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Actualité - Page 71

  • Votre santé: bon à savoir

    C’est le nerf vague qui permet la communication entre nos deux cerveaux, et donc certains effets du microbiote. C’est aussi lui qui explique les effets des techniques corps-esprit.

    Le nerf vague est le plus long des nerfs crâniens, il s’étend du tronc cérébral jusqu’au système digestif en passant par tous les organes viscéraux, d’où son nom dérivé du mot latin « errant, vagabond ». Il est responsable de la régulation du cœur, des poumons, des muscles de la gorge et des voies respiratoires, du foie, de l’estomac, du pancréas, de la vésicule biliaire, de la rate, des reins, de l’intestin grêle et d’une partie du gros intestin, pas moins. Plus de 80% des informations qui circulent par le nerf vague vont des organes jusqu’au cerveau.

    On connaît le nerf vague via le bien connu malaise vagal qui survient lorsque le nerf est trop actif. A contrario, lorsqu’il est peu actif, cela entraîne divers désagréments qui n’ont pu être reliés à ce nerf que récemment. Voici 7 choses à connaître sur ce nerf encore peu connu mais qui est de plus en plus étudié par les scientifiques.

    Il permet au cerveau et à l’intestin de communiquer

    Est-ce vraiment notre cerveau ou notre manque de volonté qui nous pousse à grignoter certains aliments ? En réalité, c’est le microbiote intestinal qui régit la prise alimentaire via le nerf vague (NV).

     Le Dr Navaz Habib, auteur du livre Activez votre nerf vague explique : « Une fois que l’on a compris que les fringales liées aux aliments qu’exigent nos bactéries intestinales sont en réalité des signaux relayés par le nerf vague à travers le système sanguin, il devient possible de reprendre la main et de modifier notre alimentation pour obtenir un effet bénéfique, non seulement sur notre microbiote, mais aussi sur notre santé globale. »

    La stimulation du nerf vague, notamment sa branche intestinale supérieure droite pourrait être liée à la motivation et au plaisir. En effet une étude publiée dans le journal Cell, a révélé l’existence d’une population de neurones de récompense à cet endroit. Ces neurones fonctionneraient de la même manière que ceux de la récompense du système nerveux central. Leur stimulation induirait la libération de dopamine.

    Sans le nerf vague, pas de faim ni de satiété

    Les personnes qui ne ressentent pas ces sensations et chez qui se développent des troubles du comportement alimentaire souffrent probablement d’un dysfonctionnement du NV. En effet, durant le repas, ce dernier informe le cerveau sur la quantité et la composition du repas, signal qui permettra d’induire une sensation de satiété. Selon le Dr Habib, “un nerf vague insuffisamment actif peut ne pas être en mesure d’envoyer efficacement ce signal. Conséquence : une sensation continuelle de faim, une absence de perception de la satiété, et une suralimentation au cours des repas. Lorsque le nerf vague fonctionne normalement, il faut moins de 15 à 20 minutes pour se sentir rassasié après un repas“.

    Le nerf vague protège de l’inflammation

    L’inflammation est l’un des mécanismes de défense qui a permis la survie de l’humanité contre un vaste nombre d’agents pathogènes. Mais le corps réagit par l’inflammation à n’importe quelle attaque, y compris les stress mentaux et émotionnels. Résultat : une inflammation chronique qui participe à la survenue de nombreuses maladies de civilisation: maladies auto-immunes, cancers, maladies dégénératives et cardio-métaboliques, etc.

    Le nerf vague, s’il est correctement activé, participe à la régulation de l’inflammation. Via un messager chimique nommé acétylcholine, il envoie aux cellules immunitaires (surtout celles présentes au niveau de l’intestin) le signal de réduire l’inflammation quand celle-ci n’est pas nécessaire.

    Moins il est stimulé, moins notre mémoire est bonne

     

    Une mauvaise composition du microbiote intestinal et un dysfonctionnement du NV pourraient porter atteinte à notre capacité de créer des souvenirs. En cause : une mauvaise transmission des informations par le nerf vague du cerveau au microbiote.

