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Blog - Page 209

  • Vite, vite, c'est urgent: ne manquez pas, ce soir à 19 h

    Marché Victor Hugo : Arte raconte le "ventre de Toulouse"

    Le marché Victor Hugo propose un large panel de produits du terroir.

    Situé en plein cœur du centre-ville, le marché couvert de Victor Hugo jouit d'une réputation qui dépasse les frontières toulousaines. La chaîne Arte lui a consacré une émission entière dans sa série de reportages sur les plus célèbres marchés d'Europe. Intitulé "Le ventre de Toulouse", le reportage de 44 minutes sera diffusé le 14 juillet prochain à 19 heures sur les antennes de la chaîne franco-allemande.

    Le reportage est le résultat du travail de la société de production italienne Stefilm, en collaboration avec la société toulousaine Prodigima. Nicolas Baby, co-réalisateur français, explique que "la société française a davantage joué un rôle dans la réalisation, tandis que le montage final et les voix off sont le résultat d'une forte collaboration avec Stefano, l'autre co-réalisateur". Le tournage du documentaire s'est étalé sur l'ensemble de l'année 2014, de manière à ce que le marché soit décrit en fonction des produits saisonniers. Plusieurs allers retours entre l'Italie et Toulouse ont donc été nécessaires pour une partie de l'équipe de tournage.

    L'office de tourisme de la Ville rose est également impliqué dans le projet. "Nous avons apporté notre aide pour tout ce qui concerne les autorisations, les mises en relation et la découverte du patrimoine. Les rendez-vous avec les prestataires ne se prennent pas du jour au lendemain", explique Mélissa Butelli, porte-parole de So Toulouse. Le documentaire s'attarde avant tout sur le savoir-faire local et les produits de terroir. Jambon de porc noir de Bigorre, saucisse de Toulouse, confit de canard, truffes noires fraîches ou encore fromage de Rocamadour, ce sont autant de produits qui sont décortiqués. Les producteurs locaux, vignerons, éleveurs, affineurs de fromages et autres commerçants se chargent d'expliquer la spécificité de chaque produit, ainsi que la provenance.

    À travers le marché Victor Hugo, c'est le sud-ouest de la France qui est mis en vitrine. "Le marché Victor Hugo est l'un des meilleurs marchés de France, notamment grâce à la qualité des produits que l'on y trouve", explique Nicolas Baby. "Le ventre de Toulouse" s'intéresse également à tout ce qui entoure le marché et participe au charme du quartier. Le restaurant du chef étoilé Michel Sarran est, entre autres, mis à l'honneur. Représentatif de la culture du Sud-Ouest, le marché couvert de Victor-Hugo n'est pas le premier de France à faire l'objet d'un tel reportage. La société de production Stefilm avait déjà réalisé un documentaire sur le marché de la Croix-Rousse à Lyon en 2013.

    Le ventre de Toulouse,

    mardi 14 juillet à 19 heures sur Arte

     

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  • Cervelle de veau frite

    1 ou plus cervelle par personne; huile de pépins de raisin ou olive ou de maïs

    sel, poivre, 2 cuillères soupe de farine.

    Salade verte ou riz nature en accompagnement

    Choir de la cervelle de veau qui ne présente pas de caillots de sang à la surface; la laver et la pocher en la faisant bouillir 25 m' dans de l'eau légèrement salée.

    Retirez la peau qui l'entoure,  salez et poivrez suffisamment, la couper délicatement en tranches épaisses et fariner chaque morceau.

    La faire cuire doucement de chaque côté dans de l'huile, si comme moi vous utilisez une poêle noire, mettez beaucoup d'huile, ensuite, posez sur du papier absorbant.

    Servez avec les accompagnements ci-dessus.

    Vous pouvez également en faire des beignets… excellent et j'adore.

    Vous procédez comme au début de cette recette. Après avoir absorbé l'eau en trop, plongez des morceaux dans la pate de beignets et faîtes cuire comme on fait pour tous les beignets salés.

     

    Bien sûr, pour les bébés, dans les sexties et seventies, nous n'avions pas de petits pots... j'achetais au moins une fois tous les 10 jours de la cervelle pour ma fille.

    Préparée comme indiquée pour retirer la peau, je la faisais cuire encore dans du bouillon, je la passais à la moulinette et la mélangée avec de la purée de patates et/ou carottes!

    Et voilà comment on enseigne à bien manger à ses enfants (pas de la salop... cuisinée par des sociétés agroalimentaires et bourrées de produits chimiques!) vous pensiez en lisant les étiquettes que ce sont des produits naturels? vous rêvez où quoi?!

