Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 203

  • Place du Salin

    salinCujas_-_Palais_de_Justice_de_Toulouse.jpgElle doit son nom au salin royal, lieu de perception du droit sur le sel. (comme on pouvait s'y attendre).

    La place du Salin fut le lieu de nombreuses exécutions, comme celle de Jean de Caturce en 1532, ou de Giulio Cesare Vanini en 1619.

    Le place du Salin est un quadrilatère arboré dont le N°1 se situ à la jonction des rue du Languedoc et de de la grande rue Nazareth au Nord-est de la place. Elle reçoit sur son flanc Est la rue de Azes, et donne naissance au Sud -est à la rue des fleurs. Le flanc sud est occupé par le Palais de justice.

    À son extrémité sud -ouest elle se prolonge par la place du parlement et donne naissance à ce niveau à la rue de la fonderie. Son coin nord-ouest donne naissance à la rue Pharaon. Le flanc nord est occupé par le temple du Salin bordé par l'impasse de la trésorerie.

    La place est bordée par l'ancien parlement, installé dans l'antique Château Narbonnais, actuel palais de justice, le temple du Salin, aussi appelée église Saint-Matthieu et l'ancien atelier d'Eugène Trutat.

    Une sculpture représentant Jacques Cujas et réalisée en 1837 et érigée en 1850 par Achille Valois se trouve au centre de la place.

     

    salin foireail 1899.jpgMarché à l'ail 24 août 1899. Photographie d'Eugène Trutat, archives de Toulouse

    Un marché à l'ail s'y déroule tous les 24 août, jour du massacre de la Saint-Barthélemy, depuis 18961. Des marchés de petits producteurs s'y déroulent aussi, les mardis, vendredis et samedis, ainsi qu'un marché aux livres les vendredis.

     

    Marché aux livres Salin

    Place du Salin

    Le vendredi de 7h00 à 18h00

    Métro ligne A Saint-Cyprien République

    Un autre marché aux livres:

    Marché aux livres Arnaud Bernard

    Place Arnaud Bernard

    Le jeudi de 7h00 à 18h00

    Métro ligne B Compans-Caffarelli

    Marché aux livres Saint-Cyprien: Place Roguet

    Papiers de collections et jouets anciens

    Le lundi de 8h00 à 19h00

    Métro ligne A Saint-Cyprien République

    Marché bouquinistes et artistes plasticiens Saint-Etienne

    Livres - Place Saint-Etienne

    Le samedi de 9h30 à 18h00

    Métro ligne B François Verdier

    J'ai souvent baguenaudé dans ces marchés: je dis toujours, quand je suis née, j'avais un stylo dans la main droite et un livre dans la main gauche!

     

    Cujas_in_Toulouse.jpg

     

     

     

     

     

     

    Statue de Cujas

  • Nouveauté diététique: La cirrhose sans alcool, vers une nouvelle épidémie

    Comme je vais installer une note sur le Pippermint (Revel), je vous indique, d'avance, le risque de trop boire ou manger sucré.

    La stéatohépatite, qui peut dégénérer en cirrhose voire en cancer, ne concerne plus uniquement les patients alcooliques mais aussi de plus en plus d'obèses et de diabétiques.

    C'est un point de moins dans le camp des amateurs de sucres. À longueur de colonnes on nous parle surpoids, diabète et risques cardio-vasculaire… Mais en négligeant un organe qui souffre à bas bruit de nos mauvaises habitudes: le foie.

    Trente à cinquante pour cent des adultes américains auraient un foie trop gras. En termes médicaux, cela s'appelle la stéatose métabolique, ou NAFLD (pour "non-alcoholic fatty liver disease"), qui si elle se complique d'inflammation et d'atteintes des cellules hépatiques peut évoluer en stéatohépatite métabolique. Un terme que Vlad Ratziu, professeur d'hépatologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris), préfère à l'appellation de stéatohépatite non-alcoolique ("NASH"), souvent utilisée parce que les malades présentent "les mêmes lésions du foie que dans l'hépatite alcoolique, alors qu'ils boivent peu ou pas du tout d'alcool", précise le Pr Lawrence Serfaty, hépatologue à l'hôpital Saint-Antoine et co-organisateur, fin juin à l'Institut Pasteur, d'un symposium dédié à cette maladie.

