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Blog - Page 206

  • Utiliser les abats de volaille

    Quand nous faisions du poulet ou pintade rôties, les dimanches, dans les sixties, nous l'achetions au marché aux volailles vivantes à Toulouse, il était place St George; mais tuer et plumer une volaille dans un petit appartement, c'est point facile… donc, quand je me suis trouvée seule comme une grande dans mon chez moi, j'ai dû me contenter de poulet prêt à cuire.

    Avec des volailles vivantes, nous pouvions récupérer le met le plus délicat du volatile, en les tuant: la sanquette! La volaille était égorgée au dessus d'un petit saladier et dès que le sang était tout récupéré, hop, une lampée de vinaigre qui l'empêchait de coaguler jusqu'au moment de la cuisson. Il n'y en avait pas beaucoup, bien sûr. Ensuite, la volaille était plumée et on en avait par toute la maison, des plumes!

    Hélas, on ne trouve plus des sanquettes…. ne faites pas les dégoûté-es: vous ne savez pas ce que vous perdez si vous n'en avez jamais mangé.

    Cuite à la poêle avec beaucoup d'ail et du persil, mise en sandwich dans un pain au levain bien croustillant ou servi avec une omelette!!! nos anciens savaient comment faire pour avoir du fer (et le boudin!) sans avoir à passer par des comprimés qui gênent plutôt la digestion, (tout le monde peut s'en rendre compte s'il a le malheur d'être un peu anémié).

    Bon, revenons à notre poulet. Celui que je vous recommande, c'est le poulet jaune du Gers. Poulet fermier, label rouge, va s'en dire. Et puis, les gersois sont nos voisins.

    Ce qui n'empêche pas, avant de le cuire, de le passer à la flamme du gaz pour brûler les dernières petites plumes… il en reste toujours un peu, quelles que soient les précautions prises.

    Avant de le cuire au four, vous avez retiré les pattes, le cou, la tête, les poumons, le gésier… s'il vous plait, le foie se déguste cuit à la poêle, suffisamment cuit, avec ail et persil… mais, le gésier, si vous ne savez pas le confire (ha bon?) fait donc, partie des abats du poulet, de la dinde, de la pintade…

    ALLEZ RECETTE!

    Faire revenir des oignons émincés dans huile ou graisse, ajoutez 1 l d'eau, 1 cube de bœuf ou de volaille, mettez les abats, ail, sel, poivre et faites cuire au moins 30 mn' à bouillon.

    Si vous passez le tout pour éliminer les abats (à donner au chien), votre bouillon de poulet, vous ne devineriez jamais est votre meilleur remède contre…. le rhume! ha, ha! vous ne saviez pas cela? et bien, les amerloques, eux, le savent! On le voit dans certains de leurs films....

    Vous pouvez également rajouter du vermicelle, de la semoule, du tapioca, des perles du Japon…. cela vous fait un bon potage d'entrée avant le poulet rôti.

    Si vous mettez dans votre préparation: carottes, céleri, navets en brunoises et un os de bœuf ou de veau, à moelle et que vous faites réduire, vous obtenez ce qu'on appelle le vraie bouillon de volaille, sorte de fumet, que vous utilisez un partout en cuisine et qui donne un sacré pep's à beaucoup de plat en sauce.

    Merci: vous êtes très nombreux à venir lire mes recettes… parce qu'elles ne sont pas compliquées, par chères et, en plus, parce que je donne des tas de conseils pour les réaliser… tellement détaillés me dit-on encore que les photos ne sont pas nécessaires.

    Merci, cela m'arrange de ne pas faire des photos…. je n'ai pas le temps! Merci également d'être fidèle à mon blog culinaire!

     

  • Des pâtes? oui, des Pan... (ces pâtes-là sont françaises figurez-vous)

    Les pâtes? des tas d'histoires, histoires du monde.

    Quand on aime la pasta al pomodoro, il vaut mieux se renseigner pour savoir qui les a inventées et d'où, par qui et quand elles sont arrivées chez nous.

    Je vous fais un petit condensé de ce que j'ai lu, de ci, de là: Elles ont été inventées en Chine et datées de -2000 avant JC. et, en fait, l'utilisation des pâtes semble avoir débuté au sein de populations diverses à certains endroits du globe pour plus tard se propager dans le monde entier. C'est en Chine que l'on trouve la plus vieille évocation connue des pâtes, qui sont toujours beaucoup consommées aujourd'hui. Les pâtes chinoises et asiatiques sont cependant plus communément appelées "nouilles".