     

  • Adieu le cinéma de nos vingt ans!

    Après Los-Angeles, Paris et Istanbul, la Ville rose aura d’ici deux ans et demi son Mama Shelter, un bar-restaurant-hôtel très tendance dans les centres urbains.

    Ce projet a été retenu par le maire de Toulouse pour s’implanter en lieu et place de l’ex-cinéma des Nouveautés, dont il ne reste aujourd’hui sur le boulevard Carnot que la façade.

    La vente rapport 4,5 millions d’euros à la ville

    Adieu l’idée émise par le précédent maire, Pierre Cohen, d’y installer une maison de l’urbanisme.

    "Elle aurait coûté onze millions d’euros d’investissement à la commune, qui aurait dû financer dix à douze emplois sur les deniers publics. Là, la ville va encaisser 4,5 millions d’euros et 64 emplois vont être créés. Mais au-delà de la valorisation du patrimoine foncier, ce concept va permettre d’en faire un lieu de vie", assure Jean-Luc Moudenc, le maire (LR) de Toulouse.

    111 chambres, un resto sur le toit terrasse

    Au total, 20 millions d’euros seront investis par des privés dans cet établissement dont l’idée a germé il y a quelques années dans la tête de l’ancien patron du Club Med, Serge Trigano. En plus des 111 chambres et d’un restaurant sur le toit, " il y aura une salle de cinéma d’une quarantaine de sièges ouverts aux Toulousains ", explique le fondateur, qui s’est allié au groupe Eiffage dans ce projet et au cabinet d'architectes toulousains PPA.

    Le nouveau lieu, dont les travaux devraient débuter mi-2016, proposera des chambres design de 25 m2 au tarif de 79 à 110 euros la nuit. Elles donneront sur un patio interne arboré.

     

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  • Toulouse: Clap de fin pour la chaîne locale TLT

    J'ai été la première voyante à avoir 2 émissions par semaine (1989 et 1991) et à être payée par TLT: alors que mes remplaçantes ONT PAYE pour passer!

    C'est la différence entre les charlatanes et une voyante sérieuse: les unes payent cher, l'autre a touché un modeste cachet (on dit "pige"). J'avais 15 m' le vendredi soir, payée 500 francs la pige.

    Il n'était prévu qu'une seule émission par semaine.... mais, après la première, le standard téléphonique à sauté (oui, sauté, je ne mens pas....) tant il y avait d'appels! Du coup, le directeur de TLT m'a dit: ce n'est pas possible ce que vous faites! c'est vraiment incroyable la folie qu'il y a eu!... en serrant les minutes de programme j'ai pu vous trouver 8 minutes le lundi soir (à l'époque, l'antenne était en direct seulement deux heures par soirée)... là, j'ai récupéré 400 francs les 8 minutes...

    Allez voir mon compte Dailymotion, pseudo: Toulousejoyce (hé oui, on ne se refait pas); plus bas, une vidéo

    Lorsque à la fin d'une année de média, en 1991, le directeur de l'époque m'a demandé si je voulais continuer de passer à l'antenne, il m'a indiqué que vu, le nombre de personnes qui regardaient mon émission, je devrais payer 10.000 francs par émission....

    Ben, j'aurais voulu les gagner dans le mois!

    Les soit-disant "voyantes" suivantes, si elles ont payés cette somme, je me demande combien d'envoûtement et de retours d'affection elles ont récupéré, ces charlatanes!

    Il m'est arrivé la même chose à Radio France Toulouse où je suis passée pendant deux ans! une folie furieuse, tout le monde se battait pour me poser une question en direct! La standardiste devenait "verte" en me voyant me diriger vers le studio!

    Le directeur de Radio France avait quitté son bureau, à ma première prestation, pour voir la tête de la voyante qui passait! Même l'animateur n'en revenait pas! Un journaliste sportif était sur le pont des Minimes, en voiture, et quand il m'a entendu parler, il m'a dit avoir foncé comme un fou depuis les Minimes jusqu'à La Cépière pour me voir à tout prix!

    Certaines personnes "haut placée" m'ont appelé pour me dire: c'est exceptionnel votre façon de travailler, quelques unes croyaient que l'émission était arrangée ou préparée... j'ai dis: mais non, voyons, essayez d'appeler pour poser une question.... la réponse: heu, non... je suis trop connu et ma voix sera immédiatement reconnue... je ne peux me le permettre...

