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Officiel - Page 21

  • 2 milliards d'euros pour les “enfants“ isolés plus

    plus, faire venir leur famille (combien?)

    et, pendant ce temps-là…

    Chelles (77) : Monique, 81 ans, vit dans sa voiture avec son chien, des habitants se mobilisent pour l’aider

    En Seine-et-Marne, des habitants se sont mobilisés pour venir en aide à une femme de 81 ans. Depuis des mois, elle vit jour et nuit dans sa voiture sur un parking, à Chelles.

    “J’ai aperçu sa voiture un soir, lorsque je promenais mon chien. C’était il y a deux mois. La voiture était toute pleine de buée, cela a attiré mon attention“. C’est avec émotion que Béatrice Munoz, une habitante de Chelles, en Seine-et-Marne, évoque le soir où elle a découvert Monique (prénom modifié) sur le parking de la gendarmerie de la ville.

    (mais, les gendarmes, ils regardent ailleurs?)

    Ce soir-là, elle se rend compte que cette dame de 81 ans vit dans sa voiture, jour et nuit, avec pour seule compagnie: son chien.

    “Elle n’a pas voulu me raconter son histoire mais j’ai bien senti qu’elle ne supportait plus cette situation. Je n’ai pas cherché à comprendre, j’ai juste voulu l’aider“, continue-t-elle.

    Cela fait plus d’un mois que Béatrice lui apporte à manger, tous les soirs après sa journée de travail. “Parfois elle accepte le repas, parfois elle refuse“. Rapidement, un élan de solidarité s’est formé autour de cette dame.

    “Nous sommes trois personnes à aller la voir tous les jours mais tout le monde s’est montré solidaire envers elle. Certains voisins lui préparent un potage ou même de la nourriture pour son chien“.

    (…) Actu.fr

    J'ai mal à MA FRANCE!

  • Excellente idée!

    A faire partout???

    Dordogne : le futur abattoir de volailles grasses du Périgord noir devrait ouvrir dans deux ans

    Par Antoine Balandra, France Bleu Périgord

    Le futur abattoir de volailles grasses du Périgord noir devrait ouvrir d'ici deux ans à la borne cent-vingt, entre Proissans et Saint Crépin et Carlucet. Il emploiera une quinzaine de personnes, dont sept ou huit travailleurs handicapés de l'ESAT de Prats de Carlux.

    Le futur abattoir de volailles grasses du Périgord noir devrait ouvrir d'ici deux ans, fin 2021. Six éleveurs ont créé il y a quelques jours une société coopérative d'intérêt collectif agricole, une SCICA après la réalisation d'une étude économique.

    Avec un objectif: créer un nouvel abattoir de volaille grasses près de Sarlat. Histoire de remplacer les petites salles d'abattage à la ferme et le vieil abattoir de l'ESAT de Prats de Carlux.

    Le coût total est estimé à 4 millions d'euros financé à environ 40%par la région, le département et les collectivités, le reste étant bien sûr à la charge des producteurs.

    L'idée, c'est véritablement d'enraciner la filière volailles grasses en sarladais et donc en Dordogne trois ans après les épisodes de grippe aviaire.

    Car il y a 3 ans, les producteurs du sarladais luttaient encore pour survivre. Aujourd'hui, leur projet de nouvel abattoir ultra moderne avance. Le lieu est déjà trouvé, au bord de la D704 à la borne 120 entre Proissans et Saint Crépin et Carlucet.

    Du temps à consacrer à la commercialisation

    Le futur établissement pourra abattre 270.000 têtes par an. Un tel outil, tout près des fermes, cela fera gagner beaucoup de temps explique Dominique Laleu producteur à Valojoulx. "L'objectif, c'est d'avoir des canards abattus au bon moment, pas besoin de s'occuper de cette main-d'œuvre chez nous" dit-il

    Le nouvel abattoir fera travailler une quinzaine de personnes dont 7 à 8 salariés handicapés de l'ESAT de Prats de Carlux. Et viendra remplacer le vieil abattoir de la commune, trop vieux, et qui avait atteint sa capacité maximum (60.000 têtes par an, soit environ 600 par jour). Ne pas abattre dans les exploitations fera gagner aussi de l'argent explique Bernard Mazet, producteur de canards gras à Saint Geniès :

    "Le coût de revient chez nous, cela nous coûte 5 euros 50, à l'abattoir, selon l'étude économique, on sera à 2 euros 85" explique le président de la SCICA "La plume du Périgord noir"

    L'idée est donc que les producteurs puissent avoir plus de temps à consacrer à la commercialisation de leurs produits. Et de développer l'activité locale dans la filière.

    "Il nous fallait un outil collectif, où chaque producteur apportera ses animaux et les récupérera dans la journée, abattus et découpés. C'est un projet qui démarre. On espère que cela va faire tâche d'huile. On veut redevenir la capitale du foie gras en France. Nous allons cultiver cette image-là" explique Yannick Francès, président de l'association CRDA, création dynamique agricole en Périgord noir

    “"Nous avons traversé une grave période de crise après l'épidémie d'influenza et nous avons décidé de faire de tous nos écueils des atouts pour l'avenir" poursuit Yannick Francès”

    Le lieu choisit pour l'implantation de l'abattoir est par ailleurs un lieu où est déjà installée une zone d'activité pour éviter d'éventuelles nuisances. La première pierre devrait être posée fin 2020 et la capacité d'abattage pourra éventuellement être augmentée jusqu'à 400.000 têtes par an, deux à trois ans après l'ouverture.

