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  • Plein de caféine?

    Ce n’est pas parce que votre café est amer qu’il est "plus fort"

    Le café – un grain aux multiples possibilités…. Le mode d’infusion constitue un choix important: espresso, filtre, piston, percolateur, préparation instantanée, etc. Chaque technique nécessite un équipement, une durée, une température, une pression et une mouture de café, ainsi que des besoins en eau qui lui sont propres.

    Notre préférence quant à la méthode d’infusion peut provenir de notre culture, de notre société ou de considérations plus pratiques.

    Mais dans quelle mesure ces facteurs influencent-ils réellement le contenu de votre tasse?

    Quelle infusion est la plus forte?

    Ça dépend. Si nous nous intéressons à la concentration de caféine, sur une base de milligramme par millilitre (mg/ml), la méthode espresso produit généralement la concentration la plus élevée, pouvant atteindre 4,2 mg/ml. C’est approximativement trois fois plus que d’autres techniques, comme celle de la cafetière italienne (un type de percolateur à ébullition) et l’infusion à froid, avec à peu près 1,25 mg/ml. La cafetière à filtre et la cafetière à piston (y compris le procédé AeroPress) fournissent environ la moitié de cette concentration.

    Plusieurs raisons expliquent l’extraction maximale de caféine par la méthode espresso. En utilisant une mouture la plus fine, il y a plus de contact entre le café et l’eau. L’espresso fait également appel à la pression, expulsant davantage de composés dans l’eau. L’infusion plus prolongée de certains autres procédés n’a pas d’incidence sur la caféine. En effet, cette substance est soluble dans l’eau et facile à extraire; elle est donc libérée au début de l’infusion.

    Mais ces comparaisons sont effectuées sur la base de conditions d’extraction typiques, et non de situations de consommation normales.

    Ainsi, alors que l’espresso vous procure le produit le plus concentré, celui-ci est livré dans un plus petit volume (seulement de 18 à 30 ml), par rapport à des quantités beaucoup plus importantes pour la plupart des autres méthodes. Ces volumes varient bien sûr en fonction du fabricant, mais une récente étude de chercheurs italiens a défini un volume final typique de 120 ml pour les cafés à filtre, les cafés au percolateur et les cafés infusés à froid.

    D’après ces calculs, l’infusion à froid représente en fait la plus grande dose de caféine par portion, avec près de 150 mg, ce qui est encore plus élevé que les 42 à 122 mg que l’on trouve dans l’espresso. Bien que cette technique nécessite de l’eau froide et une mouture plus grosse, elle est préparée avec un rapport café/eau élevé, ce qui requiert des grains supplémentaires. Bien sûr, les "portions standard" sont un concept et non une réalité – vous pouvez multiplier les portions et surdimensionner n’importe quelle boisson à base de café!

    Avec l’augmentation du prix du café, l’efficacité de l’extraction, c’est-à-dire la quantité de caféine obtenue pour chaque gramme de café, peut également susciter votre attention.

    Il est intéressant de noter que la plupart des techniques sont en fait assez comparables sur ce point. Bien que les méthodes d’espresso varient, elles donnent une moyenne de 10,5 milligrammes par gramme (mg/g), contre 9,7 à 10,2 mg/g pour la plupart des autres procédés. L’unique exception est la cafetière à piston, avec seulement 6,9 mg/g de caféine.

    La cafetière à piston, ou "French press", comme on dit en anglais, a en fait été inventée en Italie, malgré sa connotation actuelle. Rachel Brenner/Unsplash

    La force, c’est plus que de la caféine

    La teneur en caféine n’explique qu’une petite partie de la force du café. Des milliers de composés sont extraits, contribuant à l’arôme, à la saveur et à la fonction. Chacun d’entre eux présente son propre schéma d’extraction, et ils peuvent interagir pour inhiber ou renforcer les effets.