    Même les journalistes de Télé-Toulouse qui m'avaient vue dans les couloirs de TLT, ricannaient en ayant appris qu'il y aurait désormais une émission de voyance: à la fin de la première émission, ils riaient moins, étaient stupéfaits et... ont voulu, en douce, une consultation... si j'avais été rémunérée par tous les journalistes et techniciens, zzzzz!!!

     

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    Le tribunal de commerce a prononcé vendredi la liquidation judiciaire de la chaîne toulousaine créée en 1988 par Dominique Baudis...

    Après des mois d’incertitude, le couperet est tombé : Télé Toulouse (TLT) ferme le rideau. Le tribunal de commerce de Toulouse a demandé ce vendredi la liquidation judiciaire de la chaîne qui employait encore une vingtaine de salariés, dont neuf journalistes.

    Ecran noir vendredi à minuit

    Depuis vendredi dernier, les journaux télévisés n’étaient plus diffusés et les programmes se limitaient à des rediffusions " jusqu’à l’écran noir " ce vendredi soir à minuit. Dans son jugement, le tribunal de commerce " ne peut que constater que TLT n’a plus les moyens de faire face à ses engagements, les actionnaires n’étant plus disposés à renflouer systématiquement les comptes de l’entreprise ".

    Le jugement précise également que " le mois de juillet constitue bien une impasse en termes de trésorerie et que la demande des salariés d’une poursuite d’activité exceptionnelle de trois mois n’est pas compatible avec la situation de trésorerie de l’entreprise".

    Aucun salarié de TLT n’était présent vendredi au tribunal de commerce. Depuis vendredi matin, la page Facebook de la chaîne affiche une photo " Au revoir et merci ".

    Le sort de la petite chaîne locale était menacé depuis des années. L’entreprise était placée sous le régime d’un plan de continuation prévoyant le remboursement régulier d’une dette de 2,4 millions d’euros.

    Toulouse: La chaîne locale TLT menacée de liquidation judiciaire

    TLT, créée en 1988 à l’initiative de Dominique Baudis, a été l’une des toutes premières télévisions locales. Elle avait déposé son bilan fin 2008. Malgré une recapitalisation en 2009 et des effectifs réduits de moitié, elle a continué à perdre de l’argent, souffrant en particulier d’un manque de ressources publicitaires lié à sa faible audience, mais aussi, selon le personnel, à la disparition du service commercial.

    Elle est détenue à 60 % par la mairie de Toulouse, 17 % par La Dépêche du Midi, les autres actionnaires étant le Toulouse Football Club (12 %), la société Digivision (8 %) et le Stade Toulousain (4 %).

    Après l’annonce de la liquidation, Antoine Maurice, membre d’Europe Ecologie Les Verts, a souligné " un terrible gâchis " et demande, dans un courrier adressé à Jean-Luc Moudenc, " de tout faire pour accompagner le reclassement des salariés de TLT, en vertu de la responsabilité sociale que confère la Ville son statut d’actionnaire“.

     

    2e Emission sur Télé-Toulouse par ToulouseJoyce

     

     

  • Votre question....

    Quelqu'un est venu avec ce mot clé...

    feve jaune servi en apero au portugal

    Du lupin?

  • Pas extra mais pas le pire....

    J'avais regardé sur tripe_avise_l'or (drôle de nom!) pour me faire une petite idée. Bien qu'avec le cagnas, j'ai pensé que je ne prendrais pas du cassoulet….. une fille disait, sur le même tripe que venant parfois parsser 3 jours chez nous, elle faisait deux repas et qu'ayant pris un cassoulet en fin juillet, elle s'était bien régalée. Je me suis dis: j'y va, finalement!

    Donc, nous y voila…. C'est exact que c'est, vu de l'extérieur, un beau bâtiment… perso, j'appelle cela une ferme lauragaise… les bâtiments de ce style sont tout en longueur. Bien retapée, proprette, cela fait sérieux, vu de l'extérieur; Juste un très gros bémol: le parking, je pense qu'il doit être suffisant (il y a de très grandes salles et doivent s'y réunir au minimum 200 personnes à plus, j'aurais dû vérifier sur le site… mais bon, nous sommes deux, et il y avait de la place même si j'ai réservé. Vers 20 heures, il faisait environ 28-29° et un bon vent d'autan, à décorner les bœufs, ou les cocus, comme on dit à Toulouse, selon les gens qui nous font face. Buffo ben. Dans les 30 à 40 km… ça suffisait pour rendre nulle n'importe qu'elle coiffure non-calabistée (sans laque, pour les pauvres gens qui connaissent pas le toulousain. Personne n'est parfait, tout le monde sait cela).

