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toulouse - Page 38

  • Saison des fraises, régalons-nous!

    Glace à la fraise facile

    Pour 6 personnes

    250 g de fraises, 40 cl de crème fraîche liquide à 30% de MG bien froide

    1 tube (300 g) de lait concentré sucré

    Lavez, séchez, équeutez puis couper les fraises en morceaux. Les mixer.

    Fouettez la crème en chantilly bien ferme. Incorporez délicatement le lait concentré sucré à la chantilly.

    Ajoutez les fraises mixées et mélanger. Versez dans un récipient et placer au congélateur au moins 4 heures.

    Sortir la glace du congélateur 10 minutes avant de la servir. Ajoutez éventuellement des fraises coupées en deux sur les boules de glace.

  • Omelette au fromage de chèvre

    2 manières de préparer

    Pour 2 personnes

    50g de fromage de chèvre (1 petite bûche), 4 œufs, Poivre ou gingembre en poudre

    Fouettez les œufs avec une touche de poivre. Versez dans la poêle bien chaude. Parsemez de fromage de chèvre émietté et laissez durcir l'omelette. Servez ensuite.

    Ou bien, émiettez le fromage dans les œufs battus en omelette et faire cuire.

    Pour un repas complet: faites rissoler des croûtons de pain et versez l'appareil pour faire l'omelette.

  • Fromage de chèvre pané

    POUR 4

    70 g de farine. 1 œuf, 1 bûche de chèvre

    sel, poivre. 1 pincée d'ail en poudre,  1 pincée d'herbes de Provence

    70 g de chapelure, Huile de friture

    miel liquide (facultatif)

    Mélangez la farine, le sel, le poivre, l'ail en poudre et les herbes de Provence dans une petite assiette creuse. Battre l'oeuf dans une deuxième assiette creuse.

    Versez enfin la chapelure dans une troisième assiette.

    Découpez la bûche de chèvre en rondelles (la placer au frais voire au congélateur pour faciliter la découpe).

    Roulez chaque rondelle dans la farine puis dans l'oeuf et enfin dans la chapelure. Répétez l'opération pour une panure plus épaisse et croustillante. Placez au congélateur 15 minutes (facultatif).

    Dans une poêle, versez de l'huile de friture et déposez les rondelles de chèvre panées. Laissez dorer 2 à 3 minutes par face.

    Transférez sur du papier absorbant pour retirer l'excès de gras. Avant de servir, arroser de miel liquide (facultatif)

  • Calmars farcis

    Utilisez les ingrédients habituels pour le farci (voir la recette des poivrons farcis)

    Pour 3

    3 calmars; 1 oignon, Huile d'olive

    1/2 poivron

    Commencez par vider vos encornets et enlevez la petite tige qui ressemble à un morceau de plastique. Laissez tremper vos calmars dans l'eau.

    Dans un saladier, mélangez l'oignon haché, l'huile d'olive, et les ingrédient du farci

    Mélangez avec vos mains pour former une pâte consistante. Commencez à farcir vos encornets avec cette pâte. sans forcer trop pour ne pas les déchirer

    Faites revenir vos calmars 15 minutes dans une poêle avec un filet d'huile d'olive à feu moyen à couvert

  • Poivrons farcis au four

    Pour 4

    4 poivrons, 2 oignons; 2 gousses d'ail, 1 branche de persil

    80g de mie de pain; 200 ml de lait tiède

    250 g de chair à saucisse; 250 g de boeuf haché

    1 œuf; sel, poivre

    Imbibez la mie dans le lait légèrement tiède afin quelle ramollisse.

    Épluchez et émincez finement les oignons et les gousses d'ail. Ciselez le persil.

    Mélangez les oignons, l'ail, le persil, la mie égouttée et émiettée, la chair à saucisse, la viande hachée et l'oeuf avec les mains jusqu'à l'obtention d'une préparation homogène.

    Assaisonnez la farce de sel et de poivre puis réserver.

    Lavez et évidez les poivrons (par le haut pour les conserver "entiers"). Les farcir généreusement et les déposer dans un plat à gratin.

    Enfourner pendant 1 heure à 200°C, retourner à mi-cuisson. Déguster chaud

    Vous pouvez ajouter du fromage râpé 20 minutes avant la fin de la cuisson pour gratiner vos poivrons farcis

    ASTUCE: si vous n'avez pas de mie de pain, utilisez du pain de mie

     

     

  • Acheter une sauce vinaigrette toute prête.

