Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

reettes - Page 2

  • Une autre recette de hachis parmentier

    Pour 4: 4 œufs; 400 g de viande hachée de bœuf

    600 g de pommes de terre;  1 œuf; 100 g de fromage râpé

    Vinaigre; 1 oignon; Muscade; deux cuillères à soupe de farine

    1 carotte; Un filet d’huile d’olive

    Sel, Poivre, 1 cuillère à soupe de persil haché

    Faites bouillir une petite casserole d’eau avec le vinaigre. Déposer délicatement les œufs dans l’eau bouillante et compter 5 minutes de cuisson à partir de la reprise de l’ébullition.

    Sortir les œufs et les plonger dans un saladier d’eau glacée (possible avec des glaçons) pour arrêter la cuisson.

    Tapez les œufs contre l'évier ou le rebord de la casserole et les écaler puis les rouler dans la farine. Réserver.

    Pelez et émincez l’oignon. Pelez et coupez la carotte en brunoise. Faites revenir d'abord l'oignon dans un filet d'huile d'olive ajoutez la carotte quelques minutes puis ajoutez la viande. Assaisonnez et ajoutez le persil haché, puis faites dorer le tout 5 minutes.

    Pelez et coupee les pommes de terre en rondelles. Cuire 30 minutes dans l'eau salée. Écraser les pommes de terre. Ajouter le sel, le poivre, la noix de muscade, et l’œuf. Bien mélanger. Ajoutez ensuite le fromage râpé. Bien beurrer et fariner le moule en verre carré.

    Déposez la purée dans le moule et bien appuyer sur le dessus avec le dos d'une grosse cuillère à sauce, pour répartir la préparation.

    Creusez un petit trou puis ajouter les œufs, en ligne au centre du moule. Recouvrir de viande et bien lisser.

    Faites 30 minutes à 180 °C.

  • Faites donc, vous même, votre café filtre

    La caféine de votre café agirait contre l'inflammation et lutterait contre de nombreuses maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires…).

    Dans une nouvelle étude parue dans Nature Medicine des chercheurs ont montré que les personnes âgées présentant de faibles niveaux d’inflammation ont un point commun : elles consomment toutes de la caféine. Les chercheurs ont en effet trouvé une connexion entre le vieillissement, l’inflammation systémique, les maladies cardiovasculaires et le….café !

    Les maladies chroniques comme le diabète, l’hypertension, les problèmes cardiaques, les troubles articulaires et la maladie d’Alzheimer ont toutes le phénomène d’inflammation en commun.

    Dans cette étude, les chercheurs ont analysé des échantillons de sang de 100 participants jeunes (20-30 ans) et plus âgés (plus de 60 ans) ainsi que des données sur les antécédents médicaux et familiaux. Les chercheurs ont regardé quels gènes avaient tendance à être plus activés chez les personnes plus âgées. Ils se sont notamment concentrés sur deux groupes de gènes dont l’activité est associée à la production d’une puissante protéine inflammatoire (IL-1-beta).

    Leurs résultats ont révélé un mécanisme inflammatoire fondamental associé au vieillissement humain et aux maladies chroniques qui l’accompagnent. Les personnes âgées ont tendance à avoir une activité de certains gènes liés à l’inflammation plus importante que les personnes plus jeunes, ce qui n’est pas surprenant car le vieillissement s’accompagne d’une augmentation de l’inflammation dans tout le corps. Plus ces gènes sont actifs, plus les personnes sont susceptibles de souffrir d’hypertension et d’athérosclérose. Cependant, toutes les personnes âgées ne présentent pas un niveau d’inflammation élevé. Selon les résultats de l'étude, cela dépend de leur consommation de café.

    Plus de café, moins d'inflammation

    Les personnes qui consomment le plus de caféine sont en effet protégées de l’inflammation. Les résultats montrent notamment que les participants qui consomment plus de 5 tasses de café par jour présentent des niveaux d’inflammation extrêmement bas. " La caféine inhibe la voie inflammatoire " disent les chercheurs. En fait, l’étude montre que des métabolites des acides nucléiques – les entités de construction de nos gènes- qui circulent dans le sang peuvent déclencher le processus inflammatoire. Et la caféine et ses propres métabolites sont capables de contrer l’action des métabolites des acides nucléiques.

    "Nos résultats montrent qu’un processus inflammatoire sous-jacent n’est pas seulement la cause de maladies cardiovasculaires mais est lui-même provoqué par des processus moléculaires que nous pouvons cibler et combattre".

    "Le but n’est pas de faire disparaitre toute trace d’inflammation" soulignent les chercheurs. L’inflammation est une fonction nécessaire du système immunitaire qui l’utilise pour combattre les infections et éliminer les composés potentiellement toxiques. Mais avec le vieillissement, ce processus n’est plus aussi bien régulé que dans un organisme plus jeune. "Il serait intéressant de déterminer quand la réponse inflammatoire devient hors de contrôle". C’est ce que les chercheurs souhaitent déterminer dans une prochaine étude afin d’identifier les personnes à risque de développer une pathologie chronique impliquant l’inflammation.

