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recettes - Page 278

  • Des Français à table: patrimoine de l'Unesco

    Comme j'ai déjà indiqué dans une note précédente, réveillonner chez J.P. (le gersois) et Maryse (bourguignonne) c'est tout une ode à nos terroirs français; ce sont “des p'tits gars bien de chez nous!" comme disait un commentateur de télé noir et blanc que personne, à par les octogénaires propriétaires de télé, dans les années 50, ne connaissent.

    Pour l'apéritif, Jean-Pierre se ferait couper ses deux mains s'il ne pouvait pas servir son floc de Gascogne… avec une tranche épaisse d'orange.

    Pour l'accompagner, surtout, servez-vous bien, et ne faîtes pas la fine bouche: olives en escabèche, filets d'anchois plats et filets d'anchois farci d'une demi-olive, frites soufflées nature et une autre forme de pétales, soufflées également au paprika, cacahuètes salées, pistaches salées, petits fromages en cubes: ma fille, qui a de bons yeux, parvenait à lire les questions à l'intérieur du papier alu…. ce qui faisait râler J.P. qui disait sans arrêt: mais pourquoi est-ce écrit si petit?

    Maryse, un peu gênée, nous montre un joli petit hérisson qu'elle a eu l'idée de proposer:dans une grosse golden, des piques faites d'une boule d'un rouge éclatant. On dirait des micro-pommes d'amour; il s'agit de mini-tomates hyper rouges, coulées dans du caramel et piquées, donc, sur une pomme jaune. Jaune et rouge: quel drapeau?

    JP bougonne: ça colle, on s'en met partout... Maryse regimbe... la tablée ne fait pas fête... mais moi, je trouve cela très bon: excellente idée, dis-je à Maryse; cela claque dans la bouche dans un éclat de fraicheur, sucré-salé assuré.... toute contente, ma meilleure amie me dit: tu sais, on nous a servi cela dans un restaurant et je me suis dis que c'était facile à faire... moi, je l'ai trouvé très bon dit elle avec un regard revanchard vers son JP!

    Et bien oui, Maryse, bonne idée de mise en bouche que je vous invite à rajouter à votre panoplie d'en-cas apéritif! trop facile à faire!

    Nous étions 8 adultes de 43 à 92 ans: nos amis, à Noël, invitent pratiquement toujours les mêmes personnes amies qu'ils connaissent; nous nous retrouvons depuis environ 8 ans, tous avec plaisir le soir du réveillon de Noël et quelques fois au réveillon du 31; parfois, il y a, en plus une de ses filles et sa famille; l'autre fille est au Canada et va la faire grand-mère dans 6 mois. Son aîné, hélas, est handicapé suite à une grave maladie arrivée à ses 14 ans. Il est, bien sûr, présent avec nous: c'est lui, le plus jeune de la bande… après lui, arrive ma fille. Puis moi: et oui, la plus jeune des seniors de la bande!

    Cette année, ma fille à voulu distribuer les cadeaux pendant l'apéritif; nous en avons apporté pour tout le monde… mais, en récompense nous n'avons eu que les poutous toulousains… ce qui est déjà un gros cadeau, croyez-moi.

    Nous avions à peine écouté les remerciements que Maryse s'emparait du papier emballage pour aller le cacher dans la cuisine, tandis que J.P. installait déjà le vin blanc du foie gras….

    Un foie gras exceptionnel, servi avec des toasts pain de mie bien chaud et dorés. J'ai réussi à tirer les vers du nez à Maryse; ce n'était pas l'habituel foie gras du village gersois de Jean-Pierre, mais celui-ci n'était nullement de basse qualité: de toute manière, comme ils sont particulièrement sourcilleux avec le foie gras, ils ne pouvaient nous présenter que le meilleur du coin: le boucher est dans le village de Bruguière… si vous passez par le coin, n'hésitez pas!

    Le foie gras, chez nos amis, ce n'est pas une rondelle rikiki et mince comme du papier à cigarette que vendent fort cher les toqués de la toque toulousaine: ce sont des rondelles épaisses, très épaisses et d'un diamètre pratiquement aussi gros qu'une soucoupe à café.

    Pas de la soucoupe à tasse express, l'autre!

    Tout les présents se servent avec grand-plaisir: ici, le foie gras de canard est une telle institution que les Toulousains, croyez-moi, si vous les invitez, ils savent d'avance qu'il y aura du foie gras ou du confit de canard au minimum! Il faut véritablement un pisse-froid pour ne vous proposer que des salades et du poisson! Nous, les vieux toulousains, on sait  pas faire, on n'est pas des chichiteux: ce serait trop la honte! (excusez de cette expression qui est à la mode chez les merdaillons… les gosses, quoi!).

