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recette - Page 5

  • A celles et ceux qui ne jurent que par l'huile d'olive

    Une fois l'huile extraite, elle est traitée aux solvants puis raffinée. Le raffinage de l’huile d’olive comprend:

        la démucilagination

        la neutralisation

        la décoloration

        la désodorisation

        le traitement contre l'oxydation

        et parfois l'hydrogénation et la recoloration

    On est loin de l'olive !

    Heu... la graisse de canard, c'est mieux...

    Mettre "graisse de canard" dans la boîte à outil "rechercher" pour connaître ses propriétés

  • Magret aux champignons

    Normalement, on ne dit pas le magret, mais le "maigret", le maigre du canard... mais bon, comme c'est passé dans le langage courant...

    Ingrédients pour 6 personnes:

    900 g de magrets de canard; 300 g de crème fraîche épaisse entière

    300 g de cèpes frais; 20 g de graisse de canard

    5 g de persil frais; Sel, poivre

    Lavez rapidement, ou brossez bien, puis et émincez les cèpes avant de les faire revenir dans une poêle à feu moyen avec la cuillère de graisse de canard, le sel, le poivre et le persil ciselé, sans cesser de remuer.

    Ajouter les ¾ de la crème fraîche pour cuire 5 minutes supplémentaires à feu doux. Retirez du feu, versez le reste de crème, couvrir et réserver.

    Otez la couenne de gras (et réservez-là pour la faire fondre plus tard qui sera utilisée pour les pommes de terre) des magrets, les saler et les poivrer avant de les cuire dans une poêle en tôle noire, côté peau, à feu moyen pendant 8 minutes.

    Les retourner et faire cuire 4 minutes supplémentaires.

    Retirez du feu les laisser reposer 5 minutes à l'entrée du four ou sur une plaque chaude. Puis les couper en tranches de 1 cm et servir avec la sauce aux cèpes.

    Donc, n'oubliez pas: il faut garder la graisse du magret; une fois totalement fondue, il reste un quignon de couenne que vous pourrez couper en gros cubes et les rouler dans du sel pour les croquer à l'apéritif.

  • On peut l'attraper 2 fois!

    Les scientifiques chinois annoncent que le virus peut s’attraper une seconde fois et devient alors plus meurtrier.

    https://www.taiwannews.com.tw/en/news/3876197.

    Bien sûr on pourra se poser des questions à ce sujet. Pourquoi plus meurtrier? Parce qu’on n’a pas réussi à faire des anticorps et que le virus est plus malin que nous? Ou parce qu’il revient sur des organismes déjà affaiblis" Ou toute autre réponse. Pour l’instant on n’en sait rien.

    La seule chose que l’on sache, c’est que les Chinois, comme les Iraniens, mentent à leurs populations sur l’ampleur de l’épidémie, et qu’en Chine, ô horreur, des malades mourants ont été brûlés vifs sans attendre leur décès pour faire de la place dans les hôpitaux.

    https://rahunew.blogspot.com

    D’autre part le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que  la "fenêtre d’opportunité" pour endiguer la propagation du virus est en train de se refermer.

    https://www.theguardian.com

    Cette déclaration ayant été faite avant les nouvelles contagions en Italie de cette semaine, et surtout en Iran qui s’évertue à cacher la réalité du problème, on peut se demander si la fameuse fenêtre est aujourd’hui refermée. Cela signifierait que la propagation du virus ne peut plus être endiguée. En France, bien que cela soit caché aux populations et que les informations restent strictement locales, il n’y a pas une seule ville, grande, moyenne ou petite, qui n’ait son ou ses cas de gens infectés. Le virologue australien Paul Hunter vient de déclarer que nous atteignons "le point de non-retour". Mais en tout état de cause, le virus est maintenant partout. Et en France dans toutes nos villes.

    La troisième information a été donnée aujourd’hui: le coronavirus a infecté un chien paraît-il.

    Affirmation à suivre bien sûr. Mais qui pose de nombreuses questions.

