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cuisine - Page 170

  • Citron!

    Mon ami du Japon me dit qu'il a des quantités extraordinaires de citron cette année. Il m'a demandé des recettes, je lui en ai envoyé par mal.... J'ai récupéré celles-ci pour vous les proposer.

    Vin de citron

    Pour 5 litres :

    5 litres de vin blanc (ou rosé) à 12°,

    1 kg de sucre en poudre,

    7 citrons non traités lavés, essuyés et coupés en morceaux,

    1 bâton de vanille,

    1 litre d'eau de vie à 45°.

    Laisser macérer 7 jours. Agiter la bonbonne chaque jour. Filtrer et mettre en bouteilles.

    Servir très frais.

    La liqueur d’citron ou de citron

    1 citron entier

    500 g de sucre en poudre

    1 litre d'alcool à 45°

    1 gousse de vanille

    un brin de safran

    Recouvrir entièrement le citron avec le sucre, mettez la au frais et patientez un mois.

    La plonger ensuite dans l'alcool en y ajoutant la vanille et le safran, laissez macérer un mois.

    Faire un sirop de sucre (650 g sucre/ litre) ou utilisez du sirop de canne, que vous ajouterez pour adoucir la liqueur à votre goût.

    Ratafia de citrons

    Levez le zeste de 4 citrons; lavez-les, mettez-les dans un bocal avec 2 litres d'eau-de-vie;

    faites infuser 3 à 4 semaines; mêlez alors à l'infusion un demi-litre de sirop froid, à 30 degrés; décantez et filtrez.

    Le Cocktail Liqueur de citron

    Ingrédients :

    2 litres d'eau-de-vie à 40°

    1 grosse pincée de cannelle

    2 clous de girofle

    1 kilo de sucre

    25 cl d'eau

    4 citrons frais

    Préparation

    Couper les rubans ajoutez les clous de girofle écrasés. Couvrir et laisser macérer 24 heures.

    Au bout de ce temps, presser les citrons. Verser le jus dans un grand faitout.

    Ajouter l'eau et le sucre puis porter à ébullition, faire bouillir 1 min puis laisser refroidir ce sirop. Filtrer l'eau-de-vie et mélanger-la au sirop refroidi.

    Mettre en bouteilles et fermer hermétiquement. Laisser reposer 2 semaines avant consommation.

     

  • Galette de pommes de terre au Roquefort

    Pour 4:

    1 kg de pommes de terre, 50 g de beurre et autre matière grasse, 300 g de Roquefort, 30 cl de crème fraîche liquide, 1 oignon jaune, sel, ciboulette fraîche, coriandre moulue, poivre.

    Pelez les pommes de terre et râpez-les finement avec une râpe à gros trous. Les égoutter fortement en les pressant entre les mains pour sortir le surplus d'eau du légume.

    Prendre une poêle et faites fondre l'oignon en gros cube dans une partie du beurre avec une cuillère d'huile; versez les pommes de terre et faites cuire à feu moyen sans remuer puis baissez le feu et laisser cuire encore 5 mn.

    Retournez la galette avec une grande assiette, mettre le restant du beurre et remettre la galette dans la poêle afin de dorer l'autre côté. Laissez cuire à feu moyen 2 ou 3 minutes puis baisser le feu et laisser dorer (sans couvercle).

    Pendant ce temps écrasez le Roquefort et rajoutez la crème fraiche pour obtenir une pâte homogène un peu épaisse; ajoutez la ciboulette et la coriandre, salez, poivrez; recouvrez-en la galette encore chaude et servez aussitôt.

    Vous pouvez remplacer le Roquefort par n'importe quel fromage blanc frais (travaillé avec épices et herbes cependant et servi sur galette plus tiède) et, par exemple, remplacer la ciboulette par de l'aneth coupé.

    Vous pouvez même rajouter dans votre assiette sur la galette quelques crudités ou une omelette à l'oignon ou champignons…. cela vous fera un plat complet à consommer avec du pain complet ou du seigle.