    Alors, je vous en prie: invitez les Toulousains avec les produits du Sud-Ouest ou alors, donnez-leur vos tickets de restaurant et ils sauront quoi en faire!

    Quand tout le monde s'est servi, il y en a encore! les gourmands se partagent le reste, en se regardant et en rigolant d'être pareils. Et hop, le blanc revient pour la 2e fois dans le verre. Et, tchatche que tu tchatche, tout le monde a quelque choses à dire…. et, il reste encore 2 tranches… pfffit! une fois encore, ma fille et moi, on se dévoue!

    Ma fille, hélas me fait la honte: comme elle ne boit jamais d'alcool, elle est toujours scotchée au château-lapompe… mais, là, comme c'est Noël, je suis obligée de rien dire pour ne pas fâcher mes amis: elle fait tout le repas au coca-cola! Horreur! de temps en temps, elle se tourne vers moi et me nargue avec son verre de coca sur le foie gras… puis, sur les huîtres. Puis, sur le reste… rrrahhhh!

    Les huitres double 00 arrivent portées par une Maryse attentive, 8 assiettes en étagères plein les bras…. alors que j'ai encore du blanc liquoreux dans le verre. Devant l'assiette à huitre, je n'ai pas le droit de rester avec ce fond de blanc; J.P. veille au grain: il tient sa bouteille de blanc du Gers, son village de naissance, Le Puy.

    Inutile de ne pas le finir, il tend la bouteille avec de gros yeux et me fait comprendre que je fais attendre les autres: que je veuille ou pas, je finis l'autre vin blanc, un bourguignon qu'il va chercher en cave, en été avec Maryse, ce qui donne l'occasion à cette dernière de retrouver des centaines de tonton, tata, cousines, cousins et d'autres gens qui sont de lointains affiliés par le sang ou par mariage… Ils ont remontés l'arbre généalogique jusqu'à je ne sais combien d'années en arrière et hop, ils se réunissent en terre bourguignonne tous les étés. Il parait, d'après Maryse, que ce fut une des premières familles en France à faire cela. Bourguignons et Gersois: tu parle d'un héritage de bons vivants!

    Me voilà avec mon plateau d'huîtres (8 chacun, tout de même!): “mais, prend du vinaigre à l'échalote!

    non merci, je préfère quelques gouttes de jus de citron!"

    Et hop, dextérité de JP: un beau et bedonnant gros jaune jaillit devant moi…. je le roule, le coupe en deux, récupère quelques gouttes odorantes et bienfaisantes et ma fille étant chargée par sa voisine de prendre la 2e moitié lui dit: non, ne l'utilisez pas, maman n'a pris que quelques gouttes, il vous en reste sûrement: ce n'est pas parce que l'on fait bombance que l'on doit oublier le souci d'économie qui taraude l'esprit de toute bonne ménagère qui se respecte. J'ai très bien éduqué ma fille.

    Le citron disparaît en bout de table et je déguste mes huitres comme j'aime tout en écoutant Maryse raconter son enfance à Casablanca où elle est née: son papa était haut gradé de gendarmerie et la famille allait où le vent soufflant du QG le poussait. Donc, naissance, au hasard, Balthazar.

    A chaque instant, on entend la voix de l'un ou l'autre de mes amis: “on a le temps, pas la peine de se précipiter à manger“!

    Tchate trois secondes qu'ils sont déjà là, récupérant prestement les coquilles d'huitre et ramenant autre chose. Renée disait: tu sais ce que je fais des coquilles d'huitre? je les mets au pied des plantes du jardin. Ha, c'est pas bête dit Maryse, entassant les assiettes à huitres, vides, l'une sur l'autre! Je renchéri: j'aime les plantes du jardin, mais je préfèrerai utiliser les coquilles autrement: tout le monde se penche vers moi, intéressé.

    Tu laves les coquilles, tu les mets à sécher 1 heure à four doux à 140 max… tu les réduis en poudre fine, et tu avale: ça te fait de la poudre d'huitre bonne pour avoir du calcium et des tas d'autres sels minéraux. Renée renchéri: oui, je sais que ça existe! et je la regarde en frottant mes doigts de cette façon que tout le monde comprend: c'est cher… ça coute bonbon!

    A suivre.

    Non, pas de photos: nous nous en sommes aperçu une fois la table desservie pour le café: ben, dis-donc, dit JP, on n'a même pas pensé à faire des photos! Regrets, mais alors là, tout petits regrets.

    Nous étions tellement heureux d'être ensemble qu'il était inutile de conserver cela sur une photo: on a tout dans le cœur!

