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DANGERS

  • L'agriculture française est en déclin!

    quelles sont les difficultés de production associées à 10 produits de consommation courante ?

    Normes étouffantes, concurrence déloyale, produits phytosanitaires interdits, etc. Quelles difficultés pour quels produits ?

    CERISE

    La filière de la cerise a été frappée de façon particulièrement dure en 2023. La conséquence directe fut une offre limitée et des prix bien au-delà de l’année 2022. Au 1er juin 2023, la production était en baisse de 21% par rapport à la moyenne des cinq dernières années, selon les données statistiques du ministère de l’agriculture (Agreste). En cause, les ravages de la mouche "Drosophila suzukii" ainsi qu’un contexte climatique défavorable. Deux produits phytosanitaires, qui permettaient de lutter contre cette mouche, ont été interdits en France ces dernières années, mais restent légales dans d’autres pays d’Europe.

    POIRE

    La France ne produit que 50% de ses besoins en poire. Estimée à 125 800 tonnes, la production de poires recule sur l’année 2023, en particulier dans les régions du sud de la France. Les épisodes de fortes chaleurs entraînent une diminution des calibres des fruits. Grêle et canicule sont également responsables d’une moindre production. L’offre restreinte entraîne donc une hausse des prix : 55 % de plus qu’en 2022.

    POMME

    La production de pommes françaises est confrontée à la hausse des coûts des emballages, l’inflation du coût de la main-d’œuvre auxquels s’ajoutent les difficultés de recrutement, la poussée du prix des intrants, sans parler des réglementations françaises qui ont interdit certains produits phytosanitaires qui permettaient de lutter contre les ravageurs. Les vergers sont fragilisés et produisent donc moins.

    POMME DE TERRE

    2022 fut la pire année du XXIe siècle selon l’Union Nationale des Producteurs de pomme de terre. La production de ce tubercule souffre des conditions climatiques, des chaleurs élevées, de la pluviométrie importante, ainsi que des hausses des coûts de production. La hausse des coûts de l’énergie représente la raison principale de cette augmentation du prix au kilo. S’ajoute à cela, le coût du stockage et le coût du transport.

    TOMATE

    La production de tomates françaises s’est effondrée en quelques années, passant de 400 000 tonnes en 1985 pour seulement 150 000 aujourd’hui. Comme les autres fruits et légumes, la tomate souffre des périodes de sécheresse et des pics de chaleur. « Une production en baisse et des surfaces qui plafonnent », décrit l’AOPn (Association d’organisations de producteurs nationale) Tomates et Concombres de France, qui dénonce « le manque d’investissement des pouvoirs publics et la multiplication des contraintes réglementaires conduisant chaque année à l’augmentation de la part des tomates d’importation dans la consommation des Français ».

    BLE

    La production française de blé dur, la céréale des pâtes et de la semoule, est attendue cette année à son plus faible niveau depuis 2003 en raison d’une baisse des surfaces cultivées, rapporte le ministère de l’Agriculture.

    "La baisse de la production est liée à celle des surfaces environ 242.000 hectares, au plus bas depuis 1995", indique l’Agreste. Au premier rang des difficultés actuelles: la concurrence déloyale des producteurs français face aux produits ukrainiens qui affluent depuis que l’UE a levé les droits de douane sur ces importations.

    POULET

    Actuellement, une volaille française sur cinq est élevée en plein air, c’est dix fois plus que la moyenne des pays européens. La production française est une exception, c’est la seule au monde à comprendre autant d’espèces diverses, de labels de qualité, de certificats bio, au point que la volaille “classique” ne représente que 60% des élevages. Ces labels et normes d’excellence amènent avec elles une réduction de la taille des exploitations, et une hausse des coûts. Tant et si bien que la France n’exporte plus que 8% de sa production de poulets contre 25% il y a dix ans. 45% des poulets proviennent actuellement de l’étranger, notamment du Brésil, de la Thaïlande ou de l’Ukraine, où les normes sont plus basses. « Entre un filet de poulet ukrainien à 3,10 euros et son équivalent français à 5,80 euros, le choix est vite fait », regrette l’interprofession Anvol.

    PORC

    En 2023, l’offre de porcs a diminué de 7,7% dans l’Union européenne, mais la France “limite” la casse en ne voyant son offre baisser que de 4,4%. Plusieurs facteurs s’additionnent. La baisse de la demande mondiale a entraîné une chute drastique des prix de ventes. Dans le même temps, la guerre en Ukraine a fait s’envoler les prix des céréales, essentielles à la nourriture des porcs d’élevages. Une image négative rattachée à cette filière quant aux conditions d’abattage et de vie du cochon n’aident pas. La concurrence est rude et les candidats peu nombreux : entre 2012 et 2022, 1,3 millions de porcs de moins étaient élevés en France.

