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Officiel - Page 20

  • Bon à savoir

    Non, il n’est pas obligatoire de faire ses courses au plus près de chez soi

    Comment et où faire ses courses? Les autorités françaises ont précisé les choses lors d’une cellule interministérielle de crise.

    Lors d’une cellule interministérielle de crise qui s’est tenue lundi, les autorités françaises ont, notamment, fait un point sur les pratiques autorisées pour faire ses courses.

    Est-on obligé de faire ses courses dans le magasin le plus proche de chez soi? Comment faire quand nos pratiques alimentaires nous obligent à nous rendre dans des magasins spécialisés? Autant de questions dont les réponses restaient floues. "Ce qui est certain, c’est que les consignes ne sont pas suffisamment claires et induisent en erreur même les personnes les plus respectueuses de la loi", confirmait, il y a une dizaine de jours dans nos colonnes, un gradé de la police.

    Plusieurs témoignages, comme celui de ce père de famille de Lanester (56) verbalisé à hauteur de 135 € pour avoir privilégié un supermarché à Lorient plutôt que son hypermarché habituel, suggéraient fortement qu’il fallait faire ses courses dans le magasin le plus proche de son domicile.

    "Aucune obligation de se rendre dans le magasin le plus proche" mais…

    Lundi, une cellule interministérielle de crise a éclairci plusieurs zones d’ombre. La décision finale indique qu’il " convient de rappeler aux préfets et aux forces de l’ordre les éléments suivants: tout achat réalisé dans un commerce dont les activités demeurent autorisées est considéré comme un achat de première nécessité; les forces de l’ordre ne doivent ni analyser, ni contrôler le contenu ou la manière de faire les courses".

    De même, il est souligné qu’il n’existe aucune obligation de regrouper ses courses dans un même commerce, ni de se rendre dans le magasin le plus proche. "Les usagers peuvent continuer à se rendre dans les magasins alimentaires spécialisés (boulangeries, fruits et légumes, chocolatiers, etc.) et confessionnels".

    Néanmoins, le gouvernement rappelle sur son site Internet que "chacun doit faire preuve de responsabilité et que la règle reste le déplacement bref et à proximité du domicile". Et il faut évidemment toujours être muni d’une attestation - papier ou numérique - toujours à jour sur soi.

    https://www.letelegramme.fr

     

    Ce que les policiers et gendarmes ont le droit (ou pas) de faire pendant un contrôle

    Les forces de l’ordre multiplient les contrôles pour veiller au bon respect du confinement. Mais sont-elles autorisées à fouiller vos courses ou à vous demander la raison de votre déplacement chez le médecin? Eléments de réponses.

    Depuis le 17 mars, 100 000 policiers et gendarmes sont mobilisés pour s’assurer que les Français observent bien les mesures de confinement et sortent de chez eux uniquement pour les motifs autorisés. En cas de contrôle, ils peuvent verbaliser pour absence d’attestation dérogatoire de déplacement ou sortie non légitime. Au 1er avril, quelque 5,8 millions de contrôles et 359 000 procès-verbaux ont été dressés par les forces de l’ordre, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.

    Mais sur les réseaux sociaux, des témoignages font état de contrôles abusifs et verbalisations injustifiées. Des femmes racontent par exemple avoir été verbalisées pour être sorties acheter des protections hygiéniques ou un test de grossesse, un internaute pour avoir mal recopié l’attestation à la main ou encore un autre parce qu’il portait un jean pendant sa pratique sportive. Alors jusqu’où peuvent aller les forces de l’ordre lors  d’un contrôle?

    Le montant de l’amende forfaitaire encourue en cas de non-respect du confinement grimpe vite: 135 € en cas de première sanction, 200 € en cas de récidive dans les quinze jours qui suivent, majorée à 450 € si elle n’est pas payée dans les 45 jours. En cas de multi-récidive dans les 30 jours qui suivent la première verbalisation, la violation des règles de confinement devient un délit passible de 3 750 € d’amende et six mois de prison.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles fouiller vos sacs de courses?

    Non, "une inspection visuelle ou une fouille sont des atteintes à votre droit à la vie privée", rappelle l’Observatoire parisien des libertés publiques dans un communiqué. Les forces de l’ordre ne peuvent avoir le droit de procéder à la fouille ou à l’inspection visuelle que dans le cadre d’une réquisition du procureur ou d’une enquête de police judiciaire. Pour contourner cet obstacle, ils peuvent vous demander d’ouvrir vous-même votre sac.

