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  • Consommer de la soupe, c'est très bien

    Ci dessus: tout pour aïgo boulido

     

    Mais, laissez tomber les soupes en brique

    Le contenant, pour commencer: c'est du carton. Soit. Mais, sachez que l'encre de la boîte passe à travers le carton et pourtant, ce dernier est recouvert à l'intérieur d'un film (polypropylène? je ne sais pas, je me fous d'avoir une réponse précise: c'est du plastique! et cela relargue du chimique dans votre soupe.

    Et vous croyez que les soupes industrielles valent bien les soupes faites maison?

    Faux

    Car la liste des ingrédients dépasse largement les seuls légumes et aromates. En épluchant les étiquettes on y retrouve bien sûr du sel, mais aussi de l'amidon modifié de maïs ou de blé, du glutamate monosodique, ou même du sucre!

    L'objectif des industriels: donner du goût et de la texture. Problème: le glutamate peut provoquer des réactions allergiques; les amidons modifiés ont un index glycémique élevé, et le sucre favorise la résistance à l’insuline. Le glutamate de sodium, un additif alimentaire qui ferait grossir

    Ces ingrédients et additifs nuisent aux qualités nutritionnelles de la soupe.

    Ces soupes industrielles apportent trop de sel

    Les soupes industrielles sont malheureusement souvent trop salées. En moyenne un bol de 250 mL de soupe en brique apporte 2 grammes de sel. Avec un seul bol de soupe, on atteint ainsi plus du quart des apports journaliers en sel recommandés par l'ANSES qui conseille de ne pas dépasser 7 à 8 grammes par jour pour éviter l'hypertension et limiter les maladies cardiovasculaires. La soupe maison, au contraire, permet de doser la quantité de sel.

    Si décidemment vous avez la flegme du siècle et que vous voulez à tout prix utiliser ces trucs chimiques: rajoutez pratiquement le double du poids de votre “plastiquerie“ avec de l'eau. Pour lui donner un peu de punch et de bienfaits pour votre organisme; rajoutez de la crème fraîche liquide, (ou du lait fermenté), du persil frais (et pas celui des boîtes de Picard… décidément, vous et votre “plastiquerie“!) du curcuma, de la ciboulette, du fromage râpé (té, du fromage râpé de chèvre) des croûtons aillés FAITS MAISON…. avec des petits pains grillés que vous aillez et coupez en morceaux avant de les faire sauter rapidement dans une poêle en tôle noire (pas d'anti-adhésifs, milodiou; bon, je vous accorde une poêle en céramique, moins pollué le revêtement que le collage de poudre de pierre)…

    Ben, tant que vous y êtes, faites sauter de la cansalade (lardons) et 1 oignon en cube, à mettre au fond du bol à soupe.

    Saupoudrez de levure en paillettes, de germes de blé: rajoutez, pour épaissir, une grosse cuillère de lécithine de soja bio que vous trouvez ici:

    www.biotine-sep.com

     ou alors diluez un reste de purée MAISON ou du riz cuit. S'il vous reste un peu de légumes cuits dans le frigo, rajoutez.
    Au fait, les restes se rangent dans des boîtes EN VERRE hermétiques, au frigo. Et, vous les gardez AU MAXIMUM trois jours dans le réfrigérateur, JAMAIS PLUS. Vous éviterez bien des tracas intestinaux.

    Tant qu'on y est: la viande hachée, quelle que soit la viande, doit se consommer dans la même journée… on ne garde jamais du haché dans le frigo pour le lendemain… même cuit!

    Cuisez-là à cœur. Perso, je la mange crue avec de la moutarde MAISON qui est -un peu- antibactérienne si vous forcez sur le piment ou le poivre.

     

  • Le grand retour des soupes

    Soupe aux choux de Bruxelles 

    Soupe très riche ou non, selon vos envies.

    Pour 4 personnes:

    500 g de choux de Bruxelles, 2 tomates, 2 gousses d'ail,

    1 oignon, 1 bouillon fait maison ou 1 cube de bouillon de légumes. 1 branchette de thym

    Ebouillantez les tomates, pelez-les et épépinez-les. Mixez-les avec l'ail et l'oignon.

    Dans une casserole, mettez les choux de Bruxelles, le bouillon et la purée d'ail, d'oignon et de tomates. Ajouter de l'eau à hauteur des légumes. Cuire 30 minutes.