    Et donc, voici le bémol: depuis le parking, il faut monter au restaurant…. ça monte sévère pour une qui, comme moi, traîne pas mal la patte. Une bonne douzaine de mètres en montant… sur des pavés… doivent avoir un nom mais, ils semblaient les pareils du même de ceux de la place du Capitole. En tout cas, même couleur, couleur locale ocre, bien sûr.

    Même ma fille qui n'est plus en fauteuil roulant depuis 4 ans, l'a eu un peu dure, la montée des marches! avec son fauteuil électrique, j'aurais dû la pousser pour qu'il monte… donc, mon joli coco, si t'est en fauteuil, tu doit avoir de sacrets biscoteaux ou une poussette bénévole pour te soulager les bras!

    Ensuite, ne t'inquiète pas, cela va tout seul. La porte est large, tu demanderas qu'on te l'ouvre quand même, car il y a une sorte de sas et du coup, faut en pousser deux portes pour entrer dans le saint des saints. La porte est large, l'air est pur… suffisamment, grâce au vent d'autan, nous n'étions pas nombreux dans la salle en intérieur… les autres se bousculaient en terrasse…. Mais, le vent d'autan, ce doit être frisquet sur le tard de la nuit. Ce que nous avons bien senti en repartant après 22 heures.

    L'Escarbille, c'est, il parait, une auberge gastronomique. Pour être une auberge, ça l'est: pour voir dans son assiette, il faut y coller son nez! Le décor, c'est pas mal, c'est campagne quand même…. Pour les tables, c'est souci: elles sont magnifiques, il n'y a pas à dire… mais, y'a un  truc… elles sont réalisées -comme si on pouvait dire- avec des petits troncs d'arbres: vous prenez des troncs bien ronds, pour les sciez en deux et vous savez quoi, un côté plat et un côté bombé. Donc, le côté plat, c'est la table.

    Mais, ces tables sont rondes. Comme on colle côte à côte les demi-troncs et que les tables sont rondes, c'est un peu ouf (ça c'est pour faire djun) vous avez le bord de la table avec un tronc large et pour le disposer au centre, le tronc devient de plus en plus petit… afin qu'ils se rejoignent en un centre. C'est très beau, c'est smart, c'est insolitement joli, y'a un style, c'est sûr. Les rondins sont bien peints et vernissés.

    Juste un petit souci, entre chaque tronc, un vide… vi, vi. Coller des morceaux ensemble à moitié ronds en dessous et plats sur le dessus, c'est une prouesse artisanale… Il m'étonnerait que ces tables soient réalisées en quantité industrielle; cela sent l'artisan-artiste… C'est très beau mais pas commode. Les verres, les bouteilles, sont toujours en perdition. Gardez toujours un œil, sinon, gare aux trous, mon bistrou. Et si vous avez des galopins dans votre coin, vous aurez des soucis de tatache.

    Nous étions les premières dans la pièce et dix minutes plus tard, un couple âgé est arrivé et n'ont pas voulu aller en terrasse. Mais, bien sûr, on leur a donné les cartes et pris la commande avant nous. Ne me dites pas que le serveur qui nous a installées n'a pas vu qui était en premier? Ma fille, lui a posé la question: pourquoi avoir servi des gens arrivés après nous: pauvre garçon, il n'a pas eu d'explication, il est resté quoi au moins 10 secondes avant de se raccrocher à son papier et stylo et dire: vous avez choisi?

    Ma fille, comme à son habitude, prend une salade aux cabécous (du Lot et Garonne apparemment) mais, comme elle déteste le salé-sucré sur ses fromages de chèvre, elle a précisé: vous voudrez bien ne pas mettre de miel? Oui, pas de problèmes fut-il répondu. Pour bien se faire entendre, ma fille l'a indiqué deux fois. Et devinez quoi: il y avait du miel… donc, retour en cuisine. Puis, résultat de la chose: je trouve le goût sucré me dit-elle. Je ne peux que lui répondre: ils ont gratté le miel. Ils ne peuvent pas jeter deux fromages comme cela; nous serions chez Ramsey ou Robuchon, ce ne serait pas la même chose… mais, ce n'est pas le même prix!