  • Cuisson basique d'un foie gras

    Si vous avez lu tous les dossiers de mon site www.tradi-cuisine.com

    (la bannière est la-haut, cliquez dessus)

    vous savez que je suis contre tous les plastiques toxiques en cuisine; je sais parfaitement que c'est plus facile de cuisiner avec de l'alu, des papiers sulfurisés, des films... mais, je suis assez empoisonnée comme cela....

    Comme j'ai décidé de vivre dans l'avenir, j'ai intérêt à me désintoxiquer de tout ce qui est déjà dans mes cellules, pour y rester longtemps...

     

    Foie gras frais: préparation

    Si le foie gras est sous vide, pensez à le sortir du sachet 1h avant de le travailler.

    Séparez les deux lobes et déveiner le foie, vous y parvenez mieux si le foie est froid. Prenez un bon couteau d'office et retirez toutes les veines; n'ayez pas peur de creuser, le fois une fois remis en forme ne laisse pas deviner qu'il a été ouvert.

    Assaisonnez les deux lobes sur toutes les faces avec du sel, beaucoup de poivre du moulin et une pincée de sucre, qu'il faut bien répartir. Le mieux, est de poser le mélange sur une planche et faire tourner le foie pour qu'il s'imprègne régulièrement.

    Sur un torchon très propre, ou une gaze, placez les deux lobes de foie gras tête bêche et enroulez le foie dans le torchon. Bien serrer pour lui donner une forme de boudin.

    Ficelez de chaque côté en laissant une bonne longueur de ficelle pour la préhension et suspension.

    Faites chauffer le bouillon à 50°, attachez les ficelles à une cuillère en bois pour suspendre le foie dans le bouillon.

    Faites monter la température jusqu’au premier bouillon et maintenir une petite ébullition (72-75°) pendant 2 h à 2 h 30.

    Laissez égoutter le foie et resserrez le torchon pour faire sortir la graisse puis, le placer dans du papier sulfurisé, si vous voulez, cela aidera à maintenir le foie en place.

    Filtrez le bouillon et ajoutez de la gelée (agar agar), disposez le foie gras dans un plat, type moule à cake, couler la gelée par-dessus. Laissez refroidir puis filmer le torchon et garder au froid entre 3 et 8 jours au frigo, pour qu'il raffermisse parfaitement.

    Suggestion: Servir le foie gras accompagné de tranches de pain grillé.

     

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  • La cargolade

     

    Bien sûr, comme tous les gosses, vous-même avez cherché des escargots.... peut-être pas pour les manger….  ce n'est pas si difficile que cela à préparer… mais, si vous vous attendez à les ramasser le matin et à les consommer le soir, tout faux:

    Enfant, je trouvais rigolo d'aller ramasser des champignons, des escargots, de chasser les écrevisses dans les rivières et une belle branche de houx ou du gui pour décorer la maison en fin d'année.

    A la ferme voisine, je ramenais des œufs frais et du bon lait dont je voyais la fermière  le tirer du pis de la vache... je me souviens plus des noms de ces vaches.... mais, nous avions chacun notre préférée et le droit de vouloir son lait à elle! Parfois, ce n'était pas l'heure de la traite, alors la fermière disait, “allez jouer dans la grange“. C'est là que les poules pondaient. On avait le droit d'en manger autant qu'on en voulait. Alors, on ne se privait pas… des œufs gobés frais, parfois encore tiède, un régal! Je me souvient d'un jour, j'avais repéré une poule qui s'en allait chantant et j'ai trouvé son œuf énorme, encore chaud; alors, je me suis assise pour le gober avec délice et, patatras! je me suis atchoulée (voir les expression toulousaines dans la catégorie Occitanie) sur un œuf: j'en avait plein la culotte et les jambes, jusque sur les chaussettes et les godillots… rrrrageant de voir mon frère et un autre gosse s'étouffer de rire.

    Parfois, sans faire exprès je trouvais un trèfle à 4 feuilles... et le roi n'était pas mon cousin!

    Bon, pour la cueillette des champignons, j'ai à déplorer hélas le fait que je n'avais pas de grand-père pour m'enseigner ceux qui étaient comestibles... donc, comme ma mère se voulait de la ville et pas de la campagne de l'Aude où elle est quand même née.... chaque fois qu'on ramassait des champi, soit on les jetait à proximité de la maison, soit on les refourguait à d'autres qui s'y connaissaient et s'en régalaient... et on était déçus!

    Moi, j'aimais bien ramasser les escargots car, là, ma mère acceptait de les préparer.... mais, comme ça “sent“, au bout de quelques temps et que ça salit le bout des doigts, elle ne voulait plus s'en occuper et rapidement, j'ai su m'en charger. Facile!