    Reste à savoir si le virus va muter en se répandant, quel est son taux de mortalité, s’il y a des gens qui génétiquement ne peuvent le contracter, et si les scientifiques sont capables de mettre au point des traitements. Bref quelle est sa nature que l’on semble ignorer aujourd’hui. Mais les comportements auront aussi un rôle à jouer : entre autres éviter les regroupements et les lieux à forte densité de population ainsi que les contacts, car il n’y aura pas grand-chose à faire sinon attendre que ça se passe et faire ensuite le décompte des victimes.

     

  • Gâteau à l'orange caramélisée

    Ingrédients

    120g de farine fluide: 120g de sucre

    4 oranges bio; 120g de beurre fondu; 2 œufs; 1 sachet de levure

    Préchauffez votre four à 180°C.

    Dans un saladier, mélangez le sucre et une bonne partie du beurre ensemble. Ajoutez les œufs, la farine, et la levure. Mélangez bien

    Lavez bien les oranges. Récupérez le jus de 3 oranges, et faites des zestes de la peau

    Mettez les zestes d’orange avec le mélange précédent. versez le jus des oranges dans la préparation. Mélangez encore.

    Dans votre plat à gâteau, beurré et saupoudré de sucre (chemisage), versez votre préparation.

    Enfournez pendant 25 minutes.

    Démoulez le plat:

    1e : passez un couteau entre le gâteau et le moule

    2e: prendre un torchon un peu humide, l'installer d'un bord à l'autre du moule, par le dessous, et renversez sur un plat à gâteau de présentation (un peu comme on retourne une omelette): non seulement vous ne vous brûlerez pas, mais ce système aide à décoller le gâteau de son moule.

    Coupez la 4e orange (cure) en très fines rondelles et rangez en rosace sur le gâteau; faites du caramel et arrosez toute la surface du gâteau. Le carmel en refroidissant “colle“ les rondelles et donne une joli présentation à votre gâteau.

    J'adore faire ce gâteau!

     

  • Gâteau sans pâte à la banane

    Pour 6 personnes

    150 g de biscuits sablés; 75 g de beurre fondu

    1 pot de confiture de lait; 3 bananes moyennement mûre

    25 cl de crème fleurette entière; 1 cuillère à soupe de sucre glace

    Cacao amer (c'est-à-dire non sucré)

    Mixez tout d'abord les biscuits sablés pour obtenir une chapelure pas trop fine. Versez-la dans un saladier; ajoutez avec le beurre fondu et bien mélanger.

    Dans un moule de 22 cm de diamètre (à charnière de préférence pour faciliter le démoulage), versez la préparation précédente en tapissant bien pour former un fond de tarte. Mettre au frais pendant 30 minutes.

    Bien sûr, si vous n'avez pas de moule à charnière: utilisez un moule en verre ou en fer en le chemisant = beurrez très largement de tous les côtés votre moule, saupoudrez de sucre fin... tapotez le fond du moule pour faire partir le trop versé de sucre.

    Battre la crème fleurette en chantilly dans un saladier qui a été -auparavant- mis au frais. Ajoutez le sucre glace quand la chantilly commence à prendre forme.

    Versez la confiture de lait sur le fond de tarte et bien l'étaler. Coupez les bananes en rondelles assez épaisses (saupoudrées de cannelle ou de vanille en poudre) et placez-les sur la confiture de lait.

    Recouvrez le tout de chantilly. Bien lisser la surface. Mettre au frais au minimum 1 heure.

    Démoulez délicatement et saupoudrez de cacao amer avant de servir.

    Pour faire de la confiture de lait:

    Mettre une boîte de lait concentré entier dans une casserole avec de l'eau à moitié de la hauteur de la boîte; laissez cuire, à feu moyen plus d'une heure; attention en ouvrant la boîte de lait: projections possible. Je suis un peu contre ce procédé car les boîtes de conserves sont recouvertes d'un vernis et en chauffant, il dégrade le contenu de la conserve..

    Je dirais que le mieux, c'est d'ouvrir la boîte, de mettre le lait dans une terrine en terre ou en verre épais et de faire chauffer le lait pour que la vapeur concentre le lait.