    Vous êtes en droit de refuser mais étant donné les circonstances, "le rapport de force des policiers prévaut et ils risquent de vous emmener en garde à vue ou en vérification d’identité et sans témoin, il va être compliqué de vous défendre, notamment d’accusations de rébellion ou d’outrage".

    Les forces de l’ordre peuvent-elles juger ce qu’est un achat de première nécessité?

    Non, si vos achats sont effectués dans les commerces autorisés à ouvrir, les policiers ne peuvent pas les contester. Le décret du 23 mars ne précise d’ailleurs pas ce qu’est un produit de première nécessité, "de sorte qu’une contravention qui se fonderait sur l’absence de nécessité première du bien acheté pourrait être contestée, pour absence de prévisibilité de l’infraction", précise l’Observatoire parisien des libertés publiques.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles vous verbaliser pour avoir pris plus d’une heure pour faire vos courses?

    Non, la limite d’une heure de déplacement s’applique uniquement aux sorties de loisirs : promenade, pratique sportive, sortie d’animaux. De même, la distance maximale d’un kilomètre ne concerne pas les déplacements pour aller faire vos courses.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles demander la raison d’un rendez-vous médical?

    Non, le secret médical s’applique.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles demander le paiement d’une amende sur place?

    Non, le paiement en liquide et immédiat d’une contravention sur le lieu du contrôle ne peut être exigé que "si le contrevenant ne dispose pas d’une adresse de domiciliation en France", rappelle la gendarmerie nationale.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles vous raccompagner chez vous?

    Si rien ne les en empêche, le gouvernement précise sur la page consacrée aux informations sur le coronavirus qu’"on demandera aux personnes de retourner chez elle mais il n’y aura pas de reconduites à domicile".

    Les forces de l’ordre peuvent-elles vous contrôler dans les jardins de votre copropriété?

    Non, les contrôles s’exercent uniquement sur la voie publique.

    https://www.dossierfamilial.com

  • Saviez vous qu'il existe une journée internationale des seins nus?

    Journée internationale des seins nus du 26 août prochain, organisée par le mouvement américain Go Topless Day pour commémorer aux États-Unis le droit de vote obtenu par les femmes le 26 août 1920.

     

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  • Corona en Occitanie

    Numéro pour agglo toulousaine

     

    Le point à 23 h

    Sept nouveaux cas dont quatre dans l'Hérault - L’Agence régionale de santé Occitanie confirme ce soir sept nouveaux cas de coronavirus, pris en charge en Aveyron, dans le Lot et l’Hérault. A ce stade, la région Occitanie compte 36 cas confirmés (8 départements concernés). Les investigations habituelles de l’Agence régionale de santé et de la cellule régionale de Santé Publique France se poursuivent pour identifier et informer les personnes qui auraient été en contact rapproché et prolongé avec ces patients.

    En Aveyron, 2 nouveaux cas ont été confirmés ce samedi. Il s’agit de deux femmes âgées de 70 ans et et de 39 ans, domiciliées distinctement à proximité de Rodez. Hospitalisées au Centre hospitalier de Rodez, elles présentent ce jour un état de santé sans signe de gravité.

    Dans le Lot, le test réalisé auprès de l’époux de la personne hospitalisée jeudi soir a également été positif. Cet homme âgé de 67 ans et domicilié près de Cahors est pris en charge ce jour.

    Dans l’Hérault, 4 nouveaux cas viennent d’être confirmés ce soir. Ils concernent les cas de deux femmes domiciliées distinctement à proximité de Béziers (83 et 70 ans) et d’un couple domicilié à proximité de Montpellier (29 et 31 ans). Des précisions seront apportées ultérieurement sur leur prise en charge. La région Occitanie compte à cette heure 36 cas confirmés de contamination au coronavirus Covid-19.

    Des nouvelles rassurantes des cas déjà avérés en Occitanie - Dans le Tarn, les 2 personnes hospitalisées au Centre hospitalier d’Albi présentent ce jour un état de santé sans signe de gravité. Dans l’Aude, les 3 personnes concernées ont été testées dans le contexte d’un séjour récent en Egypte. Elles présentent à cette heure pas ou très peu de symptômes. Leur état de santé n’a pas justifié d’hospitalisation. Elles appliquent des consignes d’isolement à domicile.

