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recettes - Page 277

  • Malbouffe: attention danger !

     

    L’industrie agroalimentaire est parfaitement organisée pour réaliser le maximum de profits sur le dos des producteurs et au détriment de la santé des consommateurs. Elle maîtrise parfaitement les techniques qui permettent de présenter au consommateur des aliments agréables au regard et au goût indépendamment de la qualité intrinsèque de ces derniers. Un des points les plus représentatifs de la dangerosité de la malbouffe industrielle est l’usage inconsidéré et sans aucun contrôle des graisses partiellement hydrogénées. C’est un terme pudique pour dissimuler un processus industriel destiné à réduire le rancissement des graisses ajoutées dans un nombre impressionnant de plats préparés et précuits proposés aux accros du plat TV ou de la cuisine vite faite en fermant les yeux.

    Or, il se trouve que l’hydrogénation partielle des graisses et autres huiles fait apparaître des acides gras que l’organisme ne peut pas prendre en charge, car ils sont artificiels et n’existent que très rarement dans les aliments naturels comme le lait ou les graisses animales. L’utilisation intensive de ces triglycérides essentiellement d’origine végétale que ce soient les huiles de colza, de coton, de soja, de tournesol, le plus souvent mélangées avant ou après hydrogénation, fait que quelques soient les législations adoptées, il existe toujours un risque pour la santé. Et un très gros risque !

    L’équipement enzymatique dont nous disposons au niveau du foie et qui permet de dégrader les acides gras ne sait pas prendre en charge les acides gras "trans" et ceux-ci finissent par s’accumuler inexorablement dans le tissu adipeux "blanc", les artères, le foie, le mésentère et créent des réactions inflammatoires au niveau tant du cerveau que des reins, du pancréas ou des poumons. C’est un risque majeur pour la santé, qu’on ne découvre que maintenant. Le mal est visible par l’augmentation du nombre de personnes en surpoids, ainsi que de celui des maladies cardiovasculaires et des diabètes de type 2 en constante augmentation et directement liés au surpoids et à l’obésité.

    Si vous êtes tenté d’acheter sur le linéaire de votre supermarché une huile étiquetée "huile végétale" sans autre indication, abstenez-vous.

    Si vous avez l’intention d’acheter un sachet sous plastique de chips abstenez-vous également, car il y a presque 100 % de chances que ces frites aient été cuites avec de l’huile hydrogénée.

    Si vous avez l’intention de convier festivement vos enfants au McDo du coin, abstenez-vous également car les frites ont été selon toute vraisemblance précuites avec de l’huile hydrogénée.

    Le hamburger dont se goinfrera votre enfant contiendra aussi des acides gras hydrogénés et le ketchup du sirop de maïs, mais là c’est une toute autre histoire…

    Enfin si vous décidez, cerise sur le gâteau, d’offrir à vos chères têtes blondes des pâtisseries à la boulangerie du coin, il y a presque cent pour cent de chances que ces dernières aient été préparées avec des huiles partiellement hydrogénées.

    Le moindre biscuit, n’importe quelle barre chocolatée, n’importe quel Kinder, sans parler du Nutella, contiennent des acides gras partiellement hydrogénés, si on est un adepte de la facilité et donc de la malbouffe on ne peut pas y échapper.

    Toutes les études réalisées sur les effets toxiques variés des acides gras "trans" convergent en ce sens qu’elles favorisent les maladies cardio-vasculaires, le surpoids et l’obésité, les réactions inflammatoires avec l’apparition du diabète de type 2, les cancers colorectaux, du sein et des ovaires et peut-être les maladies neurodégénératives.

    Malgré les mises en garde réitérées d’organismes comme la FDA aux USA ou la European Food Safety Authority qui dès 2004 a alerté les autorités sanitaires des pays de l’Union du danger des acides gras partiellement hydrogénés, rien, absolument rien n’a été modifié ! Les écologistes réclament un étiquetage "sans OGM" ou "bio" mais ils ont oublié que la présence d’acides gras hydrogénés était infiniment plus préjudiciable à la santé des consommateurs et ils se sont bien gardés d’exiger également un étiquetage spécifiant l’absence de ces acides gras.