    De nombreuses sources attribuent l'introduction des pâtes en Italie en 1292 à Marco Polo, qui les auraient ramenées de ses voyages en Asie. Cependant, l'origine des "macaroni" en Italie remonte à la Rome Antique.

    Les pâtes étaient incontestablement connues à la fois par les Grecs et les Romains. Ils consommaient en particulier une sorte de large nouille appelée en grec "laganon", probablement l'équivalent de nos lasagnes actuelles. Cependant, ce type de pâte n'était pas cuite à l'eau comme pour les lasagnes, mais cuite sur des pierres chaudes ou rôtie au four, un peu comme nous le faisons avec les pizzas.

    Apicius, un écrivain romain du premier siècle, bon mangeur, décrit une pâte faite  “pour envelopper les tartes…". Ces dernières étaient appelées ‘lagana'. La recette de cette pâte n'a pas été retrouvée, cependant il existe toujours des suggestions pour les accommoder avec de la viande et du poisson. On se rapprocherait alors de nos raviolis  ou tortellini  actuels.

    La plus ancienne évocation de nouilles cuisinées par ébullition est recensée dans le Jérusalem Talmud, écrit en Araméen au Vème siècle. On désignait alors les nouilles par le mot itriyah. Dans les textes arabiques, ce mot fait référence aux nouilles sèches achetées auprès d'un vendeur ambulant, plutôt qu'aux nouilles fraîches faites à la maison. En effet, les pâtes séchées pouvaient se conserver, alors que les pâtes fraîches devaient être mangées immédiatement. Il est plus que probable que les pâtes aient été introduites pendant la conquête de la Sicile par les arabes, qui les auraient importées sous forme de pâtes séchées.

    On pense aussi que le mot sicilien “maccaruni” qui signifie “pâte formée par la force” est l'origine du mot macaroni. C'est une étrangère qui finalement fut une des plus grandes reines de France car elle aima beaucoup notre pays et ses habitants qui nous a apporté les pâtes d'Italie, avec beaucoup d'autres choses encore. Catherine de Médicis est à l'origine d'une nouvelle cuisine française.

    Arrivée à Paris afin d'épouser le Roi de France, venue avec ses propres cuisiniers et de nouveaux produits, elle changera aussi les arts de la table de la France.

    Catherine, très gourmande, fait déguster à la cour de nouveaux plats de viandes: quenelles de volaille, crêtes de coq, crépines de foie (de veau ou de porc) et cervelle. Ces plats sont servis en petites quantités, ce qui est nouveau pour l'époque. Ce qu'elle préfère, ce sont les légumes, les fruits frais et les pâtisseries.

    A son entourage, elle transmet son goût pour les brocolis, les épinards, les artichauts, les courgettes, les haricots ou les asperges. Mais aussi pour les nouvelles traditions pâtissières: comme par exemple la pâte à choux ou la pâte feuilletée destinées aux recettes à la fois sucrées et salées. Elle importe également une nouvelle façon de conserver les confitures: les fruits macèrent dans le vin cuit ou le sucre, alors qu'on les conservait habituellement dans le miel. Elle introduit aussi les gelées, les pains d'épices, le panetonne, le nougat, les marrons glacés, la crème frangipane ou encore les macarons, les glaces, les sorbets, les dragées... 

    Vous n'imaginiez pas tout le bien que cette grande reine a fait pour nous?