    Dans le Gard et dans l’Hérault, les 3 nouveaux patients hospitalisés aux CHU de Nîmes et de Montpellier présentent ce jour un état de santé sans signe de gravité. En Haute-Garonne, la personne hospitalisée hier au CHU de Toulouse a pu regagner son domicile ce jour, son état de santé étant jugé satisfaisant, mais devant s’accompagner pour autant du respect de consignes d’isolement habituelles.

    https://www.midilibre.fr/2020/03/07

  • Si le corona virus cov/2019 vous intéresse..

     

    CARTE MONDIALE

    https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

     

     

  • Votre voiture est dangereuse

    Des produits chimiques cancérigènes émanent constamment des sièges de nombreux véhicules

    Alors que de nombreuses recherches sur la pollution automobile se concentrent sur les polluants atmosphériques externes entrant à l’intérieur des véhicules et affectant de ce fait les passagers, une nouvelle étude montre que les produits chimiques émanant directement de l’intérieur pourraient également être préoccupants. Du moins, il s’agit de la conclusion d’une nouvelle étude réalisée par l’UC Riverside, publiée ce mois-ci dans la revue Environment International.

    L’étude révèle notamment que plus le trajet est long, plus vous êtes exposé à un ignifuge chimique cancérigène connu, et qui a notamment été éliminé de certains meubles. Bien qu’il existe d’autres produits chimiques qui sont généralement utilisés dans la fabrication d’automobiles, ce retardateur de flamme vient d’être ajouté à la liste des produits à éviter ou interdits.

    Certains scientifiques ont supposé que le produit chimique, appelé TDCIPP ou “tris chloré”, a cessé d’être utilisé après qu’il ait été placé sur la liste de la Proposition 65 en Californie, en 2013. Cependant, il est encore largement utilisé dans la mousse des sièges d’automobiles. L’étude montre que non seulement votre voiture est une source d’exposition au TDCIPP, mais que moins d’une semaine de trajets entraîne une exposition élevée à ce dernier.

    David Volz, professeur agrégé de toxicologie environnementale à l’UCR (Californie), a déclaré que les résultats étaient inattendus. " J’étais au départ plutôt sceptique, car je ne pensais pas que nous allions trouver une concentration significative dans ce court laps de temps, sans parler de l’importance du temps de trajet", a déclaré Volz. "Nous avons donc été surpris deux fois, ce qui était vraiment inhabituel".

    Impact sur le développement du fœtus, infertilité et risque de cancer

    Au cours de la dernière décennie, Volz a étudié comment divers produits chimiques affectent la trajectoire de développement précoce. En utilisant des poissons zèbres et des cellules humaines comme modèles, le laboratoire de Volz étudie depuis 2011 la toxicité d’une nouvelle classe de retardateurs de flamme appelés esters organophosphorés.

    Nous ne savons que peu de choses sur la toxicité de ces esters organophosphorés — dont le TDCIPP fait partie, mais il faut savoir qu’ils ont remplacé les anciens produits chimiques ignifuges, qui persistaient plus longtemps dans l’environnement et prenaient plus de temps à se métaboliser.

    En utilisant le poisson zèbre comme modèle, Volz a découvert que le TDCIPP empêche un embryon de se développer normalement. D’autres études ont rapporté une forte association entre le TDCIPP et l’infertilité chez les femmes suivant des traitements de fertilité.

    Sachant que son utilisation est encore répandue dans les véhicules, Volz s’est demandé si l’exposition totale d’une personne était liée à la durée du trajet. Les étudiants de premier cycle de l’UC Riverside ont fait d’excellents sujets d’étude, car la majorité d’entre eux effectuent de longs trajets quotidiens en voiture.

    L’équipe de recherche comprenait des collaborateurs de l’Université Duke et était financée par les National Institutes of Health (NIH) ainsi que l’USDA National Institute of Food and Agriculture.

    Les participants comprenaient environ 90 élèves, dont chacun avait des temps de trajet variant de moins de 15 minutes à plus de deux heures aller-retour. Tous ont reçu des bracelets en silicone à porter en continu pendant cinq jours. La structure moléculaire du silicone le rend idéal pour capturer les contaminants en suspension dans l’air.

    Étant donné que le TDCIPP n’est pas chimiquement lié à la mousse, il est expulsé au fil du temps et se retrouve dans la poussière (qui est inhalée), selon Aalekyha Reddam, un étudiant diplômé du laboratoire Volz.