    Les huiles responsables de la créma – la riche " mousse " brune qui recouvre l’infusion – sont également extraites plus facilement avec des températures et des pressions élevées, ainsi que des moutures fines (un autre argument potentiel en faveur de l’espresso et de la cafetière italienne). Ces méthodes génèrent aussi des taux plus élevés de solides dissous, ce qui se traduit par une consistance moins aqueuse; mais, là encore, tout dépend de la façon dont le produit final est servi et dilué.

    Pour compliquer encore les choses, les récepteurs qui détectent la caféine et les autres composés amers sont très variables d’un individu à l’autre en raison de la génétique et de la répétition de nos habituelles expositions. Cela signifie que l’amertume et la force d’un même échantillon de café peuvent être perçues différemment selon les personnes.

    Il existe également des variations dans notre sensibilité aux effets stimulants de la caféine. Ainsi, ce que nous recherchons dans un café, et ce que nous en retirons, dépend de notre propre biologie unique.

    Existe-t-il une infusion plus bénéfique pour la santé?

    Selon les tendances ou les jours, le café peut être présenté comme un choix sain ou malsain. Cela s’explique en partie par notre biais d’optimisme (bien sûr, nous voulons que le café soit bon pour nous !), mais peut également être dû à la difficulté d’analyser des produits comme le café, où il n’est pas évident de saisir la complexité des méthodes d’infusion et d’autres variables.

    Certaines études ont suggéré que les effets du café sur la santé sont propres au type d’infusion. Par exemple, le café filtre a été lié à des résultats cardiovasculaires plus positifs chez les personnes âgées.

    Cette relation pourrait être une coïncidence, compte tenu d’autres habitudes concomitantes, mais il semble que le café filtre soit plus sain parce que davantage de diterpènes (un produit chimique présent dans le café qui pourrait être associé à l’augmentation du taux de mauvais cholestérol) restent dans le marc et le filtre, ce qui signifie qu’une moindre quantité se retrouve dans la tasse.

    Chaque méthode d’infusion possède ses propres caractéristiques et apports. Toutes présentent ainsi un profil unique de saveur, de texture, d’apparence et de composés bioactifs. Bien que la complexité soit réelle et intéressante, en définitive, le mode d’infusion est une décision personnelle.

    Différentes informations et des circonstances entraîneront différents choix chez différentes personnes et à des jours différents.

    Emma Beckett, Senior Lecturer (Food Science and Human Nutrition), School of Environmental and Life Sciences, University of Newcastle

    The Conversation

    Pour faire une infusion à froid: il vous faut un café moulu gros.

    Mettez la quantité souhaitée de café dans votre contenant puis arrosez de bonne eau (pas celle du robinet qui est pleine de chlore) et laissez infuser environ10mn. Inutile de couvrir puisque l'eau est froide.

    Passez finement votre café et buvez-le. On s'habitue facilement à le consommer froid, même en hiver. Pour un café plus fort, il suffit d'ajouter une cuillère à soupe supplémentaire. Le mieux est de le boire sans sucre et sans lait, bien sûr.

  • Chaud, froid ou épicé: que boire ou manger quand la canicule est là?

    Partout dans le monde, l’été est synonyme de chaleur, d’activités aquatiques, de boissons froides et, bien sûr, de glaces. Si la plupart d’entre nous s’accordent à dire que la crème glacée et les boissons froides sont des plaisirs estivaux rafraîchissants, contribuent-elles réellement à nous rafraîchir ?

    Pour le savoir, il faut en savoir un peu plus sur la façon dont le corps contrôle sa température dans différentes conditions. Son maintient à une température optimale se fait par un processus appelé thermorégulation, qui implique un équilibre délicat entre production et perte de chaleur.

    Notre espèce est dite à sang chaud, endotherme, ce qui est une façon scientifique de dire que nous pouvons contrôler notre température corporelle indépendamment de l’environnement. Nous pouvons le faire parce que notre corps produit constamment de la chaleur en tant que sous-produit des processus chimiques et biologiques internes (métabolisme).

    Comment tout cela fonctionne-t-il ?