    Dans le même temps, Catherine de Médicis sort les arts français de la table du Moyen-âge. A cette époque, on mange encore avec les doigts ou le bout du couteau. Elle introduit la fourchette à deux dents, ce qui lui vaut le surnom de "La reine à la fourchette". C'est également elle qui remplacera les grands plats dans lesquels chacun se servait, par l'assiette individuelle et les gobelets en étain, par les verres. Fille de la Renaissance italienne, Catherine de Médicis est en quelque sorte à l'origine d'une certaine renaissance de la cuisine française; et pour fini, c'est Catherine de Médecis qui a inventé… la culotte! Elle aimait les courses à cheval mais les dames de son temps montait les jambes du même côté, la jupe sous les fesses. Mais, comme Catherine adorait la chasse à courant et le vent dans les cheveux, elle trouvait peu commode de courir la campagne, à la vitesse de son destrier, avec le risque de se casser mille fois et plus le coup. Elle décida d'enfourcher le cheval comme un homme et, comme les femmes ne portaient rien sous leur robe, elle eut l'idée de fabriquer un caleçon en dentelles et frou-frous (on n'est pas femme pour rien) sur le modèle des collants masculin, d'abord pour protéger l'intimité et aussi, dans le cas où un vent malicieux et moqueur aurait eu l'idée saugrenue de soulever ses jupes et jupons!

    Juste un ou deux trucs à savoir pour vos pâtes: ils faut les faire cuire avec beaucoup d'eau salée: en effet, lorsque l'on jette les pâtes dans l'eau, le contact des pâtes froides baisse la température et l'on peut avoir des pâtes collantes.

    Les pâtes ne se rincent pas après la cuisson. Cela aurait pour effet de les refroidir, et surtout de faire disparaître une quantité d'amidon indispensable à la liaison de l'accompagnement leur donnant une texture spécifique.

    Perso, lorsque l'eau bout, je jette mes pâtes et dès que le bouillonnement reprend, j’éteins le gaz et je couvre les pâtes qui, cuisent ainsi lentement en 6 ou 7 minutes; puis, je les égoutte à l'écumoire ou la pince à spaghetti selon celle que j'ai sous la main et je les verse par paquet dans ma sauce… soit tomate, soit carbonara… mais je peux aussi bien les préparer avec huile d'olive, persillade et beaucoup d'ail.

    Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, on consommait les pâtes natures ou avec du fromage. L'utilisation de la tomate est mentionnée pour la première fois au XVIIe  siècle. La tomate est d'abord importée du Nouveau Monde vers l'Espagne, puis on la retrouve à travers l'Europe, notamment dans les pays méditerranéens, où les conditions climatiques sont idéales pour la cultiver. Mais la tomate n'apparait pas comme un ingrédient était considérée comme une plante ornementale, car on pensait alors que c'était un poison (En réalité, les feuilles sont toxiques, mais son fruit, la tomate, ne l'est pas).

    La sauce tiendra bien collée aux pâtes d'autant qu'elles sont creuses ou à rayures. De ce que je me souviens, nous n'avions que: vermicelle, alphabet, perles, coquillettes, spaghetti, macaroni, cannellonis, nouilles et gansettes; il n'y avait, finalement pas tant que cela de choix. Le jour du pot-au-feu, c'était vermicelle ou alphabet. Les macaronis étaient au jus de viande ou au gratin avec chapelure et fromage qui file.

    Les cannellonis, c'était des feuilles de pâtes à plat; c'est nous qui les roulions avec la farce au milieu puis rôtis à la poêle avant de les plonger dans la sauce tomate et gratiné au four de la cuisinière saupoudré de fromage qui file. Ce n'est qu'après 1970, quand je vivais seule avec ma fille que j'ai commencé à utiliser la pâte plate pour cannellonis en lazagne.

    Les coquillettes ou les nouilles étaient utilisées souvent dans une sorte de ratas que toute l'Italie va me hurler dessus après avoir lu la recette ci-après.

    En fait, cette recette, nous la faisions dans la catégorie: l'art et la manière d'utiliser les restes.

    La carcasse du poulet rôti, une fois délestée des cuisses, blancs…

    D'abord, dans une grande casserole ou marmite ou faitout, faire roussir des oignons à bien bruns avec la graisse de canard ou de l'huile de pépins de raisin ou d'arachide; puis, on mettait le curou (cul ou fondement du poulet), les ailes, le bréchet… coupés en morceaux et on faisais roussir l'ensemble, une cuillère de farine, ajouter le bouillon puis la tomate concentrée délayée avec du bouillon (fait avec deux cubes). Du thym ou du laurier.