    Une forte corrélation avec le temps de trajet

    Plusieurs esters organophosphorés ont été testés, mais le TDCIPP était le seul à montrer une forte association positive avec le temps de trajet. " Votre exposition au TDCIPP est d’autant plus élevée que vous passez de temps dans votre véhicule ", a déclaré Reddam.

    Bien que Volz et son équipe n’aient pas prélevé d’échantillons d’urine pour vérifier que le produit chimique a migré dans le corps des participants, ce dernier point est pour eux une certitude. " Nous supposons que c’est le cas en raison de la difficulté à éviter l’ingestion et l’inhalation de poussière ", a déclaré Volz. De plus, d’autres études ont examiné l’accumulation de TDCIPP dans l’urine, mais pas en fonction de la durée du trajet.

    À l’avenir, l’équipe de recherche aimerait répéter l’étude avec un plus grand groupe de personnes, dont les âges seraient plus variés. Ils aimeraient également étudier les moyens de protéger les automobilistes contre cette exposition, ainsi qu’à d’autres composés toxiques.

    Jusqu’à ce que des méthodes de réduction plus spécifiques puissent être identifiées, l’équipe encourage à épousseter fréquemment l’intérieur des véhicules et à suivre les lignes directrices de l’Environmental Protection Agency des États-Unis pour réduire l’exposition aux contaminants.

    Jusqu’à ce que des alternatives plus sûres soient identifiées, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre les effets du TDCIPP sur les navetteurs.

    "Si nous avons pu obtenir des résultats significatifs en seulement cinq jours, qu’est-ce que cela signifie pour une exposition chronique à long terme, pour les personnes qui effectuent de longs trajets tout au long de l’année, durant des décennies?", s’interroge Volz.

    Source : Environment International

  • DANGER TOMATES

    Alerte virus de la tomate et poivrons et piments: les producteurs et l'agence de sécurité sanitaire appellent à la plus grande vigilance

    L’Anses confirme un risque élevé d’introduction et de dissémination du virus ToBRFV en France avec un impact potentiel conséquent sur les cultures, tant pour les filières professionnelles que pour les productions familiales qui représentent des volumes significatifs. Le tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV) est un virus qui s'attaque aux tomates, piments ou encore poivrons. Les producteurs de la région ne sont pas touchés, mais le virus est présent en Allemagne, en Italie et en Espagne et la France pourrait être le prochain sur la liste. Cela pourrait entraîner des conséquences économiques pour la filière.

    L’Anses confirme un risque élevé d’introduction et de dissémination du virus ToBRFV en France avec un impact potentiel conséquent sur les cultures, tant pour les filières professionnelles que pour les productions familiales qui représentent des volumes significatifs.

    L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) dans une expertise publiée le 4 février. Apparu pour la première fois au Moyen-Orient en 2014, le tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV) rend les plants de tomates, poivrons et piments impropre à la consommation.

    Lorsque la plante est touchée par le tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV), elle présente des décolorations, des marbrures et des déformations au niveau des feuilles comme des fruits. Les tomates, poivrons et piments infectés par le virus présentent un aspect rugueux et sont donc non commercialisables.

    Ce virus ne se transmet pas à l'homme: "La consommation d'une tomate infectée par le virus ne présente pas de danger, mais l'homme pourrait à son tour transmettre le virus par ses excréments, ça montre la résistance de ce virus", indique Philippe Reignault, directeur du laboratoire de santé des végétaux à l'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

     [????Alerte] L’@Anses_fr met en garde contre un virus émergent qui affecte les #plantes potagères, et plus spécifiquement les tomates, piments et poivrons ???????? : le tomato brown rugose fruit virus #ToBRDFV

    ? https://t.co/wzxOJTNl3a pic.twitter.com/L5hrRiHjnv

    — Anses (@Anses_fr) February 4, 2020

     Fruit le plus produit au monde, la tomate contaminée rétrécit et voit des mosaïques et tâches vertes ou jaunes apparaître sur sa surface qui devient rugueuse.

    Sans danger pour l’homme et les animaux, le virus inquiète les producteurs. Une fois touchés, les plants de tomates deviennent impropre à la consommation et donc à la vente. Dans les pays moins touchés, le virus a fait entre 8 et 10% de dégâts. “Pour un producteur professionnel de tomates, 10% de pertes, c'est déjà insupportable économiquement”.

    Autre problème, le virus est très contagieux et se transmet très facilement d’un plant à l’autre. Cette transmission peut se faire aussi bien par les semences, les plants et les fruits infectés que par simple contact. Lorsque la Jordanie a été touchée par le virus, ce sont 100% des plants qui ont été contaminés. Il est également capable de survivre dans le sol, à la surface de vêtements, d’outils, etc., pendant plusieurs semaines voire plusieurs mois, en gardant son pouvoir infectieux.

