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Gastronomie

  • Magret à l'orange

    Si on demande à un habitant du Sud-Ouest quel est l'aliment emblématique de la région, il répond à 99%: le canard! (vu à la télé)

    Une autre recette

    Pour 4 personnes

    1 kg d’endives; 600 g de magret de canard

    1 c. à s. d’huile d’olive (ou de graisse de canard)

     2 ou 3 oranges à jus; Brins de persil

    1 c. à s. de farine, Sel

    Herbes de Provence fraîches ou séchées

    Préparez les endives. Coupez le bout de la tige, puis taillez les endives en 4 dans le sens de la longueur et retirez la pointe du cœur pour ôter l’amertume.

    Faites cuire à feu vif dans un faitout avec 10 ml d’eau pendant environ 25 min à couvert.

    Pendant ce temps, préparez le magret. Entaillez le gras du magret de canard environ tous les 2 cm sans toutefois couper dans la chair. (vous pouvez aussi le retirer entièrement, une fois fondu dans votre poêle, cela vous fait de la graisse pour des pommes de terres ou autres)

    Placez le magret côté gras dans une poêle et faites cuire à couvert environ 8 min à feu moyen. Retournez le magret et poursuivez la cuisson pendant 8 min.

    Sortez le magret de la poêle et coupez-le en tranches d’environ 3 cm d’épaisseur et réservez.

    Quand les endives deviennent tendres, retirez le couvercle du faitout pour permettre à l’excédent d’eau de s’évaporer. Poursuivez ainsi leur cuisson environ 10 min. Quand l’eau est évaporée, ajoutez l’huile d’olive.

    Assaisonnez avec du persil ciselé et du sel. Réservez au chaud

    Pressez les oranges (vous devez obtenir environ 250 ml de jus). Versez le jus d’orange dans la poêle avec le gras de cuisson du canard.

    Dans un coin de la poêle, déposez la farine en pluie et remuez vigoureusement à l’endroit où vous avez versé la farine, puis incorporez progressivement ce mélange au reste de la sauce pour obtenir une texture lisse. Assaisonnez avec du persil ciselé, du sel et des herbes de Provence.

    Ajoutez le canard et son jus à la sauce, mélangez et laissez encore mijoter quelques instants pour finir la cuisson du canard. Celui-ci est meilleur lorsqu’il est encore rosé. Servez avec une purée de pomme de terre, de céleri, d'haricots verts, etc.

  • Truffade traditionnelle

    Pour 5 ou 6

    1,2 kg de pommes de terre, 600 g de tomme fraîche de Cantal ou d'Aubrac

    2 c. à soupe de beurre)

    sel, poivre

    Lavez et pelez les pommes de terre. Les couper en fines lamelles, les rincer de nouveau et les essuyer dans un linge propre.

    Dans une cocotte, faire fondre le beurre. Ajoutez les pommes de terre et laissez cuire une dizaine de minutes à feu moyen/vif. Salez, poivrez et mélangez.

    Baissez le feu et couvrir la cocotte. Laissez cuire les pommes de terre jusqu'à ce qu'elles soient bien fondantes (vérifier la cuisson en plantant un couteau dans la chair, il doit s'enfoncer facilement).

    Pendant ce temps, coupez la tomme de Cantal ou d'Aubrac en lamelles. Une fois les pommes de terre fondantes, déposez le fromage par-dessus.

    Laisser doucement fondre puis, avant de servir bien chaud, mélangez vivement

  • Rillettes de roquefort aux raisins secs

    Réfrigération : 2 heures

    Pour 2 personnes

    150 g de roquefort; 25 g de beurre

    2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse

    40 g de raisins secs; 40 g de cerneaux de noix

    1 cuillère à soupe de Cognac; 1 pincée de noix de muscade en poudre

    Poivre

    Dans un bol, mettez les raisins secs et ajoutez le Cognac, laissez ramollir pendant 10 minutes.

    Émiettez le roquefort dans un autre bol et incorporez le beurre mou. Ajoutez la crème fraîche, les raisins secs, la noix de muscade et le poivre.