    J'ai commandé un américano, c'était le seul vin cuit de la carte, un peu vide, pas achalandée… On nous a porté les deux entrées alors que j'avais à peine bu une gorgée… trop vite! Quelqu'un l'avait indiqué sur tripe-sur-l'or, on lui a fait le même coup. Ne faut jamais perdre les mauvaises habitudes comme dirait l'autre… J'ai pris une bouteilles de 50 cl de Corbières et j'ai ramené à la maison, plus de la moitié. Sur la carte des vins, pas d'année des bouteilles. Un jeune qui devait être le sommelier me dit: ce n'est pas obligatoire de mettre l'année... bah, je répond, c'est quand même intéressant de le savoir. Le kid a réponse à tout: mais quand même, on ne cache rien on vous le dis si vous demandez.

    J'ai répondu: oui, mais il faut vous faire venir et c'est un dérangement supplémentaire... pas de problème qu'il dit en partant... comme j'avais l'apéritif dans le verre, il m'a servi le vin sans me le faire goûter... des progrès à faire, mon kiki, t'es encore nouveau dans la profession! mais, faire revenir le sommelier pour avoir la date de fabrication du vin, c'est le patron qui paie ses employés... au patron de savoir ce qu'il paie dans ses salaires pour quel genre de travail mal organisé.

    En principe je prends foie gras, cassoulet. Donc, je demande du foie gras qui, sur la carte se présente mi-cuit au Sauterne. Ma fille me dit: c'est quoi le Sauterne? du vin blanc. Il est à côté, dans un verre? on va le demander, mais j'en ai bien peur. J'en tremble encore!

    Ma fille aime autan le foie gras que moi, mais après la salade au chèvre chaud, tout de même. Et donc, moit-moit qu'elle me dit avant de commencer sa salade. Il y avait suffisamment pour deux; elle a donc goûté.

    Heu, quelle me dit, ce foie gras est chaud, pas cuit, il a chaud… comme nous, je réponds mais le mi-cuit se consomme bien frais, tout de même… quand il est trop chaud, on n'a pas la saveur, il semble que l'on mange un simple pâté de foie de canard… qui, bien sûr, n'est pas au même prix. Il était chaud, il n'avait déjà aucun goût, je l'ai poivré abondamment comme je fais à l'habitude… mais il n'y avait rien à faire… pratiquement pas de goût. Dommage!

    Au moment de la commande, j'ai demandé: qu'y a-t-il dans le cassoulet? le serveur était surpris; avant qu'il ne réponde, je lui ai dit: ma mère est née à Castelnaudary, ma grand-mère à Carcassonne, moi, à Toulouse, le cassoulet, une affaire de famille, mes racines quoi! Il me dit: confit, des couennes, haricots tout ce qu'il faut, bien sûr; haricots de Tarbes que je demande? non, je ne crois pas, sans doute du lingo! je lui explique: quand les toulousains voulaient manger du cassoulet, ils n'avaient pas le temps de mettre les bœufs devant la charrette pour courir chercher des haricots à Tarbes! il a acquiescé mais, devait se dire: mais, où va-t-elle chercher cela? Question d'imagination, pas la peine d'avoir fait l'Ena pour comprendre cela.

    Mais, la question la  plus importante: y'a-t-il de la chapelure. Non. Ha, formidable, bon point lui dis-je. Il est parti tout content.

    Maintenant, je l'ai devant moi, le cassoulet. Il n'y a pas de chapelure, c'est vrai. Pour qu'il refroidisse un peu, on nous propose une autre assiette que celle disposée sous la petite céramique basse habituelle.

    Je fais doctement passer la cuisse et le morceau de saucisse puis, je fais passer les haricots… j'aperçois vaguement un bout de couenne. Hé, important! il s'agit d'une cuisse entière… oui, entière… ce n'est pas un petit bout riquiqui… c'est comme à la maison, dit; toujours une cuisse entière par personne dans mon cassoulet.

    Bonne pioche! mais, les haricots sont secs comme du mortier de maçon.

    Il s'agit d'un cassoulet réchauffé auquel n'est pas rajouté du jus. Donc, mastoc. Mais, le réchauffé, c'est très bon…. Et puis, les haricots de TARBES, de TARBES! sont pratiquement réduits en bouillis.

    Quand à la fin du repas le serveur est venu me demander si j'étais contente, je lui ai dis: trop sec, c'est du réchauffé… Sur le site, sur la carte est indiqué, cassoulet  à la façon d'Hubert, je demande et le serveur me confirme: Hubert est le chef… mais, ce soir, il n'est pas là.

