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Officiel - Page 40

  • Hé, hé, hé: Toulouse, ville préférée des Français.... et des patrons!

    La piétonisation du centre-ville a séduit les Français. 12 % d'entre eux souhaitent vivre à Toulouse.

    Toulouse se place à la troisième place des villes les plus attirantes de l'Hexagone selon une étude menée par l'Observatoire du bonheur. Écoquartiers, climat, centre-ville…, les atouts de la Ville rose sont nombreux.

    Les Toulousains ont le bonheur à portée de mains, et ne le savent pas forcément. Selon l'enquête de l'Observatoire du bonheur menée par l'institut CSA, Toulouse se place à la troisième position (ex æquo avec Nantes) des villes dans lesquelles les Français aimeraient vivre dans l'idéal. "Ils ont tous une préférence pour le sud-ouest. Lorsque l'on regarde ce palmarès, Bordeaux est première (19 %), devant Montpellier (15 %) Nantes et Toulouse troisièmes (avec 12 % des voix chacune). Je crois que nous avons peur des trop grandes villes comme Paris, Lyon ou Marseille", analyse Marek Kubista, un des spécialistes en charge de l'étude.

    80 % des personnes qui vivent en métropole se déclarent heureuses, deux Français sur trois affirment pourtant qu'ils préféreraient vivre à la campagne. En effet, "l'écologie et la nature arrivent en tête des priorités pour penser l'avenir des zones urbaines, de manière à réintégrer un peu de campagne dans les quartiers du futur". La Ville rose excelle dans ces domaines depuis plusieurs années. Cela peut expliquer l'engouement qu'elle suscite. Les bords de Garonne sont synonymes de dynamisme écologique. Les travaux terminés rue Alsace-Lorraine et rue Pargaminières en témoignent: les piétons sont désormais rois en centre-ville. Un gros avantage, tandis que plusieurs écoquartiers voient le jour. 19 % des cadres et 16 % des jeunes entre 18 et 25 ans espèrent pouvoir s'installer à proximité du Capitole. C'est donc la vie rêvée pour petits et grands. "Le climat joue également un rôle important. Toulouse est souvent ensoleillée… . L'autre avantage, c'est qu'elle possède beaucoup d'espaces verts", souligne encore ce spécialiste. Un atout considérable, lorsque l'on sait que 57 % des sondés voudraient "mettre la campagne dans la ville".

    Inquiétude sur le devenir de la ville

    Si l'on s'intéresse aux quatre premières du classement, on note que trois d'entre elles ont un accès direct sur la mer ou l'océan atlantique. Ce n'est pas le cas de la capitale de la future région Midi-Pyrénées/ Languedoc. "Je ne crois pas que cela soit un désavantage. Ici, les gens peuvent respirer. L'environnement est agréable. Le patrimoine culturel est riche. Cela attire les cadres et leurs familles", estime une nouvelle fois Marek Kubista. Attention tout de même, la Haute-Garonne doit continuer à fournir des efforts si elle veut s'installer durablement dans ce top 3. L'étude du CSA montre un certain pessimisme concernant l'avenir. Notamment sur ce que risque de devenir la ville à l'avenir: 60 % l'imaginent plus polluée, 62 % plus saturée, et 54 % plus verticale….

    Repères; Le chiffre: 1 011 personnes >interrogées. L'enquête CSA — Observatoire du Bonheur, a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 1 011 personnes selon la méthode des quotas. Seulement 10 % se disent attirés par Paris

     " La ville manque encore de bourgeoisie industrielle. Des familles capables d'investir dans des projets, comme les Michelin à Clermont ".