    Ce métabolisme est nécessaire au bon fonctionnement de notre corps. Il comprend les processus digestifs impliqués dans la décomposition des nutriments contenus dans les aliments, l’absorption et le transport de ces nutriments vers les cellules, et leur conversion en blocs de construction ou en énergie nécessaire à l’activité physique.

    Toutes les réactions chimiques qui y contribuent peuvent générer de la chaleur. Elle est bénéfique lorsqu’il fait froid, mais lorsque les températures extérieures augmentent, nous devons éviter la surchauffe…

    S’il peut sembler logique que l’introduction d’un aliment froid dans l’estomac, comme une glace, contribue à réduire la température, son effet rafraîchissant initial est en fait rapidement remplacé par la chaleur générée par les processus digestifs nécessaires à la décomposition de ses nutriments. La digestion d’aliments riches en calories entraîne alors une augmentation de la température corporelle. Les glaces ne sont donc pas la meilleure option pour se rafraîchir.

    Mais qu’en est-il des boissons froides ? Le transfert de chaleur entre une boisson froide et le système digestif peut effectivement directement influencer la température… Toutefois, cela n’est que momentané et dépend de la quantité et de la teneur calorique du liquide ingéré.

    Une petite quantité de liquide perdra assez rapidement son effet rafraîchissant en étant réchauffée par les organes environnants. Et de grandes quantités de liquides froids entraîneront un ralentissement de la circulation sanguine, rendant le transport de la chaleur moins efficace.

    Comme vous pouvez l’imaginer, les boissons très caloriques, telles que les sodas, auront un effet similaire à celui de la glace et relanceront notre métabolisme peu après leur ingestion.

    Pourtant on a bien l’impression de se rafraîchir

    Cet effet refroidissant des liquides froids s’expliquent plus probablement par la réhydratation qu'ils permettent. Si la chaleur s’accumule en lui, le corps tentera de perdre l’excès de chaleur en le transportant loin des organes vitaux vers la surface de la peau où il est transféré directement à notre environnement par convection et rayonnement.

    Pour que cela se produise, la température ambiante doit être inférieure à notre propre température, sinon c’est le contraire qui se produit et la chaleur est transférée dans notre corps. Tout comme la chaleur rayonnée par le soleil lors d’une chaude journée d’été.

    La transpiration est notre moyen le plus efficace de perdre de la chaleur. Elle se produit lorsqu’une augmentation de la température centrale du corps est détectée par le cerveau, qui réagit en stimulant les glandes sudoripares réparties sur toute notre peau pour produire de la sueur.

    Une fois à la surface de la peau, cette eau tout juste transpirée s’évapore, ce qui entraîne un refroidissement local (également appelé refroidissement par évaporation). Le sang qui circule près de la surface de la peau se refroidit dans le processus et contribue à réduire la température centrale.

    En moyenne, un adulte peut perdre jusqu’à un demi-litre ou un litre de sueur par jour, mais dans les environnements chauds cette quantité peut atteindre presque un litre et demi par heure. C’est pourquoi il est essentiel de maintenir le corps hydraté par temps chaud.

    Que boire alors ?

    Nous disposons d'autres boissons pour tenter de nous rafraichir.

    • Qu’en est-il des boissons alcoolisées ? De nombreuses personnes se jettent sur une bière fraîche par une chaude journée d’été pour tenter de se rafraîchir… Mauvaise idée car l’alcool est un diurétique. Ce qui signifie qu’il va favoriser les mécanismes d'évacuation de notre eau via l'urine et ainsi réduire votre capacité à perdre de la chaleur par la transpiration.
    • Paradoxalement, les boissons chaudes peuvent, elles, être un bon moyen de se rafraîchir. Bien que cela ne soit pas intuitif, la consommation d’une boisson chaude déclenche une réaction de transpiration chez les récepteurs de la bouche et de la gorge, ce qui permet au corps de se rafraîchir sans avoir à ingérer une grande quantité de liquide chaud. Nos vaisseaux sanguins se dilatent et contribuent à évacuer le surplus de chaleur. Attention à ne pas se déshydrater suite à une sudation trop importante.
    • Certains ingrédients des aliments épicés ont le même effet ; ils déclenchent également une réaction de transpiration qui permet au corps de se rafraîchir. C’est pourquoi ces types d’aliments sont populaires dans les climats chauds.