    On laissait cuire 10 m' à feu vif, on rajoutait les pâtes et on laissait encore cuire une bonne  ½ heure à feu moyen. Parfois, on rajoutait des câpres, des rondelles de gros cornichons ou des olives bien rincées ou une petite boîte de champignons en saumure mais bien rincés…

    Et oui, pas de cuisson à dente, c'était tout mou! bien épais, bien roboratif pour que le vent d'autan ne nous emporte pas; avant de mettre le saladier plein à ras bord, on arrosait d'un filet d'huile et agrémenté de quelques grammes de râpé, le fromage qui file. Charcuterie en entrée, fruits de saison à la fin.

    Et, une goutte de vin dans beaucoup d'eau, avec du bicarbonate de soude; Le bicarbonate de soude, un moyen de se prémunir contre les maladies d'alimentation (avant le frigo, avant le principe de précaution, avant les lois multiples et avariées de la commission de Bruxelles, (bizarre que l'on dise la commission de Bruxelles et pas de Strasbourg, pour éviter que les Français et leur mondiale gastronomie, soient regardés de travers à cause de leurs lois idiotes?) avant le déménagement des Halles, avant les supermarchés ou hyper). Avant le traitement des eaux qui coûte plus cher que l'eau du robinet et avant l'obligation d'acheter de l'eau en bouteille pour ne pas se tordre de douleur en permanence à cause du chlore…

    Mais, il y a plus de 200 000 centenaires en France, tout de même! Actuellement. On dit que cela va augmenter beaucoup. Ha oui? après tant de bisphénol, de produits chimiques sur les légumes ou les fruits???

    Avant l'importation de fruits de certains pays chauds (où il n'y a pas d'eau) et où, quand il en maque et qu'on va tout perdre, on utilise l'eau des stations avant épuration? et on vous vends cela avec le sigle AB….

    Achetez Français, va… il y a tant de normes sanitaires en France que nos agriculteurs en crèvent… mais, au moins, leurs légumes et fruits ne sont pas arrosés avec de la pisse, heu, pardon…il faut dire: de l'urine. C'est politiquement correct, mais cela revient à dire la même chose. Reste que je n'ai pas envie d'être zemmourisée!

     

     

  • D'autres infos sur le MIRACLE DES MIRACLES

    Mande pardon à ceux qui n'ont pas de maladies auto-imunes ni personne de leur entourage (quelle chance vous avez!) mais, celles et ceux concernées seront content-es de ces infos supplémentaires....

     

    Je peux vous dire que la recherche que nous avons en Belgique n’a à rougir de personne". L’auteur de ces propos, c’est Christian Homsy, patron de Celyad (ex-Cardio3 BioSciences), spécialiste de la thérapie cellulaire pour le cœur et le cancer. L’une de nos fiertés nationales, parmi ce qui se fait de mieux dans le domaine de la santé en Belgique. L’homme arpente la planète, dévore le marché américain, lorgne ses investisseurs. La comparaison avec les Etats-Unis est féroce, et pourtant, malgré tout, la Belgique est et reste "de très haute qualité".

    Cet article et les exemples qu'il contient en sont les meilleures preuves. Derrière le paravent des Cardio3, IBA, Mithra,…, un terroir continue à se développer. De jeunes espoirs belges émergent. Et ils écrivent une nouvelle et passionnante histoire de la santé. OncoDNA, à Gosselies, est capable de fournir le diagnostic et le traitement personnalisé d’un cancer sur simple présentation d’une biopsie du patient. Novadip génère des greffes osseuses au départ d’une ponction dans la graisse abdominale. Le Professeur Pierre Vanderhaeghen crée un cortex cérébral "en boîte" et lance un nouveau courant de recherche dans les zones obscures du cerveau.

    Tous les exemples présentés ici, et bien d’autres encore, montrent combien nos chercheurs excellent dans leur combat contre les maladies de notre siècle.

    Jean-Marie Saint-Remy précise: trois injections suffisent. Trois coups avant un lever de rideau. Changement de décor. Le cercle vicieux est transformé en cercle vertueux, le processus inflammatoire est enrayé, une phase de récupération s’enclenche. Le visage de Saint-Remy s’illumine, il est formel: "Le patient est sûr de pouvoir récupérer ses fonctions altérées! Du moins en partie."

    Cette thérapie cellulaire, dite autologue, consiste en une prise de sang pour prélever des cellules sanguines du patient. En culture, l’équipe médicale effectue son opération de désinformation. Quatre stimulations permettent d’obtenir une sélection homogène de cellules à activité thérapeutique. Une fois que les lymphocytes T, porteurs du message imposé par le code CXXC, sont transformés en tueurs de messagers, ils sont réinjectés et le miracle s’accomplit.