    Les escargots, on essayait bien de ramasser les plus gros.... oui, y'a plus à manger... mais bon, nous étions tellement content d'en trouver que parfois, nous ramenions des petits.... que ma mère s'empressait de jeter par la fenêtre, directo l'herbe fraîche qui poussait ras des murs. Les pelouses, c'est pour les riches.

    Dans la lessiveuse, on mettait de gré ou de force les cargolès et on les laissait au moins trois jours sans manger. Puis, après, on rajoutait de la farine en petite pluie fine. Les escargots doivent jeuner puis se requinquer ensuite avec la farine…

    Fallait penser à laver la lessiveuse souvent, sinon… l'odeur en ouvrant le couvercle...

    Mais, pas tant que cela vous savez, pas a vous dégouter définitivement de ces succulentes bestioles: c'est comme quand vous soulevez le couvercle de la marmite sur le ragoût de sanglier; y'a des odeurs qui montent droit aux narines, puis s'évadent dans la maison... l'odeur ne restait pas longtemps…la lessiveuse restait dehors, bien sûr, donc, c'était supportable. Au bout d'une semaine, leur compte était bon aux cargolès. C'était le moment de les cuire, les bêtes à cornes. D'abord lavage et re-lavage. Et encore lavage.

    C'était quoi déjà notre recette? Un oignon roussi, du beurre, de l'ail, beaucoup de persil et un verre de vin blanc puis, du bouillon salé; beaucoup de poivre et une feuille de laurier.. parfois, on avait de la crème fraîche à rajouter, rarement, c'était cher pour les finances des ouvriers qu'étaient mes parents.

    Beaucoup de sauce à saucer avec du pain, des lèvres pleines de sauce et plein la serviette; et des doigts qui dégoulinaient du bon jus de la sauce, durant la pêche dans l'assiette… les escargots, on les retirait prestement de leur coquille avec un bout de bois pointu, cure-dent en bois mais avant cela, on aspirait la sauce, comme font tous les enfants qui aspirent la soupe. Ici, on dit “tchurluquer“.

    Deux verres de château Lapompe plus tard, il ne restait plus qu'une montagne de coquilles vides et abandonnées dans les assiettes creuses. Et comme disent les toqués de la toque, la satisfaction de l'avoir fait soi-même avec amour!

    Décidément, Coluche a oublié d'ajouter aux artichauts du pauvre, les escargots…. les moules aussi, d'ailleurs.

  • Patati, patata, mange ton rata!

    L'ingrédient miracle contre l'obésité est peut-être déjà dans votre garde-manger... Un simple extrait de pommes de terre pourrait limiter la prise de poids qu'entraîne un régime riche en gras et glucides raffinés. Pas des frites! Les nutritionnistes ne vous conseilleront jamais de manger des frites.

     C'est ce qu'avance une étude réalisée par des chercheurs de l'Université McGill (Canada), publiée dans le magazine Molecular Nutrition & Food Research, qui ont été si surpris des effets de cet extrait qu'ils ont reconduit l'expérience pour en avoir le cœur net. Pendant dix semaines, les chercheurs de l'Université de McGill ont nourri des souris avec un régime très riche en gras et en sucre pour les rendre obèses. De 25 grammes en moyenne, les rongeurs ont rapidement pesé 16 grammes de plus. Mais les souris qui ont consommé, en plus de leur régime, un extrait de pomme de terre ont deux fois moins grossi.

    Les bienfaits de l'extrait viennent de sa concentration en polyphénols, ce composant chimique, si bénéfique des fruits et légumes que nous mangeons. Ces antioxydants sont aussi présents dans les fruits rouges, le vin rouge et le thé vert.

    "Nous étions épatés devant les résultats, déclare le professeur Luis Agellon, un des auteurs de l'étude. Nous pensions qu'il devait y avoir un problème. À tel point que pour être sûrs, nous avons recommencé l'expérience avec un autre extrait, préparé avec des pommes de terre cultivées à une autre saison".

     À cause d'une alimentation trop riche, l'obésité est en fort développement. Elle augmente le risque de maladies cardio-vasculaires et de cancer. Selon cette recherche, les extraits de pomme de terre pourraient devenir une solution pour prévenir l'obésité, mais aussi le diabète de type 2.

    Un extrait de 30 pommes de terre

    "La dose quotidienne est extraite de 30 pommes de terre: nous ne conseillons certainement pas de manger 30 pommes de terre par jour", prévient Stan Kubow, auteur principal. L'apport en calories serait énorme. Les chercheurs imaginent plutôt que leur extrait pourrait être offert en complément alimentaire ou simplement comme un ingrédient à ajouter en cuisine.

