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Officiel - Page 39

  • Aujourd'hui

    25 septembre : 5e édition de la fête de la gastronomie, partout en France

  • Amis Toulousains, bonne nouvelle pour votre porte-monnaie!

    Rentrée oblige, la Grande Braderie de Toulouse refait surface dans les rues de la ville rose pour de bonnes affaires les 4 et 5 septembre.

    Pour le premier week-end de septembre, pour bien débuter la rentrée, la ville de Toulouse, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Toulouse et la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de la Haute Garonne organisent une Grande Braderie dans la ville rose.

    Il s’agit d’une opération commerciale qui permettra de liquider les invendus et fins de séries et de présenter les nouvelles collections Automne/Hiver 2014.La Grande Braderie de Toulouse ouvre ses portes à 11h afin de laisser les livraisons s'opérer le matin et se termine à 20h pour vous offrir une plus grande amplitude d'achat.

    Cette troisième édition est aussi l'occasion de sauver une période de soldes d'été morose. Enfin, seulement si la météo est au rendez-vous car tout se passe dans la rue. Les commerçants du centre-ville installeront sur les trottoirs leurs étalages et présentoirs. Certaines rues seront fermées à la circulation automobile pour profiter de cette fête du commerce.

    La Grande Braderie de Toulouse

     Les 4 et 5 septembre dans les rues et magasins de la ville

  • 700 millions de petits Chinois et moi, et moi, et moi... j'y pense et puis j'oublie...

    Fin juillet, un homme est mort dans le Finistère suite aux piqûres d’un frelon asiatique. L’insecte, également appelé Vespa velutina, est arrivé en Aquitaine il y a une dizaine d’années lors d’une importation de poteries chinoises. Depuis son arrivée, il ne cesse de se répandre. En 2012, il a été classé "danger sanitaire" au titre du code rural. Il y a deux ans, on dénombrait quinze nids de frelons asiatiques. Aujourd’hui, la France en compte plus d’un millier et sa présence a été recensée dans un peu moins de 80 départements. Le frelon asiatique s’attaque principalement aux abeilles et son venin reste, pour l’homme, moins toxique que celui du frelon européen.

     

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  • Adieu à la gastronomie française!

    La phrase du jour

    “Nous appliquons strictement des sanctions [contre la Russie], sous la pression de certains de nos alliés et notamment des Américains, alors même que les autres pays se gardent bien de les appliquer, les Américains les premiers ! Résultat : les sanctions, c’est pour nous et les contrats pour les autres. On le voit bien avec la signature d’un accord entre Moscou et le groupe américain Bell Helicopter concernant une usine d’assemblage en Russie. Ou avec le contrat de 490 millions de dollars que la Nasa a signé avec l’Agence spatiale russe, le jour même où la France renonçait aux contrats du Mistral. Sans compter que l’embargo russe décrété en réplique sur nos produits touche de plein fouet nos agriculteurs."

    Thierry Mariani, député républicain, dans "le Figaro".

    Après les débordements musclés de juillet, les agriculteurs ne désarment pas, les mesures en faveur du relèvement des prix du lait et de la viande ne donnant pas les résultats escomptés. Lundi encore, deux industriels - Cooperl et Bigard/Socopa - n'ont ainsi pas participé au Marché du porc breton, estimant la viande trop chère.

    Alors que le premier ministre Manuel Valls rencontre des agriculteurs dans le Gard ce mardi, les actions ciblées et sporadiques se poursuivent. Vendredi, à Rodez, dans l'Aveyron, une vive altercation a opposé une cinquantaine d'éleveurs à un fournisseur de viande pour la restauration, le magasin Promocash, soupçonné d'importer de la viande. Le même jour dans la Loire ainsi que dans d'autres départements, le géant de la distribution Casino a été la cible d'agriculteurs l'accusant de se fournir en viande et lait étrangers. Et de ne pas appliquer les engagements pris au ministère de l'Agriculture pour améliorer leurs prix de vente.