    Pour l’instant, aucun traitement efficace n'existe pour lutter contre le virus. Une fois que le virus a été introduit dans une zone, les mesures pour contrôler sa propagation sont extrêmement limitées, admet l'Organisation européenne et méditerranéenne pour la protection des plantes (Oepp). Ces mesures consistent principalement en une élimination des plantes infectées en suivant des mesures d'hygiène strictes.

    Extrême vigilance

    Pour tenter de limiter les potentiels dégâts que causeraient le virus, l’Anses insiste sur des mesures de prévention. Si un plant présente les caractéristiques du virus, elle recommande la “destruction par le feu”. Pour les particuliers qui plantent leurs propres tomates, poivrons et piments, l’Agence préconise une extrême vigilance dans l’achat des semences en privilégiant le circuit court et en évitant d’acheter en ligne.

    AUTRE INFO IMPORTANTE

    Les sauces tomates sont un indispensable dans de nombreux placards de cuisine. ATTENTION;

    Il y a des perturbateurs endocriniens dans les sauces tomates industrielles

    La revue 60 millions de consommateurs a passé plusieurs sauces tomates industrielles au crible. Elles sont majoritairement trop salées, un peu trop sucrées également.

    Lorsqu’elles sont industrielles, leur composition est néfaste pour la santé. Dans son édition du 21 mars 2019, la revue 60 millions de consommateurs a analysé une cinquantaine de références, du bas de gamme au haut de gamme : dans la plupart des cas, elles sont trop salées, trop sucrées et contiennent des perturbateurs endocriniens.

    Du fongicide dans 20 produits

    Plus de la moitié des produits étudiés par 60 millions de consommateurs contiennent un ou plusieurs résidus de pesticides. Des molécules, considérées comme des perturbateurs endocriniens, ont été retrouvées dans certaines références à l’état de trace. Or, l’Union européenne ne les autorise que sous forme de résidus, plus fins que les traces. Du carbendazime a été repéré dans une sauce tomate et 20 produits contiennent des traces du fongicide propamocarbe.

    Dans l’ensemble des produits, le taux de sel est compris entre 0,92 et 1 gramme pour 100 grammes. Le chiffre est jugé trop élevé par le magazine, car les préconisations de l’Organisation mondiale de la santé sont de ne pas dépasser plus de 5 grammes de sel par jour.

    Comme il s’agit de produits industriels, les fabricants sont obligés de "tricher" pour qu’ils conservent leur bon goût, ainsi le sucre est largement utilisé. Dans certains produits, les sucres ajoutés représentent la moitié du total des sucres présents dans la conserve, même si selon 60 millions de consommateurs, aucune des sauces analysées n’était une "bombe de sucre".

    Les produits bio et sans conservateurs en tête du classement …

    mais, c'est un peu faux.

    Dans le classement réalisé par le magazine, les produits les mieux notés sont les sauces tomates -les plus chères en général- mais surtout celles qui sont labellisées bio et sans conservateurs. L’idéal reste de s’armer d’un peu de patience et d’une casserole, pour réaliser soi-même une sauce tomate avec les tomates du jardin.

    SI vous pensez qu'un simple trempage dans l'eau bicarbonatée ne vous suffira pas, voici un moyen supplémentaire pour “nettoyer“ la peau d'un légume ou fruit

    Dans une soucoupe à café, déposez du bicarbonate de soude et, avec un papier absorbant un peu mouillé, absorbez du bicarbonate; passez en frottant un peu sur votre fruit: tomate, pomme, etc… une fois bien nettoyé, laisser tremper dans de l'eau bicarbonatée (une cuillère à soupe pour un litre et demi d'eau).

     

  • Grippe

    En France métropolitaine, la semaine dernière (2020s02), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 85 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [74 ; 96]).

    Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (134 [69 ; 199]), Ile-de-France (102 [72 ; 132]) et Occitanie (100 [65 ; 135]).

    Conclusion du groupe de travail pour la surveillance de la grippe en France métropolitaine :

    - Augmentation des indicateurs de l’activité grippale en métropole

    - Passage en phase épidémique en Ile-de-France et en Provence-Alpes-Côte d’Azur

    - Phase pré-épidémique pour les 11 autres régions métropolitaines