    Ainsi, si les friandises froides peuvent être satisfaisantes et certainement rafraîchissantes, une meilleure façon de se rafraîchir durablement est de pimenter un peu les choses, de transpirer et, surtout, de se réhydrater !

    Auteur: Peter Poortvliet - Post-doctoral Research Fellow in Neuroscience, The University of Queensland

    The Conversation

    Faire une boisson fraiche maison et peu chère

    Quand ma fille était enfant, je ne voulais pas lui donner le goût du sucré, alors, je lui faisais cette limonade

    De l'eau pétillante fraîche, mais pas glacée, du jus de citron et un tout petit peu de sucre: et voilà  une limonade maison!

  • Récup' de viande de volailles

    300 gr de restes de poulet, chapon ou dinde

    3 ou 4 pommes de terre, 2 gousses d’ail

    3 œufs, 50 gr de beurre, 1 verre d’huile pour friture

    sel, poivre

     Décortiquez les restes de dinde, chapon ou poulet (ailes, cuisses). Prenez sur la carcasse toutes les parties de viande pouvant y rester. Récuperez également les restes de farce si vous en avez.

    Épluchez les pommes de terre, lavez-les à l'au bicarbonatée, (pour éviter quelles noircissent, il faut les laisser dans l'eau et sortir juste pour l'utilisation, coupez-les en cubes pas trop gros. Salez légèrement.

    Pelez les gousses d’ail, ôtez le pédoncule, ajoutez les aux pommes de terre. Mettez à cuire 25 mn au cuit-vapeur ou 25 mn dans de l'eau bouillante; bien les assécher ensuite au papier absorbant ou un torchon propre

    Mettez les restes de volaille et le persil dans le bol du robot, mixez. Si vous n'avez pas de mixeur, coupez le plus fin possible au couteau. En fait, c'est mieux ainsi car un mixer chauffe la viande et dénature son goût car il tourne trop vite.

    Dans un saladier en verre, passez les pommes de terre et l’ail au presse purée grille fine.

    Ajoutez le beurre, mélangez à la cuillère en bois.

    Quand le beurre est fondu, ajoutez le hachis et les restes de farce, mélangez.

    Ajoutez 2 œufs battus en omelette, salez poivrez mélangez.

    Préparez 3 assiettes creuses, 1 avec la farine, 1 avec 1 œuf battu à la fourchette et 1 avec la chapelure.

    Façonnez les croquettes en les roulant dans vos mains.Roulez une boule et aplatissez en forme de fuseau (oblong)

    Passez chaque croquette dans la farine, puis dans l’œuf et enfin dans la chapelure.

    Mettez une poêle avec l’huile à chauffer sur feu fort. Dès qu’elle est chaude, mettez y les croquettes à frire une quinzaine de minutes en les tournant régulièrement pour qu’elles soient dorées de tous les cotés.

    Servez aussitôt avec une salade, vous pouvez accompagner d'une sauce tomate maison.

  • Les figues et une recette

    Une bonne figue est une figue charnue et ferme. Lorsque vous en achetez (ou en cueillez), elle doit être parfumée et mûre à point car après récolte, elle ne mûrit plus.

    La figue est meilleure juste après cueillette ou achat, car elle est alors très fraîche et n’a pas eu le temps de se dessécher. Mais elle peut néanmoins se conserver 4 jours à l’air libre.

    La figue est sensible au réfrigérateur, si vous souhaitez l’y conserver quand même, enveloppez-la dans un torchon pour éviter qu’elle absorbe les odeurs des autres aliments, et sortez-la 30 minutes avant consommation pour retrouver les arômes neutralisés par le froid. Vous pouvez la conserver environ 8 jours au réfrigérateur, moyennant ces quelques précautions.