    LAIT

    La France est actuellement le deuxième producteur de lait de l’Union européenne. Pourtant, le secteur est en crise également, au point que l’industrie laitière craint une perte de souveraineté de la France d’ici 2027. En moins de dix ans, le nombre d’exploitations laitières a chuté d’un tiers. Un éleveur sur quatre partira à la retraite ou cessera son activité dans les cinq prochaines années, et la moitié des éleveurs laitiers prendra sa retraite d’ici 2035.

    BOEUF

    En 2022, la production de bœuf française a baissé de 4%, et de 3% supplémentaires en 2023. Soit 110 000 vaches allaitantes en un an. Résultat : en ce début d’année 2024, l’approvisionnement en viande tricolore n’est plus assuré et de plus en plus de restaurateurs doivent se tourner vers l’étranger.

    Exemple frappant: McDonald’s n’arrive plus qu’à avoir 80% de steaks hachés d’origine française au lieu des 100% habituels. En cause, le vieillissement des agriculteurs. Actuellement, seul un éleveur sur deux est remplacé après son départ à la retraite, et les jeunes préfèrent la culture de céréales, plus rémunératrice et moins contraignante.

  • Une politique agricole commune devenue désastreuse

    La Politique agricole commune (PAC) a été mise en place en 1962 pour augmenter la production alimentaire ; elle protégeait l’agriculture à l’aide de prix planchers et de protections douanières. Grâce à elle, la Communauté européenne, devenue ensuite l’Union européenne, est devenue la première puissance agricole mondiale avec environ 418 milliards d’euros (dont 18% pour la France).

    Mais sous l’impulsion des lobbys écologistes et des mondialistes, l’Union européenne a développé l’une des législations agricoles les plus restrictives du monde tandis qu’elle ouvrait totalement notre marché à des pays qui ne la respectent pas. La législation UE, alourdie par l’inflation des normes spécifiquement françaises, a ainsi créé une distorsion de concurrence majeure au détriment de nos agriculteurs.

    En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles suscitant les inquiétudes résumées dans le rapport sénatorial du 28 septembre 20221: un poulet sur deux, 56% de la viande ovine, 28% des légumes et 71 % des fruits consommés en France sont importés…

    Le 22 novembre 2023, le Parlement européen a adopté, par 524 députés, dont les députés Renaissance, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Ce texte autorise l’importation de milliers de tonnes de denrées alimentaires en provenance de l’autre bout du monde, concurrençant de manière déloyale celles produites sur le sol européen tout en poussant la déforestation en Nouvelle-Zélande et la pollution mondiale par le transport maritime inter continental. Pour justifier ce traité de libre-échange, ni vert, ni vertueux, en matière sociale et environnementale, l’UE avance des arguments économiques très incertains.

    Et l’UE envisage aussi de ratifier le traité de libre-échange avec l’Amérique latine qui aggravera la déforestation de la forêt amazonienne, multipliera les transports maritimes intercontinentaux polluants et concurrencera scandaleusement l’agriculture européenne.

    Notre souveraineté alimentaire est menacée par des normes souvent idéologiques inadaptées et par la politique gouvernementale qui prônent "la montée en gamme", entraînant une hausse des prix alors que la population voit son pouvoir d’achat baisser les obligeant de plus en plus à acheter des produits d’importation. Le marché du bio, particulièrement exposé dans ce contexte, a subi une baisse du chiffre d’affaires en 2021.

    Selon le rapport sénatorial précédemment cité, 70% des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays. Celle-ci tient entre autres au coût du travail dans le secteur agroalimentaire lié aux charges sociales nettement plus fortes en France, à la fiscalité pesant sur la production et au coût des mesures des politiques environnementales.

    LA DERIVE TOTALITAIRE ET FISCALE DES ÉCOLOGISTES

    Leurs menaces sur l’eau nécessaire à l’irrigation, sur l’existence même des vaches (dont les rots et les pets sont accusés du réchauffement climatique, dont on observe actuellement les effets en Scandinavie2), contre les chiens accusés de menacer la biodiversité et contre les chats (pourtant jadis élevés au rang de dieux par les Égyptiens pour leur rôle de défenseur des récoltes contre les rats) rendent compte de la folie totalitaire qui inspire certains écologistes qui ne conçoivent leur religion que punitive et installent progressivement une véritable inquisition climatique.

