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Futur - Page 10

  • Cela se passe dans ma belle Ville Rose!

     Kubb : Le mini PC toulousain qui veut embellir le bureau; Le Kubb vise le créneau du luxe, le dernier créneau pour un PC fabriqué en France.

    Le Kubb vise le créneau du luxe, le dernier créneau pour un PC fabriqué en France.

    Depuis le 9 décembre, la société toulousaine Bleujour commercialise le mini PC Kubb. Si ce petit ordinateur de bureau, personnalisable à souhait, est livré avec Windows 8.1, il devrait être disponible sous d'autres systèmes d'exploitations très prochainement.

    Imaginé sur les bords de la Garonnes, le Kubb de la société Bleujour se présente comme un ordinateur de bureau de forme cubique tirant vers luxe. Ancien directeur marketing de l'importateur informatique Bacatá, Jean-Christophe  Agobert, le PDG de la jeune entreprise, fait le pari du design sur celui des performances. Cela fait près de deux ans que le dirigeant y réfléchit. Deux années nécessaires pour trouver 10 associés et lever 500 000 euros de fonds. Équipé d'une batterie de secours en plus des habituels composants micro (puce Intel Core i5 ou i7), ce PC sans fil (souris et clavier Bluetooth) est annoncé à un tarif commençant à 700 euros. Pour l'instant livré avec Windows 8.1 et Windows 7 Professionnel, il sera bientôt possible de l'acheter avec une distribution Linux, voir même sans OS.

     

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    Une version pro

    Vous habitez à Revel ? (heu... non, j'ai déménagé de ST Félix il y a 8 ans, dommage -NDLRédactrice)

    Enrichissez-vous des meilleures pratiques IT au cours de la Matinée Débats organisée le 2 décembre à Toulouse par la rédaction du Monde Informatique   La start-up travaille également sur la version professionnelle de son poste de travail : " Nous pensons à nous associer avec des sociétés de GED ou CRM pour fournir des outils prêt à l'utilisation et crée pour ". Le design sera personnalisable et l'objet pratique, modulable et nomade : " Nous travaillons avec une clinique qui veut équiper ses services avec des Kubb, ils seront aux couleurs de la clinique ".

    La société garde bien sûr un œil sur toutes les innovations du secteur  : " Nous allons intégrer une technologie qui permet de verrouiller l'accès à l'ordinateur depuis son smartphone, il sera réactivé seulement si le smartphone est posé à coté de l'ordinateur ". Le Trentotto,  le premier magasin où le Kubb sera commercialisé se situe à Toulouse. Là, l'ordinateur se retrouvera au milieu de meubles et produits designs. Avec une capacité de production maximale - en France - de 1 500 machines par mois, Bleujour espère vendre entre 4 000 à 6 000 pièces par an afin d'atteindre l'objectif de 4,5 M€.

     

  • ATTENTION: TRES IMPORTANT

    Notre liberté est dans les choux!

     

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2014/12/30/francais-francaise-votre-liberte-est-en-danger-faites-passer-5522858.html

     

     

  • Météo 2015

    Comme 2014: Année de 13 lunes encore: temps très humide toute l'année 2015

    Janvier: pluvieux, très humide sur toute la France

    Février: mauvais temps général (voir ci-dessus); léger mieux bord Méditerranée (moins de pluie)

    Mars: même temps très humide partout, mieux sur bord Méditerranée et Ouest (Bretagne) + Nord de la France

    Avril: mauvais temps général, vent fort dans beaucoup de régions bord de mer

    Mai: pluvieux à très humide un peu partout sauf sur toutes les cotes, surtout atlantiques et méditerranéennes

     

  • A Toulouse, bien sûr!

    Avec ses ballons à l'hélium, Google veut offrir internet à toute la planète

    Selon "Le Figaro", le projet "Loon" de Google passe la vitesse supérieure ce jeudi avec la signature d'un partenariat avec le Cnes, l'agence spatiale française, dans le but de développer des ballons stratosphériques capables d'apporter une connexion internet sur toute la planète.

