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  • La mounjetado (une autre recette)

    1.5 Kg d'haricots lingot; 750 g d’oignons en cubes + 1 oignon

    750 g carottes en rondelle; 1 manchon de canard confit par personne; 1 morceau de saucisse de Toulouse, 200 g de couenne coupée très, très fine

    1 talon de jambon coupé assez petit, mais comme vous pouvez!

    des carcasses de canard (cou, ailerons, os...)

    graisse de canard, 3 feuilles de lauriers, 3 branches de thym,  3 clous de girofle

    Sel poivre

    Faire tremper les haricots une nuit entière dans l'eau froide, si vous êtes moins bêtes, vous les blanchissez comme j'ai déjà indiqué et vous pourrez les cuire de suite.

    Au feu,  faire brûler un oignon coupé en deux

    Mettre tous les ingrédients de la liste sans une marmite, et faire revenir dans de la graisse de canard.

    Mettre les haricots sans eau et faites chauffer une heure à tout petit feu en mélangeant bien

    Mouiller avec de l'eau, 10 centimètres au dessus (rajoutez de l'eau en cours de cuisson et pensez à écumer) et faire cuire environ 3 à 4 heures à feu doux

    Les haricots ne doivent pas être écrasés c'est pour cela que vous prendrez des lingots et pas des coco.

    Vous pouvez mettre dans des poêlons individuels et faire gratiner, au four dans un premier temps uniquement les haricots et rajouter  une cuisse de canard confite et un morceau de saucisse de Toulouse par personne et mettre au four, les sortir quand c'est bien doré. Mais sans saupoudrer de chapelure, millodioù! voir mon explication dans Cassoulet

    Et si vous trouvez que c'est pâle, rajoutez deux ou trois tomates bien mûres en quartiers pelés

    Sinon, présentez dans un plat de service familial et servez-vous en premier: c'est toujours à consommer avant les autres!

     

    Toulouse, toulousain, occitanie, cuisine, gastronomie, recettes

     

  • Toulouse avance

     "Des start-up à Toulouse? Il s'en crée une tous les jours !" Benjamin Böhle-Roitelet, le président fondateur de la société Ekito, qui vient de prendre ses quartiers dans ses nouveaux locaux de la rue Gabriel-Péri, a eu les honneurs de la visite de la secrétaire d'État au Numérique, venue, hier, à Toulouse pour mesurer le dynamisme de la french tech locale.

    Un label décerné récemment par le gouvernement à 9 villes françaises pour soutenir notamment le décollage des start-up. "L'idée est de valoriser les écosystèmes existants afin d'impulser un mouvement régional, mais aussi de les fédérer pour créer un réseau national, explique Axelle Lemaire. Les investisseurs internationaux verront ainsi la France comme une nation innovante, un acteur incontournable du numérique, qui dispose d'un écosystème vibrant et dynamique".

    Et question dynamisme, Benjamin Böhle-Roitelet, n'en manque pas. Il a créé Ekito il y a dix ans et fait travailler aujourd'hui, une quarantaine de personnes. "Nous sommes le seul accélérateur privé de start-up à Toulouse, explique-t-il. Nous les accompagnons dans la construction de leur projet, quel que soit leur métier. Nous avons une fonction de conseil sur le modèle américain de la company builder. Toutes ces start-up ont des stades de maturités différentes. Certains n'en sont qu'au stade de l'idée, d'autres ont déjà leur produit, mais on peut très bien les convaincre d'en changer".

    Aujourd'hui Ekito sélectionne et accompagne une vingtaine de start-up tous les mois, avec une phase de test. Un travail intense au terme duquel ces petites entreprises sont censées voler de leurs propres ailes. Benjamin Böhle-Roitelet l'assure : "A Toulouse, le vivier est immense". 

     

  • Pot-au-feu, poule au pot et soupe au chou et, lycée de Versailles.