     

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    En effet, les intérêts économiques sont immenses et un tel étiquetage risquerait de provoquer une profonde crise de l’ensemble de l’industrie de l’alimentation en général. La puissance des lobbys de l’agro-alimentaire tant en Europe qu’outre Atlantique dépasse l’imagination et dépasse également les velléités de réglementation que tentent d’imposer les écologistes qui, faut-il encore le constater avec amertume, s’obstinent dans des combats totalement inappropriés et surannés…

    Source open access : http://jaha.ahajournals.org/content/3/4/e001195.full

  • Nouvelle cuisine

    L'’impression alimentaire

    Le salon 3D Printshow met l'impression alimentaire à l'honneur cette année. Bien que le secteur soit très récent et encore peu connu, il trace peu à peu son chemin chez les professionnels de la restauration.

    Pour sa 3e édition, le 3D Printshow reprend ses quartiers au Carrousel du Louvre à Paris les 17 et 18 octobre. L'occasion pour le public et les professionnels de découvrir les dernières innovations de cette jeune industrie.

    Sur 7 000 mètres carrés et avec un panel d'une cinquantaine d'exposants, le salon couvre tous les champs de l'impression 3D, de la médecine à la décoration, en passant par l'architecture, et même la restauration. La nourriture est d'ailleurs l'un des thèmes phares du salon, auquel participent les principaux acteurs de ce domaine encore balbutiant.

    Un secteur peu connu

     "Le marché est en plein essor, mais il n'est pas très connu (...) c'est pourquoi nous devons communiquer, afin que les gens sachent ce que l'impression 3D peut leur apporter“, affirme Christina Zheng, directrice général de Choc Edge, une entreprise qui fabrique des imprimantes à chocolat.

    Arc de triomphe en chocolat - Choc Edge

    Si le secteur n'est pas encore très connu, c'est parce qu'il ne compte pour le moment que peu d'acteurs. Le prix des machines étant un facteur venant limiter le recours à cette technologie. Mais, " je pense que d'ici trois ans, les prix auront baissé. Regardez les autres domaines de l'impression 3D, ils ont beau être jeunes, on trouve désormais des machines très efficaces pour à peine 600 euros ", note Frits Hoff, directeur et fondateur du FabLab Maastricht, une fondation néerlandaise spécialisée dans la recherche de nouveaux matériaux pour les imprimantes 3D.

    Un domaine résolument orienté vers les professionnels

    Parmi les clients des entreprises qui commercialisent des imprimantes pour fabriquer de la nourriture, il y a entre autres les pâtisseries, les chocolatiers, les chefs cuisiniers qui souhaitent créer des recettes originales, mais ces produits s'adressent aux professionnels de la restauration.

    L'impression 3D de nourriture présente deux intérêts majeurs. D'abord, offrir une personnalisation de masse. C'est-à-dire que les clients peuvent facilement et rapidement obtenir des produits personnalisés. " Nos appareils sont beaucoup utilisés pour les mariages ou pour personnaliser des gâteaux d'anniversaire ", indique Christina Zheng.

    Le second intérêt, c'est que des machines puissent s'occuper des tâches répétitives, sans brider la création des recettes : " le but n'est pas de pousser la restauration vers une industrialisation encore plus importante ", explique Frits Hoff. Un avis partagé par Luis Fraguada, directeur de la recherche de Robots In Gastronomy, qui fabrique des appareils pour imprimer du chocolat: "c'est plutôt une nouvelle manière de créer". En effet, les imprimantes 3D sont moins rigides que les machines industrielles habituelles, ainsi, la conception serait plus libre.