    La FNSEA prépare une mobilisation plus large pour début septembre, en région pour commencer, avant de s'attaquer à Paris. Ces manifestations doivent culminer le 7 septembre à Bruxelles, où se tiendra une réunion des ministres européens de l'Agriculture. Ils doivent plancher sur les mesures à prendre pour soutenir les prix. Les agriculteurs français ne sont pas les seuls à faire face à une chute des cours de leurs produits.

    Retrouvez l'intégralité de ce dossier dans Le Figaro à paraître mardi 11 août, et sur le Web, les mobiles et les tablettes pour les abonnés Figaro Premium.

  • Bien sûr!!! tout à fait normal!

    Toulouse sera bien la capitale de la nouvelle grande région

    Le gouvernement a tranché. C'est la ville de Toulouse qui a été désignée comme capitale de la future région, ce vendredi matin en conseil des ministres. Pour la répartition des compétences, les préfets de région en diront plus ce vendredi en fin d'après-midi. 

    Sans surprise, Toulouse sera la nouvelle capitale de la future région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, selon les décisions sur la nouvelle organisation territoriale arrêtées vendredi en Conseil des ministres.

     Outre Toulouse, Lyon, Bordeaux et Strasbourg, Lille, Rouen et Dijon ont également été choisies comme capitales régionales.

    Le choix  des nouvelles capitales régionales, dont la liste provisoire a été présentée en Conseil des ministres ce vendredi matin, "peut

     en théorie encore bouger d'ici l'année prochaine", selon le secrétaire d'Etat André Vallini.

     "Les capitales définitives seront fixées par le gouvernement après consultation des futurs conseils régionaux", a rappelé André Vallini sur RMC.

     "Chacun défend son territoire, c'est légitime", a-t-il dit. "C'est tout à fait normal que les maires des villes qui pourraient ne plus être capitales régionales

     se battent pour garder des services de l'Etat et nous allons profiter de cette réforme pour répartir les services de l'Etat de façon plus équilibrée encore". Les chefs-lieux définitifs doivent être fixés avant le 1er octobre 2016.

    L'annonce officielle de la répartition des services de l'Etat a également été faite, ce vendredi, après le conseil des ministres. 9 postes de préfets de région et autant de postes de directeurs généraux d'agences régionales de santé (ARS) vont être supprimés dans l'hexagone dans le cadre de la nouvelle organisation territoriale, selon le compte-rendu du Conseil des ministres vendredi. "63 postes de directeurs régionaux des administrations de l'Etat, ainsi que leurs états-majors" seront également supprimés.

    Le détail pour notre future grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon doit être donné ce vendredi après-midi à Carcassonne dans l'Aude lors d'une conférence de presse du Prefet de région.

    Selon Damien Alary, le président sortant de Languedoc-Roussillon, 5 administrations régionales actuelles sur 11 existantes siégeront toujours à Montpellier après la fusion des régions, le 1er janvier 2016. Il s'agit du rectorat coordinateur, de l'Agence régionale de santé (ARS), des affaires culturelles (DRAC), de la jeunesse, les sports et la cohésion sociale et enfin la chambre régionale des comptes.

    Perso, je souhaite que l'ensemble devienne la région “Occitanie“.

     

    Toulouse, toulousain, société, recettes, cuisine, gastronomie, Occitanie

     

     

     

     

    Allez-va, les autres, poutous pour vous réconforter!

     

  • Pour qui votait-on?

    Just Fontaine, qui aura 82 ans le 18 août, est l'une des personnalités préférées des Toulousains.

    Le Stadium municipal de Toulouse doit-il être rebaptisé stade Just Fontaine? Plus de 1000 internautes connectés au site ladepeche.fr soutiennent cette idée, lancée par Philippe Armandary et Marc Bradfer, deux Toulousains mordus de football et admirateurs de la carrière du grand Justo. Toujours détenteur du record de buts en phase finale de Coupe du monde de football (13 buts en 1958), Just Fontaine est né à Marrakech mais il a "choisi" Toulouse, et y réside depuis plus de 50 ans...