    Ce que chez moi on appelait “la soupe au choux au gras“ est, en réalité une spécialité ariégeoise qu'ils appellent “azizat“. Chez nous, la “soupe au chou“ était la soupe fourre-tout où on mettait tous les légumes d'hiver et la volaille confite ou la charcuterie du charcutier, puisque dans les années de ma prime enfance, il y avait pas mal de boutiques où on ne vendait que de la charcuterie. On voyait aussi, sur le fronton des boutiques: triperie. Et cela ne choquait personne. Ce qui était un peu moins cher que de la viande de bœuf à bouillir. IL y avait aussi des boucheries qui ne vendait que de la viande de cheval: boucherie chevaline, le nom des boutiques.... Bien que nous fûmes que des ouvriers fauchés, nous avons eu, environ 3 fois par semaine de la "viande hachée de cheval", que nous consommions crue. Je n'arrive plus trop à en trouver.... c'est pourtant une excellente viande qui a l'avantage d'être bien moins calorique que celle du bœuf.

    Perso, la viande hachée, chez moi, c'est crue: vous ne risquez aucun problème, vraiment aucun qui vous la consommez avec beaucoup de moutarde et de poivre: ces deux épices sont antibiotiques, de même que si vous mettez de l'oignon ou de l'ail. Aucun risque croyez-moi. Il faut penser à bien mélanger... s'il y a des salmonelloses ou autres bizarres invisibles saletés, vous aurez moins de problèmes si vous y mettez les épices qui précèdent que de consommer du hachis mal cuit. Je dis cela mais, je n'en mettrai pas ma main à couper.

    Sauf que ce n'est pas de salmonellose cela que je suis atteinte, j'ai juste beaucoup de malchance dans la vie, suivant la tradition familiale.... il ne faut jamais faire mentir son papa qui disait que "nous, dans la famille, on peut faire ce qu'on veut, on n'a jamais de chance!"; hé, comme il a eu raison!

    Voici un des recettes de “la soupe au chou“ de mon passé enfantin.

    Heu… si vous croyez que je ne la cuisine plus, vous vous trompez du tout au tout! J'ai déjà dis ici: moi, pas miss micro-ondefindusienne!

    C'est pour 4 ou 5 personnes

    1 gros chou vert;  Je trahi un peu: je n'utilise plus le chou vert qui sent un peu trop, je prends du chou chinois…. au moins, je parfume moins ma maison!

    750 g de pommes de terre (on prenait des BF15 qui, en ce temps-là n'étaient lavées, toutes terreuses, elles nous obligeaient à un sacré lavage de main après épluchage.

    2 saucissons de couennes; du confit de canard (4 cuisses ou 8 manchons) ou, quand on était fauchés, ce qui était hyper-l'habitude, de la poitrine de bœuf et deux gros os à moelle, deux navets et des poireaux en sus.

    4 morceaux de coustellou salé (si vous mettez du fumé, c'est que vous êtes nordiste!) mais, si vous n'êtes pas bête, vous achetez du non salé, il n'y a plus de problème de conservation avec les frigos de nos jours.

    C'est quoi, les coustellous? facile, cherchez dans la boîte de dialogue du blog!

    1/2 fond de jambon du pays (attention, salé!); et/ou de la saucisse de foie sèche (300 g) (ça, c'est la recette ariégeoise mais nous, on mettait une carcasse de canard ou d'oie ou autre volaille, c'est-à-dire, ce qui reste lorsque toute la viande a été retirée).

    2 gros oignons; 4, ou plus, carottes; 1 feuille de laurier, 4 clous de girofle

    Poivre en grains mais pour le sel, attention à la charcuterie salée. Si vous ne voulez pas avoir de l'hypertension.

    Coupez le tronçon du chou, séparer les feuilles et lavez le chou à plusieurs eaux, notamment s'il vient du jardin. Quand on utilise du bio, la dernière eau de rinçage doit être bien vinaigrée pour tuer les petites bestioles du jardin. Cela me fait penser aux cuisines de Marseille: les cuistots ne savaient même pas comment préparer les légumes bio!!!

    Le faire blanchir 5 minutes dans de l'eau bouillante salée. Mettre dans une marmite. Si vous faites avec du bœuf bouilli, rajoutez le entier… c'est quand il est bien cuit qu'il se coupe facile, et n'oubliez pas vos os à la moelle, le bouillon sera délicieux.