    Jean Viard: "Le bonheur n'a rien à voir avec l'argent"

     "80 % des Français se disent heureux lorsqu'on les interroge. Je trouve cette étude intéressante. On dit toujours que nous sommes malheureux. Voici la preuve que non", s'enthousiasme le sociologue Jean Viard. Selon lui, si Bordeaux est en tête, c'est avant tout parce que son maire (Alain Juppé) est une personnalité ultra-médiatisée. "Toulouse est moins au-devant de la scène politique depuis le départ de la famille Baudis. Sans ça, la ville serait encore mieux placée. En Haute-Garonne, on a su se moderniser, se connecter, tout en restant proche des traditions. Avec la nouvelle région, le fief de Jean-Luc Moudenc va devenir un acteur maritime important. Ce phénomène est parti pour durer", estime encore le sociologue. Cela séduit la population, qu'elle soit modeste où plus aisée. "Le bonheur n'a rien à voir avec l'argent. On peut être heureux sans être riche. Les gens modestes sont contents à titre privé. Mais, le niveau des revenus aide à se déplacer ou l'on veut. Donc à Toulouse, Bordeaux, Nantes ou Montpellier. Attention tout de même, le problème des quartiers périurbains pourrait freiner les ardeurs des arrivants", conclut Jean Viard.

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    Challenges (j'y suis abonnée) disait la semaine passée que Toulouse est la ville la plus active de France!

    Mande pardon, j'avais oublié de vous l'indiquer…. avec cette chaleur, j'ai les touches du clavier qui se collent à mes bouts de doigts.:-)!

     

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  • Encore des idiotes au gouvernement! je me tue à vous le dire!

    Les Italiens en ont avalé leur tartine de travers. En déclarant, lundi soir sur le plateau du Petit Journal, "[qu’] il faut arrêter de manger du Nutella "parce qu’il contient de l’huile de palme" qui a remplacé les arbres, et donc c’est des dégâts considérables", Ségolène Royal devait se douter que ses propos ne manqueraient pas de traverser les Alpes…

    Parce qu’en Italie, où se trouve le siège de Ferrero, l’entreprise qui a créé la célèbre pâte à tartiner, on ne plaisante pas avec le Nutella, véritable fierté nationale.

    "Ferrero utilise de l’huile de palme respectant le développement durable pour ses produits confectionnés à Villers-Ecalles [Haute-Normandie]", a réagi Ferrero, cité par La Stampa. La référence au site de production français est aussi un moyen de rappeler que l’entreprise joue un rôle dans l’économie de l’Hexagone.

    Pour le ministre italien de l’Environnement, ce sera "pain et Nutella" au dîner

    Sur Twitter, Michele Anzaldi, député Parti démocrate et membre de la commission Agriculture, a quant à lui exigé des excuses de la ministre française de l’Ecologie pour le "grave et vilain dérapage de la France sur l’excellence italienne".

    Il y a quelques pays qui n'ont que pour économie l'huile de palme. Si on ne leur achète plus de leur huile, ils mourront de faim et vont débarquer en France; mais, ce n'est pas grave… la gauchiasse à tout nos impôts qu'il lui faut!

    Voici l'article que j'avais lu quand tout le monde criait haro sur l'huile de palme et Nutella, il y a quelques mois. Je possède seulement le certificat d'études primaires et suis loin d'avoir fait l'ENA comme cette crétine décervelée par le dogme gauchiasse... moi, avant d'écrire n'importe quoi sur mes sites ou blogs, je fais des recherches!

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    Culture de l’huile de palme et économies locales: les enjeux

    Différents systèmes de culture existent pour l’huile de palme, de la grande exploitation de milliers d’hectares aux petits planteurs. Avec la généralisation de l’huile de palme durable, l’objectif de l’Alliance Française pour une Huile de Palme Durable est de favoriser le développement et la stabilité économique des petits producteurs.

    Des millions de personnes concernées

    Parce qu’elle n’est pas mécanisée au stade de la cueillette des fruits, la culture du palmier à huile fait vivre directement ou indirectement des millions de personnes dans les pays où elle est implantée : 590 000 personnes en Malaisie, 3 à 7 millions de personnes en Indonésie.

    Une source de revenus réguliers et stables

    Pour les petits planteurs, le bond de revenus engendré par le passage de cultures traditionnelles et celle du palmier à huile est spectaculaire. A Sumatra (Indonésie) par exemple, le revenu moyen annuel à l’hectare sur le cycle complet d’une plantation s’élève à 2 100 € pour le palmier à huile, soit dix fois plus que pour une rizière (200 € par hectare). Un homme gagne ainsi 36 € par jour pour le palmier à huile et seulement 1,7 € par jour pour le riz irrigué.