    Écrasez et mélangez avec une fourchette.

    Émiettez les cerneaux de noix et intégrez-les à votre préparation, mélangez l’ensemble et tassez-la dans le bol avant de la mettre au frais 2 heures.

  • Jarrets d’agneau aux légumes anciens

    braisé au vin rouge

    Pour 4

    4 jarrets d’agneau; 4 pommes de terre pelées et coupées en cubes

    Sel et poivre au goût; du beurre

    2 carottes coupées en dés; 250 ml de vin rouge

    1 branche de céleri coupée en dés, 1 cuillère à soupe de farine

    1 oignon haché; 1 verre d'eau si nécessaire

    4 gousses d’ail hachées; 375 ml de fond de veau

    2 tiges de romarin frais; 1 feuille de laurier

    2 c. à soupe concentré de tomates

    1/2 petit rutabaga pelé et coupé en cubes

    3 panais coupés en rondelles

    Salez et poivrez les jarrets d’agneau.

    Dans une grande cocotte, faire fondre du beurre ou de la graisse de canard, à feu moyen. Saisir les jarrets et l’oignon de 2 à 4 minutes. Saupoudrez de farine et faire roussir. Dans la même cocotte, cuire les carottes, le céleri

    Ajoutez l’ail et poursuivre la cuisson 1 minute.

    Verser le vin rouge dans la cocotte et laissez mijoter jusqu’à ce que le liquide ait réduit de moitié.

    Puis ajoutez le fond de veau, les herbes aromatiques et le concentré de tomates dilué dans un bol avec un peu de bouillon. Salez et poivrez.

    Porter à ébullition, puis couvrir et laissez cuire 1 bonne heure à plus en arrosant les jarrets de jus de cuisson quelques fois en cours de cuisson, jusqu’à ce que la chair des jarrets se détache facilement de l’os.

    Environ 30 minutes avant la fin de la cuisson des jarrets, déposez les pommes de terre, le rutabaga et les panais dans une casserole. Couvrir d’eau froide et salez. Portez à ébullition, puis cuire de 20 à 25 minutes à feu moyen, jusqu’à tendreté des légumes. Égouttez. Rajoutez aux jarrets

    Portez à ébullition, puis laissez mijoter de 10 à 12 minutes à feu doux-moyen, jusqu’à ce que la sauce ait réduit de moitié et soit moelleuse et épaissie

    Servir bien chaud

     

    RAPPEL

    Graisse de canard

    La graisse de canard est votre alliée de par les nombreux bienfaits de la graisse de canard.  Grâce à sa composition elle est reconnue pour prévenir les risques cardiovasculaires, elle maintient vos cellules en bonne santé et stimule l’absorption de calcium.

    Mais encore, la graisse de canard en cuisson est source d’énergie et permet de lutter contre le rhume et elle favorise le phénomène de satiété. En somme, les bienfaits de la graisse de canard sont nombreux et indéniables.

    Alors, comment utiliser la graisse de canard ?

    Concernant l’utilisation de la graisse de canard, cette dernière supporte les hautes températures, ne brule pas les aliments, elle est donc parfaite pour la cuisson, le rissolage ou encore le confisage. Autant de bonnes raisons de cuisiner à la graisse de canard. Nous ne pouvons que vous recommander l’utilisation de graisse de canard pour concocter de délicieux plats.

    Vous n’avez plus aucune raison de vous priver de cuisiner à la graisse de canard comme les gens du Sud-ouest… en effet, je suis persuadée (appuyée par la lecture de plus de cinquante ans d'articles de nutrition) que le fameux "frend paradox" -que des idiots ont indiqué qu'il n'existait pas- et bien si, au contraire: pour les hommes, boire trois verres maximum de vin par jour (deux pour les femmes) associé à la cuisine à la graisse de canard PLUS un ou deux cafés par jour, c'est pour pour le cœur et également ne pas "plonger" dans l'azelmeir.

