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Je vous met cette vidéo très instructive.
Cependant, toutes ces infos sont aussi sur mon site:
qui reçoit, tout de même entre plus de 900 à 1200 visites quotidiennes
Dans le cadre de la lutte contre l'influenza aviaire, tous les détenteurs de volailles et de palmipèdes situés dans des zones concernées par le vide sanitaire doivent déclarer leurs animaux en mairie avant le 10 avril 2016. Cette mesure concerne donc toute la région Midi-Pyrénées.
Poule, oie, canard, pigeon, dinde, pintade, caille, faisan, perdrix, paon... Si vous ne possédez qu'un seul de ces volatiles, vous êtes tenu de le déclarer avant le 10 avril 2016.
Après les élevages où s'appliquent déjà dépeuplement progressif et vide sanitaire, ce recensement de volailles et palmipèdes chez les particuliers est mis en place dans toutes les zones où s'appliquent des mesures de lutte contre la grippe aviaire. Cette mesure concerne donc tous les départements de Midi-Pyrénées puisque tous se situent dans le périmètre de lutte contre la grippe aviaire défini par arrêté ministériel. Les particuliers doivent déclarer leurs animaux en mairie au moyen d'un formulaire. Une nouvelle procédure qui suscite chez eux sourire ou incompréhension.
Ils ont bien tort; ils ne se rendent pas compte, la grippe aviaire est transmise par les oiseaux de passage. Derrière le mur de mon jardin, des abrutis ont installé un poulailler avec un coq qui chante toute la journée (alors que c'est interdit par la loi; figurez-vous qu'en effet, un coq en ville doit chanter le matin et le soir... toute la journée c'est interdit! c'est la stricte vérité; votre poulailler de plus ne doit pas avoir plus de 9 poules.... de plus en été, ça pue... peut pas dire d'autres mots, difficile souvent d'ouvrir les fenêtres et profiter de ma terrasse.....)
Bref, à cause de cela, tout un tas de pigeons viennent s'installer sur les toits et les arbres des maisons alentour;... quand j'étends mon linge -dont l'étendoir est proche du toit-, bonjour les dégâts sur mon linge propre! sans compter les autres nuisances.... on devrait interdire les poulaillers s'il y a des maisons proches d'au moins 100 mètres.... le plaisir des uns est la gêne des autres.... mais, qui s'en soucie?
Demandez à la Ségolène: les besoins des gens, elle s'en tape comme de toutes les promesses qu'elle a faites!
A l'occasion de la sortie du film (mars 2016) “Au nom de ma fille“ qui relate l'histoire de l'affaire K., je me suis souvenue qu'un de mes amis journalistes, Philippe M. m'a, un jour, demandé ce que je pensais de cette terrible affaire. La femme avait divorcé et était partie épouser en Allemagne un médecin en entraînant sa fille de quinze ans. Le père effondré, appris que sa fille avait été assassinée. L'autopsie lui fait soupçonner que sa fille a été violée et, commença alors sa grande errance entre les deux pays, seul, en lutte contre la machine judiciaire. Errance qui a duré de très nombreuses années. Il a du se “faire justice“ lui-même, en quelque sorte. (il a embauché des hommes de main pour “extrader“ de force le violeur allemand qu'il fit enchaîner devant un commissariat pour que la justice française, enfin! s'en mêle).
La suite sur mon site professionnel
Supervache
Des vaches énormes au Salon de l'agriculture. Faut-il les admirer ou s'en inquiéter ?
C'était lundi 29 février. Comme chaque année, dans le cadre du salon international de l’agriculture, se tenait le concours Prim’Holstein. Les Parisiens sont venus s’ébaubir devant des vaches de 600 à 700 kilos. A la réflexion, il y aurait plutôt matière à s’inquiéter.
Les Prim’Holstein sont génétiquement sélectionnées pour produire des quantités astronomiques de lait: vitesse de croissance ultra-rapide, vêlage précoce (deux ans) donc temps "improductif" réduit, 600 à 700 kilos sur la balance et chaque année 8500 litres de lait au compteur. Des animaux programmés pour la rentabilité.
Au début du XXe siècle, une vache donnait 3 à 4 litres de lait par jour. Dans les années 1950, les éleveurs et les producteurs avaient déjà trouvé le moyen de leur faire rendre 6 à 7 litres. Entre 1961 et 1998, une Holstein a augmenté sa production quotidienne de lait de près de 16 litres. Aujourd’hui, une vache donne en moyenne plus de 20 litres.
Ce résultat est dû à une combinaison de sélection génétique et d’optimisation de l’alimentation et de la traite. L’insémination artificielle, mise au point en 1938, puis la congélation du sperme, maîtrisée dans les années 1950 y ont largement contribué.
Grâce aux Prim’Holstein et aux autres races programmées pour produire toujours plus, l’Europe croule sous le lait. La faute à l’industrie laitière qui a poussé les éleveurs à s’équiper en Supervaches pour se garantir un approvisionnement en lait à bas coût. Selon l’INRA, "même s'il en est peu conscient, le bénéficiaire final en est le consommateur, qui a vu, en termes de pouvoir d'achat, le prix du litre de lait régresser de façon spectaculaire depuis la dernière guerre".
Mais l’INRA fait mine d’oublier que ce lait pas cher a un coût pour le consommateur. Celui, d’abord, des subventions, qui sont payées avec ses impôts: 500 millions d’euros en novembre 2015 pour l’élevage, auquel on peut ajouter les aides publiques octroyées aux céréaliers qui produisent pour nourrir Supervache (230 euros l’hectare).
