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toulousain - Page 89

  • Noël, Noël, la fête magnifique!

    Quelle est la signification du mot Noël?

    Il existe plusieurs hypothèses sur l’origine du mot Noël, mais notre guide conférencière, Marie-Thérèse Garcin, a une préférence pour l’une d’entre elles. Le mot Noël, apparu au 12 e siècle, vient du latin "natalis" qui signifie relatif à la naissance. Noël est donc la fête qui commémore la naissance de Jésus né, selon le Nouveau Testament, à Bethléem.

    Depuis, Noël a dépassé sa signification religieuse. C’est devenu une fête civile, sociétale, correspondant à un moment de partage. Elle est fêtée par de nombreuses familles, même celles qui n’ont aucune tradition chrétienne.

    Pourquoi a-t-on choisi de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre?

    Depuis la nuit des temps, les hommes ont célébré les solstices (hiver et été), c’était pour eux l’occasion de réjouissances. Pour le solstice d’hiver, on offrait du miel, des gâteaux, de l’or. Les maisons étaient décorées de gui, de houx.

    Ces fêtes païennes, antérieures à la tradition chrétienne, permettaient de faire face à la nuit la plus courte de l’année, annonciatrice des jours qui allaient rallonger, avant que la végétation reparte pour un nouveau cycle.

    C’est au IVe siècle que l’Eglise chrétienne a décidé de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre, date du solstice d’hiver dans le calendrier julien. Son objectif était de détrôner la fête païenne. Aujourd’hui, après l’introduction du calendrier grégorien, au XVIe siècle, la date a été décalée au 21 décembre.

    Quelle signification a la bûche à Noël?

    Une autre tradition liée au solstice d’hiver est celle de la bûche de Noël. Là aussi, cela remonte à la nuit des temps. Pour faire face à la nuit la plus longue de l’année, rien de tel qu’une bûche pour entretenir le feu et mettre de la lumière dans la maison.

    Dans la tradition chrétienne, on faisait brûler dans l’âtre une très grosse bûche lors de la veillée de Noël. Elle provenait d’un arbre fruitier, censé garantir une bonne récolte pour l’année suivante.

    Dans certaines régions, comme en Bourgogne, la bûche était arrosée de vin afin d’assurer une bonne vendange à venir. Dans d’autres, on utilisait du sel pour se protéger des sorcières. Cette bûche devait se consumer très lentement et la tradition voulait que l’on conserve les tisons pour préserver les maisons de la foudre.

    Aujourd’hui, cette bûche a pris la forme d’un dessert indissociable des fêtes de Noël.

    Pourquoi le sapin est-il associé à la tradition de Noël?

    Le sapin de Noël puise son origine dans la tradition celte. En effet, pour les Celtes le 24 décembre était le jour de la renaissance du soleil. Pour eux, chaque mois (lunaire) était associé à un arbre et décembre l’était à l’épicéa, un arbre qui reste vert même en hiver.

    Cette tradition païenne qui s’était perdue a resurgi dans l’est de la France, notamment en Alsace, au 16e siècle et a été assimilée à la fête chrétienne. Mais c’est surtout la reine Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, qui a lancé le rite du sapin à Noël en en installant un à Versailles en 1738.

    Le Père Noël a-t-il toujours été associé à la fête de Noël?

    Le Père Noël doit beaucoup à saint Nicolas célébré dans l’est de la France et dans les pays du nord de l’Europe depuis le 12e siècle.

    Depuis, dans la nuit du 5 au 6 décembre, saint Nicolas, vêtu de son habit d’évêque, voyage à dos d’âne pour passer dans les maisons distribuer des friandises et des cadeaux aux enfants sages.

    C’est un pasteur américain, un certain Moore, qui a donné naissance au Père Noël, dans un conte qu’il a écrit pour ses enfants en 1821. Il le décrit comme un homme dodu, sympathique et jovial habillé de vert qui se déplace dans un traîneau tiré par huit rennes. C’est le caricaturiste Thomas Nast, un autre Américain, qui revêt le Père Noël d’un habit rouge garni de fourrure blanche et le domicilie au pôle Nord.