    L’émergence d’une classe moyenne rurale

    Parce qu’elle est une source de revenus très importante, la culture du palmier à huile a permis aux populations locales de sortir de la pauvreté  en l’espace d’une génération, leur donnant accès à des infrastructures modernes : réseaux routiers, réseaux sanitaires, écoles ou encore hôpitaux. En outre, la part des petits planteurs indépendants est très forte et en constante augmentation : 40% en Malaisie et en Indonésie, près de 80% en Thaïlande… On comprend mieux comment cette culture  a permis, partout où elle est présente, l’émergence d’une classe moyenne rurale qui transforme elle-même, progressivement, l’économie des pays concernés.

    http://www.huiledepalmedurable.org/limpact-de-lhuile-de-palm

  • L'essai thérapeutique SEP: pour et contre

    Traitement sclérose en plaques 

    Question  Pouvez-vous me dire si vous avez un avis sur le sérieux des liens suivants : - http://www.sepconnection.be/sclerose-plaques-a-veille-miracle/ - http://forum.doctissimo.fr/sante/SEP/essai-clinique-miraculeux-sujet_6863_1.htm Plus généralement, avez-vous des informations sur des traitements nouveaux de cette maladie? 

    Réponse 

    Bonjour,

    Vous souhaitez savoir si l’essai clinique d’un « vaccin » pour soigner la sclérose en plaques mis au point  par le Pr Jean-Marie Saint-Remy peut être un espoir thérapeutique pour les malades. Cette information reprise sur plusieurs sites médicaux ou d’associations de patients, provient d’un article d’une revue économique belge.

    Ce qui interroge tout d’abord à propos de cet essai clinique est qu’il soit réalisé sur une seule personne, tout essai clinique se faisant sur un groupe plus ou moins large de patients ainsi que l’indique le document  de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) sur les essais thérapeutiques :

    « Dans une première étape, des milliers de molécules sont identifiées par criblage pharmacologique.

     Certaines sont retenues en phase dite « préclinique » et sont testées en laboratoire afin d’évaluer leurs principaux effets et leur toxicité. Après ces études en laboratoire viennent les phases d’essai thérapeutique impliquant la participation de personnes volontaires. Il existe quatre phases d’évaluation distinctes les unes des autres et successives, dont chacune donne lieu à un essai thérapeutique différent.

         Phase I : étude de l’évolution de la molécule testée dans l'organisme en fonction du temps (cinétique) et analyse de la toxicité sur l'être humain. Cette phase est menée sur un petit nombre de personnes volontaires et non malades ;

         Phase II : administration du médicament à un petit nombre de patients pour rechercher la plus petite dose efficace et observer des effets secondaires nocifs en utilisant différentes doses ;

         Phase III : comparaison de l’efficacité du nouveau médicament par rapport au traitement de référence (lorsque celui-ci existe) ou à un placébo (lorsqu’aucun traitement n’existe). Cette phase s’adresse à un grand nombre de patients et dure plusieurs années. Les patients sont sélectionnés sur des critères précis qui permettront de répondre à la question de l’efficacité et du bénéfice du médicament testé comme nouveau traitement standard de la maladie concernée.

    C’est à l’issue de ces essais que les autorités sanitaires délivrent l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Le nouveau médicament peut être prescrit.

         Phase IV : il s’agit du suivi des effets nocifs secondaires des médicaments qui ont été mis sur le marché, cela pour un grand nombre de patients chez qui le nouveau médicament a été prescrit et dans des conditions normales d'utilisation. »

    http://www.inserm.fr/volontaires-a-un-essai-clinique

     

    Lors de nos recherches, nous n’avons trouvé aucune référence à cet essai dans les revues scientifiques, ce qui incite à la prudence quant à la rigueur de cette étude. 

     

    Concernant des recherches en cours nous vous proposons de lire le dossier réalisé par l’Inserm :

    « […]

    Vers de nouvelles stratégies immunomodulatrices et la remyélinisation

     De nouvelles stratégies immuno-modulatrices sont aujourd’hui envisagées. Des chercheurs tentent par exemple de rendre le système immunitaire tolérant aux cellules qui produisent la myéline (les oligodendrocytes) en l’exposant progressivement à des antigènes myéliniques exogènes. Des travaux conduits sur des modèles animaux ont donné des résultats encourageants avec l’administration d’antigènes très spécifiques.