    Ce sont eux qui sont à l’origine des taxes sur le CO2, les plastiques, le diesel, l’électricité pour financer les éoliennes et les voitures électriques qui nécessitent dans de nombreux pays la réouverture des centrales à charbon. Ce sont eux qui interdisent progressivement la location des logements qu’ils qualifient de passoires thermiques, aggravant d’autant la crise du logement.

    Il est vrai qu’ils préfèrent les rats et les punaises de lit aux pauvres dans les villes qu’ils administrent comme à Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille.

    Récemment Bruno Le Maire a déclaré que, pour favoriser les investissements verts, il envisageait une re-fiscalisation progressive du carburant des agriculteurs de 2024 à 2030.

    LES AGRICULTEURS DES PAYS VOISINS SE BATTENT POUR SURVIVRE

    Les agriculteurs néerlandais ont créé un parti qui les défend et a permis ainsi de renverser un gouvernement qui les oppressait comme fait le nôtre. Suivons leur exemple.

    Les agriculteurs allemands manifestent depuis plusieurs semaines 3 4 5sans jamais le moindre écho dans nos médias officiels. Depuis quelques jours, épaulés par de nombreux professionnels et commerçants, ils bloquent la circulation sur les autoroutes et les villes. Sous l’impulsion des verts, la coalition dirigée par Olaf Scholz s’était mise en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique et d’augmenter le prix du diesel pour les agriculteurs. Et Scholz, reniant sa promesse de campagne de ne pas augmenter la TVA s’il était élu, a augmenté la taxe sur les denrées alimentaires de 7 à 19% le 1er janvier 2024.

    Les manifestations "Zu viel ist zu viel" ("Trop, c’est trop") rassemblent actuellement agriculteurs, cheminots et routiers qui comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité.

    L’AFP, a signalé de fortes perturbations du trafic dans presque toutes les régions allemandes, du Bade-Wurtemberg et la Bavière au sud, en passant par le Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie du Nord, Westphalie, jusqu’au nord du pays. Des embouteillages de camions également été observés à la frontière entre l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la France. De bruyants convois de tracteurs sont notamment entrés dans les métropoles de Munich au sud, Hambourg, Brème, au nord, ou Cologne à l’ouest, paralysant en partie le trafic.

    Les autorités, pour discréditer le mouvement actuellement très populaire, prétendent " craindre que ce mouvement ne soit infiltré par des extrémistes d’extrême droite ".

    DES AGRICULTEURS FRANÇAIS ONT EGALEMENT REJOINT LE CORTEGE

    Au micro de France 3, Franck Sander, secrétaire général adjoint de la FDSEA 67, a déclaré: "C’est tout à fait normal que le canton de Soultz se mobilise pour leurs voisins. Nous avons des relations régulières, un lien étroit avec les agriculteurs du Palatinat et du Bade-Wurtemberg".  Tandis que Charles Wollenschlaeger, président cantonal FDSEA précise :

        " On en a ras le bol de ces normes européennes qui s’empilent sur nos têtes et nous étouffent : environnement, sécurité alimentaire… On n’arrive plus à suivre, on a la tête sous l’eau. Voilà pourquoi, nous aussi, nous rejoignons ce mouvement".

    Thierry Mariani, eurodéputé RN, invité de CNews le samedi 13 janvier résume la crise :

        "L’Europe est un véritable danger pour notre agriculture… Ce sera l’un des enjeux du 9 juin! On est en train, au niveau européen, de mener une politique qui suicide nos agriculteurs. Ça a été dit par les responsables de la FNSEA. On a comme objectif de baisser de 15 % la production alimentaire".

    Thierry Coué peste6 contre "l’empilement de textes "français ou européens, les "injonctions contradictoires", ou le "manque de bon sens". Les témoignages concordants s’accumulent 7, 8, 9.

    Pour sauver nos agriculteurs, il faut quitter l’UE, ses normes mortifères et sa politique d’ouverture aux concurrences étrangères déloyales.

    Dr Gérard Delépine

    1        https://www.vie-publique.fr/rapport/286582-rapport-d-information-sur-la-competitivite-de-la-ferme-france2 Qui subit des records de froid depuis plus de 25 ans avec des moins 43°.

    3 - Lauriane Bernard Trop c’est trop" : le mouvement des agriculteurs allemands s’intensifie France-Soir - le 03 janvier 2024.

    4        https://www.la-croix.com/economie/allemagne-en-colere-les-agriculteurs-descendent-dans-la-rue-cette-semaine-20240107

    5 - Nouveau Monde — Les agriculteurs en Allemagne et ailleurs en Europe (nouveau-monde.ca)

    6        https://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/pourquoi-la-grogne-du-monde-agricole-pourrait-se-poursuivre-9c15fde8-982f-11ee-8a2a

    7 -  Xavier Azalbert, Du foin, oui, mais à la botte de qui ? France-Soir 12 décembre 2023.