    D'autres études ont trouvé des résultats contrastés

    Les études conduites à ce jour sur café et marqueurs de l'inflammation ont donné des résultats contrastés. Dans certains cas, la consommation de café était associée à plus d'inflammation, ou était neutre, ou, comme dans ce cas, était liée à moins d'inflammation. Cela pourrait indiquer que les effets du café sur l'inflammation dépendent d'autres facteurs: sexe, âge, mode de vie, peut-être hérédité.

    En attendant, il ne paraît pas risqué de consommer une ou deux tasses de café par jour, et des bénéfices sont possibles. La consommation de thé vert a été associée à des taux bas de protéine C-réactive, un marqueur inflammatoire.

    COMMENT FAIRE UN EXCELLENT CAFÉ DE MÉNAGE? bis répétita

    Puissant, corsé, généreux et, SURTOUT, sans danger pour votre appareil digestif?

    Simple…. faites votre café comme dans les années 60!

    Je vous ai expliqué des dizaines de fois,

    Mon site, catégorie Astuces

    que l'eau chaude, dans les tuyaux plastiques de vos machine à café, entraîne les phtalates et autres bisphénols dans votre boisson préféré. (dans les tuyeaux en plombs des machines professionnelles aussi).

    Achetez une cafetière émaillée, à l'ancienne, possédant un filtre également émaillé. Achetez du café moulu (ou en grains si vous avez un bon moulin à café à l'intérieur inox); achetez des filtres cafés en papier non recyclés (papier marron) les plus chers!!!

    Et, pas la peine de vous ruiner en café arabica: le mélange le moins cher (robusta et arabica) est un mélange savoureux: il a la force de l'arabica mais il n'est pas amer car le robusta vient lui donner un arôme et un goût fruité (en quelque sorte)… votre café sera très serré puisque vous le dosez vous-même!

    Pour un demi-litre de café

    J'utilise un verre à mesurer en… verre (pas de plastique, pas de bisphénol).

    ½ litre d'eau en bouteille (pour éviter les molécules pharmaceutiques du robinet d'eau courante)… et surtout, jetez votre bouteille en plastique: ne la remplissez pas sans cesse d'eau… danger des bactéries de la cavité buccale à la longue… sauf si cette eau embouteillée sert à augmenter la quantité de votre congélo vide…

    Une bonne cuillère à soupe de café, pas rase, par tasse d'eau, mettre le sachet de papier dans le filtre émaillé (afin d'éviter le marc de café… les filtres en émail ont les trous un peu gros)…

    Perso, quand je vide l'eau dans ma casserole, j'essaie de garder une ou deux gouttes d'eau afin d'arroser le filtre à papier (ainsi le café moulu développe son arôme).

    Versez votre eau en bouteille dans une casserole inox et couvrez là (économie de chauffage); faites chauffer jusqu'à 88°… astuce: quand l'eau bout, attendez une minute, hors du feu, sans couvercle, pour quelle redescende en température de 88°.

    Versez l'eau, très, très doucement, sur le café. Attendez que le café gonfle. Puis, reversez doucement et attendre que cela passe. Surveillez le bruit.

    Ecoutez leAjouter une note floc, floc… quand il s'est fortement diminué, remettre de l'eau très doucement.

    Versez l'eau au fur et à mesure en veillant de ne pas faire “pisser“ le café. Plus le temps d'écoulement est long, meilleur est le café.

    L'opération dure une vingtaine de minutes (pour un demi-litre, entendu). C'est long?

    Mais non, c'est un café avec un goût si particulièrement odorant et goûteux que vous ne pourrez plus jamais boire le café de la machine électrique, dosettes ou pas! D'ailleurs, il est bien moins cher. Vous augmentez la quantité d'eau selon que vous souhaitez un café plus ou moins fort.

    Trois tasses par jour pour éviter la maladie d’Alzheimer… c'est prouvé depuis fort longtemps!

     

  • Santé cardiovasculaire

    Quand j'ai commencé à m'intéresser à la nutrition-santé dans les années 60, on disait déjà que les meilleurs nutriments santé étaient dans l'ordre: le foie, l’œuf, les noix.... et pourtant, il n'y avait pas autant de savoir sur la diététique de ces produits!

     

    Les personnes qui mangent le plus de fruits à coque ont une meilleure santé cardiovasculaire. Conseils de consommation.

    Pourquoi c'est important

    Les noix et graines oléagineuses sont riches en graisses monoinsaturées et polyinsaturées. Elles apportent des fibres, des vitamines B et E, des minéraux. Dans une étude de 2015, des chercheurs néerlandais ont déjà montré que la consommation de fruits à coque est associée à une meilleure longévité : les personnes qui consomment environ 10 grammes de noix et/ou d’arachides par jour ont un risque de mortalité diminué par rapport à celles qui n’en consomment pas.