    Dans une sauteuse, faites dorer le confit pour récupérer la graisse, retirez à part.

    Faites roussir des oignons émincés dans la graisse de canard. Rajoutez les coustellou (lavé et débarrassé de l'excès de sel), les saucissons de couennes, le fond de jambon, la feuille de laurier; couvrir de 2,5 l d'eau, poivrer et porter à ébullition.

    N'oubliez pas de peler, couper en tronçon les  carottes et les rajouter au bout de 2 heures, moment où vous ajoutez aussi les pommes de terre, la saucisse de foie coupée en morceaux et saisie à la poêle, le confit dégraissé.

    Vous allez poser le “farci“ par-dessus et cuire encore à feu doux 10 minutes.

    Après cuisson, bien dégraisser et verser le bouillon dans une soupière que vous pouvez servir tel que ou après y avoir fait cuire du vermicelle ou encore vous le versez sur du pain sec, coupés en morceaux et saupoudrés largement de fromage râpé. Du vrai râpé, pas du parmesan!

    Le plus dur, c'est de récupérer le farci et de ne pas le casser; vous le posez dans un plat à part et l'ajoutez à la soupe de chou, sur les légumes, avant de servir.

    En Ariège, donc, ils font une “rouzole“, je vous mets la recette plus bas. Et je vous indique le “farci“ de la “soupe au chou“ maison tout de suite.

    Pour 4 ou 5: 400 g de chair à saucisse, de la mie de pain trempée, deux œufs battus en omelette, 3 cuillère à soupe de persil, 2 gousses d'ail.

    Vous battez les œufs en omelette que vous versez sur la chair de saucisse, rajoutez ail, persil. Rajoutez l'ail haché, mélangez bien avec les doigts.

    Versez dans une poêle très chaude et faites cuire comme une très grosse omelette sur feu moyen durant 5 mn d'un côté et vous retournez la galette de farci pour faire cuire 5 mn de l'autre côté.

    Donc, vous mettrez ce farci sur la soupe au chou afin qu'elle prenne le goût du bouillon. Si vous avez peur de casser la galette, versez une ou deux bonnes louches sur la galette de farci dans la poêle et une fois le farci bien trempé de bouillon, vous le poserez –ou pas, dans un grand plat accompagnés ou non de moutarde et de cornichons de câpres,- selon votre idée- sur le plat creux de service de la “soupe au chou“.

    Quant à la Rouzole ariégeoise, voici la recette.

    150 g de lard, le vrai lard de cochon, 150 g de jambon cru ou on dit: jambon de pays;

    3 œufs; un brin de menthe; persil; 2 grains d'ail; un bol de pain dur trempé.

    Hachez et bien amalgamer tous les ingrédients pour en former une grosse galette que l'on poêle de façon à faire roussir les deux faces.

    C'est la même chose que notre “farci“ familial qui lui est moins gras et vous le présentez pareil: soit dans la soupe soit dans un plat, arrosé du bouillon.

    Au fait, la “soupe au chou“ avec le farci, comme je fais, je l'ai dégustée dans un café-resto familial, dans les Pyrénées, pas loin de Pau en direction de Mimizan, un jour de vacances. Quand j'ai vu cela en plat du jour, zyou, j'en ai commandé et l'on était en été!!…. Souvenez-vous de la poule au pot d'Henry IV: supprimez les diverses charcuteries et viande, mettez une poule qui a fini son travail de pondeuse et vous avez la recette du bon Roy béarnais. Vous mettez du farci ou pas, ça vous regarde! mais, vous pouvez farcir la viande, c'est aussi bien. Dans ce cas, n'oubliez pas de le faire au foie, gésier de la bête avec un peu de chair à saucisse et de bourrer la poule  du farci cuit,avant de la mettre dans la marmite.

     

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    Image: la poule au pot

     

     

  • Fin et délicat, le magret de palombes

    Magret de palombes

    Pour 6 personnes

    6 palombes; 4 cuillères à soupe de miel

    4 cuillères à soupe de vinaigre balsamique ou pas

    Sel, poivre

    Préparer la sauce. Versez le vinaigre balsamique dans une casserole et le porter à ébullition. Baissez le feu et laissez frémir pendant 5 minutes.