     

  • Les aliments bons pour la flore intestinale

    Comment prendre soin de son microbiote intestinal? En mangeant quelques-uns de ces aliments.

    La flore intestinale, ou microbiote intestinal, joue un rôle important dans la santé en général, pour la digestion, l’immunité, la prévention des allergies, mais aussi dans la santé mentale ou l’inflammation. Malheureusement, ce microbiote est souvent malmené par l'abus d'antibiotiques, mais aussi les pesticides, les additifs et même les édulcorants. Alors quels aliments inclure à votre régime alimentaire pour favoriser les "bonnes bactéries" qui vont améliorer notre santé?

    Les aliments fermentés

    Les aliments fermentés comprennent des boissons alcoolisées (vin, bière…), le vinaigre, le thé, les fromages et yaourts, le soja, le pain, la choucroute, et de nombreuses préparations traditionnelles à travers le monde. La fermentation est une réaction catalysée par des micro-organismes. Certains d’entre eux sont qualifiés de probiotiques car ils semblent favoriser un bon état de santé général, y compris mentale. Dans une revue de littérature sur les relations entre aliments fermentés et santé mentale, les auteurs soulignent que 35 % des bactéries lactiques survivent à l’acidité de l’estomac. Toutes ces bactéries ne sont pas forcément bénéfiques, mais la consommation d’aliments traditionnels fermentés favorise la diversité microbienne intestinale.

    Le topinambour

    Particulièrement riche en fibres non assimilables (plus de 30% de son poids), le topinambour est prisé par la flore intestinale qui utilise ces fibres comme substrat pour se développer. Ces fibres sont appelées prébiotiques. Parmi les autres aliments riches en prébiotiques bons pour le microbiote, il y a aussi le pissenlit, la chicorée amère, l'ail, le poireau, l'oignon, l'asperge... Le problème de ces aliments, c'est qu'une partie de la population, souvent celle qui souffre du syndrome de côlon irritable, est indisposée quand elle en mange. Donc prudence en cas de troubles digestifs chroniques.

    Le soja

    Les protéines de soja, comparées aux protéines du lait, augmentent la diversité du microbiote intestinal, en tous cas... chez des hamsters. Dans une étude parue en mars 2016, 32 hamsters de 6 à 8 semaines ont été nourris avec un régime occidental contenant 22 % d’isolat de protéines totales de lait (MPI ou Milk Protein Isolate) comme seule source de protéines pendant 3 semaines. Ensuite, au cours des 6 semaines suivantes, ils ont eu un régime contenant soit l’isolat MPI, soit un concentré de protéines de soja (SPC), soit un isolat de protéine de soja partiellement hydrolysé (SPIl), soit un isolat intact de soja.

    Grâce au séquençage de l’ARN ribosomal 16S, les chercheurs ont observé une plus grande diversité microbienne dans chaque groupe nourri au soja, par rapport au groupe MPI. Les sources de protéines alimentaires affectent donc le microbiote intestinal.

    En modifiant le microbiote intestinal, les protéines de soja semblent réduire la lipogenèse: les concentrations en cholestérol-LDL (un marqueur très contesté du risque cardiovasculaire) étaient plus faibles dans le groupe SPC que dans le groupe MPI et les concentrations en triglycérides étaient plus basses dans le groupe SPIl que dans le groupe MPI.

    Le cacao et le chocolat noir

    La consommation de polyphénols dérivés du cacao a été associée à différents bénéfices pour la santé, notamment pour la circulation sanguine. Mais des études ont montré l’action du chocolat noir sur la flore intestinale.

    Pour connaître les effets de la consommation de poudre de cacao sur la composition de la flore intestinale, des chercheurs ont étudié des cochons mâles de 5 mois, pesant en moyenne 28 kg. Ils ont été complémentés avec 0 ; 2,5 ; 10 ou 20 g de poudre de cacao enrichie en flavanols pendant 27 jours.