    N'oubliez pas: buvez du vin avec modération

  • Comment ont évolué les livres de cuisine

    Depuis plusieurs années déjà, en France, le secteur du livre de cuisine est très dynamique. En tête des ventes se trouvent les stars des fourneaux très présentes à la télévision, la radio et sur les réseaux sociaux comme Cyril Lignac qui a vendu près de deux millions d’exemplaires de sa série Tous en cuisine ou François-Régis Gaudry qui a dépassé le demi-million avec les trois ouvrages de On va déguster.

    Or le livre de cuisine représente bien plus qu’un simple objet. Il témoigne aussi de l’évolution de la société, de ses goûts et de ses habitudes de consommation.

    DU MOYEN ÂGE A LA FIN DE LA RENAISSANCE

    Si les premiers exemplaires remontent à l’antiquité, et que les recettes se sont principalement transmises à l’oral jusqu’à l’invention de l’imprimerie, c’est depuis le XIVe siècle que l’on trouve des livres de cuisine. À travers une sélection non exhaustive d’ouvrages qui ont marqué l’histoire culinaire française, nous verrons comment cette évolution s’est caractérisée.

    Rédigé à la fin du Moyen Âge, le Viandier, premier livre de cuisine écrit en français attribué au cuisinier Guillaume Tirel dit Taillevent (1310-1395), est un ouvrage de référence pour la période médiévale. Il contient des recettes de mets servis à la cour royale. Ces dernières, présentées de manière concise, contiennent un bref descriptif du plat sans quantité précise ni temps de cuisson. Les illustrations sont quasi inexistantes car elles sont coûteuses. Il s’agit essentiellement d’un guide pour les professionnels qui doivent être capables de compter sur leur expérience pour interpréter et reproduire les recettes.

    On note dans ces dernières une forte utilisation d’épices provenant d’Afrique et d’Asie – signe de distinction sociale – de mélanges sucré-salé et de sauces acides. La plupart des recettes sont à base de viande, comme l’indique le titre – un des éléments caractéristiques de l’alimentation des puissants – parmi lesquelles on trouve des cygnes, des cormorans ou des hérons – réputés plus proches du divin et du pouvoir parce qu’ils évoluent dans les cieux. Les légumes, nourriture de paysans, trop « terre-à-terre » pour les grands de ce monde, sont peu présents.

    La cuisine de la Renaissance restera, elle aussi, profondément moyenâgeuse, et jusqu’au XVIIe, les pratiques alimentaires de l’aristocratie européenne sont quasi identiques.

    L’avènement de la « nouvelle cuisine »

    Après un siècle sans nouvel ouvrage de cuisine, La Varenne, cuisinier du marquis d’Uxelles, rédige, en 1651, Le cuisinier françois. Cet ouvrage capital met en place les grands principes qui feront la grandeur et le rayonnement de la cuisine française. Cette dernière passe dans l’ère moderne et rompt définitivement avec ses composantes médiévales. Les saveurs lourdement épicées laissent place à celles des herbes aromatiques, les saveurs aigres-douces disparaissent, et la nette séparation entre le salé et le sucré, qui arrive désormais en fin de repas, devient une de ses grandes caractéristiques.

    Si l’alimentation carnée est toujours dominante sur la table aristocratique, les légumes font leur apparition. La fraîcheur et les saveurs naturelles des aliments sont mises en avant, tout comme les considérations diététiques. La Varenne a aussi apporté de nouvelles techniques culinaires comme l’élaboration de nombreux fonds de cuisson, de sauces dans lesquelles il a introduit le beurre, sans oublier la technique raffinée du feuilletage qui conduira à l’invention du millefeuille.

    Les recettes sont désormais organisées selon les catégories du menu de l’époque (potages, entrées…) mais aussi pour les « jours de viande », les « jours maigres », etc., ce qui permet de noter l’importance de la religion catholique dans l’élaboration des repas d’alors, importance déjà présente au Moyen Âge.

    D’abord destinées à une élite et à ses cuisiniers, les recettes se diffuseront par la suite aux autres couches de la société. La grande cuisine française qui s’écrit au XVIIe siècle, et qui se transmet grâce à ses recettes est une cuisine dont la renommée et le prestige iront croissants et qui s’imposera en Europe comme la référence culinaire.