    Il faut compter deux mois environ, entre la prise de sang et la réinjection. Dont 24 h de test et 4 à 6 semaines de mise en culture. Le schéma a été validé, standardisé, s’appuyant sur un modèle animal de thérapie cellulaire. Quelques souris ont été induites en maladie, un minimum, mais avec des protocoles qui miment, au maximum, le modèle humain.

    Le premier patient, qui aujourd’hui se prête à l’essai clinique, a été recruté en janvier et recevra l’injection en juin, à Bruxelles, aux cliniques Saint-Luc. D’autres patients seront recrutés entre-temps dans les trois hôpitaux belges avec lesquels ImCyse collabore : Saint-Luc (UCL), Sart-Tilman (ULg), Gasthuisberg (KUL). Pour suivre le même protocole et confirmer les données.

    L’horizon? Fin 2016, si tout va bien, les résultats complets de cette première étude seront connus. La population visée en première instance? Les patients victimes de la forme récurrente de la maladie, chez qui la sclérose n’a pas encore trop lourdement affecté l’organisme.

    Une fois le principe acquis, le développement complet prendra encore plusieurs années. La question qui se posera à ImCyse sera celle de l’échelle, du déploiement d’une technique désormais éprouvée. Le professeur évoque des campagnes de vaccination directe auprès de populations à risques, dont il reste à définir le profil (hérédité, environnement…).

    Développement

    Jean-Marie Saint-Remy conclut: "ImCyse est une plateforme technologique, pas un nouvel emballage pour une babelutte!" C’est-à-dire un vivier de solutions. Et la technique qu’il est en train de valider pour la sclérose en plaques vaut pour d’autres maladies auto-immunitaires. Au premier rang desquelles… le diabète insulino-dépendant.

    Effectivement, on imagine la pression. L’enjeu de l’essai clinique en cours est considérable. "Il s’agit d’une technologie de rupture, révolutionnaire, et nous avons l’ambition de la développer dans de nombreux domaines", nous glisse Pierre Vandepapelière, CEO d’ImCyse.

    Une porte s’ouvre. Les investisseurs commencent à s’y presser: Meusinvest, Biogenosis… Un premier plan d’investissements a été lancé en 2012. Après la Flandre – ImCyse est devenue spin-off de la KUL en 2011, six mois après sa création –, la Région wallonne est venue la soutenir et l’Europe lui a accordé un gros subside pour son projet dans le diabète. "Le but est d’arriver à guérir ces maladies sévères, on a le potentiel. ImCyse peut devenir un leader mondial de l’immunothérapie."

     

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    Pr Saint-Rémy

     

  • Soupe à l'oignon

    Dans le sud-ouest, et notamment à Toulouse, il est une tradition que nous avons suivi longtemps, très longtemps.

    Longtemps après une longue nuit, au petit matin, les fêtards toulousains se cherchaient une petite brasserie encore ouverte pour déguster la tradi soupe à l'oignon, gratinée s'il vous plait… Je me souviens l'avoir suivie, cette tradition locale du temps où je sortais dans les discothèques et autres boîtes de nuit. Non, ce n'était pas dans l'Antiquité: je suis allée en boîte jusqu'à mes 56 ans: j'ai cessé lorsque ma maladie m'a empêchée de conduire. Bah, je pourrais encore conduire, une voiture adaptée. Millodioù: voiture adaptée! j'arrive pas à y penser ou l'écrire...

    Dans les années 70, il fallait faire la distinction: discothèque est une très grand boîte à danser, avec parfois une scène et un groupe, de la place pour 350 à 400 personnes; boîte de nuit, comme cela s'indique dans sa dénomination, une cave voûtée, en plein centre-ville où l'on logeait, très difficilement une centaine de personnes. Magnifiques, ces caves voûtées, avec la fameuse brique rose de Toulouse.... je passais mon temps à m’esbaudir de l'ingéniosité des gens qui avaient réalisé ces belles maisons toulousaines, belles, jusque dans la cave! Il est arrivé, un moment, où, connue comme le loup blanc, j'avais un passe-file dans 5 boîtes toulousaine, j'entrais sans payer... ils avaient remarqué que ma façon de danser entraînait tous les jeunes sur la piste! je mettais l'ambiance rien qu'en dansant!