    Comment la cuisiner?

    Crue ou cuite, la figue peut se consommer de différentes manières pour mieux vous surprendre.

    Avant de déguster ce fruit rempli de saveurs, vous pouvez le rincer et le sécher (pour éviter que sa peau, très poreuse, ne se gorge d’eau et se déchire). Ou si vous ne voulez pas le laver, vous pouvez l’essuyer à l’aide d’un torchon propre.

    La figue est très simple à préparer : pas besoin de l’éplucher. Mais si besoin, il suffit d’une petite coupe au niveau du pédoncule, là où la peau est légèrement plus épaisse.

    Vous pouvez éventuellement l’émincer en fines tranches à l’aide d’un couteau bien aiguisé (si ce n’est pas le cas et que le fruit est très mûr, il risque de s’écraser lors de la découpe).

    Vous pouvez également farcir le fruit en l’incisant d’abord en croix en partant du pédoncule, puis en écartant les coins et en mettant la garniture au milieu. Fromage, glace, pâte d’amande, noix… laissez libre court à vos envies.

    Au four, la cuisson prend environ 20 minutes pour la figue entière, mais elle peut aussi être fendue en deux ou quatre ou encore en morceaux.

    À la poêle, il faut environ 5 minutes pour la faire revenir, en morceaux ou ouverte en deux.

    Et pour réaliser une confiture de figues, il faut compter entre 40 et 60 minutes de cuisson dans un confiturier.

    Avec quoi l’associer?

    La figue se marie avec beaucoup de plats et de saveurs différentes, crue comme cuite.

    La figue crue se consomme par exemple :

    Dans un fromage blanc ou un yaourt

    Dans une salade de fruits

    En entrée (salade d’endive, de noix avec du fromage)

    Avec un tartare de saumon - recette plus bas

    La figue cuite peut aussi:

    Être rôtie avec du miel

    Accompagner un magret

    Relever un rôti de porc

    Il existe plein d’autres associations encore, faites jouer votre imagination et votre gourmandise.

    On vous la sert en confiture avec du fois gras: PAS D'ACCORD!

     

     

     

     

    Pour consommer la figue, il est préférable de la peler au voisinage de la queue. En effet, dans cette zone du fruit, la peau est assez épaisse. Et surtout, il peut s'y trouver des traces du "latex" présent dans les feuilles et les rameaux de la plante. Ce suc d'apparence laiteuse renferme des enzymes (des lipases, et surtout des protéases, capables notamment de faire cailler les protéines du lait). Son contact avec les lèvres ou la muqueuse de la bouche pourrait provoquer des irritations.

     

     

    Tartare de saumon aux figues

    Ingrédients pour 4 personnes :

    500 g de filets de saumon, 2 figues noires bien mûres

    2 citrons jaunes et 1 citron vert, pas grave s'ils ne sont pas bio: l'épaisseur de la peau les protège suffisamment des pesticides

    1 échalote et 1 gousse d’ail

     2 c. à s. d’huile d’olive de qualité ou de noisette

    Quelques branches d’aneth

    Presser les deux citrons jaunes, et prélever le zeste du citron vert. J'ai dis le zeste et pas le ziste qui est la peau avec du blanc et sera donc, amer.

    Hachez finement l’échalote et l’ail puis ciseler l’aneth, réservez.

    Coupez le filet de saumon en dés. Lavez et pelez les figues, puis les couper en dés (avec un couteau bien aiguisé pour éviter d’écraser la pulpe du fruit).

    Dans un plat, mélangez tous les ingrédients préalablement préparés avec l’huile d’olive.

    Réserver le tout au réfrigérateur minimum 2 h en mélangeant de temps en temps.

    Avant de servir bien mélanger à nouveau la préparation puis dresser les assiettes.

    Arrosez le tartare avec le jus de citron vert puis, dégustez.

    Ce plat peut s’associer avec un gratin de légumes, une salade verte ou des pommes de terre cuites au four ou écrasées à la fourchette avec beurre AOP ou crème fraîche épaisse.