    Il a entraîné le TFC, (on dit téfécé) et reste l'un des plus grands ambassadeurs du football français à l'étranger, puisqu'il a été élu dans les 100 meilleurs joueurs de l'histoire, lors du centenaire de la FIFA en 2004. Avec près de 2000 votants, notre sondage donne 55 % de "Oui" et 45 % de "non" à l'idée de renommer le Stadium Just Fontaine.

     "C'est un chiffre tout à fait honorable, commente Philippe Armandary. 45 % de "Non" ? Cela peut aussi surprendre. Il est vrai que beaucoup de gens de la jeune génération ne savent pas forcément qui est Just Fontaine. Et parmi ceux qui le connaissent, nombreux sont ceux qui ne savent pas qu'il est Toulousain. On peut aussi expliquer ce résultat, qui est très encourageant, par le fait que les lecteurs de la génération de Just Fontaine, qui le connaissent le mieux, ne fréquentent pas autant Internet que les plus jeunes, et parfois ils ont du mal avec les consultations Internet..."

    La campagne de MM. Armandary et Bradfer ne faiblit pas. Ils ont déjà reçu le soutien du président de la Région Midi-Pyrénées, Martin Malvy, et des centaines de formulaires de soutien affluent de toute la France. Le maire de Toulouse, lui, n'est pas resté insensible à la demande des deux Toulousains, mais opterait davantage pour donner le nom de Just Fontaine à l'une des tribunes principales du Stadium. Pour convaincre Jean-Luc Moudenc, Philippe Armandary et Marc Bradfer gardent un atout dans leur manche. Un soutien international de poids qui ferait pencher la balance...

    Au Stadium, on saura si le ballon a franchi la ligne...

    La technologie "Goal Line", ou ligne de but, arrive sur tous les terrains de Ligue 1 de football pour la saison prochaine, et va être installée dans les jours qui viennent au Stadium de Toulouse. Cette technologie permettra à l'arbitre de savoir, en temps réel et sur une montre spéciale qu'il portera au poignet, si le ballon a franchi intégralement la ligne de but sur une action litigieuse.

    Cette technologie a été utilisée lors du Mondial au Brésil en 2014, et avait notamment permis de valider un but du français Karim Benzema. Pour fonctionner, elle nécessite l'installation de sept caméras à 500 images par secondes autour du stade et le plus haut possible (selon les structures). Des câbles souterrains, placés sous les cages, sont également nécessaires au bon fonctionnement de la technologie "ligne de but". Le système s'appuie sur des champs magnétiques qui permettent de calculer l'exacte position du ballon (équipé d'une puce spéciale) et ainsi de déterminer si un but est valable ou pas.

    La question de son coût avait été soulevée en avril dernier, lors de l'annonce de son installation par la Ligue de football professionnel. Les clubs devaient être mis à contribution, mais c'est finalement la Ligue qui devrait régler la facture, de 200 000 € par stade... Pas une paille quand même.

    Comment participer ?

    Sur le site internet de la Dépêche du Midi, ladepeche.fr, vous pouvez voter pour ou contre le projet de renommer le Stadium Just Fontaine. Vous pouvez également envoyer un formulaire de soutien en ligne, à l'adresse

    http ://goo.gl/forms/RBDtJzb4uV, par courrier à : Comité de soutien "Stadium Just Fontaine", Philippe Armandary

    8 rue du Touron, 31320 Castanet-Tolosan, et sur la page Facebook

    www.facebook.com/StadiumJustFontaineToulouse

    Je ne suis pas contre l'honneur à lui faire…. mais quand même: je préfère dire “le Stadium“ que “le Just Fontaine“…

    Trouvez-lui une rue ou une place, SVP

     

  • Vive l'Armée Française, Vive la France!

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    Le chant du départ

    Un député du Peuple

    La victoire en chantant nous ouvre la barrière5.

    La Liberté guide nos pas.

    Et du nord au midi, la trompette guerrière

    A sonné l'heure des combats.

    Tremblez, ennemis de la France,

    Rois (Tous) ivres de sang et d'orgueil !

    Le Peuple souverain s'avance ;

    Tyrans descendez au cercueil.

    Chant des guerriers (Refrain)

    La République nous appelle

    Sachons vaincre ou sachons périr

    Un Français doit vivre pour elle

    Pour elle un Français doit mourir.