    Une boîte de nuit, c'est de la musique très branchée, une place très rikiki pour danser… et certainement déjà de la drogue mais comme je n'ai jamais fumé ne serait-ce qu'un pétard, ce n'est pas le genre de chose que je recherchais quand j'entrais dans ce lieu magique où je me positionnais sur la piste de l'arrivée à la fermeture… d’où l'entrée gratuite, pratiquement pas de slow, ce qui m'arrangeait bien car, je dansais, dansais, dansais “jusqu'au bout de la nuit" comme on chante par chez nous (je ne citerai pas le nom du groupe toulousain, mais vous savez de qui je parle si vous n'avez plus la morve qui vous sort du nez).

    On ne buvait pas autant que font les jeunes car les entrées étaient toujours payantes pour les filles et quand on a un budget de 3 francs six sous de jeunes de l'époque, croyez-moi, une fois payée la boisson, y'avait plus de rond dans le porte-monnaie); et puis, boire à se rouler par terre, c'était pour les minables incultes qui ne savaient pas écrire son nom: nous, on était des gens bien et snobs: on ne se saoule jamais… rien à voir avec la manachaille  de 2015 que si tu lui refuse un portable à ses 5 ans, crie haut et fort aux mauvais traitement sur enfant et t'envoie directo sur les bancs de la correctionnelle.

    Nous, on se saoulait de danse, de bruits (la fièvre du samedi soir); nous, on rentabilisait au max les 8 ou 10 francs de l'entrée dans la boîte.

    Et au petit matin, avant de rentrer chacun chez soi, à pied, tout au long des 3 à 5 km qui nous séparaient de notre lit, on s'arrêtait dans un troquet pour déguster la soupe à l'oignon revigorante.

    Il a été prouvé, il y a quelques années que cette tradition culinaire ancienne remettait les yeux en face des trous de ceux qui avaient un peu bu et dansé tout la nuit: la soupe, ça réhydrate car l'alcool, tout au contraire, dessèche les cellules. Avec une eau Perrier, y'a pas mieux pour repartir comme en 40 sur le chemin du retour; le petit matin frais dans les rues de Toulouse, ça n'a pas de prix.

    Soupe gratinée à l'oignon

    A peu près pour 3

    125 g d'oignons jaune en cube; 60 g de graisse de canard; 1 cuillère de farine, sel, poivre, pain sec et/ou grillé, 200 à plus de fromage râpé*; 1 branchette de thym ou de romarin, chapelure ou pas; 1 litre de bouillon avec cube de volailles ou autres; quelques noisettes de beurre ou huile d'olive.

    Faites rissoler les oignons à bien brun, rajoutez la cuillère de farine et remuez bien sur feu moyen; versez le bouillon et faites cuire durant 10 mn à gros bouillon après avoir salé, poivré et ajouté une branchette de thym.

    Pendant que ça bout, allumez le four à très chaud, coupez le pain dans des bols ou terrines individuelles en terre, versez le bouillon sans le thym, bien sûr; saupoudrez de fromage râpé et la chapelure ensuite, arrosez filet huile d'olive ou disposez quelques noisettes de beurre et mettre à gratiner à 250 ou plus durant 10 mn'.

    Cela devrait vous caler jusqu'à la maison et votre lit douillet déjà occupé par Morphée.

    *quand j'étais môme, on disait: le fromage qui file, c'est plus long et plus facile à dire que gruyère râpé.

     

  • Ne vous laissez mener en bouteille!

    Ici, on nous vend de l’eau avec un petit quelque chose en plus… totalement inutile.

    Hydratez-vous! Le conseil, martelé par les nutritionnistes, est repris en chœur par les fabricants d’eaux minérales. Jamais à court d’idées, ils proposent des variantes fruitées, censées remplacer par du "naturel" les sodas mis à l’index. Attitude responsable, sauf que l’eau cache des surprises…

     

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    Sucre caché. Dans le flacon Volvic, le composant le plus important juste après l’eau, c’est le sucre. Ni vu ni connu, une bouteille de 75 cl fait avaler plus de trois morceaux de douceur indésirable. Le corps a certes besoin d’énergie, mais pas sous cette forme!