    Par rapport aux cochons non-complémentés, chez ceux qui avaient eu du cacao, l’abondance des espèces Lactobacillus et Bifidobacterium était plus importante. La consommation de poudre de cacao peut donc contribuer à la santé de l’intestin en favorisant les espèces de Lactobacillus et de Bifidobacterium, mais aussi en modulant des marqueurs de l’immunité intestinale.

    Manger, jusqu’à 2 carrés de chocolat noir (15-20 g) par jour, si possible avec une teneur en cacao supérieure à 80%. Vous pouvez aussi consommer du cacao.

    Poisson et huiles de poisson

    Comment les oméga-3 et les huiles de poisson exercent-ils une action bénéfique sur la santé? Peut-être grâce à la flore intestinale. Dans un article paru dans Cell metabolism, des chercheurs suédois et danois montrent que les bactéries intestinales sont en partie responsables des bénéfices de l'huile de poisson. Une alimentation riche en acides gras polyinsaturés, comme ceux que l'on trouve dans les huiles de poisson, peuvent contrebalancer l'inflammation et favoriser la santé.

    Ici, les chercheurs ont nourri des souris avec de la graisse de porc (saindoux) ou de l'huile de poisson pendant 11 semaines et ont suivi leur évolution métabolique. Résultats: le régime riche en huiles de poisson a augmenté la présence de la bactérie Akkemansia muciniphila, qui est connue pour réduire la prise de poids et améliorer le métabolisme du glucose chez la souris.

    Dans la deuxième partie de l'étude, les chercheurs ont procédé à des transferts de microbiote pour savoir si les micro-organismes du régime à l'huile de poisson pouvaient améliorer la santé des souris nourries au saindoux et vice-versa. Le transfert de microbiote de souris nourries aux huiles de poisson a calmé l'inflammation induite par la graisse de porc. Les résultats semblent donc confirmer des recherches précédentes indiquant que les bactéries Akkermansia muciniphila favorisent la santé. Akkermansia muciniphila réduit l'infiltration des macrophages du tissu adipeux blanc et améliore la fonction de barrière de l'intestin, ainsi que le métabolisme du glucose quand on l'administre à des souris obèses.

    Sources

    Butteiger DN, Hibberd AA, McGraw NJ, Napawan N, Hall-Porter JM, Krul ES. Soy Protein Compared with Milk Protein in a Western Diet Increases Gut Microbial Diversity and Reduces Serum Lipids in Golden Syrian Hamsters. J Nutr. 2016 Mar 2. pii: jn224196.

    Jang S, Sun J, Chen P, Lakshman S, Molokin A, Harnly JM, Vinyard BT, Urban JF Jr, Davis CD, Solano-Aguilar G5. Flavanol-Enriched Cocoa Powder Alters the Intestinal Microbiota, Tissue and Fluid Metabolite Profiles, and Intestinal Gene Expression in Pigs. J Nutr. 2016 Mar 2. pii: jn222968.

    Robert Caesar, Valentina Tremaroli, Petia Kovatcheva-Datchary, Patrice D. Cani, Fredrik Bäckhed, Crosstalk between Gut Microbiota and Dietary Lipids Aggravates WAT Inflammation through TLR Signaling, Cell Metabolism, 27 août 2015, ISSN 1550-4131. DOI: 10.1016/j.cmet.2015.07.026

    Eva M Selhub1, Alan C Logan2 and Alison C Bested. Fermented foods, microbiota, and mental health: ancient practice meets nutritional psychiatry. Journal of Physiological Anthropology 2014, 33:2. doi:10.1186/1880-6805-33-2

  • Crème de tomate aux flocons de neige

    Pour 4 personnes: 1 kg de tomates bien mûres, 1 oignon jaune, 1 litre de bouillon de légume, 10 cl de crème fraîche, ciboulette, thym, laurier, paprika ou piment d'Espelette, 1 sucre, du sel et poivre

    Lavez, essuyez et plongez les tomates dans l'eau bouillante deux minutes pour faire éclater la peau et la retirer. Faite dorer l'oignon en cubes dans de la graisse de canard; ajoutez les tomates et faites cuire 20 mn après avoir rajouté: thym, laurier, le sucre, du sel….