Le coût possible aussi, pour la santé humaine, d’un lait produit par des animaux qui, par leur croissance phénoménale, expriment à un niveau record facteurs de croissance et hormones. Un lait qui n'a plus grand-chose à voir avec celui des paysans d'autrefois.
...et son lait ensorcelé
On sait qu’une consommation soutenue de lait (3 portions par jour et plus) se traduit par une augmentation sensible d'un facteur de croissance, l'IGF-1, mais on ne sait pas dans quelle mesure cette augmentation est due à l’IGF-1 du lait de vache (en tous points semblable au nôtre et dont une partie passe dans la circulation) ou aux effets stimulants bien connus des protéines laitières sur les facteurs de croissance.
Quoi qu’il en soit, des taux élevés d’IGF-1 ont été associés à un risque plus élevé de certains cancers.
Le lait ensorcelé de Supervache contient aussi de l’insuline bovine, soupçonnée de favoriser le diabète de type-1 chez certains enfants, et des hormones dont une partie est absorbée et peut exercer des effets biologiques. Les données sur la prolactine sont contradictoires, mais des études ont trouvé que 60 à 80% des estrogènes alimentaires sont apportés par le lait et les produits laitiers. Ces estrogènes, très présents dans les fromages du fait de leur affinité pour les graisses, ont été récemment mis en cause dans une étude de Harvard ayant relevé une baisse de la fertilité chez les gros consommateurs de ces aliments..
Cette course à la consommation et à la production, ridicule, coûteuse, injustifiée, se fait au détriment des éleveurs, des animaux, de l’environnement et du consommateur. La question est celle-ci: pouvons-nous accepter en tant que pays, de produire un lait de qualité, en moindre quantité, dans le respect du bien-être et de la physiologie de l’animal?
Pouvons-nous accepter, si nous consommons des produits laitiers, d’en manger moins, pour le plaisir et la qualité, et non de fallacieux bénéfices pour la santé, en les payant à leur juste prix, c’est-à-dire plus cher, afin d’assurer aux éleveurs responsables un revenu décent?
Lundi, au salon de l’agriculture, c’est la Prim’Holstein Bellissima, 10 ans, qui a été sacrée Supervache de l'année. Avec six lactations et 81503 kg de lait au compteur elle a reçu en prime le titre de meilleure laitière et meilleure mamelle. Qui dit mieux?
Voici les bonnes adresses pour faire ses courses sans emballage, réduire vos déchets et respecter l’environnement.
De plus en plus de gens reviennent aux bocaux à la place des emballages en plastique.
Liquide vaisselle, vin, litière pour chat… La tendance au zéro emballage et au zéro déchet s’installe à Toulouse. Mais où acheter en vrac dans la Ville rose?
Pour manger
Pâtes, riz, fruits secs…
Vous en trouverez dans toutes les biocoops et même dans de nombreux supermarchés, qui dédient désormais souvent un rayon aux produits en vrac.
Fromage, beurre, crème, œufs
Direction le marché, où il suffit d’apporter sa boîte à œufs, son bocal ou son tupperware.
Yaourts
Les pots en verre de La P’tite Ferme (ferme à Caussade) que l’on trouve notamment chez Ferme Attitude, peuvent être rapportés en magasin pour qu’ils soient remplis à nouveau chez le producteur.
23, Rue d’Astorg
Miel
Dans la boutique Famille Mary, on trouve du miel de châtaignier des Landes, du miel d’eucalyptus et du miel d’oranger. Il suffit d’apporter son pot!
37, rue Lafayette
Huile d’olive et vinaigre
On en trouve au marché des Carmes et à la Boutique des Saveurs, également aux Carmes (1, rue Ozenne) et au Paradis gourmand (en flacons rechargeables), qui propose également un très grand choix d’épices ou encore des gousses de vanille (45, rue des Tourneurs). Le Comptoir de l’huile d’olive, à Castanet-Tolosan, vend aussi en vrac cinq huiles d’olives et sept vinaigres (6 rue du Stade, Castanet-Tolosan).
Pour boire
Café moulu ou en grains
On remplit sa boîte à café à la Brûlerie des Filatiers (28, Rue des Filatiers) ou à la biocoop des Minimes, où on peut acheter le café en grains et le moudre sur place (4, Avenue Frédéric Estèbe).
Vins
La cave à vin Semalou, à Castanet-Tolosan (8-10, rue du Stade) propose un large choix de vins, tout comme La Caveaudoise à Plaisance-du-Touch (51, avenue des Pyrénées).
Herbes
La Pharmacie de la gare, dans le quartier Matabiau, propose à la vente des plantes en vrac, de production locale et principalement issues de la culture biologique.
60, rue de Bayard
Pour la maison
Produits ménagers
Pour la lessive, l’adoucissant, le liquide vaisselle et le nettoyant multi-usages, direction Ki Vie Bio (408, avenue de Fronton) ou la droguerie Marty Roubichou, qui vend également des pastilles vaisselle, des pinces à linge en bois, des joints ou encore de l’eau de Cologne (41, rue du Languedoc).
Litière
Les magasins Truffaut vendent en vrac de la litière pour votre chat dans leurs magasins de Balma (route de Lavaur) et de Colomiers (route d’Auch).