    Une mère de famille

    De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes :

    Loin de nous de lâches douleurs !

    Nous devons triompher quand vous prenez les armes :

    C'est aux rois à verser des pleurs.

    Nous vous avons donné la vie,

    Guerriers, elle n'est plus à vous ;

    Tous vos jours sont à la Patrie :

    Elle est votre mère avant nous.

    (Refrain)

    Deux vieillards

    Que le fer paternel arme la main des braves ;

    Songez à nous au champ de Mars ;

    Consacrez dans le sang des rois et des esclaves

    Le fer béni par vos vieillards ;

    Et, rapportant sous la chaumière

    Des blessures et des vertus,

    Venez fermer notre paupière

    Quand les tyrans ne seront plus.

    (Refrain)

    Un enfant

    De Bara, de Viala le sort nous fait envie ;

    Ils sont morts, mais ils ont vaincu.

    Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie :

    Qui meurt pour le peuple a vécu.

    Vous êtes vaillants, nous le sommes :

    Guidez-nous contre les tyrans ;

    Les républicains sont des hommes,

    Les esclaves sont des enfants.

    (Refrain)

    Une épouse

    Partez, vaillants époux ; les combats sont vos fêtes ;

    Partez, modèles des guerriers ;

    Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes :

    Nos mains tresseront vos lauriers.

    Et, si le temple de mémoire

    S'ouvrait à vos mânes vainqueurs,

    Nos voix chanteront votre gloire,

    Nos flancs porteront vos vengeurs.

    (Refrain)

    Une jeune fille

    Et nous, sœurs des héros, nous qui de l'hyménée

    Ignorons les aimables nœuds ;

    Si, pour s'unir un jour à notre destinée,

    Les citoyens forment des vœux,

    Qu'ils reviennent dans nos murailles

    Beaux de gloire et de liberté,

    Et que leur sang, dans les batailles,

    Ait coulé pour l'égalité.

    (Refrain)

    Trois guerriers

    Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères,

    À nos épouses, à nos sœurs,

    À nos représentants, à nos fils, à nos mères,

    D'anéantir les oppresseurs :

    En tous lieux, dans la nuit profonde,

    Plongeant l'infâme royauté,

    Les Français donneront au monde

    Et la paix et la liberté.

    (Refrain)

     

    Ce chant fut appelé le  frère de La Marseillaise" par les soldats républicains. Il est composé par Marie-Joseph Chénier (pour le texte) et Méhul (pour la musique) pour la fête de 14 juillet 1794, il est ensuite présenté par Méhul à Robespierre, sans mentionner Chénier, dont le frère André était déjà dans les prisons révolutionnaires.

    Robespierre le qualifie alors de "poésie grandiose et républicaine qui dépasse tout ce qu'a fait ce girondin de Chénier".

    Le chant est tout d'abord exécuté par l'orchestre et les chœurs de l'Institut national de musique le 14 juillet 1794. Il est immédiatement imprimé à près de 18 000 exemplaires et distribué aux 14 armées de la République. Le titre original est Hymne à la liberté (le nom fut changé par Robespierre.

    C'est un tableau musical: à chacune des sept strophes l'hymne est chanté par un individu ou des groupes d'individus différents.

    Dans le premier couplet il s'agit par exemple d'un député qui parle à des soldats, il les encourage à se battre pour défendre la République.

    Dans le second couplet il s'agit d'une mère de famille qui donne son fils à la patrie.

    Dans le quatrième couplet il s'agit d'un enfant qui chante Joseph Bara et Joseph Agricol Viala, deux jeunes Français (12 ans et 13 ans) qui sont morts pour la République.

    (Alors qu'il était entouré de Vendéens qui lui demandaient de crier "Vive le Roi", Joseph Bara aurait alors refusé et lancé: "Vive la République!", cri pour lequel il fut exécuté sur le champ. Quant à Joseph Viala il mourut frappé par une balle en essayant de couper les cordes d'un ponton de l'ennemi. Ses derniers mots furent: "Je meurs, mais c'est pour la Liberté!").