    Passez la sauce tomate au mixer, mettre dans une grande casserole avec du bouillon de légumes pour allonger la soupe. Remettre à chauffer puis disposer dans les bols à soupe.

    Montez la crème fraîche en chantilly, salez-là et poivrez. Arrosez les bols d'un filet d'huile d'avocat, d'olive ou de noix.

    Déposez en quelques millimètres de chantilly à l'aide d'une cuillère à café pour préfigurer les flocons de neige.

    Vous pouvez saupoudrer de piment d'Espelette pour la… finitude!

  • Et alors, demain… notre alimentation?

    "Impact sur la santé de la pénurie alimentaire due au changement climatique", source IFT News.

    Une étude publiée dans The Lancet montre que les effets du changement climatique sur la production alimentaire mondiale pourraient conduire à plus de 500 000 décès d’ici 2050. Les impacts liés au climat sur l’agriculture pourraient conduire à une baisse globale des disponibilités alimentaires, forçant les gens a manger moins de fruits et de légumes et moins de viande. Et les effets de ces changements sur la santé publique pourraient être graves.

    Des chercheurs ont décidé d’explorer non seulement comment les changements induits par le climat dans la production agricole auront une incidence sur la consommation alimentaire humaine, mais aussi la façon dont ces changements alimentaires peuvent influencer la mortalité humaine. Ils ont utilisé un modèle agricole pour simuler les effets des futurs changements climatiques sur la production alimentaire mondiale et la consommation.

    Ils ont supposé un scénario avec un changement climatique grave, celui dans lequel la température globale de l’air d’ici 2050 serait d’environ deux degrés plus élevée qu’elle ne l’était dans la période entre 1986 et 2005. Ils ont ensuite utilisé un modèle de santé pour prédire la façon dont ces changements, dans la production et de la consommation alimentaire, auraient une incidence sur la santé humaine. Ils ont comparé tous ces effets à un scénario de référence, ce qui suppose un avenir sans changement climatique.

    Si aucun changement climatique ne devait se produire, le modèle prédit que la disponibilité alimentaire mondiale augmenterait en fait de 10,3% en l’an 2050.

    Mais avec les effets du changement climatique, le modèle prédit que la disponibilité alimentaire mondiale serait de 3,2% inférieure à celle qui était prévue dans le scénario sans changement climatique. Plus précisément, ils ont constaté que les gens mangeraient 4% moins de fruits et légumes et 0,7% moins de viande.

    S’il n’y avait pas de changement climatique, le modèle de santé a constaté que les augmentations futures prévues de la disponibilité alimentaire mondiale économiseraient effectivement près de 2 millions de vies en 2050 par rapport aux conditions de 2010. Mais le modèle a prédit que les effets des changements climatiques réduiront le nombre de vies sauvées d’environ 28%, se traduisant par environ 529 000 décès qui ne seraient pas survenus s’il n’y avait pas de changement climatique.

    Les chercheurs ont constaté que, en appliquant un scénario modéré de changement climatique, au lieu d’un sévère, le nombre de décès liés au climat chuterait d’environ 30%. Et dans un scénario qui suppose des efforts d’atténuation très stricts, le nombre de décès chuterait de plus de 70%.

    Les décès liés à l’alimentation seraient causés par deux facteurs principaux: les personnes ne reçoivent pas le bon type de nutrition, et les personnes qui sont tout simplement en insuffisance pondérale. La majorité de tous les décès prévus ont été trouvés être causés par des facteurs nutritionnels, la plupart du temps par des personnes obligées de manger moins de fruits et légumes. Dans l’ensemble, la plupart des décès liés au climat ont été observés dans le Pacifique Occidental et l’Asie du Sud-Est-particulièrement en Chine et en Inde.

    NB : L’article n’a pas pris en compte l’effet du réchauffement climatique sur les maladies d’origine alimentaire.