     

    8        https://www.ouest-france.fr/bretagne/lamballe-armor-22400/video-a-lamballe-les-agriculteurs-construisent-un-mur-de-la-colere-e0dacda5-ddcc-4fb9-b24f-83d269fb457f

    9 https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/deux-sevres/deux-sevres-des-agriculteurs-deversent-des-pneus-et-du-fumier-a-niort-et-parthenay-b3bb2b52-9fc4-11ee-bd2f-c995ab88b3c3

  • LE PAIN????

    SAVEZ VOUS QUE

    Le blé et autres grains sont conservés dans d'énormes et immenses silos (que vous avez certainement vus un jour où l'autre près d'une ville –et qui peuvent exploser par concentrations des poussières). Bien sûr, cette concentration de millions d'hectolitres de grains attire des populations de rats, mulots et autres. Ces grains sont chargés dans des citernes pour aller dans les minoteries qui les transforment en farine alimentaire pour vos supermarchés.

    Afin d'éviter que les rongeurs soient broyés avec les grains, les grains stockés sont ARROSES DE PESTICIDES: ce qui fait que votre farine est contaminée et la cuisson du pain n'arrange pas le problème… à la longue, cancer de l'œsophage, estomac, intestins, anus!

    Achetez votre pain bio ou bien on en trouve dont le grain n'a pas été arrosé dans les silos… en général, c'est indiqué comme argument pub… j'ai appris cela en regardant la poche qui contenait un pain acheté dans mon hyper Casino, tant pis pour la pub cachée!

    En Finlande, l'autorité alimentaire finlandaise (Ruokavirasto), l'Institut national de la santé et du bien-être (THL) et des agences locales ont enquêté sur une épidémie qui a touché plus de 800 personnes. L'événement s'est produit en août 2023 à Mikkeli, et ce sont principalement des enfants qui sont tombés malades.

    Au total, 812 personnes sont tombées malades au cours de l'épidémie dans 18 écoles différentes. Les principaux symptômes des patients étaient des douleurs d'estomac, des nausées et des maux de tête. Ils sont apparus chez la plupart des patients moins de une heure après le repas et ont été de courte durée (en moyenne moins de 12 heures).

    D'après une enquête menée par les autorités de la région de Mikkeli et analysée par THL, qui a recueilli plus de 4 000 réponses, la consommation de tortillas était l'explication la plus probable de la maladie chez les enfants.  Plusieurs élèves avaient déclaré que les tortillas avaient une odeur ou un goût de savon ou de détergent.

    Le propionate de calcium (E282) est utilisé depuis longtemps dans les produits de boulangerie comme inhibiteur de moisissures et est généralement considéré comme sûr à de faibles niveaux d'ingestion. Cependant, l'ingestion de quantités plus importantes que d'habitude (sur la base des pratiques industrielles courantes) peut réduire la vitesse de vidange gastrique et provoquer une irritation gastro-intestinale, en particulier chez les jeunes enfants.

    Une étude menée auprès de 27 enfants a révélé que certains d'entre eux étaient irritables, agités, peu attentifs et avaient des problèmes de sommeil après avoir consommé quotidiennement du pain contenant du propionate de calcium. Une étude humaine a établi un lien entre la consommation de propionate et l'augmentation de la production d'insuline et de glucagon, une hormone qui stimule la libération de glucose

    Source : Food Safety News

  • On rêve!   

     Une réglementation européenne à l’étude vise à interdire dès 2030 les emballages traditionnels en bois des camemberts car on ne peut pas les recycler

    Le célèbre emballage en bois pourrait être interdit par une réglementation européenne actuellement à l’étude. Cette dernière vise à interdire d’ici 2030 les emballages non recyclables, y compris ceux en bois, ce qui inclurait les boîtes de ce fromage normand emblématique. (…)

    Le Groupe Lacroix, qui fabrique 200 millions d’emballages en bois par an, alerte sur d’éventuelles conséquences graves. "L’emballage léger en bois, aujourd’hui, c’est 2 000 emplois en France, et 45 entreprises qui seraient touchées", détaille la PDG de l’entreprise (…)

    L’aspect économique n’est pas le seul à prendre en compte, assurent les producteurs de camembert qui rappellent que rien ne peut remplacer l’emballage traditionnel en bois, indispensable pour conserver le goût et la bonne tenue du fromage. (…) "Le bois fait partie de l’affinage de plusieurs fromages AOP, pas juste du camembert", a expliqué David Aubrée, gérant d’une fromagerie.

    Ouest France