    Mixez et servez;

    Pour adoucir le goût, ajoutez de la crème fraîche liquide.

    Le bouillon maison se fait avec de l'os à moelle. Prenez l'habitude -comme moi-quand vous faites une blanquette ou un pot-au-feu de rajouter un litre d'eau en bouteille supplémentaire et bien sûr, d'obtenir de votre boucher un bel os à moelle. Conservez-en au réfrigérateur pour faire un tourin, un autre genre de soupe, cuire des pâtes à potage ou arroser du riz cuit.

    Si vous trempez des croûtons de pains dur, vous obtenez un repas très consistant pour le soir; ajoutez un blanc d'œuf dans le bouillon et le jaune sur le pain à tremper la soupe.

     

  • La preuve que les Toulousains....

    SONT LES PLUS INTELLIGENTS DE FRANCE!

     

    HO PUTAIN et …. PUTARAGNE!

     

    Selon la science, les gens qui jurent beaucoup auraient un meilleur vocabulaire que ceux qui ne jurent jamais

    Si vous avez déjà été accusé d’être moins intelligent car vous jurez trop, rassurez-vous, la science est de votre côté. Une étude de 2015 a révélé que les personnes possédant un vaste répertoire de jurons, sont également plus susceptibles d’avoir un vocabulaire plus riche.

    Cela remet en question le vieux stéréotype disant que les gens jurent car ils ne peuvent pas trouver de mots plus intelligents avec lesquels s’exprimer. Comme l’a dit un jour Stephen Fry, " le genre de personne qui pense que jurer est en quelque sorte le signe d’un manque d’éducation ou d’un manque d’intérêt verbal, est un pu**** de lunatique ".

    Les psychologues Kristin Jay et Timothy Jay du Marist College et du Massachusetts College of Liberal Arts ont émis l’hypothèse que les gens qui connaissent de nombreux jurons variés, sont également plus susceptibles d’avoir une plus grande fluidité dans leur manière de s’exprimer en général.

    Pour la première expérience, ils ont réuni 43 participants (dont 30 femmes) âgés de 18 à 22 ans, et leur ont d’abord demandé de prononcer autant de jurons que possible en 60 secondes. Ensuite, ils ont dû réciter autant de noms d’animaux qu’ils le pouvaient, également en 60 secondes. Les chercheurs ont utilisé les noms d’animaux comme une indication du vocabulaire général d’une personne et de son intérêt pour la langue.

    Comme tout mot ou expression étaient permis, les participants ont réussi à générer un total de 533 mots tabous et jurons. Les participants ont également été soumis à des tests standardisés de fluence verbale.

    Lors d’une deuxième expérience, 49 autres participants (dont 34 femmes) âgés de 18 à 22 ans ont été invités à effectuer une tâche similaire : cette fois, les participants ont été invités à écrire autant de jurons et de noms d’animaux possibles, commençant par la lettre " a ". Ils ont également complété divers tests de fluence verbale, afin d’évaluer leur aisance générale dans la langue.

    Les chercheurs ont également constaté que les jurons étaient générés à des taux plus élevés que les simples insultes, et qu’il y avait peu de différence entre ce que les participants féminins et masculins pouvaient proposer. " En accord avec les résultats qui ne montrent pas de différence entre les sexes quant à la taille du lexique de jurons, aucune autre différence de sexe n’a été obtenue ", expliquent les chercheurs.

    Ils ont également constaté que la capacité de générer de nombreux jurons n’était pas un indice de la pauvreté linguistique globale: en fait, ils ont constaté que la fluidité des jurons était positivement corrélée avec d’autres mesures de fluidité verbale.

    "Autrement dit, un vocabulaire volumineux comprenant de nombreux jurons peut être considéré comme un indicateur de capacités verbales saines, plutôt que comme une couverture de leurs déficiences", expliquent les chercheurs. "Les locuteurs qui utilisent des mots tabous comprennent leur contenu expressif général ainsi que les distinctions nuancées qui doivent être utilisées pour employer les insultes de manière appropriée. La capacité à faire des distinctions nuancées entre les jurons et les insultes par exemple, indique la présence de plus de connaissances linguistiques plutôt qu’une pauvreté de vocabulaire", ajoutent-ils.

    Bien entendu, il s’agit d’une étude menée sur un petit échantillon d’individus, il faudrait qu'une plus grande cohorte puisse être analysée.

     CQFD -  Macarel et macaniche!