    D’autres études suggèrent que les noix protègent la mémoire et stimulent les capacités cognitives. Par exemple, un régime riche en noix réduirait le risque de développer les symptômes de la maladie d’Alzheimer. Mais peut-on espérer diminuer son risque cardiovasculaire en mangeant des noix et autres fruits olégaineux, et lesquelles ? 

    Ce que les chercheurs ont trouvé

    Dans une étude de 2017, des chercheurs de Harvard ont combiné les résultats de plusieurs études (Nurses’Health Study I et II, Health Professionals Follow-up Study) pour obtenir des données sur 210.000 personnes. En tout, les participants ont été suivis sur une trentaine d’années et les informations sur leur santé et leur alimentation ont été recueillies tous les deux ans grâce à des questionnaires. Les questionnaires alimentaires donnaient des informations sur la consommation de fruits à coque tous les quatre ans. Pendant la période de suivi, il y a eu 14.136 cas de maladies cardiovasculaires, dont 8.390 maladies coronariennes et 5.910 AVC. L'étude est parue dans le Journal of the American College of Cardiology.

    Résultats : La consommation totale de fruits à coque était inversement associée aux maladies cardiovasculaires. Cela signifie que plus les participants mangeaient des fruits à coque, moins ils souffraient de maladies cardiovasculaires. Avec au moins cinq portions de fruits à coque par semaine (140 g), le risque de maladie cardiovasculaire diminuait de 14% et celui de maladie coronarienne de 20%. Dans cette étude, une portion pesait 28 g.

    D'autres travaux ont montré que la consommation de noix et fruits olégaineux est associée à une baisse du risque de diabète, de syndrome métabolique et de maladies coronariennes. Dans l'étude PREDIMED, une population à risque cardiovasculaire élevé a reçu la consigne de suivre un régime méditerranéen supplémenté en fruits oléagineux de plusieurs sortes : amandes, noisettes, noix ; après 5 ans de suivi, le risque d'accident cardiovasculaire majeur était réduit de 28% dans cette population.

    Dans l'étude de Harvard, lorsque les chercheurs faisaient la différence entre les différents types de fruits à coque, les noix semblaient les meilleures pour la santé cardiovasculaire. La consommation de noix au moins une fois par semaine réduisait de 19 % le risque cardiovasculaire et de 23 % celui des maladies coronariennes. Des arachides ou des noisettes au moins deux fois par semaine réduisaient de 13 % le risque cardiovasculaire et de 15 % le risque de maladie coronarienne.

    En pratique

    Il est donc conseillé de consommer 1 à 2 portions de noix et graines oléagineuses chaque jour, soit comme snack, soit en accompagnement de salades et autres plats, en évitant ce qui est grillé et/ou salé. 

    Nombre de fruits oléagineux dans une portion de 30 grammes

    Noix

    8-11

    Amandes

    20-24

    Noix du Brésil

    6-8

    Noix de cajou

    16-18

    Noix de pécan

    9-10

    Pistaches

    45-47

    Noisettes

    18-20

    Références

    Ros E. Health benefits of nut consumption. Nutrients 2010;2:652–82.

    Ros E, Hu FB. Consumption of plant seeds and cardiovascular health: epidemiological and clinical trial evidence. Circulation 2013;128:553–65.

    Sabate J, Oda K, Ros E. Nut consumption and blood lipid levels: a pooled analysis of 25 intervention trials. Arch Intern Med 2010;170:821–7.

    Kendall CW, Josse AR, Esfahani A, Jenkins DJ. Nuts, metabolic syndrome and diabetes. Br J Nutr 2010;104:465–73.

    Luo C, Zhang Y, Ding Y, et al. Nut consumption and risk of type 2 diabetes, cardiovascular disease, and all-cause mortality: a systematic review and meta-analysis. Am J Clin Nutr 2014;100:256–69.

    Hu FB, Manson JE, Willett WC. Types of dietary fat and risk of coronary heart disease: a critical review. J Am Coll Nutr 2001;20:5–19.

    Estruch R, Ros E, Salas-Salvado J, et al. Primary prevention of cardiovascular disease with a Mediterranean diet. N Engl J Med 2013;368: 1279–90.

    Bao Y, Han J, Hu FB, et al. Association of nut consumption with total and cause-specific mortality. N Engl J Med 2013;369:2001–11.

    Aune D, Keum N, Giovannucci E, et al. Nut consumption and risk of cardiovascular disease, total cancer, all-cause and cause-specific mortality: a systematic review and dose-response meta-analysis of prospective studies. BMC Med 2016;14:207.

    Mayhew AJ, de Souza RJ, Meyre D, Anand SS, Mente A. A systematic review and meta-analysis of nut consumption and incident risk of CVD and all-cause mortality. Br J Nutr 2016;115:212–25.