    Connue du public surtout pour son apport en glucides, la pomme de terre est pourtant aussi une source de polyphénols. "Dans le fameux régime français, connu pour ses vertus pour la santé, les pommes de terre en sont la première source, et pas le vin rouge, précise Kubow, auteur principal. En Amérique du Nord, les patates arrivent troisième pour l'apport en polyphénols. Devant les myrtilles".

    Une solution peu coûteuse

    "La patate a l'avantage d'être peu chère à produire et de faire déjà partie de l'alimentation de base de nombreux pays, explique Stan Kubow.

     Comme souvent, c'est le hasard qui est derrière cette recherche. Un jour, en chemin vers l'aéroport lors d'un voyage commun, Stan Kubow, professeur adjoint à l'École de diététique et de nutrition humaine et spécialiste de ces polyphénols, et Danielle Donnelly, professeur ajointe de phytologie et spécialiste de la pomme de terre, ont eu l'idée de croiser leurs intérêts de recherche, donnant naissance à cette étude avec l'aide du Pr. Agellon.

    Même si les souris et les hommes transforment la nourriture par un métabolisme semblable, des essais cliniques sont indispensables pour valider ces bénéfices chez l'homme. Et définir la dose optimale pour les hommes et celle pour les femmes, leurs métabolismes étant différents.

    L'équipe espère breveter son extrait de pomme de terre et cherche actuellement des partenaires, sans doute de l'industrie alimentaire, pour contribuer au financement d'essais cliniques.

     Cette recherche a été financée par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, les Instituts de recherche en santé du Canada et la Fondation canadienne pour l'innovation.

  • Arrêtez d'emmerder les Français

     (G. Pompidou†, ancien président de la République Française)

    Une directive, tout droit issue de la Babel bruxelloise, fait fi des appellations traditionnelles en matière de boucherie!!! Fini la hampe, le paleron, la poire ou la côte première.

    "Le consommateur devra se contenter de dénominations barbares, comme "viande à griller deux étoiles" (sic). Pas croyable, les plus de 45 ans pensent étouffer de colère.

    Mais, enfin, que leur apprend-on à l'école? Ne cherchez pas, on leur enseigne que monsieur peut avoir une vulve et pas un zizi!

    Désormais, le consommateur devra se contenter de dénominations barbares, comme "viande à griller deux étoiles" (sic).

    Jeudi matin: nouvelle conn… de l'Europe: cette fois, ce sont les restaurateurs qui vont devoir signaler, sur les menus, tous produits susceptibles d'entraîner des allergies!

    Voyage au bout du Royaume de l'Absurdie… On croit rêver, ou faire un mauvais rêve.

    Je me pose la question: oui ou non, est-ce qu'un jour, ces europonctionnaires vont nous laisser vivre notre vie de bons Français hédoniques? Nous vivons dans des temps où la technocratie la plus froide a déclaré la guerre à l'Art de Vivre à la française.

    On devient de plus en plus parano, on n'ose écouter les radios ou la télé, de crainte d'y entendre une nouvelle folie absurde qui démonterait le moral aux plus joyeux drilles. On peut voir partout se fissurer la paix sociale, sous les coups d'une bureaucratie déconnectée mais pleine d'orgueil et d'arrogance. Orgueil et arrogant le Français de base? pas du tout: ils ont trouvé leur maître: toute la technocratie européenne! A croire que ces pisse-froid sont jaloux que l'art du repas Français soit inscrit dans le patrimoine culturel de l'humanité. Pour moins que ça, les Français ont zigouillés Louis XVI!

    Comment tout cela va-t-il finir? A mon avis, pas très bien. Le trop et le peu....

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  • ALERTE SANITAIRE: faites passer à ceux qui voyagent pour Noël aux Maldives

    Il est formellement déconseillé pour les jours qui viennent de se rendre à Malé, même sans intention d’y séjourner : la capitale est actuellement privée d’eau courante en raison d’un incendie intervenu au niveau de l’usine de traitement, et l’eau potable y est fortement rationnée. Malgré la mobilisation des autorités et l’aide internationale, un retour à la normale n’est pas prévu avant plusieurs jours. La capitale n’est pas à l’abri de tensions graves et la situation sanitaire pourrait se dégrader. Sauf cas de force majeure, il convient donc de s’abstenir de voyager à Malé, tant qu’elle reste le siège d’une crise sérieuse affectant la vie quotidienne. Les autres îles de l’archipel ne sont pas touchées par cette situation.

    http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/maldives-12286/