    UNE CUISINE DE PLUS EN PLUS NORMATIVE ET ACCESSIBLE

    Par la suite, les livres de cuisine ne restent plus uniquement dans l’univers aristocratique. Au XVIIIe siècle, ils touchent aussi la bourgeoisie – témoignage de son importance grandissante au sein de la société française – avec une cuisine de cour simplifiée, moins onéreuse. Avec le Cuisinier royal et bourgeois rédigé par Massialot (1691) les recettes, sont pour la première fois, classées par ordre alphabétique, d’après le principal ingrédient ou la place du mets dans le menu. Les éditions bon marché permettent aussi une plus large diffusion des écrits culinaires à travers la société, consolidant davantage l’aspect normatif et le langage technique des recettes.

    Gouffé invente, avec son Livre de cuisine (1867), l’ouvrage culinaire moderne : accessible à tous, du simple débutant au cuisinier aguerri, il précise aussi les quantités et temps de cuisson des ingrédients. Pédagogue, il donne aussi des indications sur les ustensiles de cuisine utilisés. Gouffé a aussi recours, pour la première fois, aux illustrations en couleur, quand il le juge nécessaire pour expliquer une opération comme une découpe ou un détail pratique. Le classement des recettes en jours gras et maigres est, lui, définitivement abandonné.

    Au cours du XXe siècle, les livres de cuisine sont de plus en plus accessibles au grand public. Si le Guide Culinaire d’Escoffier (1903) devient la « bible » de la cuisine française classique pour les cuisiniers professionnels, le vrai tournant a lieu dans l’entre-deux-guerres avec des ouvrages qui sont désormais aussi rédigés par des femmes. Ginette Mathiot, avec Je sais cuisiner (1932), propose des recettes simples, avec des produits de base et faciles à suivre, même pour les ménagères peu expérimentées. Son immense succès sur des décennies contribue à la popularité de la cuisine maison.

    Dès le dernier quart du XXe siècle, la production d’ouvrages culinaires s’accélère et de nouveaux publics sont ciblés: célibataires ou étudiants, amateurs de cuisines régionales (bretonne, basque) ou internationales (italienne, chinoise) ou ceux avec des régimes alimentaires spécifiques (végétarien, végétalien, sans gluten, etc.). Les livres de chefs renommés comme Paul Bocuse ou Michel Guérard sont aussi très vendeurs. D’autre part, les illustrations des recettes deviennent, peu à peu, quasi indispensables.

    NOUVELLES TECHNOLOGIES ET NOTORIETE DES CHEFS

    Aujourd’hui, l’univers des livres de cuisine se partage en trois principales catégories : d’abord les livres pratiques dans lesquels les recettes sont expliquées étape par étape, avec quelques ingrédients, le temps et les étapes de préparation, et même les calories, le tout accompagné de photos, de très belle qualité, comme dans la collection Simplissime. Ensuite il y a le beau livre de chef célèbre comme Le Pré Catelan de Frédéric Anton. Ce dernier, très esthétique et artistique, sert davantage à faire rêver avec ses magnifiques photos qu’à former. La cuisine se doit d’être très belle dans notre monde de l’image. Il y a enfin le développement des livres numériques et des applications mobiles.

    Les recettes sont désormais partagées en ligne, accompagnées de photos, de vidéos ou de liens Internet. De nombreux chefs cuisiniers, pâtissiers, youtubeurs, blogueurs ou passionnés, se font remarquer en diffusant leurs recettes sur les réseaux sociaux à

    Ces dernières décennies ont donc révélé, suite à l’influence des réseaux sociaux mais aussi des émissions esthétisantes comme Top Chef ou Chef’s table, l’importance grandissante du design culinaire. En effet, les livres de cuisine ont davantage mis l’accent sur la présentation des plats, sur leur mise en scène et les photographies sont devenues plus sophistiquées, les faisant évoluer pour devenir aussi bien des objets visuels autant que des guides culinaires.