     Une autre approche est centrée sur l’hypothèse rétrovirale. L’implication dans la sclérose en plaques d’un rétrovirus endogène (multiple sclerosis-associated retrovirus, MSRV) est discutée depuis de nombreuses années. Des travaux suggèrent que la protéine d’enveloppe du virus pourrait activer une cascade pro-inflammatoire. Ces travaux ont conduit à la mise en œuvre d’un essai clinique utilisant un anticorps monoclonal dirigé contre cette protéine d’enveloppe.

     Des stratégies complémentaires à l’immuno-modulation et à l’immunosuppression connaissent en outre actuellement un engouement : il s’agit de la remyélinisation et de la neuroprotection. Elles pourraient permettre de freiner l’évolution de la maladie et l’apparition du handicap associé.

     […] »

    http://www.inserm.fr/thematiques/neurosciences-sciences-cognitives-neurologie-psychiatrie/dossiers-d-information/sclerose-en-plaques-sep

    De son côté, l’ARSEP, fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques, indique sur son site les différentes voies de recherche :

    https://www.arsep.org/fr/181-voies%20de%20recherche.html

    En complément vous pouvez aussi consulter les articles rédigés par Cochrane,  un réseau mondial indépendant de chercheurs, de professionnels, de patients, de soignants et de personnes intéressées par les questions de santé qui rassemble et résume les meilleures données probantes issues de la recherche pour une aide aux choix de traitement éclairés.

    http://www.cochrane.org/fr/search/site/sep?solrsort=ds_published+desc

    Comme vous êtes en région parisienne, n’hésitez pas à nous rendre visite et à solliciter les médecins, conseillers à la Cité de la santé, qui pourront vous aider notamment dans la compréhension des articles médicaux et vous éclairer sur le sujet. Vous trouverez en lien ci-dessous les jours des permanences :

    http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/lieux-ressources/cite-de-la-sante/permanences-de-conseil/sinformer-sur-un-probleme-de-sante/

    Nous espérons que ces éléments d’information vous seront utiles et restons à votre disposition pour toute recherche documentaire dans le domaine de la santé.

    L’Equipe de Questions-santé,

    Le service de réponses en ligne de la Cité de la santé.

    Service Questions-santé

    http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/lieux-ressources/cite-de-la-sante/questions-sante/toutes-les-questions-sante/questions-sante-2015/?tx_equestionreponse_pi1%5Bquestion%5D=4085&tx_equestionreponse_pi1%5Baction%5D=show&tx_equestionreponse_pi1%5Bcontroller%5D=Question&cHash=f391a1837416b9b44bee580a0b14e326

  • Mes recettes sont grasses?... il y a plus fort encore!

    Pour 2015, la hausse des impôts locaux à Bordeaux est de l’ordre de 5%, tandis qu’à Lyon, les taux d’imposition seront relevés de 4% pour la taxe d’habitation, de 6,17% pour le foncier sur le bâti et 4% sur le foncier non bâti. Toulouse bat tous les records avec des impôts locaux en hausse de 15%. À Marseille, la taxe d’habitation et les impôts fonciers grimperont de près de 5% !

    Ha, la, la! Toulouse, n'est pas la plus belle, cette année!

     

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    NOTRE POÈTE LOCAL: Goudouli, statue Place Wilson

     

  • Place de la Concorde: ha, ha, ha!

    Les places du Capitole à Toulouse et Nationale à Montauban parmi les 5 plus belles de France

    Le magazine Détours en France a classé la place du Capitole à Toulouse, troisième plus belle place de France. Elle devance d’une courte tête la place Nationale de Montauban (quatrième). Les deux premières places du podium sont occupées par la place Stanislas de Nancy et la Grand’Place de Lille.

    L’emblématique place toulousaine doit son classement à ses façades de briques roses, mais également aux " 29 peintures signées Raymond Moretti " qui ornent les voûtes des arcades, explique le magazine.

    Quatrième de ce palmarès des plus belles places de France, la place Nationale, anciennement place Royale, de Montauban, avec ses arcades appelées " couvert des drapiers, des sabots ou du blé ", rappelle le magazine, qui y voit " un endroit idéal pour boire un café avant de partir découvrir la cité ".

