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Blog - Page 196

  • Attention à vous!

    Depuis le 18 mai 2015, l'amende pour stationnement sur une place à macaron sans carte

    c'est 750 €

    Si vous bloquez la sortie d'une place à macaron en étant mal garé, il y a aussi une très forte amende mais je n'ai pas récupéré le montant du PV

    Pour l'utilisation d'une fausse carte ou d'un macaron, l'amende est de

    1500 € et elle est portée à 3000 € en cas de récidive!

    Les places payantes de parking sont GRATUITES pour les porteurs de macaron.

    Handis : Vous ne pouvez, cependant pas dépasser 12 heures de stationnement.

    Vérifiez cependant si le paiement est fait à la commune ou une société concessionnaire. Dès le renouvellement de la concession, il y aura obligation au nouveau prestataire de laisser les places gratuites aux personnes qui disposent le macaron sur l'avant du pare-brise.

     

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  • Vive les Toulousaines!

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  • Petite info perso....

    Je suis en train d"écrire un roman d'amour qui se passe à Toulouse.

    Il sera à télécharger gratuitement sur un de mes sites... JE SUIS EN TRAIN DE L’ÉCRIRE..... donc, vous ne pourrez avoir les chapitres qu'au fur et à mesure que j'aurais le temps!... J'ai écris les balbutiements de cette histoire quand j'avais douze ans, en 1962... donc, nous avons le temps!

     

    J'ai terminé les premières pages... j'indiquerai, ici, où le télécharger...

    Pour l'instant, il n'y a pas de titre, vous voudrez bien m'en proposer un. Celui qui aura le plus de vote sera choisi. En principe, dans mes boutiques, il y a un système de vote... depuis deux mois, il ne fonctionne pas... les créateurs du logiciel me disent que c'est la faute à mon hébergeur....

    et , bien sûr, mon hébergeur dit que c'est la faute au créateur du logiciel....

    Ben, comme je n'y connais rien... cela ne risque pas de s'arranger... cela me pénalise...

    Laissez en commentaire le titre que vous souhaitez pour mon livre.

    Je répète, une histoire d'amour entre deux jeunes gens, à Toulouse, en 1962... oui, j'y étais, en ce temps-là à Toulouse, j'avais 12 ans!

     

  • Avec des fruits secs, on fait quoi?

    Compote de pruneaux

    Pour 4: 250 g de pruneaux d'Agen; 1 sachet de thé noir

    50 g de sucre (cela fait 3 cuillères soupe rases);

    Si vous ne voulez pas rajouter des poignets de graisse à votre taille, ne mettez pas de sucre. Les fruits secs sont en général très sucrés puisqu'ils l'on a retiré toute l'eau pour ne garder que la matière sèche.

    1 gousse de vanille; 2 verres d'eau

    Lavez à grande eaux les pruneaux et laissez-les tremper quelques heures dans un thé noir léger. Ouvrez la gousse de vanille, récupérez les graines et coupez la gousse en tronçons.
    Puis, mettre tous les ingrédients dans une casserole à fond épais; couvrir et laissez cuire de 1 quart d'heure à 20 minutes.

    Vous pouvez les servir avec du riz au lait.

    COMMENT FAIRE SÉCHER DES FRUITS,

    Il existe des appareils mais vous pouvez aussi bien le faire au four; à faire la nuit.

    Normalement, les fruits se sèchent au soleil mais, en hiver… le four est là.

    Coupez vos prunes en deux, retirez le noyau; disposez sur une plaque du four et dessécher toute la nuit au four à 150°; il faut le faire au minimum 12 heures. Plus vous les laissez se déshydrater, plus longtemps vous les conserverez, dans une boite en fer, vous les conservez au moins 12 mois s'ils sont bien secs.

    Pour les autres fruits, vous procédez pareil mais il faut couper en lamelles fines les fruits par exemple les pommes ou bananes. Coupés finement, elles mettront moins longtemps à sécher, comptez tout de même 6h au four à 150°.

     

  • Notre histoire

    Et comme j'ai TOUJOURS raison, voir le sondage plus bas: nous voulons que notre région s'appelle:

    OCCITANIE

     

    Les cinq grandes dates qui ont marqué notre histoire commune 

    413

    Arrivant d'Italie, les Wisigoths envahissent Toulouse en 413 et en font la capitale de leur royaume qui couvre tout le sud de la France : la Septimanie. La cité gallo-romaine connaît un véritable essor durant près d'un siècle. Vaincus à la bataille deVouillé (en 507), les Wisigoths fuient vers l'Espagne laissant Toulouse en 508 aux mains de Clovis. La Septimanie est aussitôt divisée en diocèses.

    1209

    Au début du XIIIe siècle,Toulouse est à son apogée mais le catharisme se développe et provoque en 1209, le lancement de la croisade des Albigeois par les armées françaises. Raymond VII de Toulouse abandonne une partie de ses territoires et marie sa fille Jeanne à Alphonse de Poitiers frère du roi.

    En 1271, le couple s'éteint sans enfant : le roi devient comte de Toulouse.