    En Bourgogne, l’ancêtre du Père Noël était, il n’y a pas si longtemps, encore, le Père Janvier. Il était représenté sous la forme d’un vieillard, habillé d’une robe de bure marron, qui venait distribuer les cadeaux qu’il portait dans sa hotte dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Lui aussi passait par la cheminée. Cette tradition a perduré jusque dans les années 1930.

    Gastronomie et fêtes de Noël ont-elles toujours été liées?

    Manger des mets raffinés tel que le foie gras, les crustacés, les huîtres… est une tradition récente. Par contre, manger de la volaille, de la dinde ou une oie remonte à plus longtemps. En effet, les volailles (particulièrement les oies) étaient des symboles solaires garantissant protection à ceux qui en mangeaient. Les volailles de Bresse se retrouvent sur de nombreuses tables à Noël.

    Pourquoi utilise t-on le vert, le rouge, le blanc et le doré pour les décorations de Noël?

    Aujourd’hui, les décorations de Noël, comme le reste, ont tendance à suivre les courants de la mode. Malgré cela, le vert, le rouge, le blanc et le doré restent les couleurs traditionnelles qui ont une valeur symbolique :

    – le rouge car c’est la fête, la chaleur.

    – le vert car il rappelle le sapin et le houx: la légende veut que lorsque la Sainte Famille fut contrainte de quitter l’Egypte, elle se dissimula derrière des branches de houx. En guise de reconnaissance, Marie l’aurait béni en annonçant que le houx serait éternellement symbole d’immortalité.

    – le blanc symbolise la neige, la pureté, la naissance de Jésus.

    – le doré représente la couleur de l’étoile, symbole de lumière et d’espérance. […]

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/sapin-buche-pere-noel-quelles-sont-origines-toutes-ces-traditions-noel-1760363.html

     

  • Boules “Rochers“ maison

    Ingrédients (pour 30 pièces)

    100g de gaufrettes; 225g de crème épaisse au chocolat maison

    400g de chocolat au lait; 150g de noisettes en poudre

    30 g de noisettes entières et 80g de praliné concassé

    Pour la crème au chocolat

    125 g de chocolat noir cassé en morceaux; 40 cl de lait

    35 cl de crème fraîche liquide, 6 jaunes d’œufs

    100 g de sucre en poudre; 1 cuillère à soupe de fécule de maïs

    1 cuillère à café d’extrait de vanille liquide

    Mixez légèrement les gaufrettes pour qu'il reste de petits morceaux.

    Dans un saladier en verre, versez les gaufrettes mixées, la poudre de noisette et la crème épaisse au chocolat maison.

    Mélangez bien à l'aide d'une cuillère à soupe, puis travaillez la pâte avec les mains (propres et sans vernis à ongles, bien sûr!).

    Façonnez de petites boules et glissez au milieu une noisette entière. Formez une boule. Laissez durcir au congélateur 30 minutes.

    Faire fondre le chocolat au lait. Y verser le praliné concassé. Trempez les boules dans ce mélange et les déposer sur une plaque chemisée au beurre et sucre en poudre. Laissez durcir au réfrigérateur une heure.

     

  • À bas les affameurs, vive les circuits courts!

    Il y a trois jours, j’ai eu besoin d’un extrait d’acte de naissance. Ni une ni deux, je me suis mise à l’ordinateur, c’est si pratique de faire ainsi les démarches, pas de déplacement comme autrefois, pas de lettre à envoyer. J’ai tapé "mairie de …", le site s’est ouvert, et j’ai rempli le questionnaire. Et puis je venais de terminer lorsqu’est apparue une page de paiement. Paiement pour un document gratuit? Sans blague! Aussitôt retour en arrière. Eh bien pour trouver le site réel de la mairie, j’ai dû consulter plusieurs sites et perdre du temps. Car, là aussi, des escrocs s’immiscent et se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Pour ceux qui tombent dans le panneau, ces sites payants se feront délivrer par les mairies les documents demandés, se substituant aux demandeurs, et les leur renverront.