    Bonne ou mauvaise idée ?

    Pour faire une vinaigrette maison il faut au maximum cinq ingrédients: de l’huile et du vinaigre bien sûr, et éventuellement selon les goûts de la moutarde, des épices, ou des herbes aromatiques. Mais? vous avez peut-être déjà été tenté un jour d’acheter une vinaigrette industrielle prête à l’emploi.

    Par exemple, regardons de quoi est composée la "vinaigrette aux plantes aromatiques aromatisée allégée en matières grasses" de Carre…r. Voici la liste d’ingrédients: "eau, huile de colza 25%, vinaigre de vin blanc, vinaigre d’alcool, moutarde de Dijon (eau, graines de moutarde, vinaigre d’alcool, sel, acidifiant: acide citrique), plantes aromatiques réhydratées 2,5% (estragon, cerfeuil, persil), sel, amidon modifié de pomme de terre, sucre, épaississant : gomme xanthane, jus de citron concentré, arôme naturel (dont céleri), colorant : lutéine, poivre blanc moulu, arôme naturel ail".

    (A vos souhaits!!!)

    Près de 15 ingrédients sont utilisés pour cette vinaigrette industrielle!

    Mettriez-vous du sucre, de l’amidon modifié de pomme de terre, des colorants ou des arômes dans votre vinaigrette maison?

    Pas besoin de ces ingrédients cosmétiques avec une huile et un vinaigre de qualité. D’ailleurs, une véritable huile d’olive peut se suffire à elle-même pour assaisonner un plat, tout comme un vinaigre balsamique de qualité. (Vous partez en Italie? Bon voyage!)

    En outre, cette "vinaigrette aux plantes aromatiques aromatisée allégée en matières grasses" nous promet d’être allégée en matières grasses, nous laissant supposer que cela est mieux pour notre santé.

    Ce produit est peut-être allégé en matières grasses, mais il a été enrichi en sucre et en ingrédients ultra-transformés, cela en fait donc un produit ultra-transformé à éviter.

    Une vinaigrette maison est si simple à faire que ce type de produit n’a vraiment aucun intérêt. Mais vigilance, car pour faire votre vinaigrette maison, encore faut-il utiliser de vrais condiments de qualité.

    En effet, parfois vous pensez acheter de la vraie moutarde, mais celle-ci est enrichie en dextrose et divers arômes.

    Vous pensez acheter du vinaigre balsamique, mais celui-ci est en fait coloré au caramel et composé d’eau et d’amidon modifié.

    Concernant les huiles aussi il faut être vigilant et préférer les huiles vierges ou extra-vierges première pression à froid, et éviter les huiles raffinées.

    Par ailleurs, pour votre santé, il est conseillé de varier les huiles en alternant l’huile d’olive, l’huile de colza et l’huile de noix pour notamment garantir un apport équilibré en acides gras de qualité.

    Ne vous faites pas piéger, comprenez ce que vous mangez.

  • Manger moins pourrait freiner le vieillissement

    L'analyse du sang de participants à une expérience de restriction calorique révèle qu'ils ont vieilli plus lentement.

    L'analyse récente de données issues d'une étude d'intervention sur la restriction calorique suggère que manger moins pourrait freiner le vieillissement chez l'homme. Cet essai clinique américain appelé CALERIE (Comprehensive Assessment of Long-term Effects of Reducing Intake of Energy) dont les premiers résultats ont été publiés en 2008, fut la première étude contrôlée sur la restriction calorique chez l'homme en bonne santé. Financée par les National Institutes on Aging (NIA), elle a déjà livré plusieurs enseignements, comparant dans certains cas les effets de la restriction calorique seule et ceux de la restriction calorique accompagnée d'exercice physique. Les nouveaux résultats ouvrent des perspectives intéressantes sur la logévité humaine.

    L'idée qu'en mangeant moins on pourrait allonger la durée de vie remonte aux années 1930, lorsque l'Américain Clive Mc Cay réussit à augmenter la vie de rats en restriction calorique, mais supplémentés en vitamines et minéraux pour éviter la malnutrition. Cette expérience est décrite en détail dans cet article de LaNutriton.fr (abonnés) : Calories et longévité, la fantastique découverte.