    Pour ce qui est de l'arrivée éventuelle de ces machines chez les particuliers, Luis Fraguada se montre sceptique: "je ne pense pas qu'on verra les imprimantes 3D arriver dans les cuisines des gens, ou alors, dans très longtemps. Pour l'instant, elles sont surtout intéressantes pour les professionnels".

     

  • Sauté de jambon de Bayonne basquaise

     

    Pour 6 personnes :

    1 beau poulet jaune du Gers d’environ 1,5 kg

    150 g de Jambon de Bayonne, 4 oignons jaunes

    Piment d’Espelette en poudre et 3 gousses d’ail

    4 tomates dont 1 bien mûre

    4 poivrons (2 verts, 1 jaune, 1 rouge)

    10 cl d’huile olive; 1 bouquet garni

    Verre de vin blanc, Persil frais, Sel, poivre

    Coupez le poulet en morceaux, puis saupoudrez-le de piment d’Espelette.

    Faites chauffer la cocotte à feu vif. Pelez les tomates et coupez-les en petits quartiers.

    Faites griller les morceaux de poulet. Pendant ce temps, pelez et émincez les oignons et l’ail.

    Taillez les poivrons en lanières (après avoir bien retiré les pépins). Coupez le jambon de Bayonne en lamelles. Retirez les morceaux de poulet lorsque la peau est brunie sur toutes les faces. Ajoutez l’huile et jetez-y les lamelles de Jambon de Bayonne.

    Coupez le poulet en morceaux, puis saupoudrez de piment d’Espelette

     

     

     

  • 1 recette de ma chère marraine, ma tante

    qui a vécu de 1915 à 1923 dans les Hautes-Pyrénées; décédée l'année de ses 100 ans!

     

    Garbure du Béarn

    1 cul de jambon de pays

    Tous les légumes de saison, ail, poivre, sel

    Oignons, bouquet garni

    Viandes confites: longe de porc, saucisses, cou de canard, ailerons ou cuisses

    ou carcasse de canard, d'oie, etc.

    Vous pouvez utiliser des "broutes" de navets: repousses de navets avant floraison, que vous pouvez les cuisiner en potage de légumes ou comme des épinards.

    Faire un bon bouillon clair avec un jarret de jambon. Laisser frémir 30 minutes, ajouter un bouquet garni, puis les légumes de saison: poireaux, carottes, un peu de céleri, fèves et pois frais, chou cavalier ou pommé, navet rond, pommes de terre, oignons légèrement fondus à la graisse, fanes de radis et "broutes" de navets sans oublier l’indispensable haricot frais ou sec que l’on aura laissé gonfler 12 heures dans de l’eau claire.

    Laisser bouillir à petit feu 2 à 3 heures, ajoutez en fin de cuisson un peu d’ail pilé et les viandes confites... La louche doit tenir debout au milieu du "Toupin" si votre garbure est à la bonne consistance.

    Pour ne pas en laisser une miette, n’oubliez pas de faire chabrot.

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    Faire chabrot

  • Chose promise, chose due...

    VOTRE HOROSCOPE INSOLITE ET DÉJANTÉ

    http://www.nos18ansenmai68.com/horriscope/index.html

     

    VOTRE HOROSCOPE DÉJANTÉ  FORME ET SANTÉ

    http://www.ilosport.fr

  • Toulouse a 2 000 ans!

    Après les Bimillénaires de Paris en 1951 ou de Lyon en 1958, c’est au tour de Toulouse de fêter son deux millième anniversaire, à l’initiative de Matthieu Soler, docteur en histoire.

    Bien que l’on ne connaisse pas la date précise de la fondation de la ville de Toulouse, "nous savons qu’elle a été fondée par Auguste, premier empereur romain or, Auguste est mort en l’an 14 et la ville de Toulouse n’a donc pas pu être créée après cette date. Il est donc grand temps de célébrer ce Bimillénaire de la ville", explique Matthieu Soler, docteur en histoire et organisateur de l’anniversaire.