    Additifs inutiles. Les fruits promis sur l’étiquette sont présents sous forme d’arômes naturels: du citron et de la limette, mais pas seulement. D’autres arômes naturels figurent dans la composition – on ne sait ni lesquels ni combien – ainsi que de l’acide citrique. Ces composants sont tout droit sortis d’un labo, rien à voir avec la nature. Quant au benzoate de potassium, c’est un additif qui peut provoquer des réactions chez les asthmatiques ou les allergiques à l’aspirine.

    Pour le reste, il vaut mieux boire de l'eau en bouteille que de l'eau du robinet... malgré ce que disent les autorités, l'eau du robinet contient énormément de molécules pharmaceutiques que l'on ne peut pas encore déceler ni supprimer dans les stations d'épuration!

    On se plaint de la stérilité masculine? ils boivent au robinet de l'eau qui contient des molécules de.... la pilule!

    ... et je ne parle pas de la contamination par les traitements chimio ou antibio!

    Moi, perso: depuis 1992, je fais mon café, mes bouillons, comme le pot-au-feu avec de l'eau en bouteille!

    Comme j'ai la sale habitude le matin en me levant de m'asperger le visage d'eau froide pour me réveiller, depuis 3 ans, je toussais... je tousse encore car, j'ai cette sale habitude tenace et parfois, hop, j'oublie et je m'asperge... la chaleur m'oblige, hélas, donc j'oublie...

    Malgré tous les examens et antibio avalés, sans compter la cortisone et tout un tas de sal.. je continue à tousser.... parce que en me mettant de l'eau sur le visage, je suis sans aucun doute embêtée par la chlorine, un composé de Javel qui s'évapore devant nous en faisant couler l'eau du robinet.... Sachez que depuis les attentats américains de 2001, en France, le chlorage de l'eau a été doublé! ce qui nous fait très souvent des "yeux de lapin" en sortant de la douche... et le Javel des piscines rend, très souvent, les champions de natation très allergiques... alors, à vous de conclure!

    De plus, il faut savoir que les normes de propreté de l'eau en bouteille sont deux fois plus sévères que l'eau du robinet (l'émission de Cymes me l'a appris il y a 7 ou 8 mois)... Résultat, non seulement nous payons très cher le traitement (qui est complètement bidon) de l'eau dans nos factures, mais, en plus, nous devons uniquement utiliser de l'eau en bouteille pour notre santé. Ce qui revient plutôt cher.... Un conseil, ne buvez pas l'eau au goulot, le plastique dans la bouche, c'est bisphénol et compagnie.... et, quand il n'y a plus d'eau, jetez la bouteille, au bout de 9 mois, le plastique se dégrade et l'eau que vous boirez sera biphénolisée! donc, prudence en achetant vos eaux...

    Sur le net, beaucoup de filles se lavent les cheveux avec seulement l'après shampooing car elles pensent protéger leur chevelure: IDIOT; elles n'ont rien compris: la faute de l'eau du robinet...

    Si après avoir lavé vos cheveux le matin, ils grasseyent déjà le soir ou le lendemain, ce n'est pas votre shampooing: c'est l'eau du robinet. Je vous conseille de faire un dernière rinçage après lavage des cheveux avec 1 bouteille d'eau et vous verrez la différence! En hiver, vous la chauffez un peu dans une casserole et vous rajoutez du vinaigre pour la brillance... avec ce système et dans des conditions de vie normales (sans le sport qui fait transpirer) vous devriez pouvoir avec des cheveux propres durant pratiquement une semaine.. par contre, les allergiques doivent retirer les allergènes des cheveux;

    Petit truc pour avoir des cheveux propres sans les laver... mon truc du temps où j'avais les cheveux tellement longs que, lorsque je m'asseyais, il me fallait les soulever pour ne pas avoir la tête bloquée: des cheveux longs, c'est très long à sécher... donc, je mettais un vieux collant dans la brosse à cheveux et je brossais... rapidement, le morceau du collant va au fond des poils de la brosse à cheveux: vous verrez toute la poussière, c'est absolument incroyable... pour continuer un peu, déplacer le morceau de collant pour avoir un propre et recommencez à vous brosser... vous allez être suffoqué-e de la poussière que vous récupèrerez! bien sûr, vous aurez beaucoup de poussière quand les cheveux seront plutôt sales. Le bon sens n'est pas "près de chez vous" comme dit la pub, il doit être en vous!