    Par la suite, les expériences chez l'animal (hors primates) se sont multipliées, donnant les mêmes résultats. Restait à étudier les effets chez nos cousins primates et chez l'homme. Le Dr Roy Walford (1924-2004), qui travaillait sur la restriction calorique et le vieillissement à l'université de Californie (Los Angeles) est à l'origine de Biosphere 2, une expérience au cours de laquelle, du 26 septembre 1991 au 26 septembre 1993, 8 personnes dont Walford ont cherché à subvenir à leurs besoins alimentaires au sein d'une communauté en auto-suffisance. Ils ont consommé au cours de l'expérience un régime alimentaire pauvres en calories mais riche en nutriments. Au cours de la première année, ils ont connu la faim. Au cours de la deuxième année, l'équipe a produit plus d'une tonne de nourriture en plus, l'apport calorique moyen a augmenté et ils ont repris le poids perdu au cours de la première année.  Les marqueurs médicaux ont indiqué que la santé de l'équipe au cours des deux années est restée excellente : baisse du cholestérol sanguin, de la pression artérielle et amélioration du système immunitaire.

     

    "La restriction calorique reste la méthode la plus robuste d'extension de la durée de vie à ce jour pour toutes les espèces, et les données chez l'homme indiquent qu'elle peut bénéficier à certaines personnes", indique Pierre Boutron, auteur de Arrêtons de vieillir.

    Ce que les chercheurs ont trouvé

    Dans l'étude CALERIE, 220 adultes non obèses dont 70% de femmes, âgés de 21 à 50 ans, ont été répartis en deux groupes ; le premier a cherché à réduire son apport calorique quotidien de 25 % sans déficit en nutriments, l'autre pouvant manger à convenance.

    Au départ, leur indice de masse corporelle (IMC) allait de 22 à 27,9. Un IMC normal va de 18,5 à 24,9.

    Le groupe "restriction calorique" n'a réussi à réduire sa consommation énergétique que de 12 % au lieu des 25% prévus. Cela a suffi pour perdre environ 10% de leur poids, et améliorer significativement plusieurs facteurs de risque cardiométabolique, notamment les taux de cholestérol, la pression artérielle, la protéine C-réactive qui rend compte de l'inflammation, et la tolérance au glucose.

    Les nouveaux résultats portent sur l'étude d'échantillons de sang des participants et notamment l'association entre la restriction calorique et les mesures de méthylation de l'ADN des globules blancs. Les prélèvements ont été faits au début de l'étude, puis un an et deux ans plus tard. Les chercheurs ont utilisé 3 horloges dites épigénétiques pour mesurer la méthylation de l'ADN. Ces horloges donnent une indication sur le degré de vieillissement d'un individu. Deux des horloges étaient similaires chez les participants qui mangeaient moins, mais la troisième, appelée DunedinPACE, présentait un ralentissement du vieillissement de 2 à 3%, ce qui, selon d'autres études, se traduit par une réduction de 10 à 15% du risque de mortalité, soit une baisse similaire à celle rencontrée lorsqu'on arrête le tabac, indique le Dr Luigi Ferrucci, directeur scientifique des NIA.

     

     

    Les auteurs de l'étude ne pensent pas que le ralentissement du vieillissement constaté ne s'explique que par le poids perdu : la restriction calorique pourrait ralentir le vieillissement par un impact cellulaire. Cependant, ces résultats bénéfiques même significatifs, sont encore modestes ce qui pourrait s'expliquer, disent les chercheurs, par la brièveté de l'expérience.

    L' étude observationnelle CALERIE Legacy récemment lancée prévoit de suivre les participants à l'essai CALERIE pendant 10 à 15 ans pour voir si l'intervention entraîne des améliorations durables des marqueurs du vieillissement. La restriction calorique peut avoir des effets indésirables. Dans CALERIE, les niveaux d'hormone ont baissé, de même que le métablisme de base et la température corporelle (par diminution des hormones thyroïdiennes). Les membres du groupe en restriction a aussi perdu un peu plus de masse musculaire que les autres, mais ils ont surtout perdu de la masse grasse.

    Une question encore sans réponse est celle de savoir si le jeûne intermittent, le fait de sauter des repas ou de passer une à deux journées sans s'alimenter, entraîne les mêmes changements bénéfiques sur la vitesse de vieillissement que la restriction calorique continue.