une société reposant sur significativement plus ou moins de travail ne font pas florès: une nette majorité de Français souhaite une société où l’on travaille à peu près autant, ou bien où l’on alterne les périodes avec plus ou moins de travail selon les périodes de la vie.

    Les modèles traditionnels en matière de travail et d’emploi se maintiennent. Ainsi, une nette majorité de Français souhaite travailler dans des structures "classiques" (entreprise privée, fonction publique), mais très peu comme auto-entrepreneurs ou dans une start-up. De même, ils préfèrent travailler dans une ou deux entreprises tout au long de leur carrière plutôt que multiplier les changements d’employeurs, et favorisent une carrière où ils se spécialiseraient dans un seul métier leur permettant de développer de nombreuses expertises – même les jeunes partagent ces opinions. En revanche, dans la vie professionnelle comme dans la vie démocratique, la volonté de davantage d’horizontalité est très forte: ainsi, un système de cogestion des entreprises entre dirigeants et salariés est largement approuvé.

    Dans le détail, le sentiment que les choses vont trop vite est très fort en ce qui concerne l’information, ce qui explique sans doute pourquoi les Français pensent majoritairement qu’il faudrait réduire la place des chaînes d’information en continu et des réseaux sociaux comme source d’information. Le sentiment d’être dépassé est aussi extrêmement présent à propos du développement des nouvelles technologies : une majorité est inquiète, voire effrayée par certaines perspectives liées au développement de la robotisation, du transhumanisme ou des réalités virtuelles. Même chez les plus jeunes, le sentiment d’être à rebours des évolutions technologiques est très répandu.

    En termes de consommation, l’idéal de la propriété privée pour les biens importants (logement, voiture…) reste très fort. Cela n’empêche pourtant pas les Français de jeter un regard critique sur la société de consommation: une très large majorité estime qu’il faudrait réduire la place de la publicité dans la société. Dans le même ordre d’idées, les événements, les plus clairement associés à la surconsommation -comme le Black Friday- ne bénéficient pas d’une image très favorable, et les Français souhaiteraient, dans une société idéale, pouvoir privilégier les achats dans des petits commerces spécialisés plutôt que dans des grandes surfaces ou sur internet.

    Fondation Jean Jaurès

  • LE PAIN????

    SAVEZ VOUS QUE

    Le blé et autres grains sont conservés dans d'énormes et immenses silos (que vous avez certainement vus un jour où l'autre près d'une ville –et qui peuvent exploser par concentrations des poussières). Bien sûr, cette concentration de millions d'hectolitres de grains attire des populations de rats, mulots et autres. Ces grains sont chargés dans des citernes pour aller dans les minoteries qui les transforment en farine alimentaire pour vos supermarchés.

    Afin d'éviter que les rongeurs soient broyés avec les grains, les grains stockés sont ARROSES DE PESTICIDES: ce qui fait que votre farine est contaminée et la cuisson du pain n'arrange pas le problème… à la longue, cancer de l'œsophage, estomac, intestins, anus!

    Achetez votre pain bio ou bien on en trouve dont le grain n'a pas été arrosé dans les silos… en général, c'est indiqué comme argument pub… j'ai appris cela en regardant la poche qui contenait un pain acheté dans mon hyper Casino, tant pis pour la pub cachée!

    En Finlande, l'autorité alimentaire finlandaise (Ruokavirasto), l'Institut national de la santé et du bien-être (THL) et des agences locales ont enquêté sur une épidémie qui a touché plus de 800 personnes. L'événement s'est produit en août 2023 à Mikkeli, et ce sont principalement des enfants qui sont tombés malades.

    Au total, 812 personnes sont tombées malades au cours de l'épidémie dans 18 écoles différentes. Les principaux symptômes des patients étaient des douleurs d'estomac, des nausées et des maux de tête. Ils sont apparus chez la plupart des patients moins de une heure après le repas et ont été de courte durée (en moyenne moins de 12 heures).

    D'après une enquête menée par les autorités de la région de Mikkeli et analysée par THL, qui a recueilli plus de 4 000 réponses, la consommation de tortillas était l'explication la plus probable de la maladie chez les enfants.  Plusieurs élèves avaient déclaré que les tortillas avaient une odeur ou un goût de savon ou de détergent.

    Le propionate de calcium (E282) est utilisé depuis longtemps dans les produits de boulangerie comme inhibiteur de moisissures et est généralement considéré comme sûr à de faibles niveaux d'ingestion. Cependant, l'ingestion de quantités plus importantes que d'habitude (sur la base des pratiques industrielles courantes) peut réduire la vitesse de vidange gastrique et provoquer une irritation gastro-intestinale, en particulier chez les jeunes enfants.

    Une étude menée auprès de 27 enfants a révélé que certains d'entre eux étaient irritables, agités, peu attentifs et avaient des problèmes de sommeil après avoir consommé quotidiennement du pain contenant du propionate de calcium. Une étude humaine a établi un lien entre la consommation de propionate et l'augmentation de la production d'insuline et de glucagon, une hormone qui stimule la libération de glucose

    Source : Food Safety News