    Vous pouvez agrémenter la chantilly avec une grosse cuillère d'Armagnac ou de Grand Marnier. Pour lui donner une couleur, pensez à saupoudrer, avant de tourner la chantilly, de menthe en poudre, d'orange en poudre, etc...

     

     

  • Saucisse de Toulouse, genre tartiflette

    Faites chauffer votre four à 180°

    Pour deux:

    5 ou 6 pommes terre moyennes cuites à l'eau salée et coupées en lamelles moyennes, 150 g de reblochon, 2 gros oignons jaunes, 20 cl crème fraîche liquide; 250 g de saucisse de Toulouse, sel, poivre, 30 g de graisse de canard

    Faites cuire vos pommes de terre à l'eau, réservez dans l'eau pour ne pas qu'elles noircissent.

    Émincez grossièrement les oignons et faites-les rissoler jusqu'à l'obtention du couleur caramel clair. Réservez au chaud

    Coupez tout au long du boyau la saucisse pour obtenir de la chair à saucisse, faites cuire la saucisse de Toulouse dans une poêle avec la graisse de canard, bien émiettée.

    Beurrez un plat en verre, genre plat à cake;

    Retirez un peu de lamelles de pommes de terre avec l'écumoire et laissez bien égoutter puis répartissez dans le fond du plat en une couche d'au moins 2 cm

    Ajoutez par-dessus moitié fricassée d'oignons, puis une couche de chair à saucisse de Toulouse, l'autre moitié d'oignons. Salez et poivrez chaque couche et parsemez de fleurs de thym ou de vieux thym.

    Coupez le reblochon en larges entailles et posez-le en dernier au dessus du moule; arrosez de crème liquide, enfournez 20 à 25 mn environ

     

     

  • Aie, les pommes!

    Le changement de climat influence le goût et la texture des fruits. L'effet du réchauffement climatique sur les pommes…

    Et si les pommes ne croquaient plus autant sous la dent? Selon des chercheurs japonais, le changement de climat a un effet sur le goût et la texture des fruits : les pommes sont devenues moins fermes, moins acides et plus sucrées. Ces résultats paraissent dans Nature scientific reports.

    Avec 60 millions de tonnes par an, la pomme est le troisième fruit le plus produit dans le monde. Pratique à transporter, consommer et conserver, elle a tout pour séduire ! Riche en anti-oxydants, comme les flavonoïdes, la pomme contient des molécules permettant de prévenir cancer et maladies cardio-vasculaires.

    Des chercheurs japonais se sont intéressés à l’évolution du fruit au cours des dernières décennies. En effet, le réchauffement climatique pourrait modifier les caractéristiques des pommes que nous mangeons. Deux vergers produisant les pommes Fuji et Tsugaru et se trouvant dans les régions de Nagano et Aomori au Japon ont servi à l’étude. Dans ces deux exploitations agricoles, les pratiques culturales et les variétés cultivées sont restées les mêmes tout au long des 40 années qu’a duré l’étude. Entre 1970 et 2010, une vingtaine de fruits a été récoltée tous les 5 à 10 ans pendant la période de maturation ; les fruits ont été prélevés sur des pommiers qui avaient au moins 10 ans pour éviter l’effet dû à de jeunes arbres. 

    Entre 1970 et 2010, les températures à Nagano et Aomori se sont élevées de 0,31 et 0,34°C respectivement par décennie. En même temps, les chercheurs ont relevé une baisse de l’acidité et de la fermeté, mais une hausse de la concentration en sucre dans les fruits. Ces modifications touchant les fruits pourraient être dues à la floraison qui a lieu de plus en plus tôt, mais aussi aux températures plus élevées lors de la maturation.

    Les effets du climat sur le goût et la texture des aliments restent assez peu étudiés. Pour l’instant, le consommateur n’a peut-être pas perçu ces légers changements. Mais ceux-ci pourraient se poursuivre si le climat continue à évoluer...

    Source

    Sugiura T, Ogawa H, Fukuda N, Moriguchi T. Changes in the taste and textural attributes of apples in response to climate change. Sci Rep. 2013 Aug 16;3:2418. doi: 10.1038/srep02418.