    Lorsque nous allions tous les mois depuis plusieurs années chez Norbert El Bèze, le chef de La Régalade, il faisait, tous les deux jours, de grandes bassines de cassoulet. Tous les deux jours. Et, il était bon, plus que bon le cassoulet de Norbert… presque la même recette que la mienne…. mais, il a vendu, a pris sa recette et, depuis plus de deux ans, je suis en deuil de vrai cassoulet!

    J'ai dis au serveur: allez, pas de soucis, ce n'est pas le pire que j'ai mangé sur Toulouse… moi, j'aime bien le réchauffé, je reviendrais en manger! J'espère cependant que lorsque je viendrais, il sera frais le cassoulet.

    En écrivant cela, je suis en train de me dire qu'il faut que j'appelle un de ces quatre ce restaurant pour savoir quand le cassoulet est frais. Ce n'est pas le même goût.

    Ma fille a pris une grande entrecôte qui était parfaite m'a-t-elle dit. Servie avec des pommes sarladaises plus des champignons persillés.

    Mais des champignons de Paris. Ceuss qui n'ont aucun goût!

    Quand nous avons eu la note, le serveur nous a dit: l'apéritif est offert! diable, diable! c'est sympa, n'est-ce pas? Petit gag, le serveur prend l'argent puis dit: il y a 5 euros de trop! et il les pousse vers ma fille qui est obligé de dire: non, il n'y a pas 5 euros de trop! c'est pour vous.

    Diable, diable! on ne laisse plus un petit keke chose en France?

    Au final, si vous passez dans le coin, arrêtez-vous sur la RN 113, à l'Escarbille, avant d'aller vous dorer sur la plage de Narbonne.

  • La menace a porté ses fruits

    Dernièrement, je vous ai fait savoir que le transport des personnes handicapées fonctionnait très mal sur Toulouse; nous devions retenir un transport 7 jours à l'avance sans savoir s'il serait réalisé; nous n'étions averti-es que la veille… très commode pour trouver un transport de repêchage d'une part et pour réserver une place au restaurant.

    Dès que j'ai su, malgré m'être conformée aux diktats de la société Transdev qui à obtenu le marché public de Tisséo, que notre déplacement était sur liste d'attente, j'ai donc agit fortement: courriel à Transdev, ma députée, mairie, agglo de Toulouse, etc… avec menace de porter plainte contre qui de droit.

    En fait, il s'agit bien de discrimination car les transports sont, de préférence, réservés aux personnes handicapées qui travaillent. Le fait que je travaille à domicile et donc que je paie doubles charges et taxes, cela leur passe bien au-dessus de la tête à tous ces planqués de la République…

    Mais, quelqu'un a eu la trouille: le transport donc est accepté.

    Ce soir, nous allons au restaurant l'Escarbille à Montgiscard. J'espère y déguster de la bonne cuisine locale… nous en reparlerons.

    Moralité: il faut savoir montrer les dents*… bien savoir les montrer et bien retrousser ses babines pour bien démontrer que l'on ne va pas, du tout, se laisser faire.

    J'ai, il est vrai, la chance de savoir m'exprimer de façon très précise, polie certes, mais qui ne laisse aucun doute sur mes capacités intellectuelles… c'est une force. Qui provient cependant du savoir faire des instituteurs que j'ai fréquenté à la communale de 1956 à 1963, du temps béni pour l'intelligence française où en quittant le C.P. on savait parfaitement lire et comprendre ce que nous lisions, compter sur les doigts, sans calculette et écrire sans trop faire de fautes de français. Les instit' de l'époque respectaient la langue française qui est la plus belle du monde, la plus riche, la plus poétique.

    *Malgré bien entendu que le Flamby nous traite sans vergogne de Sans-dents…. lui, qui est sans intelligence, sans honneur…. même si les Gardes de la République se mettent au garde-à-vous devant sa tronche de ravi. Qu'est-ce qu'ils doivent rire!

    Il me tarde qu'après l'avoir dégommé, on sache enfin la réalité de toutes ses turpitudes de toutes natures, à lui et toute sa clique de valets! quand on voit que le 1er secrétaire de son parti a menti sur ses diplômes…. d'accord, tout le monde ne peut pas, comme moi, être fière de son certificat d'études… et de son C.F.P.A de secrétaire aide-comptable.

    Même si je n'ai jamais eu de Rollex, au moins, je respecte les autres sans faire semblant!

    Sur ce, je vous laisse, j'ai une vidéo professionnelle à enregistrer....