    Partout, absolument partout, des profiteurs se font entremetteurs, sans qu’on le leur demande, et se font payer pour leurs " services". Ce qui est plus grave, c’est lorsque les intermédiaires se mêlent d’économie et d’approvisionnement. Un exemple parmi d’autres, concernant les pommes. Un de mes amis normands m’a raconté ce matin que son voisin, grand producteur de pommes, a été approché par une grande enseigne dont je tairai ici le nom. De toute façon, il semble bien qu’elles appliquent toutes les mêmes procédures. La grande enseigne lui a racheté, à bas prix, toute sa production, et a installé sur son domaine de grandes chambres froides dans lesquelles les fruits ont été tout de suite entreposés. Puis, par un système industriel, tout l’oxygène des chambres a été pompé. Ainsi pas de bactéries. " On mange les pommes de l’année précédente ", m’a expliqué cet ami. Ça explique bien des choses, notamment un goût qui a disparu et une conservation courte.

    Parlons des pêcheurs. Ils partent en mer, dans de très dures conditions, ne dormant que trois heures par jour et affrontant les éléments. Puis retour au port avec leur pêche. Et là, ce sont les mareyeurs, avec leurs blouses noires, qui font les prix. C’est insupportable. Les uns travaillent dur, les autres profitent de ce travail.

    Idem pour le vin, le lait, le blé… Idem lorsque les grands domaines n’appartiennent pas aux banques, internationalisées et aux très grandes entreprises qui n’ont plus qu’une patrie : le fric.

    À côté de cela, nos petits producteurs, nos paysans, se crèvent pour nous nourrir. Eux-mêmes, en couple, ne touchent même pas le Smig. Nous leur devons tout sans les reconnaître. L’année dernière, 108 d’entre eux se sont suicidés. Du moins est-ce ceux que l’on a recensés. Cela fait deux par semaine. Intolérable. Guillaume Canet a tourné, il y a quelques années, un beau film sur le sujet, " Au nom de la terre ", incarnant un agriculteur au bord du gouffre. Cela aurait dû alerter. Mais que dalle!

    Mais pourquoi un petit agriculteur du fin fond de la France devrait-il attendre les autorisations de Bruxelles pour savoir quand faucher? Quand récolter? Il sait mieux que les technocrates ce qu’il faut faire et quand. Et pourquoi le prix de son blé devrait-il être décidé aux États Unis, au sein de la fameuse bourse de Chicago? Quelle est donc cette folie?

    Il faut y mettre un terme, en développant au maximum les circuits courts par lesquels des agriculteurs vendent eux-mêmes les fruits de leur travail aux consommateurs, en direct. Ce sera plus frais, plus sain, et moins cher. Il est temps de mettre un frein au pouvoir corrupteur et déloyal des grosses entreprises. À nous d’agir pour en finir et rétablir une situation plus saine.

    Louise Guersan

    https://ripostelaique.com/a-bas-les-affameurs-vive-les-circuits-courts.html

     

  • Dame blanche maison

    Purée de marrons

    Ingrédients

    40 cl d’eau de source; 400 g de sucre (ou moins);

    1 kg de marrons entiers frais ou un pot en verre déjà épluchés

    1 gousse de vanille ou de la poudre de VRAIE vanille

    Incisez les marrons sur la partie la plus pointue. Épluchez-les et mettez le tout dans une casserole d'eau froide. Faites bouillir 10 minutes, puis passez-les au mixeur.

    Ou bien: Rincez le pot de marrons en verre -longuement- à l'eau courante et versez dans le mixeur. Mettez moins de sucre que ci-après.

    Dans une casserole à fond épais en inox, mélangez le sucre, l'eau et les graines de la gousse de vanille. Portez à ébullition, puis laissez tiédir.

    Versez progressivement le sirop dans la purée de marrons, puis mixez à nouveau.

    Faites une chantilly épaisse un peu sucrée avec du sucre vanillé maison; dans un verre large ou verrine, remplissez de crème marron et déposez la chantilly sur le dessus.