    Les places toulousaine et montalbanaise sont suivies, dans ce classement, par la place de la Bourse de Bordeaux et la place de la Concorde à Paris. (raté!)

     

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    TOULOUSE: la plus belle!

    Foi de toulousaine!

     

    Pour les peintures de Moretti, vous avez en cartouche une de ces peintures....

    La suite, bientôt!

     

     

  • Nous, cela fait longtemps que l'on sait d'où vient la moisissure du Roquefort!

    Suisse: le mystère des "trous" dans le fromage enfin élucidé

    L'institut des sciences en denrées alimentaires Agroscope, basé à Berne, vient de trouver l'explication scientifique aux "trous" dans certains fromages suisses. Et les bactéries, longtemps soupçonnées, n'y sont pour rien...

    Qui ne s'est jamais demandé pourquoi l'Emmental ou encore l'Appenzell étaient criblés de trous ? ... A l'origine de l’apparition de ces cratères de toutes formes qui amusent tant les enfants, il n'y a pas d'intervention humaine, ni aucune petite souris qui serait passée par là... Alors depuis des décennies, la Suisse, pour qui le fromage est une affaire tout à fait sérieuse, tente de percer le mystère. Et c'est chose faire.

    Après un siècle d'étude, l'institut des sciences en denrées alimentaires Agroscope, basé à Berne, vient de découvrir le pot-au-roses. Les "trous" dans le fromage sont en fait provoqués par des gaz qui se dégagent pendant la fermentation. Et ces gaz sont eux-mêmes engendrés par de petites particules de foin qui tombent dans le lait pendant la traite des vaches.

    C'est une découverte qui a été faite complètement par accident, comme toutes les grandes découvertes", se réjouit l'institut scientifique

    Rien que du naturel donc et pourtant, ce sont les techniques modernes qui ont permis de faire cette découverte. Les chercheurs, qui avaient bien remarqué qu'il y avait de moins en moins de trous dans le fromage depuis ces dernières années, ont en effet constaté qu'ils avaient tendance à disparaître quand le lait était extrait avec des techniques plus modernes et "aseptisées" que celles des fromagers d'antan...

    Et c'est là, la révélation ! "C'est la disparition du seau traditionnel", placé sous le pis de l'animal, et dans lequel les fameuses particules de foin pouvaient flotter à loisir, qui est à l'origine de la disparition des "trous", explique  un porte-parole de Agroscope.

    Cette découverte pourrait permettre au fromager de varier le nombre de "trous" désirés dans ses meules en jouant sur le dosage des microparticules de foin, et aux enfants de de continuer à s'amuser de ces drôles de cratères.

     

  • Le "fait maison" mûrit

    Depuis vendredi, le label se veut "plus simple et plus clair pour tous". Pour les Le logo " Fait maison " signalera chaque plat.

    Le décret simplifiant le label "Fait maison" qui permet de mieux informer le consommateur sur les plats qui lui sont servis, a été publié jeudi au Journal officiel pour entrer en vigueur vendredi.

    "Les deux objectifs de ce décret révisé sont de reconnaître la cuisine faite sur place et de donner un gage de transparence pour le consommateur sur l'authenticité de la cuisine réalisée par les restaurateurs", a indiqué la secrétaire d'État au Commerce Carole Delga.

    "Ceux qui s'approprient ce dispositif de valorisation, en mettant en avant le caractère "Fait maison", contribuent à la reconnaissance du secteur et à sa montée en gamme", a-t-elle ajouté.

    La secrétaire d'État avait annoncé en avril que le label "Fait maison", confronté à certaines réticences des restaurateurs depuis son lancement en juillet, serait simplifié pour être plus accessible et mieux prendre en compte les attentes des consommateurs.

    Le nouveau décret n'oblige plus les restaurateurs à apposer sur leur carte la phrase "Les plats "faits maison" sont élaborés sur place à partir de produits brut“. Ils devront simplement signaler leurs plats par le logo composé d'une casserole sur lequel est posé un toit de maison.

    La 5e fête de la Gastronomie se déroulera les 25, 26 et 27 septembre.

     

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