    Toute la planète devrait bientôt bénéficier d'un accès à internet. Oui, même les coins les plus reculés du monde et coupés de la technologie moderne. Du moins, c'est le but du projet "Loon" de Google. Grâce à des ballons stratosphériques gonflés à l'hélium, le géant de l'internet espère pouvoir apporter une connexion à la toile dans ces "zones blanches".

    Et d'après une information du journal "Le Figaro", le projet passe la vitesse supérieure ce jeudi avec la signature d'un partenariat entre Google et le Centre spatial français (Cnes). Un accord de coopération qui vise à "partager des ressources, des expériences et des recherches en matière de ballons stratosphériques", selon le quotidien.

    Les ballons moins coûteux que les satellites

     "Plus de 5 milliards d'êtres humains ne sont pas connectés. L'objectif des Gafa(Google, Amazon, Facebook, Apple) est de connecter tout le monde. Pour cela, ils explorent trois pistes : les satellites, les ballons et les drones", explique Jean-Yves Le Gall, président du Cnes, dans l'article du "Figaro" à paraître ce jeudi.

     La solution du ballon stratosphérique possède de nombreux avantages, dont le principal est d'être beaucoup moins coûteux que la mise en place d'un satellite à plusieurs milliers de kilomètres de la surface terrestre. Afin de développer au mieux la technologie, Google a donc fait appel aux "meilleurs", comme ils le disent eux-mêmes. Au printemps dernier, des discussions s'engagent entre le Cnes et Google, avant un accord conclu cet été, rapporte "Le Figaro".

    "Le Cnes aidera Google à développer son expertise, à analyser les vols et à concevoir un ballon de nouvelle génération pour le projet Loon", résume-t-on chez Google. Une première phase de tests pourrait avoir lieu dès 2015 avec la mise en place d'une centaine de ballons autour de la planète. Cette collaboration entre Google et le Cnes montre une nouvelle fois que les qualités de la recherche spatiale française sont reconnues à travers le monde. L'agence spatiale française bombe notamment le torse depuis le succès de la mission Rosetta.

     

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    Dans la dernière année de ma scolarité, en 1963, l'année du certif', nous avons visité le centre de météorologie de Toulouse; on avait assisté à un lancement de ballon pour la météo; cela m'avait impressionné toute cette technicité.

    Le centre était nouveau (décentralisation) c'était tout neuf, rutilant, avec les premiers ordinateurs.... génial!

    La preuve, je m'en souviens encore 51 ans plus tard!

     

     

     

  • Toulouse: les miracles de la biotechnologie

    J'ai vainement cherché leurs sites en langue Française.

    Je n'ai pas trouvé.

    Archi-nuls: c'est la France qui les nourrit! (cf:ci-après)

     

    Toulouse. Le projet de l'Institut universitaire du cancer relancé

    En déplacement à Toulouse, Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la santé, et Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, ont rendu public le rapport de la mission sur l’Oncopole. En effet, les professeurs Thierry Philip et André Syrota avaient été mandatés afin de "faire progresser le projet d’Oncopole à Toulouse (initié en 2004, ndlr) après avoir constaté que l’Etat, qui avait investi 300 M€ pour construire un nouvel hôpital opérationnel début 2014, n’était pas en mesure d’approuver, un an avant l‘ouverture, la définition d’un projet médical et scientifique cohérent, d’un modèle de gouvernance clair et d’un modèle juridique permettant une gestion optimisée des bâtiments, des équipements et des personnels".

    Parmi la quinzaine de recommandations des deux experts: la constitution de l’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse (IUCT) en réunissant la totalité de la cancérologie du CHU et du Centre régional de lutte contre le cancer sur trois sites (Purpan, Rangueil et Langlade, site de l’Oncopole), accentuer les liens entre le secteur privé et les hôpitaux généraux, accélérer le recrutement de nouveaux cliniciens et chercheurs venant de l’extérieur et de Midi-Pyrénées, relocaliser les facultés de pharmacie et d’odontologie sur le site de l’Oncopole, simplifier la gouvernance qui repose aujourd’hui sur dix structures juridiques.