    Graisses et fructose

    La NASH peut entraîner une fibrose, qui peut évoluer en cirrhose voire en cancer, et "nous avons plein d'exemples de patients qui ne boivent pas une goutte d'alcool, n'ont jamais eu d'hépatite virale, et se voient diagnostiquer une cirrhose avec pour seul facteur de risque, le fait qu'ils boivent plusieurs sodas par jours", témoigne Lawrence Serfaty.

    En France, "au vu du nombre de personnes obèses ou en surpoids, on peut estimer que 20 % environ des adultes ont une stéatose", indique le Pr Ratziu. D'aucuns parlent même d'"épidémie" tant le nombre de cas augmente en parallèle de l'obésité et du diabète.

    Accusé principal selon Lawrence Serfaty: "Notre alimentation, trop riche en graisses et en fructose, qui est très toxique pour les cellules hépatiques. Une étude publiée début juin par des chercheurs américains dans le Journal of Hepatology, menée sur 2 634 patients, montre que les personnes buvant quotidiennement des boissons sucrées auraient 55 % de risques supplémentaires de développer une stéatose métabolique. Une autre étude américaine invitait des étudiants à manger au fast-food deux fois par jour: "en deux semaines, leurs transaminases avaient augmenté", indique Lawrence Serfaty, qui précise que cette maladie du foie trop gras est présente chez de plus en plus d'adolescents.

    Une maladie mal connue qui évolue sans symptômes

    La difficulté est que cette maladie, mal connue des médecins, évolue en silence, sans aucun symptôme, et est le plus souvent "cachée" par d'autres facteurs de risques: surpoids ou obésité (90 % des obèses seraient concernés), voir simple excès de graisse abdominale, diabète, hypertension, dyslipidémie. "Chez ces patients, on surveille le risque d'artériosclérose, de diabète, de maladies cardio-vasculaires, mais trop de médecins oublient que le foie aussi peut être atteint", regrette Vlad Ratziu. "Mais 15 à 20 % des patients n'ont aucun facteur de risque métabolique", note le Pr Serfaty.

     "Le diagnostic définitif ne peut être posé qu'avec une biopsie du foie, geste invasif qui ne peut évidemment pas être fait chez tout le monde", explique Lawrence Serfaty. Une hausse importante des transaminases, repérable par simple prise de sang, est toutefois un marqueur indirect de stéatohépatite, qui peut aussi être observée à l'imagerie médicale. "Quand on cherche, on trouve", conclut le Pr Serfaty.

    Or le diagnostic est essentiel, non seulement pour éviter que la maladie ne dégénère en cirrhose ou en cancer, mais aussi parce que "ces pathologies peuvent agraver la toxicité de certains médicaments", indique Bernard Fromenty, pharmacien et directeur de recherche de l'Inserm spécialisé en toxicologie. "Nous savons que le paracétamol est très toxique pour le foie en cas de surdosage, et le seul de toxicité serait plus bas, et les lésions plus graves chez les personnes souffrant de NASH. Certains antirétroviraux, le méthotrexate très utilisé en dermatologie et contre certains cancers du sang, et le tamoxifène contre le cancer du sein sont aussi suspectés d'être toxiques pour ces patients, même aux doses recommandées." Problème: on ne connaît pas bien les mécanismes responsables de ces sur-toxicité, ni l'ensemble des médicaments concernés.

    Nouvelles molécules

    Les médicaments étaient, jusqu'à peu, "pas très efficaces et assez toxiques, note l'hépatologue, mais de nouvelles molécules arrivent". L'une d'elle, développée par le laboratoire français Genfit, a montré des résultats prometteurs dans une étude pilotée par le Pr Ratziu. Il a entraîné une réversion de la stéatohépatite sans effets secondaires et "a amélioré le profil de risque cardio-métabolique" des patients, explique le médecin. Lorsque le foie est trop abîmé, la greffe est l'ultime solution, et la NASH est devenue  la principale indication pour les greffes hépatiques aux États-Unis .

    Mais avant tout, le premier des traitements est une bonne hygiène de vie: perte de poids, exercice physique, rééquilibre du diabète éventuel. Et surtout, une meilleure alimentation. "Mieux vaut un verre de vin qu'un litre de soda!",  sourit le Pr Serfaty. Conseil d'hépatologue…

     

  • Place de la Concorde: ha, ha, ha!

    Les places du Capitole à Toulouse et Nationale à Montauban parmi les 5 plus belles de France

    Le magazine Détours en France a classé la place du Capitole à Toulouse, troisième plus belle place de France. Elle devance d’une courte tête la place Nationale de Montauban (quatrième). Les deux premières places du podium sont occupées par la place Stanislas de Nancy et la Grand’Place de Lille.