    Une étude de l'Université de Virginie sur des rats a montré que la stimulation de leurs NV renforçait leur mémoire. D’autres études ont été effectuées chez les humains et elles laissent entrevoir des traitements prometteurs pour des maladies touchant la mémoire comme la maladie d'Alzheimer.

    Sans le nerf vague, nous devrions penser à respirer

    Le neurotransmetteur acétylcholine, dont la sécrétion est induite par le nerf vague, ordonne aux poumons de respirer. Le NV innerve la trachée et les bronches et donne ainsi au cerveau les informations concernant le taux d’O2 et de CO2.

    Un faible tonus vagal serait à l’origine des maladies pulmonaires, notamment la bronchite obstructive chronique (BPCO) et le syndrome d’apnée obstructive du sommeil.

    Il explique pourquoi les techniques de relaxation marchent

    Les respirations lentes et profondes stimulent le NV qui active à son tour un état de relaxation.

    Le nerf vague participe ainsi à gérer la variation du rythme cardiaque (VRC) c’est-à-dire la variation de la durée de l'intervalle de temps séparant 2 battements de cœur consécutifs. Des variations importantes de la fréquence cardiaque sont synonymes de l’équilibre et de l’adaptabilité du système nerveux autonome et notamment des systèmes sympathiques (dont le rôle est de préparer l’organisme à répondre à un stress) et parasympathiques (dont le rôle est de ralentir les fonctions de l’organisme pour favoriser la relaxation).

    Le NV explique donc pourquoi une méthode comme la cohérence cardiaque (qui augmente la VRC) fonctionne.

    À l’inverse, une mauvaise respiration provoque une mauvaise gestion du stress et peut être aussi le synonyme d’un dysfonctionnement vagal. Selon le Dr Habib, “l’un des signes de ce dysfonctionnement est qu’après un évènement stressant la fréquence cardiaque ne se normalise que lentement et la respiration reste longtemps superficielle. La personne capable de se calmer et ralentir son rythme cardiaque a un nerf vague qui fonctionne très bien“.

    La stimulation du nerf vague est déjà utilisée par les médecins

    Vous entendez peut-être parler du NV pour la première fois mais la bioélectronique s’en sert déjà. En utilisant des implants qui fournissent des impulsions électriques à diverses parties du corps, elle permet de stimuler avec succès le NV pour traiter l'inflammation et l'épilepsie. La bio-électronique, un domaine d'études médicales en plein essor, pourrait représenter l'avenir de la médecine. Surtout si les études sur le nerf vague continuent d’être conduites.

    D'après la  nutrition-santé

     

  • CENTENAIRE DE LA SANCTIFICATION DE JEANNE D'ARC

    1920 - 2020

    Le martyre de la sainte patronne de la France

    ECOUTEZ!

     

     

     

  • Le chocolat chaud viennois

    Pour réchauffer son corps et son âme! C'était notre quatre-heures préféré dans le temps d'antan! avec quelques tartines à la confiture...

    Pour 4 personnes.

    200 g de chocolat dessert à cuire, prenez celui qui contient le plus de chocolat noir dans sa formule… C'est incroyable ce que peuvent contenir -comme rajout merdique- les chocolats à cuisiner!

    10 cl de crème liquide entière, le light, c'est une belle imposture.

    1 litre de lait entier de préférence; 1 cuillerée à soupe de sucre en poudre (facultatif, il y a tellement de sucre dans le choco à cuisiner que vous pouvez vous passer d'icelui).

    Des copeaux de chocolat (facultatif).

    Dans une casserole, faites fondre votre chocolat coupé en morceaux avec 2-3 cuillères à soupe de lait, à feu doux. Mélangez bien.

    En même temps que vous mélangez, incorporez le lait petit à petit. Laissez chauffer tout en remuant de temps en temps.

    Dans un saladier, montez la crème liquide en chantilly et ajoutez le sucre en poudre (si vous y tenez).

    Versez le chocolat chaud dans vos tasses et recouvrez-les de crème chantilly au dernier moment, juste avant la dégustation.

    Vous pouvez parsemer vos tasses de copeaux de chocolat, pour un résultat encore plus gourmand et chocolaté;

    Prenez une tablette entière, mettez-là au réfrigérateur une heure, avec votre couteau à éplucher, faites de petites épluchures. Ou bien, saupoudrez de chocolat en poudre non sucré.

