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Gastronomie - Page 16

  • La vraie recette du pain perdu

     

     

    Dans le temps lointain où les boulangers fabriquaient du pain sous forme de miche, on achetait un énorme pain pour plusieurs jours, qu’on enveloppait d’un torchon pour qu’il ne sèche pas. C’était un gros pain à la farine grise qui levait doucement, était pétri longtemps et levait encore longtemps. Façonné, il cuisait dans un four à bois

    Le pain, alors, avait une croûte épaisse et craquante et une mie dense, parfumée. On coupait une tranche dans le gros pain, c'était un tranche épaisse que le père ou la mère devait trancher, en sciant le pain, posé contre son torse et fermement tenu tant il était gros. Nous, les enfants pouvions à peine le soulever. Alors, pour le couper! bon, un couteau est interdit de manipulation aux moins de 10 ans.

    Au goûter, il fallait le tartiner de beurre, de graisse d’oie avec du gros sel. A l’époque, personne ne savait que le cholestérol existait. Quand arrivait le moment où le pain avait bien durci, le reste du gros pain, était pour la soupe, le Tourrin Toulousain, la soupe à l'oignon ou pour faire du pain perdu.

    Chez moi, le pain perdu est un dessert, un goûter; n’importe quelle occasion est bonne pour en faire. Parfois, je pousse le vice jusqu'à acheter un pain de campagne juste pour le laisser rassir pour faire du pain perdu, c’est dire à quel point j’aime ça.

    Premier conseil: n’achetez JAMAIS du pain de mie industriel ou de la baguette qui ne soit fabriquée par votre boulanger, le pain tradition. Vous pouvez utiliser un reste de brioche maison, mais déjà on s’éloigne de l’esprit du pain perdu.

    Le pain perdu doit tremper dans une préparation simplissime à base d’œufs et de lait et il faut lui laisser le temps de se gorger de ramollir, d’absorber: il vous le rendra dans votre assiette.

    C’est un plat qu’un enfant peut faire: Si vous avez une grande famille, utilisez une grande poêle, cela évitera que la cuisine résonne de cris divers et d’insultes pour être le-a premier-e servi-e.

    LA RECETTE

    Pour 6 personnes ayant bon appétit  il faut environ 18 tranches de baguettes de la veille ou 12 tranches de pain de campagne vieux de deux ou trois jours.

    4 œufs de belle taille

    4 verres de lait entier (c’est encore meilleur en ajoutant un peu de crème)

    1 gousse de vanille que l’on gratte ou ½ cuiller à café de vanille en poudre, mais de la vraie par de ces fausses vanilles que l'on trouve à prix bas et qui n'a de goût que de sucre chimique.

    Il vous faut, aussi, un grand saladier (en verre) pour ne pas salir partout quand on bat l'ensemble. Battez les œufs en omelette, puis ajoutez la vanille et le lait, bien fouetter.

    Mettre le pain à tremper plusieurs minutes pour qu’il se gorge de ce mélange.

    Il faut faire chauffer la grande poêle (jamais de téflon pour la santé, merci), comme pour les crêpes, faire fondre doucement un gros morceau de beurre et, quand il commence à mousser (et surtout pas à brunir), posez les tranches de pain imbibées du lait aux œufs et faites dorer, environ trois minutes. Puis, les retourner délicatement et, laisser encore dorer. Retirez ensuite, sur le plat de service en verre ou en céramique, saupoudrez généreusement de sucre et de cannelle.

    Remettre du beurre dans la poêle et continuez jusqu'à épuisement du pain trempé. Vous pouvez passez un morceau de papier absorbant dans la poêle en fer, entre chaque tournée pour ne pas avoir des “brûlers“ sur la tartine.

    S'il n'y a pas d'enfants qui traînent dans la cuisine, rajoutez une lichette d'Armagnac dans l'omelette au lait.

    Parfois, on ajoutait deux cuillères à soupe d'eau de fleurs d'oranger que vous trouverez sur mon site

    www.biotine-sep.com

    il y a aussi de la cannelle en poudre...

    On écrasait des morceaux de sucre avec le fond d'un verre; cela nous faisait des pépites de sucre bien croquantes sous la dent: un vrai bonheur!

     

  • ALERTE!

    Les sachets de thé en plastique libèrent des milliards de particules micro-plastiques dans vos tasses…

    Une nouvelle étude met en lumière la libération de milliards de microparticules de plastique dans le thé, lorsque ce dernier est conditionné et infusé dans des sachets en plastique (en nylon ou PET).

    Une équipe de chercheurs canadiens a découvert que tremper un sachet de thé en plastique à une température d’infusion de 95 °C, libérait une quantité astronomique de particules micro-plastiques: soit de minuscules morceaux de plastique, et ce, dans une seule tasse.