    Estimant que leur mission n’est pas terminée, Thierry Philip et André Syrota ont demandé à ce qu’elle soit prolongée pour "aboutir rapidement à des conclusions claires sur les enjeux budgétaires" (le budget de fonctionnement en particulier) et à la définition du cahier des charges d’une mission de suivi (présentée comme indispensable) jusqu’à l’ouverture de l’IUC Oncopole entre janvier et avril 2014.

    Appel à projets collaboratifs. Trois projets retenus

    Trois projets ont été retenus dans le cadre du premier appel à projets collaboratifs de recherche et de développement OncoSan’Tech 2013 (lancé par la Direccte Midi-Pyrénées et Toulouse Métropole et dédié aux axes d’innovation en lien avec le cancer): Oncograde piloté par Dendris, Oncoskin 3D piloté par Genoskin et Demoda piloté par Affichem. Au total, ces trois projets rassemblent sept PME, essentiellement installées en Haute-Garonne et dans le Tarn, et six laboratoires. Coût de R&D: 1,35 M€ pour une aide d’environ 576 K€.

    Reproduire de la peau humaine, créer des cellules cardiaques humaines, développer des anticorps monoclonaux pour le traitement des cancers gynécologiques, proposer des procédés chimiques plus propres… les technologies de demain grandissent à Toulouse. Pour fêter ses cinq ans, sur le campus de l'Oncopole, le centre Pierre- Potier, a inauguré cette semaine les laboratoires des derniers arrivés dans sa pépinière d'entreprises, les sociétés Genoskin et Univercell Biosolutions (lire par ailleurs). Deux sociétés prometteuses qui n'ont pas choisi Toulouse par défaut.

    Tout juste arrivé du Génopole d'Evry, Guillaume Costecalde, président d'Univercell Biosolutions confirme : "Le site Pierre Potier est exceptionnel, nous n'avons qu'à pousser la porte de nos labos pour aller échanger avec d'autres entreprises, ce décloisonnement est essentiel ".

    "La présence de l'ITAV (Institut des technologies avancées en science du vivant) à Pierre Potier a été décisive pour notre installation, nous sommes du même monde. Et si la collectivité investit dans des laboratoires de culture, c'est le signe qu'il y a aussi de la place pour des start-ups qui créent des emplois nouveaux sur des technologies de niche comme la nôtre ", ajoute Pascal Descargues, président de Genoskin, qui s'appuie également sur la bonne desserte de l'aéroport de Toulouse-Blagnac pour livrer ses produits rapidement à l'international.

    Depuis l'ouverture du centre Pierre Potier, Toulouse Métropole a investi 2,1 millions d'euros dans des équipements de pointe dédiés aux biotechnologies: huit laboratoires de type L2 (1,3 million d'euros), équipements biomédicaux (postes de sécurité microbiologiques, incubateurs à Co2, congélateur ultra basse température: 300 000 €), équipements scientifiques au sein de l'Institut des technologies avancées en science du vivant (ITAV) pour 417 000 € et, d'ici la fin de l'année 2014, la livraison d'un local à azote (100 000 €). "Nous préparons le Toulouse des cinq et des vingt ans qui viennent. Les biotechnologies et les sciences du vivant feront rayonner les Toulouse de demain", rappelle Dominique Faure, vice-présidente de Toulouse Métropole, en charge du développement économique. "L'Oncopole ne doit pas juste être un hôpital et un centre de recherche, sinon on s'est trompé. Il faut des jeunes entreprises en plus des secteurs académiques et des privés Pierre Fabre et Sanofi " conclut François Chollet, vice-président de Toulouse Métropole, en charge de la prospective, de la recherche et l'innovation.