    Vous pouvez aussi ajouter une cuillère à café de vanille en poudre, de cannelle en poudre, de poudre d'amande ou autres fruits secs avant de mettre la crème chantilly.

     

  • Bâtonnets glacés (pour les enfants)

    r 6 personnes et six moules à glace (essayez d'en trouver en inox)

    200 g de fruits rouges (myrtilles, framboises, fraise)

    40 g de miel; 4 yaourts à la grecque; 4 cuil. à soupe de pétales de maïs nature

    1 jus de citron

    Mélangez les yaourts à la grecque avec le jus de citron et le sucre dans un saladier en verre

    Versez un peu de pétales de maïs au fond des moules et ajoutez le mélange au yaourt

    Ajoutez les fruits dans les moules. Versez un peu de pétales de maïs sur le dessus de la préparation.

    Insérez les bâtonnets en bois puis placez au congélateur environ 4 h. Démoulez et faites attention aux enfants qui tournent autour de vous comme des fous: vous pourriez tomber!

     

  • Il a volé, a volé, a volé, l'orange du marchand!!!

    Riche en antioxydants et en vitamine C, l’orange a de nombreuses vertus santé.

    L’intérêt principal des agrumes pour la santé réside dans leur richesse en flavonoïdes, des composés de la famille des polyphénols. Ces antioxydants puissants agissent en synergie avec la vitamine C et les acides organiques. Les flavonoïdes et les composés aromatiques des écorces d’agrumes possèdent en outre une action protectrice vis-à-vis des veines et des capillaires. Ils sont utilisés à cet effet pour fabriquer des médicaments protecteurs des vaisseaux sanguins.

     L'orange a un apport énergétique modéré (45 kcal/100 g). Elle justifie parfaitement sa bonne réputation vitaminique : un fruit moyen (150 à 180 g net) couvre pratiquement la totalité de l'apport quotidien recommandé en vitamine C (80 mg pour l’adulte).

     Un apport particulièrement important l’hiver, la pleine saison de l’orange. C’est durant cette période que nous devons faire face aux agressions microbiennes et virales, à la fatigue et aux baisses de forme...

    Or, la vitamine C stimule les réactions de défense de l’organisme, en activant la formation des anticorps et l’activité phagocytaire des globules blancs. Elle intervient aussi dans la biosynthèse de l’adrénaline et des corticoïdes, les hormones du stress. C’est de cette façon que la vitamine C accroît la résistance aux agressions.

     Mais elle joue de plus un rôle important dans la synthèse cellulaire (notamment des tissus conjonctifs, des os et des cartilages), et dans l’absorption du fer : des processus dont le bon déroulement favorise également les défenses de l’organisme.

     Grâce à sa vitamine C, présente à un taux optimal et stable, l’orange contribue indéniablement à la sécurité vitaminique et à la bonne forme du consommateur.

     La teneur en vitamine C de l'orange est très stable : l'acide est en effet protégé par l'acidité du milieu (présence des acides organiques naturels du fruit) et par la peau épaisse qui constitue une protection efficace vis à vis de l'oxygène de l'air (qui détruit la vitamine C).

    Dans le temps, la diminution de la vitamine C est lente, et extrêmement faible : la perte ne dépasse pas 5 à 10% en général, même au bout de plusieurs semaines.

    Une aide en cas d’hypercholestérolémie familiale

    Des chercheurs ont montré que la consommation quotidienne de 750 ml de jus d’orange augmente le taux de cholestérol-HDL (le " bon " cholestérol) chez des personnes souffrant d’hypercholestérolémie [1] [1‘]. Lorsque le cholestérol-HDL s’élève, le risque cardiovasculaire diminue. Les chercheurs attribuent cet effet à un flavonoïde contenu dans l’orange: l’hespéridine. [2] .