    L’emblématique place toulousaine doit son classement à ses façades de briques roses, mais également aux " 29 peintures signées Raymond Moretti " qui ornent les voûtes des arcades, explique le magazine.

    Quatrième de ce palmarès des plus belles places de France, la place Nationale, anciennement place Royale, de Montauban, avec ses arcades appelées " couvert des drapiers, des sabots ou du blé ", rappelle le magazine, qui y voit " un endroit idéal pour boire un café avant de partir découvrir la cité ".

    Les places toulousaine et montalbanaise sont suivies, dans ce classement, par la place de la Bourse de Bordeaux et la place de la Concorde à Paris. (raté!)

     

    1012392887.JPG

     

     

     

     

     

     

    capitole.jpg

     

     

     

     

    TOULOUSE: la plus belle!

    Foi de toulousaine!

     

    Pour les peintures de Moretti, vous avez en cartouche une de ces peintures....

    La suite, bientôt!

     

     

  • 5 fruits et légumes par jour: c'est bon pour notre santé?

    Pour garder les pommes et autres fruits dans les frigos, savez-vous qu'ils subissent un lavage avec une substance très dangereuse?

    SmartFresh (SmartFresh Quality System) est une marque commerciale d'un produit de synthèse, commercialisé par AgroFresh. C'est un régulateur de croissance, à base de 1-Méthylcyclopropène (1-MCP), largement utilisé comme activateur de qualité pour la conservation des fruits, notamment les pommes.

    Le 1-MCP agit par une fixation préférentielle sur les récepteurs de l'éthylène, bloquant ainsi les effets de l'éthylène endogène et exogène. Il est appliqué dans les installations de stockage et les conteneurs de transport pour ralentir le processus de maturation et la production d'éthylène dans les fruits. Cette méthode de prolongation de la durée de vie des produits a été approuvée par l'Union européenne en 2005.

    L'usage du 1-MCP peut être combiné avec la technologie de l'atmosphère contrôlée, qui a été la pratique standard dans le secteur de la production fruitière pendant les 50 dernières années. L'ingrédient principal en volume (92 à 94 %) dans SmartFresh est une α-Cyclodextrine4, souvent utilisée pour générer des aérosols ainsi que des arômes complexes. L'α-Cyclodextrine est utilisée pour masquer les goûts et odeurs désagréables. Cette substance est couramment employée pour traiter les agrumes afin d'en réduire l'amertume.

    À la fin de 2005, la méthode est mise sur la sellette dans la presse américaine, qui révèle que cette technique est parfois utilisée pour inhiber la maturation des fruits, pendant une période pouvant aller jusqu'à une année, ce qui conduit les consommateurs à acheter des fruits âgés d'un an sans qu'ils en soient conscients. Les fruits traités au 1-MCP ne sont soumis à aucune réglementation en matière d'étiquetage, et sont autorisés y compris pour des aliments certifiés biologiques, qu'il est donc impossible de distinguer des produits non traités.

    Bien que le National Organic Program n'autorise pas une utilisation sur les produits biologiques, il n'existe pas de moyens pratiques d'appliquer cette prescription puisque le seul test mis au point par l'Environmental Protection Agency (EPA): la méthode radioanalytique est beaucoup trop coûteuse, même si elle permet de mesurer les résidus sur les fruits jusqu'à 90 jours après le traitement.

    Étant donné la commodité d'application de SmartFresh, un petit sachet qui peut être jeté dans une boîte, le rend d'accès facile pour les agriculteurs biologiques. En 2006, les détaillants sont divisés sur l'opportunité d'utiliser cette technique d'amélioration de la qualité. Dans une publication de Greenpeace, True Food Network6, Tony Russell, directeur d'Apple & Pear Australia, affirme que la prolongation de la durée de vie des fruits est nécessaire pour pouvoir vendre des produits comestibles durant toute l'année, et conserver ces fruits en bonne santé. De son côté, Stephen Morris, directeur du Sydney Postharvest Laboratory indique que les teneurs en vitamine C et antioxydants peuvent encore baisser, préoccupation partagée par d'autres dans le secteur de l'arboriculture fruitière.

    Il n'y a pas de certitude absolue sur les risques pour la santé humaine de l'utilisation de ce produit qui est destiné à une distribution à grande échelle. Susan Kegley, chercheur principal de " Pesticide Action Network North America ", basé à San Francisco, le perçoit comme présentant " vraisemblablement un très faible risque pour les consommateurs ". D'autres scientifiques considèrent le 1-MCP comme " probablement inoffensif pour l'homme ".