    Genoskin fabrique de la peau humaine

    L'histoire de Genoskin est bien toulousaine. Elle a grandi dans les laboratoires de l'UDEAR, l'unité différenciation épidermique et auto-immunité rhumatoïde de Purpan (CNRS, Inserm, Université Paul-Sabatier) où Pascal Descargues a d'abord mené ses recherches sur la barrière épidermique et le syndrome de Netherton.

    En 2011, le doctorant, pur produit de l'université Toulouse III Paul Sabatier, de retour des Etats-Unis, relève le pari de reproduire des modèles de peau humaine et lance Genoskin. "Développer des modèles humains pour ne pas utiliser les animaux, c'est d'abord un choix éthique. Mais c'est aussi un parti pris scientifique car la peau des animaux est très éloignée de celle de l'Homme : 90 % des essais cliniques en cancérologie partent au tapis à cause de cette différence. Le concept de Genoskin est de fournir de la peau aux industriels avant même les essais cliniques ", explique Pascal Descargues.

    Je voulais mettre un peu plus d'information mais leur site est en anglais. On pourrait pas leur dire à ces toulousains du dimanche qu'ici, on est en France et que le Français est la plus belle langue du monde???

  • Au secours: on veut nous détruire! Aux arme(uro)s, Toulousains!

    18 millions d'euros récoltés pour racheter l'aéroport de Toulouse

    C'est pour l'instant un groupe chinois qui tient la corde dans le rachat de près de la moitié du capital de l'aéroport de Toulouse.

    Des particuliers et des entreprises, qui ont levé des fonds via une plateforme de financement participatif, ont déposé lundi une offre formelle.

    Ce pourrait être le hold-up de l'année. Alors que l'État a mis en vente près de la moitié du capital de l'aéroport de Toulouse-Blagnac, une opération de financement participatif proposait aux particuliers et aux entreprises d'en acquérir 10% afin de compléter les 40% déjà détenus par des collectivités locales. De quoi garantir une majorité publique et citoyenne. Le projet a finalement séduit plus de 8000 particuliers et entreprises qui ont en tout promis quelque 18 millions d'euros d'investissements en seulement douze jours de collecte. Le site de financement participatif WiSEED à l'initiative du projet a déposé ce lundi une offre auprès de l'État, alors que le nom du repreneur doit être dévoilé dans les jours à venir.

    Mais cela suffira-t-il pour tenir tête au consortium chinois dont l'offre tient pour l'instant la corde? Et mettre hors jeu Vinci et Aéroports de Paris qui ont tous deux émis deux offres concurrentes? Rien n'est moins sûr. Ces trois portent en effet sur l'intégralité du capital mis en vente par l'État et sont donc bien plus élevées, entre 150 et 300 millions d'euros.

    Un partenariat public-privé citoyen inédit

    D'autre part, ADP comme le canadien Lavalin, conseil de Shandong Hi Speed Group qui a déposé l'offre, gèrent déjà d'autres aéroports et sont donc rompus à l'administration de telles structures. Ce que ne peuvent être les 8000 investisseurs de l'offre présentée par le site de financement participatif WiSEED. Benoît Lafourcade, associé du cabinet d'avocats Delcade, souligne cependant que les investisseurs se regrouperaient au sein d'une société qui rachèterait la participation de l'État en leur nom. "Cela permet, pour la société aéroportuaire, d'évacuer la complexité de gérer un actionnariat dilué. Il est certain que traiter avec un seul acheteur institutionnel est plus simple sur le plan juridique."

    L'État pourrait également être sensible au fait que cet aéroport stratégique -des infrastructures d'Airbus sont notamment situées tout à côté- reste aux mains d'investisseurs français, qui plus est dans le cadre d'un partenariat public-privé citoyen tout à fait inédit. Sur le site de la collecte initiée par WiSEED, certains investisseurs se montrent toutefois réservés quant aux chances de leur offre... mais voient déjà plus loin et attendent la privatisation d'autres aéroports. "Impossible de contrecarrer [les offres concurrentes] pour Toulouse, se désole un certain William. Mais pas pour Lyon et Nice. On a loupé le train pour Toulouse, ne loupons pas celui de Nice et Lyon."