    Ajoutez le miel et laissez cuire 3 minutes. Réserver au chaud.

    Levez les magrets de palombe et conserver le reste des palombes pour les cuisiner en salmis. Attention aux doigts! ayez toujours couteau à longue lame fine et bien aiguisée.

    Posez les magrets coté peau et laissez cuire 2 minutes dans un mélange beurre-huile. Retournez et les faire cuire 2 minutes de plus. Les déposer sur un plat de service. Près du four, porte ouverte ou sous une feuille d'aluminium, si vous n'avez pas peur de vous intoxiquer avec l'alu!

    Salez, poivrez et nappez de sauce. Consommez vite, tant que c'est chaud.

    En accompagnement des ces magrets de palombe, vous pouvez servir une compotée de choux aux carottes, de poireaux à la crème, de pommes de terre vapeur....

     

    Parce que j'ai eu 1 un oncle côté maternel, né à Pau et deux cousins, côté paternel nés à St Laurent de Neste....qui étaient de sacrés bons chasseurs!

     

    Dans une prochaine note, le salmis de palombe...

     

  • Ragout de mouton aux pois chiches dit “à l'espagnole“

    Faire tremper les pois chiches la veille avec thym et laurier

    Cuisson: 2 h (si cuisson à la cocotte, 50 mn)

    200 g de collier (coupé en gros dés) de mouton par personne; 1 cuil à soupe de farine

    250 g de pois chiches, 4 gros oignons jaune, 1 à 2 poivrons rouge, graisse de canard, saindoux ou huile d'olive. 120 g de chorizo doux ou piquant, selon le goût

    3 carottes; 2 gousses d'ail écrasées; paprika et curcuma, poivre, sel, laurier, thym

    1,5 l de bouillon (si cuisson à la cocotte-minute, 1 l), une petite boîte de purée de tomate

    Pendant ce temps, faites sauter les oignons coupés en cubes dans une cocotte avec graisse de canard ou huile. Quand c'est presque doré, rajouter les morceaux de mouton et faites-les dorer en remuant souvent. Au bout de 8 mn, saupoudrez de farine; remuez bien.

    C'est le moment de mettre votre bouillon et de monter le feu.

    Rincez les poids chiches et les mettre dans la cocotte à feu moyen et laisser cuire. Pelez les carottes en tronçons et rajoutez, coupez les poivres en cubes ou lanières larges et ajoutez à la cocotte avec le chorizo coupé en tronçons.

    Ajoutez cucurma, l'ail écrasé, poivre, paprika, (poudre de cannelle ou 4-épices), sel…. remuez bien. Ouvrir la boîte de tomate en purée, et mélangez dans un bol avec du bouillon.

    Rajoutez dans la cocotte. Baissez le feu et faites cuire à couvert le plus longtemps possible. Rectifiez l'assaisonnement avant de servir bien chaud. Meilleur réchauffé, bien entendu.

    Ceci est le ragout de base: pour les gros mangeurs, vous pouvez rajouter une ou deux pommes de terre par personne; si vous avez encore plus faim, rajoutez une saucisse par personne ou 6 à plus de saucisse que vous aurez fait griller dans une poêle à part.

     

    Les recettes de mon blog sont, le plus souvent des recettes de cuisine des ouvriers toulousains entre 1950 et 1970... le temps de ma jeunesse....

    Hé, ho. Non, je ne suis pas un dinosaure! Je suis plutôt, (je reste, en fait, comme j'ai toujours été,) une avantgardiste...

    J'adore le futur: la preuve, c'est là-bas que j'ai décidé d’emménager pour y vivre!

     

     

  • Haricots coco au gras et autres considérations…

    J'avais cuisiné 4 cuisses de canard en confit. Les deux premières, je l'ai ai rajoutées à des lentilles vertes. Mais, par inadvertance et peut-être n'avais-je pas le temps, j'ai tout mis dans la cocotte-vapeur et laissé cuire le temps de cuisson des lentilles. Erreur, le confit n'était pas assez cuit.