    1346

    Poussé par les dépenses militaires de la Guerre de Cent ans, le roi Philippe VI convoque en 1346 à Toulouse les représentants des sept

    Il fait de même à Montpellier en 1351. Ainsi naissent “les assemblées de langue d'oc” qui deviendront les États du Languedoc après 1380. Ils seront chargées d'établir le montant de l'impôt versé au roi, sa répartition et sa levée.

    1666

    Sur ordre de Colbert, Pierre Paul Riquet, baron de Bonrepos, entreprend le creusement du “Canal royal du Languedoc” entre Toulouse et Sète. Achevée en 1681, la nouvelle voie navigable devient un axe économique majeur entre l'océan Atlantique et la mer Méditerranée. En 1789, sous la Révolution, il est rebaptisé “canal du Midi”. Depuis 1996, il est inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco.

    1955

    Afin de favoriser l'expansion économique de la France, le décret Pflimlin du 30 juin 1955 lance le programme de création des 22 régions actuelles. Jean Vergeot, commissaire au Plan est chargé du découpage. Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées voient le jour. Pour la première fois depuis la Révolution, des régions ne correspondant pas aux anciennes provinces sont créées en France.

     

    Quel nom choisiriez-vous pour la future grande région ?

    Votre vote a été pris en compte.

    Occitanie

    27%

    Pyrénées-Languedoc

    11%

    Pays-d’Oc

    9%

    Midi-Languedoc

    8%

    Pyrénées-Méditerranée

    6%

    Midi-Méditerranée

    5%

    Languedoc

    5%

    Midi-Roussillon

    5%

    Sud de France

    5%

    Occitanie-Pyrénées

    4%

    Midi-d’Oc

    3%

    Septimanie

    2%

    Occitanie-Pays Catalan

    2%

    8059 personnes ont voté

     

    J'ai voté Occitanie, bien sûr, sur le sondage de La Dépêche

     

     

  • Sep: Sativex® arrivera-t-il avant Noël ?

    Faute d’un accord sur son prix, Sativex®, ce dérivé du cannabis autorisé comme traitement de la spasticité dans la sclérose en plaques, n’est toujours pas disponible en pharmacie. Une exception française que les patients vivent mal.

    C’est un long roman mais toujours pas une belle histoire. Depuis l’annonce de l’autorisation de mise sur le marché de Sativex® en janvier 2014, ce nouveau traitement de la spasticité dans la sclérose en plaques (Sep) n’est toujours pas commercialisé en France. Si ce dérivé du cannabis est disponible dans dix-sept pays européens, en France, les laboratoires Almirall et le Comité économique des produits de santé (Ceps) ne se sont toujours pas mis d’accord sur son prix de vente.

    58 000 personnes signent pour l’accès à Sativex® sur Change.org

    Le 30 juin dernier, Christophe Vandeputte, le directeur général d’Almirall France, a demandé un arbitrage politique et convoqué la presse afin de faire avancer cette situation. Les médias s’en sont fait l’écho et, mi-juillet, un patient, Laurent Puisais, achevait d’attirer l’attention sur cette question en entamant une grève de la faim. Dans la foulée, une pétition a été lancée sur Change.org. Elle récolte plus de 58 000 signatures au 31 août.

    Les négociations vont reprendre en septembre

    Le Ceps a proposé aux laboratoires Almirall de se remettre autour de la table courant septembre. "La porte est ouverte, c’est en voie de négociation, se réjouit prudemment Christophe Vandeputte. Nous avons déjà descendu le prix de 20 % [par rapport au prix moyen des autres pays, NDLR]. Je ne dis pas qu’il n’y a pas encore une marge de négociation mais il faut trouver un accord et ne pas tomber de nouveau dans l’exception français", estime-t-il.

    Des freins français mal compris

    La France s’est montrée jusqu’à aujourd’hui particulièrement frileuse vis-à-vis de Sativex®. Pourtant, concernant l’aspect économique, Christophe Vandeputte estime qu’" il n’y a pas d’inquiétudes à avoir. Ce produit s’adresse à une niche de 5 000 patients et l’expérience montre qu’il n’y a pas de mésusage. De plus, il s’agit d’une prescription initiale hospitalière – par le neurologue ou le médecin de médecine physique et de réadaptation – qui n’est renouvelée qu’après une deuxième visite permettant de vérifier si le patient est bien répondeur puisque ce n’est pas le cas de tout le monde. Il n’y a pas de quoi faire sauter les verrous de la Sécurité sociale!"

    Reste donc à convaincre le CEPS. " Le temps de mener cette ultime discussion et de publier le prix au Journal officiel, les patients peuvent encore espérer se procurer Sativex® avant la fin de l’année", calcule Christophe Vandeputte. Et l’avoir au pied du sapin? Adélaïde Robert-Géraudel

    J'ai signé la pétition mais je ne comprends pas qu'il faille payer…. bien évidemment, je ne l'ai pas fait!

    https://www.change.org/p/marisoltouraine-acc%C3%A8s-au-sativex-pour-aider-laurent-puisais-souffrant-de-scl%C3%A9rose