    Passez une heure au frais.

     

  • Pavé de biche aux girolles

    Il parait que, pour ne pas  choquer les enfants, il faut dire cerf au lieu de biche; perso, je dis comme Berruyer, le copain du commissaire Sant-a(tonio): lycée de Versailles

    Il vous faut deux poêles en fer*; chez moi, j'ai deux poêles: une de 24 cm et l'autre de 28 cm que j'utilise selon le produit à cuire. Pour 4 personnes :

    1 pavé de biche, par personne

    100 g de girolles, 1 verre de vin blanc sec (100 ml) ou 2 verres d'eau (100 ml), de bouillon de viande maison

    1 cuillère à soupe de moutarde maison de préférence (si vous l'aimez très forte comme moi, diminuez la quantité); sel et poivre.

    Pour les pavés:

    Dans une poêle en fer (28 cm), faites dorer les pavés de biche sur toutes les faces avec 30g de beurre et une cuillère à soupe d'huile d'olive pour cuisson. Penchez la poêle et arrosez régulièrement de la graisse à cuire. Salez et poivrez. Mettre à part sur assiette chaude et gardez la graisse de la poêle pour les champignons.

    Lavez et préparez les girolles fraîches (en pot de verre, bien les rincer). Dans une autre poêle en fer (24cm) -à feu vif- faites-les dégorger de leur eau. Puis, faites rissoler dans l'autre poêle avec le reste de beurre-huile une dizaine de minutes à feu doux.

    Pour un filet de 600g: placez-le dans une cocotte émail et mouillez avec du vin blanc ou de l'eau ou du bouillon de viande.

    Baissez le feu et laissez mijoter 15 min environ. Retirez le filet et maintenez-le au chaud.

    Dans un bol, délayez la moutarde avec un peu de jus de cuisson.

    Déglacez le fond de la cocotte avec cette sauce. Ajoutez les girolles et remontez en chaleur ou bien laissez-les frits. Coupez le filet de biche en tranches, mettez-les dans le plat de service et servez arrosé de sauce et/ou accompagné des champignons frits ou mis dans la sauce.

    *Pfff! et alors, il faut ce qu'il faut pour bien cuisiner! de plus, j'en ai deux autres en inox (une de 24 cm pour le millas et les cuissons spéciales sans goût et l'autre de 28 cm que je peux mettre dans mon four)…

    On reconnait les bons ouvriers à leurs outils!

     

  • Purée de marrons maison

    Ingrédients

    40 cl d’eau de source; 400 g de sucre (ou moins);

    1 kg de marrons entiers frais ou un pot en verre déjà épluchés

    1 gousse de vanille ou de la poudre de VRAIE vanille

    Incisez les marrons sur la partie la plus pointue. Épluchez-les et mettez le tout dans une casserole d'eau froide. Faites bouillir 10 minutes, puis passez-les au mixeur.

    Ou bien: Rincez le pot de marrons en verre -longuement- à l'eau courante et versez dans le mixeur. Mettez moins de sucre que ci-après.

    Dans une casserole à fond épais en inox, mélangez le sucre, l'eau et les graines de la gousse de vanille. Portez à ébullition, puis laissez tiédir.

    Versez progressivement le sirop dans la purée de marrons, puis mixez à nouveau.

     

  • Dommage que cette vérité vienne uniquement de lui!

    Oui, où sont les révoltés d'opérettes droit-de-l'hommiste?

    Jean Messiha (RN): “Les progressistes sont émus pour un gamin dans un conseil régional mais personne ne réagit quand il s’agit d’une crèche de Noël avec des enfants“

        "Les progressistes se sont émus et indignés pour un gamin dans un conseil régional.

        Personne n'évoque le sujet quand une crèche avec des enfants est attaquée.

        Quand il s'agit de nos racines, c'est silence radio et personne ne réagit …" – @JeanMessiha pic.twitter.com/tNWNXIxR5j

        — Tancrède ? (@Tancrede_Crptrs) December 16, 2019