     L’hespérédine est le principal flavonoïde de l’orange et se retrouve en grande quantité dans la partie blanche de la pelure et les membranes du fruit, ainsi qu’en plus petite concentration dans le jus et les pépins. [3]

     La teneur des agrumes en vitamine B9 (acide folique) permet aussi de prévenir les maladies cardiovasculaires. L’acide folique réduirait le taux sanguin d’homocystéine, un acide aminé apporté par les protéines et qui représente un des facteurs de risque de ces maladies. [4]

    Intéressante contre les cancers

    Comme tous les fruits et légumes, les agrumes, par leur richesse en antioxydants, permettent de prévenir les cancers. Ils semblent protéger plus particulièrement des cancers de l’estomac et du larynx. D’autre part, les terpènes des agrumes rendent plus efficaces les enzymes de détoxification contre les agents cancérigènes.

    Un anti-inflammatoire naturel?

    Grâce à ses flavonoïdes, l’orange a aussi un effet anti-inflammatoire sur l’organisme [5]. Chez les personnes qui souffrent de maladies comme la polyarthrite rhumatoïde, consommer des aliments riches en flavonoïdes serait en effet bénéfique.

    Une amie des os

    On peut manger des oranges sans risquer de se décalcifier. Et bien au contraire, l'orange est l'un des fruits qui fournit le plus efficacement du calcium à l'organisme. Dans l'orange, en effet, le calcium est relativement abondant (40 mg aux 100 g, au lieu de 5 à 15 mg dans la plupart des autres fruits). Par ailleurs, le rapport calcium / phosphore est de 2,5 ce qui est une valeur optimale pour la bonne utilisation du calcium. Enfin, la présence d'acides organiques (et en particulier d'acide citrique) joue également un rôle favorable sur l'assimilation calcique. Ainsi, l'utilisation biologique du calcium de l'orange apparaît voisine de celle du calcium du lait, modèle en la matière. De ce fait, l'orange ne peut que favoriser le bon statut calcique de l'organisme.

     Notre régime alimentaire, en apportant beaucoup de viande et de céréales, acidifie l’organisme. Or, les acides organiques des agrumes (qui leur confèrent leur saveur acidulée) possèdent paradoxalement un effet alcalinisant : en s’unissant à des minéraux comme le potassium, ils forment des bicarbonates qui compensent l’acidité du corps. Cette propriété des agrumes est particulièrement intéressante dans la lutte contre l’ostéoporose. Une forte acidité contraint en effet le corps à puiser du calcium dans les os pour conserver l’équilibre acide-base. Les agrumes permettent de contrebalancer l’effet acidifiant de notre régime alimentaire sans puiser dans nos réserves osseuses.

    Références :

    [1] Kurowska E. M. : HDL-cholesterol-raising effect of orange juice in subjects with hypercholesterolemia. Am J Clin Nutr. 2000 Nov ;72(5):1095-100.

    [1’] Cesar TB, Aptekmann NP, Araujo MP, Vinagre CC, Maranhão RCUILLÈRE Orange juice decreases low-density lipoprotein cholesterol in hypercholesterolemic subjects and improves lipid transfer to high-density lipoprotein in normal and hypercholesterolemic subjects. Nutr Res. 2010 Oct;30(10):689-94. doi: 10.1016/j.nutres.2010.09.006.

    [2] Kurowska EM, Spence JD, et al. HDL-cholesterol-raising effect of orange juice in subjects with hypercholesterolemia. Am J Clin Nutr 2000 November;72(5):1095-100.

    [3] Garg A, Garg S, et al. Chemistry and pharmacology of the Citrus bioflavonoid hesperidin. Phytother Res 2001 December;15(8):655-69.

    [4] Turati F, Rossi M, Pelucchi C, Levi F, La Vecchia CUILLÈRE Fruit and vegetables and cancer risk: a review of southern European studies. Br J Nutr. 2015 Apr;113 Suppl 2:S102-10. doi: 10.1017/S0007114515000148.

    [5] Joseph SV, Edirisinghe I, Burton-Freeman BM Fruit Polyphenols: A Review of Anti-inflammatory Effects in Humans. Crit Rev Food Sci Nutr. 2016;56(3):419-44. doi: 10.1080/10408398.2013.767221.

  • Humour belge

    DÉCLARATION d’impôts d’un citoyen Belge :

    On pourrait croire que c’est une blague mais non.

    Voici ce qu’a répondu un citoyen belge sur sa déclaration d’impôts à la question :

    Avez-vous des personnes à votre charge?