  • Votre santé vous intéresse?

    La carte des 127 restaurants fermés pour raison d’hygiène par les services de protection des populations depuis 2018

    Les restaurants sont inspectés par la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations). Suite à cette inspection, un niveau d’hygiène (de 1 à 4) est attribué et publié en ligne.

    En cas de niveau 4, l’établissement est jugé mettre en danger la santé des consommateurs et cela entraîne sa fermeture administrative immédiate et la suspension ou le retrait de l’agrément sanitaire délivré au restaurateur.

    Cette carte présente les restaurants fermés pour cause d’hygiène en France en 2018 – 2019

    Des établissements ont pu depuis être repris par de nouveaux propriétaires. Nous avons supprimé ces établissements lorsque nous en avions connaissance.

    Cliquer pour obtenir les détails sur l’établissement

    https://www.alim-confiance.gouv.fr

  • Notre plus grand président... après De Gaulle...

     

    Lui, au moins, il nous aimait!

    Discours d'adieu prononcé par Jacques Chirac, le 11 mars 2007, au cours duquel celui qui était encore chef de l'État avait déclaré : "Vous l'imaginez, c'est avec beaucoup d'émotion que je m'adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n'avez cessé d'habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n'ai cessé d'agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j'aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d'envie d'agir. Cette France qui, croyez-moi, n'a pas fini d'étonner le monde".

    Lire la suite

  • Bactérie tueuse: les oliviers et beaucoup d'autres encore

    Plusieurs oliviers atteints de la Xylella fastidiosa ont été recensés en France. Une bactérie qui contamine des branches entières de l'arbre. "La principale conséquence c'est que ces arbres positifs vont être arrachés bien sûr puisqu'il n'y a pas de traitement", décrit Laurent Lasne de la direction régionale de l'alimentation de l'agriculture et de la forêt de la région Paca. Pour les oléiculteurs des Alpes-Maritimes qui assurent près de 10% de la production française d'huile d'olive, l'arrachage systématique des arbres contaminés est une menace pour la filière.

    L'inquiétude des oléiculteurs

    "On est tout à fait conscients de la propagation par les insectes suceurs, il suffirait peut-être de mettre un système de volière avec un filet de protection autour et voir comment il va réagir", estime le responsable de la filière oléicole du département, Jean-Philippe Frère. Dès lundi 9 septembre, deux arbres malades devraient pourtant être abattus avec l'espoir de stopper la progression de la bactérie sur les oliviers français.

    C'est une bactérie potentiellement mortelle pour plus de 200 espèces végétales dans le monde, pour laquelle il n'existe pas de traitement curatif. Elle a été détectée pour la première fois en France en 2015 (en Corse-du-Sud), et fait l'objet d'une lutte internationale en Europe.

  • La violence en Occitanie

    Hérault. Le nombre de victimes de violences a augmenté de 357 % en 20 ans dans le département

    Jordi Vives

    Montpellier (Lengadoc Info) – La ville de Montpellier connaît depuis quelques mois une spectaculaire recrudescence de la violence. Une situation particulièrement alarmante alors que certains chiffres sur la délinquance dans le département de l’Hérault ne cessent de grimper.

    Montpellier sombre dans la violence

    Un client grièvement poignardé cette nuit au Rockstore, un piéton blessé par balle lundi au Millénaire, la veille un homme a été abattu au fusil de chasse dans la cité Paul Valéry, des tirs de kalachnikov dans le quartier Croix-d’Argent le même jour… la période estivale a été très chaude à Montpellier cette année !

    Entre ce déchaînement de violence et la nouvelle délinquance de certains groupes de jeunes clandestins qui vivent grâce au vol à l’arrachée dans le secteur du centre-ville, Montpellier commence à avoir un véritable problème de sécurité. Un problème qui, certes, n’est pas nouveau mais qui prend une telle ampleur qu’il devient urgent d’intervenir.

    D’ailleurs, les Montpellierains en sont bien conscients. Dans le sondage IFOP du mois de juillet sur l’état de satisfaction des habitants de la ville à propos de l’action de Philippe Saurel, la question de la sécurité est l’un des sujets où les Montpellierains sont le moins satisfaits (avec la propreté).

    Premier politique à réagir sur la question, le candidat des Républicains pour les prochaines municipales, Alex Larue, a réclamé " la tolérance zéro " après avoir constaté que " l’été qui s’achève restera marqué par une vague de violence d’une intensité inédite dans l’histoire récente de la ville ".

    Une situation qui ne date pas d’hier

    L’explosion de la violence aujourd’hui à Montpellier n’est pas vraiment une nouveauté mais s’inscrit dans un processus long dans le département. En vérité, depuis 1998, le nombre de victimes de coups et blessures a connu une augmentation de 357 % selon les chiffres de l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales rapporté par le site " ville-data ".

    En effet, on comptait 1 082 victimes de coups et blessures en 1998 contre 4 949 victimes en 2018 dans le département de l’Hérault.

    Lengadoc-info.com, 2019, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.