    De nombreux événements vont être organisés au cours de cette année 2014 afin de faire découvrir le patrimoine antique, très riche mais peu visible, aux Toulousains.

    Avant l’arrivée des romains, Toulouse était peuplée par des Gaulois sur les coteaux dominant la rive droite de la Garonne, emplacement de Vieille-Toulouse aujourd’hui. Avec l’arrivée des romains, les coteaux furent abandonnés et la ville commença à se développer sur la plaine qui borde la rive droite de la Garonne.

    "La ville de Toulouse romaine était d’une superficie de 90 hectares environ, entourée par un superbe rempart, fait de briques rouges et de pierre, encore visible aujourd’hui. Le plan de Toulouse antique est parfaitement lisible, presque calqué sur l’hypercentre actuel, il faut simplement le signaler davantage au visiteur.

    Par exemple, au temps des romains déjà, la Rue Saint Rome était un des axes principaux de la ville", explique Matthieu Soler. En ce qui concerne la population de la ville, il est difficile de définir des chiffres exacts. "Toulouse était à l’époque une grande ville moyenne, accueillant entre 15 000 et 20 000 habitants. Cela correspond à la population de Pompéi pour donner une échelle de comparaison", d’après Jean-Marie Pailler, professeur émérite de l’Université de Toulouse.

    La population était alors composée de romains et de gaulois mais aussi d’Ibères, d’Italiens et même de quelques Grecs. Il y a 2 000 ans, "Tolosa" était une plateforme commerciale importante pour le commerce du vin italien car c’est un passage stratégique entre Narbonne et Bordeaux. Les nombreuses amphores retrouvées lors de fouilles archéologiques permettent de confirmer cette théorie. Les nombreux événements organisés pour célébrer le Bimillénaire de la ville seront aussi l’occasion de sensibiliser à la conservation du patrimoine afin que ne se reproduisent pas les événements de 1971 et 1989, où une porte de la ville avait été détruite sur le Capitole ainsi qu’un rempart antique, place Saint-Pierre.

    Le chiffre : 15 000 Toulousains

    C’est leur nombre estimé en l’an 14. On estime entre 15 et 20000 le nombre d’habitants de la ville il y a 2000 ans.

    Des événements toute l'année

    Les nombreux événements organisés cette année ont 3 objectifs : présenter les acquis de la recherche toulousaine, expliquer aux toulousains ce qu’ils doivent à leurs ancêtre romains et le divertissement. De nombreuses visites seront proposées aux toulousains afin de découvrir le tracé du rempart de Toulouse, l’amphithéâtre de Purpan et les thermes d’Ancely, ou encore les origines de la ville à Vieille-Toulouse. Les curieux se verront aussi proposer une visite-énigme à l’échelle de la ville qu’ils devront fouiller à la recherche d’indices. En partenariat avec le cinéma ABC, un cours de courts métrages sur le thème du Bimillénaire sera organisé et les meilleures contributions seront récompensées.

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    Les wisigoths

     

  • Si vous aimez les insolites et déjantés

    ... je tiens à vous informer de la prochaine naissance, ce lundi 20 octobre

    de mon nouveau horoscope déjanté....

    il sera mis en ligne sur le site magazine d'un très, très grand quotidien, que la majorité des gens achète au moins une fois dans leur vie...

    et qui, après VALEURS ACTUELLES est le 2e média de presse écrite à voir sa diffusion augmentée depuis quelques années.

    Qui, de plus, comme Valeurs Actuelles,  N'A PAS BESOIN DE NOS IMPÔTS POUR VIVRE!

     

    Lundi, donc, je mettrai ici le lien pour que vous alliez vous dilater la rate avec mon nouvel horoscope!

    Voici celui qui a inspiré au journaliste de me faire cette gentille proposition:

    http://www.nos18ansenmai68.com/horriscope/index.html