     

  • Lisez aussi cela avec profit

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2016/03/26/vous-etes-ce-que-vos-parents-ont-mange-5780126.html

     

    Le laboureur et ses enfants

    LAFONTAINE

  • Des pesticides dangereux en bio

    Alors que la semaine pour les alternatives aux pesticides vient de s’ouvrir, un Français sur deux ignore que l’agriculture biologique utilise des pesticides. C’est ce qui ressort d’un sondage Harris Interactive réalisé pour le blog Alerte-Environnement (1). Ce pourcentage monte même à 56% des 50-64 ans. A l’inverse, les 25-34 ans sont les plus lucides : 60% d’entre eux savent que l’agriculture biologique utilise des pesticides.

     L’utilisation de solutions phytosanitaires dans le cahier des charges de l’agriculture biologique est souvent méconnue des consommateurs. Dans la liste des produits utilisés, on trouve le spinosad, l’azadirachtine (huile de neem), les pyréthrines, la Deltaméthrine, le Bacillus thuringiensis, le virus de la granulose du carpocapse, le soufre et bien sûr l’incontournable cuivre. Aujourd’hui, l’exposition chronique (au cuivre ou encore à la roténone – un pesticide désormais interdit) est considérée comme une cause probable de l’apparition de maladies neurodégénératives comme les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson.

    Du cuivre dans le vin bio

    100% des échantillons de vins issus de l’agriculture biologique contiennent au moins un résidu détectable de cuivre selon une étude publiée par les magazines Wikiagri et Agriculture & environnement (2). Il a été montré que les quantités de cuivre retrouvées dépassent la somme globale de tous les résidus de pesticides détectés lors d’une précédente étude sur salades conventionnelles.

    Les impacts négatifs du cuivre sur l’environnement et particulièrement sur la vie des sols sont connus des agronomes. Il a un effet sur les micro-organismes du sol et les lombrics, et donc indirectement sur l’alimentation des parcelles comme la vigne par exemple.

    L’agriculture biologique utilise également comme pesticide le sulfate. En mai 2014, son utilisation aurait provoqué toux, douleurs dans la gorge, picotements de la langue, irritations des yeux, nausées et mal de tête chez vingt-trois élèves de deux classes de l’école primaire de Villeneuve, près de Bourg-sur-Gironde (Gironde). Une affaire qui continue à faire la Une de l’actualité.

    Notons également que les producteurs bio ont recours à l’azadirachtine qui est ardemment défendue par les associations militantes. Selon plusieurs études, cette molécule représente un danger pour les abeilles (3), est susceptible de provoquer des perturbations endocriniennes (4) mais aussi des lésions du foie et des poumons chez certains mammifères (5). Une étude va même jusqu’à la qualifier de " carcinogène génotoxique " (6)!

    Notes :

    1. Sondage Harris interactive réalisé du 15 au 17 mars selon la méthode des quotas sur un échantillon de 1 000 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.
    2. Novembre 2015 – Trois laboratoires indépendants ont analysé la présence de cuivre dans vingt-neuf échantillons de vins bio provenant de toutes les régions de France.
    3. Peng C Y S et al. (2000) The effects of azadirachtin on the parasitic mite, Varroa jacobson and its host honey bee (Apis mellifera), Journal of Apicultural Research, Vol. 39 (3-4) pp. 159-168.
    4. Shakti N. Upadhyay et al. (1993), Antifertility Effects of Neem (Azadirachta indica) Oil in Male Rats by Single Intra-Vas Administration : An Alternate Approach to Vasectomy, Journal of Andrology.
    5. Rosenkranz HS et Klopman G (1995) An examination of the potential " genotoxic " carcinogenicity of a biopesticide derived from the neem tree, Environ Mol Mutagen.

    6. Rahman MF er Siddiqui MK. (2004) Biochemical effects of vepacide (from Azadirachta indica) on Wistar rats during subchronic exposure, Ecotoxicol Environ Saf.