    Le livre de cuisine a connu des développements notables, aussi bien dans sa forme et son fond que dans son accessibilité, mais en lien avec les évolutions de la société et le développement des technologies et il semble aujourd’hui plus vivant et plus protéiforme que jamais.

    Auteur: Nathalie Louisgrand - Enseignante-chercheuse, Grenoble École de Management (GEM) - de The Conversation FR. CC BY ND

  • Confiture dans sucre? C'est possible

    À la base, la confiture c’est moitié fruit et moitié sucre. Le sucre est bien sûr ce qui va faire de la confiture une préparation pour les gourmands. Mais il est aussi -et avant tout- un moyen de conservation. Alors, comment préparer une confiture pleine de gourmandise et qu’on peut garder quelque temps tout en se passant de sucre?

    Confiture sans sucre ajouté, mais avec un peu de technique

    Pour obtenir une confiture pleine de goût, tout en se passant de cet ingrédient indispensable dans la recette qu’est le sucre, il va falloir ruser!

    Une confiture à base de jus de fruits

    Si vous voulez réaliser une confiture de fraise sans sucre, vous pouvez vous inspirer des techniques de professionnels plutôt que de la recette de votre chère grand-mère. Même si ses confitures à elle sont délicieuses, à l’instar de son interprétation de la confiture de Noël, on sait que l’abus de sucre n’est pas idéal pour la santé. (surtout si vous êtes sous cortisone… et oui, on vous le dit peu, en plus du sel, il faut supprimer le sucre!).

    Pour réaliser une recette de confiture sans sucre, les chefs vont utiliser du jus de fruits réduit. Pour cela, faire bouillir 1 L de jus de fruits (de préférence bio) afin d’obtenir un sirop léger. Ce sirop servira de base à votre recette de confiture de prune sans sucre par exemple.

    Ajoutez ensuite un gélifiant comme l’agar-agar ou la pectine. Certaines recettes proposent même d’utiliser des graines de chia. Enfin, versez encore chaud dans un pot de confiture stérilisé et conservez au frais.

    S’aider d’un ingrédient naturel

     

    Vous pouvez réaliser une confiture allégée en portant simplement les fruits à ébullition et en ajoutant le jus d’un citron. L’ébullition va permettre de libérer la pectine naturellement présente dans les fruits.

    Certains fruits en sont particulièrement pourvus comme la pomme, la framboise, la groseille, le cassis, le coing, la prune ou encore les agrumes.

    RÉALISEZ UNE CONFITURE D’ORANGE SANS SUCRE

    Pour cela, faites cuire une pelure d’orange dans une casserole avec un peu d’eau. Enlevez la peau et ajoutez une cuillère d’eau minérale dans l’eau de cuisson. Remuez énergiquement et au bout de quelques instants, vous obtiendrez une texture gélifiée.

    Faire une confiture sans sucre et au naturel est donc tout à fait possible.

    Cependant, elle ne va pas se conserver comme une confiture traditionnelle mais, au frais et dans un pot fermé hermétiquement, elles peuvent se garder deux ou trois mois avant ouverture.

  • Tranche de gigot d'agneau à la crème d’ail

    Recette pour 4

    4 tranches de gigot d'agneau, 8 belles gousses d'ail

    20 cl de crème liquide, 20 g de beurre

    Sel et poivre du moulin

    Pelez les gousses d'ail et les dégermer, les mettre dans une casserole d'eau et porter à ébullition, les égoutter et renouvelez l'opération au moins 6 fois, les écraser avec une fourchette et les remettre dans la casserole, ajoutez la crème petit à petit en mélangeant, portez à ébullition et mixer, salez, poivrez et réservez au chaud.

     

    Faites chauffer une poêle avec le beurre, saisir les tranches de gigot d'agneau 2 à 4 minutes à feu vif de chaque côté, selon le degré de cuisson souhaité, les saler et les poivrer.

    Servir les tranches de gigot nappées de crème à l’ail et accompagnées de carottes au cumin par exemple

    Astuce: vous pouvez saupoudrer de gingembre moulu pour un peu plus de pep's