    Cela représente plusieurs ordres de grandeur de plus, que d’autres aliments et boissons. À savoir que ces sachets, à l’aspect souvent soyeux, ont récemment fait leur apparition sur le marché des thés et tisanes, aux côtés des plus traditionnels pochons en papier. "Nous pensons que c’est vraiment beaucoup en comparaison avec d’autres aliments contenant des micro-plastiques (…)", déclare Nathalie Tufenkji de l’Université McGill. (canada)

    "Le sel de table, qui montre une teneur relativement élevée en micro-plastiques, contient en moyenne environ 0.005 microgramme de plastique par gramme de sel. Mais une tasse de thé infusée avec de tels sachets inclut des milliers de fois plus de micro-plastiques, soit jusqu’à 16 microgrammes par tasse", a ajouté Tufenkji.

    Lors de leur expérience, l’équipe de chercheurs de Tufenkji a utilisé quatre sachets de thé (différents, provenant de divers magasins de Montréal – les noms n’ont pas été révélés dans l’étude), les ont ouverts et trempés dans de l’eau à 95 °C pendant environ 5 minutes (soit une utilisation standard).

    Puis, les scientifiques ont analysé l’eau résultante au moyen de microscopes électroniques et via spectroscopie. Ces derniers ont également effectué une expérience de contrôle, avec des sachets de thé non coupés, afin d’être certains que ce n’était pas la coupe qui provoquait la lixiviation des micro-plastiques.

    Voici les résultats de leur expérience: non seulement l’infusion des sachets conduit à la contamination de l’eau par de la matière plastique (selon la nature du sachet analysé), mais le nombre de particules "relarguées" dans les tasses de thé est absolument astronomique. Un seul et unique sachet de thé peut libérer plus de 2 millions de particules de plastique d’une taille comprise entre 1 et 150 micromètres, et près de 15 milliards de particules mesurant moins d’1 micromètre (dont environ 20% de nanoparticules de diamètre inférieur à 100 nanomètres). Au bout du compte, ce sont 13 à 16 microgrammes de plastique qui finissent dans l’eau d’une simple tasse de thé.

    À l’heure actuelle, bien que les micro-plastiques soient de plus en plus présents dans l’eau que nous consommons en tant que boisson, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré qu’il n’existait aucune preuve de risque pour la santé humaine. En effet, bien que d’autres plastiques (Nylon et PET) puissent être des plastiques à usage dit alimentaire, les chercheurs ont identifié un clair effet de la température : manipulé dans les mêmes conditions mais à température ambiante (soit 22 °C), un sachet libère environ 300 fois moins de particules.

    Cependant, l’équipe de recherche a tout de même souhaité tester la toxicité potentielle des particules libérées par les sachets de thé en plastique. De ce fait, Tufenkji et ses collègues ont exposé des puces d’eau à cette eau contaminée par les micro-plastiques. "Les particules n’ont pas tué les puces d’eau, mais ont eu des effets comportementaux importants et ont provoqué des malformations lors de leur développement", a expliqué Tufenkji. Cependant, les chercheurs sont bien conscients qu’il leur faudra mener des études supplémentaires pour comprendre les éventuels effets sur la santé des êtres humains.

    En attendant, les scientifiques ayant mené cette étude recommandent aux buveurs de thé d’éviter les sachets de thé en plastique. "Le thé peut être acheté dans des sachets de thé en papier ou sous forme de thé en vrac, ce qui élimine le besoin d’emballages en plastique à usage unique".

    Source : Environmental Science & Technology

    Vous trouvez du thé en vrac sur mon site:

    www.biotine-sep.com

    Boutique et catégorie “Thés“

     

    Bon, je sais que le thé vert est excellent pour la santé mais, perso, je préfère le café. Mais, comme je sais depuis des années que les machines à café aux tuyaux en plastique relarguent des particules chimiques lorsque l'eau très chaude passe dans les tuyaux, j'ai cessé de faire le café dans une machine.
    Désormais, depuis plus de 8 ans, je fais mon café dans une casserole inox pour chauffer l'eau et mon café passe dans une cafetière en émail; j'ai juste eu l'idée de mettre un sac en papier pour ne pas que le marc de café viennent gâcher mon plaisir…

    Depuis 8 ans donc, je suis habituée et je ne me rends plus compte que le café ainsi préparé est d'une saveur exceptionnelle. Mais la première semaine, j'ai eu l'impression que je découvrais la saveur du café… alors que j'en bois depuis… soixante ans!

    Pour faire un excellent café (pas cher)

    Il faut acheter du café en poudre de “ménage“, c'est-à-dire, le moins cher, celui qui contient moitié Robusta, moitié Arabica. Le Robuste est plus fruité et donc moins amer que l'Arabica. De nombreuses personnes détestent le café, trop amer à leur goût. Il leur faudrait essayer celui que je viens de détruire, il n'a rien a voir avec l'Arabica.