    Réponse:

    2,1 millions d’immigrés illégaux,

    4,4 millions de chômeurs,

    900 000 criminels répartis dans 85 prisons,

    650 crétins au parlement,

    + la totalité de la Commission Européenne.

    L’administration lui a renvoyé sa déclaration en disant que sa réponse était inacceptable.

    Le citoyen ne s’est pas dégonflé, il a répondu par écrit:

    “Pourquoi, j’ai oublié quelqu’un?".

     

  • Plaidoyer pour le droit au plaisir

    Je dirais que nous sommes parfois dans un monde absurde. En effet on voudrait que les gens ne boivent plus, ne mangent plus trop, ne se fatiguent pas trop et donc globalement essaient de vivre plus vieux. Mais vivre plus vieux, ça va faire des centenaires à ne plus savoir qu’en faire !

    Et des centenaires à ne plus savoir qu’en faire, ça va augmenter la masse des retraites d’une manière phénoménale. Qui va payer?

    Je ne suis pas en train de dire qu’il faut éliminer les vieux mais qu’entre les deux extrêmes, on peut fixer un juste milieu.

    Entre:

        se lâcher totalement et manger sucré, gras , alcoolisé à outrance et  forniquer comme des bêtes et aller développer tout un tas de maladies et de pathologies pour creuser le trou de la Sécu et mal vieillir, mal fichu, avec une gamelle de médicaments par jour et finir en épave ;

        ou ne rien manger, ne plus rien faire et vieillir jusqu’à pas d’âge et donc alléger la Sécu mais alourdir copieusement les retraites et donc risquer à terme de développer des "chasses aux vieux" initiées par les plus jeunes lassés de payer des retraites à des gens avec une santé insolente.

    Tout ça pour dire que finalement, on joue contreproductif. On devrait en réalité surtout encourager les gens à vivre heureux, à vivre bien, et effectivement sans trop d’excès. Ce qui pose problème, c’est l’excès. Mais avec les végans, les végétariens, les ligues de tempérance, les culs coincés de toutes natures, les anti-foie gras, les anti-drague, on n’est pas dans la mesure mais plutôt dans l’arrêt total de tout ce qui fait le sel de la vie.

    Au train où on va, manger un " mon chéri " vous vaudra bientôt un retrait de permis.

    Donc l’anecdote suivante résume, à mon sens le fond du problème.

    Un mec va voir son toubib et pose un billet de 200 euros sur la table et lui dit : "Toubib, voilà un billet de 200 euros… C’est en paiement de la consultation spéciale que vous allez me faire maintenant. Je n’ai qu’une seule question: que dois-je faire pour être sûr de vivre très vieux? Je ne sors pas de ce cabinet sans avoir la réponse à cette question".

    Le toubib le regarde un peu amusé et lui dit: "Inutile de payer 200 euros pour ça. Une consultation, ce n’est pas ce prix, mais bon… je prends.

    Concernant votre question, voilà ce que vous allez faire: plus de sucre, plus de cuisine avec des graisses, que des légumes, plus de bonbons, plus de cigarettes ni de cigares, et bien sûr plus d’alcool… côté sport rien, le strict minimum, un peu de marche, plus de télé car ça vous énerve, idem pour le cinéma et la lecture, plus de jeux de toutes sortes, ça vous fait des émotions fortes, côté femmes, c’est pareil… vous arrêtez, c’est crevant, les femmes. Plus d’émotions, plus de trucs qui fatiguent… ".

    Le gars est un peu interloqué, accuse le coup et passé son étonnement, dit au toubib: "Et avec ça, vous me garantissez que je vais vivre très vieux?".

    Et le toubib de répondre : " à vrai dire, en faisant ça, je ne sais pas si vous allez vivre très vieux, mais une chose est sûre: le temps va vous paraître nettement plus long".

    Pierre Bleven

    https://ripostelaique.com

     

    P.S. c'est une très vieille blague qu'on se racontait -déjà- dans les années 70!

    ... enfin, chez les phyto-nutritionnistes comme, déjà, j'étais!

    On parlait d'un billet de 500 francs, en ce temps-là!