    En 2015, ce produit est autorisé dans plus de 45 pays dont : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chili, Chine, Costa Rica, États-Unis, Guatemala, Israël, Mexique, Nouvelle-Zélande, Nicaragua, Suisse, Turquie, et dans l'Union européenne : Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Irlande, Italie, Pays-Bas, Pologne et Royaume-Uni.

    La préparation SMARTFRESH (AMM n°2050073) a été évaluée par l’Agence dans le cadre d’un dossier de demande de transformation d’une autorisation de mise sur le marché provisoire en autorisation de mise sur le marché (dossier n°20 08-0416) sur pommes, poires (poirier et poirier-nashi-cognassier), prunes et kiwis…

    Et l'agence française de sécurité sanitaire leur donne son accord de continuer à nous empoisonner.

    Anses

    http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/AVIS_EXMA_SMARTFRESH_cle0229e7.pdf

    ----------------------------------------------------------

    Encore une pierre sur le mur de la honte. A nous de faire les bons choix et d'agir contre ses marchants de mort. Il faut essayer de boycotter au max ce genre de produits. le moyen que nous avons pour les "détruire" c'est en achetant pas leurs produits. Alors ce n'est pas facile, même le bio est loin d'être parfait, mais il faut valoriser les petits producteurs autour de chez soi.

    Pour les pommes du supermarché, demandez à votre producteur combien de passage en cuivre et en souffre il aura fallu qu'il fasse dans sa saison… Et on ne parle pas des 25 à 30 traitements que la pomme subit avant d'arriver dans votre assiette.

    Vous allez dire: consommons de saison ou consommons bio: le "Bio" selon la norme c'est "moins de produits toxiques" et des "produits naturels"… Çe qui ne veut pas dire "zéro produits toxiques"frtuisfrais.jpg

    Sachez que, même en bio, sont effectués des traitements dits “lessivables“ et qu'il ne restera rien sur vos fruits (en principe), mais la pollution des sols existe !

    Il ne suffit pas juste de les peler, le produit de conservation dans les frigos et autres pesticides se retrouvent dans la chair! Il faudrait peler le fruit sur 8 mn de profondeur pour en retirer un maximum…

    Pour leur ôter environ 70% de produits chimiques les faire tremper dans de l'eau et du vinaigre blanc quinze à vingt minutes l'eau devrait être sale après ce bain; puis, passez-les 5 m“ dans de l'eau au bicarbonate. Et ne pensez surtout pas aux vitamines hydrosolubles, sinon, vous ne mangeriez jamais de fruits!

    Personnellement, depuis 3 ans, je ne mange que des fruits et légumes bio ou sinon, au minimum, des produits français et je les passe à l'eau bicarbonatée.

     

     

  • Pommes de terre au lard

    Ces pommes de terre vont bien avec les rôtis: veau, bœuf, porc.

    Pour 4, 1 kg de pomme de terre à chair ferme, 4 ou 5 oignons jaune, 200 g de cansalade plate non salée et non fumée, bien sûr, 1 morceau de vrai lard, une cuillère à soupe de graisse de canard; 1 verre de vin blanc sec ou du cidre et autant d'eau ou plus; 2 cuillerées à café de tomate concentrée, poivre, pas trop de sel, 2 gousses d'ail

    Coupez les pommes de terre en lamelles assez fines et ne pas les rincer. Réservez jusqu'au montage à l'abri de l'air et lumière, soit dans un torchon de cuisine, propre, bien évidemment.

    Faites roussir les cubes de cansalade, les oignons et le morceau de lard blanc à feu vif et mélanger pour ne pas laisser brûler. Ajoutez le concentré de tomate dilué, les gousses d'ail haché, le vin et l'eau; poivrez, ajoutez le bouquet garni, goûtez pour saler car la cansalade ou le lard peuvent déjà être salés, laisser cuire à feu bas, couvert, une dizaine de minutes.

    Dans un plat à gratin beurré, disposez en couches successives les pommes de terre et la sauce. Terminez par la sauce. Cuire à four moyen à chaud 25 à 30 m'.

    Vous pouvez mettre le morceau de lard dans le lardoir et le passer, fondu, sur les pommes de terre.

  • Ma pub

     

    https://www.facebook.com/pages/Josyane-Joyce/799863383431240