    Il vous faut des filtres en papier BRUN. La pâte à papier étant réalisée avec des chiffons, des écorces d'arbres, pour la blanchir, les industries chimiques utilisent des solvants chimiques dégueu… (comme le papier toilettes qui peut devenir irritant et l'on doit acheter du papier toilettes très cher, réalisé avec un bain chimique moins irritant et plus cher car pour blanchir la pâte, il faut deux bains -c'est pareil avec mouchoirs en papier, disques démaquillant, coton hydrophile, etc.).

    Donc, cafetière en émail (on en trouve en vente sur le net, ce n'est pas cher). L'émail -intérieur-est blanc, généralement. De temps en temps, il faudra faire tremper la cafetière avec de la javel pour la blanchir et bien rincer, bien sûr.

    Chauffer de l'eau en bouteille en quantité adéquate.

    Mettre la poudre dans le sachet: compter une bonne cuillère à soupe de café, plus une ou deux pour la cafetière, cela dépend si vous l'aimez très fort, votre café. Perso, c'est deux.

    L'eau doit être optimalement à 88°, bizarre mais c'est comme cela. Versez trois gouttes pour commencer et attendre que le café développe son arome (ce n'est pas en mouillant le filtre comme disent certains, car le café froid ne développe rien!).

    Au bout d'une minute, versez une certaine quantité et attendez que l'eau passe: oui, c'est plus long!

    Quant vous n'entendez plus le floc de la goutte, reversez de l'eau et attendez que les gouttes cessent avant de remplir.

    Avec une cafetière à l'ancienne en émail, on peut la remettre sur le feu pour réchauffer le café.

    N'oubliez pas l'adage: café bouillu, café foutu!

    Heu, au fait, j'en avais déjà parlé sur le blog avec  photo de ma cafetière. Voir la boîte à outil "recherche"

    Ha oui! encore un info à connaitre: les machines à café des bars et autres ont les tuyaux réalisés en plomb: suivez mon regard!

     

     

  • Bientôt la saison des mitonnages...

    Les conseils pour faire un gratin dauphinois parfait

    La pomme de terre ne doit pas partir en miettes... Prenez de la Monalisa, de la Charlotte qui -elle- forme une liaison très moelleuse lors de la cuisson dans la crème.

    Evitez surtout les pommes de terre dites "à purée". Surtout, ne les lavez pas après les avoir épluchées, elles perdraient l'amidon qui sert à créer la cohésion du gratin. Mais, vous les frottez avec un torchon propre si vraiment elles sont très sales (du jardin?).

    Les pommes de terre devront ensuite être coupées en tranches très, très fines, appelées taillons comme disent les toqués de la toque. Il est très important d’avoir des tranches très fines. On doit -presque- voir à travers!

    Pour le reste, il n’y a en réalité pas des tonnes d’autres ingrédients: le lait, la crème et le sel. Voire le poivre et l’ail. Les recettes d'autrefois étaient sans muscade, ni d’ail, et pas de poivre non plus. Bref, la muscade ou l’ail font donc partie de la diversité des interprétations du gratin.

    Ceci dit, certains mettent une pointe d’ail. L’important, c’est de bien doser pour que le plat soit équilibré.

    Par contre, il est clair qu’on ne met ni fromage, ni œufs dans le vrai gratin dauphinois.  Les puristes du coin disent  que, surtout, n'ajoutez pas d'œufs ni de fromage. Sinon ce n'est plus le gratin dauphinois. Les œufs privent le gratin du moelleux et de l'onctueux qui sont ses caractéristiques, en y laissant des caillots qui en gâtent l'aspect et la finesse. Le fromage enlève la délicate saveur du lait crémeux.

    Avec du fromage, ce serait un gratin savoyard… peut-être excellent, mais ce n’est pas la vraie recette. Mais sûrement pas le saupoudrage de fromage râpé. Comme le disait Robuchon, “demandez à 100 dauphinois leur recette du gratin… Vous aurez 100 recettes différentes". Les variantes de la recette sont tout à fait acceptées, mais avec l'intransigeante constance des deux ingrédients interdits. (voir ci-dessus)

    Pour la cuisson, il y a plusieurs écoles. D’abord, la façon de faire typique du Vercors, qui consiste à faire cuire les pommes de terre avant la cuisson au four, pour un résultat extra-moelleux.