    Ma recette: deux cuisses de canard confites

    300 g de lentilles vertes, laurier, thym, romarin, poivre, deux gousses ail écrasé, oignons en cubes rôtis dans la graisse de canard des confits; deux carottes en tronçons et une pomme de terre que j'ai écrasé juste avant de servir, pour lier un peu l'ensemble.

    Hier, j'ai préparé les deux autres cuisses en une sorte de ragoût de haricots coco.

    En fait, j'ai fait comme pour les lentilles mais j'ai rajouté de la couenne et des petites pommes de terre "grenaille"; de plus, j'ai coloré le bouillon avec une petite boîte de concentré de tomate; pour les herbes, je n'ai pas mis de romarin mais une feuille de laurier du jardin en plus.

    J'ai d'abord fait blanchir les haricots et les couennes. Cela permet d'éviter le trempage toute la nuit. Retenez cette bonne astuce!

    Pour aller plus vite, j'ai rempli ma bouilloire inox et une fois l'eau bouillante j'ai mis dans la cocotte minute avec les couennes. Au bout de 3 minutes de chuintement, j'ai ôté la soupape et j'ai laissé dix minutes la vapeur se déliter doucement.

    J'ai vidé l'eau, remit du bouillon dans la cocotte et j'ai disposé dans la marmite: les haricots, les cuisses de canard, les couennes durant 40 mn'; ensuite, j'ai rajouté le reste: carottes, pommes de terre, herbes, etc… et j'ai laissé cuire à feux moyen, sans le couvercle, durant …

    ...un peu trop longtemps car les cuisses étaient toutes défaites. Mais, c'était bien mitonné... très bon... il m'en reste encore pour ce midi!

    Voir la photo. C'est cela la cuisine. Une fois, la recette se déroule parfaitement et se présentera parfaitement à table.

    Une autre fois, on a trop salé, trop poivré, pas fais cuire assez… on croyait avoir des carottes en rondelle dans le congélo, mais il n'y en avait plus; débrouille, sortir les carottes du paquet de petits pois aux carottes… si vous en avez. Sinon, pas de carottes dans votre plat!

    Et alors? rien. Il n'y en aura pas, voilà tout. Mais, votre plat sera tout autant excellent.

    Pourquoi?

    Et bien, vous l'aurez réalisé vous-même et vous n'aurez pas seulement ouvert une boîte de conserve ou un plat tout prêt Findumachin ou Vivaquelquechose. Et tant pis si la Tante Marie n'est pas contente!

    Sur mon site tradi-cuisine.com, je reçois hier une demande:

    J'aime beaucoup faire des sautés ou tagines d'agneau. Or une fois sur deux, l'agneau est sec, et pourtant il vient toujours du même boucher, en général dans l'épaule d'agneau, cuit avec mélange beurre huile. Il y a surement un "truc", mais je ne l'ai pas trouvé a ce jour... Merci de m'aider, car quand on reçoit beaucoup, un tagine d'agneau aux pruneaux, c'est génial !.

    J'ai répondu: faites tremper votre viande dans du lait durant quelques heures.

    Mais, me re-écrit la dame: je veux seulement savoir pourquoi un jour mon tajine est parfait et d'autres fois, la viande est dure? la même recette, la même viande acheté chez  le même boucher…

    J'ai indiqué: la température, la saison, le tour de main différent selon notre humeur… le temps qu'on a pour une fois ou qu'on aura en plus la fois suivante….

    l'agneau lui-même, tué en été, en hiver… le boucher, il l'a bien mise comme d'habitude à mâturer autant de jours ou même d'heure?

    Et encore, je n'ai pas parlé de l'âge du capitaine! :-)

    C'est cela la cuisine familiale. Au restaurant, disons chez les grands toqués de la toque, si le plat n'est pas réussi comme il se doit: hop! à la poubelle. Standing oblige.

    Mais, imaginez, si nous faisions cela, nous! bonjour les fins de mois difficiles!

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     PS: ce n'est pas parce que l'on met dans sa bassine: des haricots coco, une cuisse de canard et des couennes que l'on a réalisé un cassoulet!

    La recette ci-dessus se nomme, en occitan: estoufade de mungettes

     

     

  • 10 e anniversaire: loi non appliquée trop souvent!

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