    Ces trucs n'ont rien à voir avec la cuisine... mais, il y en plus d'un millier sur mon site

    www.tradi-cuisine.com

    Vous êtes de plus en plus nombreux chaque jour a y passer, plus de 800 visites par jour, merci!

     

  • Toulouse prend en compte les seniors comme il se doit

    A Toulouse, une résidence mixte accueillant seniors et personnes en situation de handicap

    Habitat Toulouse, principal bailleur social de la ville rose, a inauguré le 29 avril une opération de 28 logements, dont 12 équipés de domotique pour accueillir des handicapés moteur. L’office public de l’habitat a élaboré le projet en collaboration avec l’association spécialisée dans la prestation aux personnes en situation de handicap Carpe Diem.

    A quelques pas de la gare Matabiau à Toulouse, la résidence Jean Aicard, inaugurée le 29 avril, marque l’entrée de la cité Bonnefoy, dont elle est la dernière phase de son renouvellement. Elle est aussi la première opération mixte d’Habitat Toulouse, principal bailleur social de Toulouse avec un parc de 17 500 logements.

    Ainsi, sur les 28 logements, 12 sont des T2 réservés à l’association d’aide aux handicapés Carpe Diem qui y loge des personnes en situation de handicap moteur. Cinq autres (T2 et T3) sont réservés à des “séniors“.

    Le maître d’œuvre, l’agence Bellouard-Montlaur-Balducchi, a travaillé dès la phase étude avec Carpe Diem et l’association GIHP  pour la conception des espaces et le choix des dispositifs techniques. Il a aussi bénéficié du retour sur expérience d’une opération similaire réalisée à Lyon. "Cette visite nous a permis de comprendre la nécessité de simplifier au maximum les déplacements à l’intérieur des appartements. Au final, rien n’est compartimenté dans les logements. Par ailleurs, nous avons choisi d’installer un ascenseur de 1 000 kg plutôt que d’opter pour le poids règlementaire de 630 kg. Plus grand, il laisse de la place pour accompagner une personne en fauteuil roulant », explique l’architecte Philippe Montlaur.

     

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    Autre spécificité: le coin jour est largement séparé du coin nuit, dans lequel est confinée la partie médicale. A travers les larges baies vitrées et les loggias, l’architecte a aussi recherché la transparence pour une plus grande ouverture sur l’extérieur.

    Ensuite, Habitat Toulouse a eu recours à la domotique pour motoriser les systèmes de commande (porte-palière, volets roulants, porte fenêtre du séjour). Par ailleurs, un local est réservé à un service d’aide et d’accompagnement à domicile géré par l’association Carpe Diem.

    Quant aux logements "séniors", Habitat Toulouse a travaillé avec l’association Delphis et à partir d’un cahier des charges établi par le Département du Rhône et l’APCIL. Les appartements sont, par exemple, équipés de de volants roulants électriques, de système d’éclairage basse consommation permanent sur le parcours chambre.

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    En structure béton, le bâtiment s’élève sur quatre niveaux avec un parking en sous-sol semi-enterré. La majorité de logements sont traversants desservis, au nord, par une coursive éloignée de la façade, et s’ouvrant, au sud, sur de vastes loggias donnant sur la rue. Les deux premiers niveaux sont dédiés au service d’aide à domicile et aux logements adaptés au handicap. Habitat Toulouse a évalué les surcoûts à 240 000 euros HT, soit 20 000 euros par logement adapté, en intégrant les surcoûts structurels (largeurs des coursives) et l’ensemble des équipements. Pour les cinq logements séniors, les équipements supplémentaires ont coûté 15 000 euros HT.

    D’autres opérations de ce type devraient suivre. C’est en tout cas ce qu’a annoncé Franck Biasotto, président d’Habitat Toulouse lors de l’inauguration.

    Et, tant que j'y suis...

     

    Toulouse, toulousain, recettes, cuisine, gastronomie, Occitanie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    FAIRE CIRCULER SUR TOUTE LA PLANÈTE!

     

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!