    Les gens du Dauphiné font un mélange de crème à 35% et de lait, moitié-moitié. Ils font bouillir ce mélange, et ajoutent les lamelles de pomme de terre. Laissez cuire sur le feu tout doucement, avec juste un frémissement, pendant 45 min. Ensuite, rajoutez un peu de crème dans le fond d’un plat à gratin, puis les pommes de terre avec la crème et le lait. Remettre alors encore un peu de crème par dessus et je mets au four à 180°C, pendant 30 minutes environ.

    Votre plat va colorer doucement. La crème, en cuisant, va gratiner et dorer bien joliment, et ce, sans un gramme de fromage. C’est ça le miracle du gratin dauphinois: cela reste hyper moelleux.

    En revanche, si l’huile se sépare du reste pour rester à la surface, c’est très mauvais signe. Votre crème devait avoir un petit problème…

    Ou bien, mettez directement les pommes de terre dans le plat à gratin en terre ou en grès ou en verre. Beurrez généreusement le plat. Frottez-le avec une gousse d’ail. Remplissez le plat avec les 1,5 kg de pommes de terre en lamelles, au fur et à mesure salez, poivrez, et ajoutez un peu d’ail. Recouvrez de 600 g de crème et 800 g de lait. Et faites cuire 1h30 à 140/150°C.

    Il faut cuire lentement, doucement, tranquillement, pour que la crème imprègne bien les patates et que le résultat soit fondant et doux au palais.

    Certains sont partisans du gratin cuisiné avec uniquement de la crème. D'autres, avec uniquement du lait sans une goutte de crème... On peut aussi le préparer la veille, et le faire saisir le lendemain. C’est valable pour beaucoup de recettes traditionnelles, cela permet d’avoir beaucoup plus de moelleux.

     

    Ma recette du gratin dauphinois

    Ingrédients (pour 4 personnes)

    1 kg de pommes de terre; 40 cl de crème entière

    40 cl de lait; Une gousse d’ail; Sel, poivre

    Préchauffez le four à 150°C.

    Épluchez les pommes de terre et coupez-les en très fines tranches, avec une mandoline de préférence.

    Beurrez un plat à gratin et frottez-le avec la gousse d’ail.

    Disposez une couche de pommes de terre, salez, poivrez. Puis une autre, salez et poivrez de nouveau. Après la dernière couche de pommes de terre, recouvrez tout ça avec la crème et le lait. Encore un peu de sel et de poivre, et c'est le moment d'enfourner votre gratin, pour environ 1h30 de cuisson.

    Vous pouvez plantez un couteau dans le gratin pour vérifier la texture des pommes de terre. Et le plat doit être parfaitement doré avant de sortir du four.

     

  • Le veganisme détruirait la France

    (s'il n'y avait plus que lui)....

    Laurent Alexandre, chirurgien-urologue, essayiste et entrepreneur, nous livre non sans humour, un excellent article sur le véganisme  généralisé, qui détruirait tout simplement la France. La mode végane, c’est très bien, mais jusqu’où?

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    https://www.lexpress.fr

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    Car le véganisme exclut la viande, le poisson, les crustacés et coquillages, les produits laitiers, les œufs, le miel et tout ce qui provient du monde animal, donc la laine, le cuir, la soie, ainsi que  les médicaments issus d’animaux ou testés sur eux.

    Donc, faut s'habiller de plastique: sauf que Macrouille a dit qu'il faut supprimer le texte plastique car il pollue trop: trop d'eau pour le fabriquer, impossible à se détruire (c'est même chose que sac en plastique).

    Ce qui m'arrange fort bien car je suis allergiques au polyamide et autres trucs plastiques, je ne peu m'habiller qu'en coton et viscose et du coup, mes vêtements sont moches… je vais pouvoir ENFIN trouver des vêtements à mon goût…

    car, si le plastoc est interdit, que vont fabriquer les industriels: du coton bio, pardine! ou bambou, soie… il me semble même qu'ont été inventé des fibres faites d'eucalyptus…. je plains les pandas!

    En passant, pour fabriquer des vêtements en fibres d'arbres, il faut des produits chimiques pour décanter le tout… alors, on tombe de Charybde  en Scylla….

    Au menu restent les fruits, les légumes, les céréales et les champignons.

    Et les fruits secs: noix de cajou, de macadamia, etc… bon, cela, c'est parfait, il faut en manger une trentaine par jour car les fruits secs contiennent de la vitamine E, dite vitamine de longévité.

    Résumons les conséquences sociales, économiques, culturelles et médicales qui sont particulièrement désastreuses. Disparition de la pêche, de la pisciculture, de l’ostréiculture, des crustacés et du caviar. Ce qui impliquerait que la "gauche caviar change de nom", plaisante l’auteur.

    Liquidation de tous nos élevages, bovins, ovins, porcins et  volailles.

    En Inde, ils tuent pas les vaches, résultats? à vous d'imaginer….

    Destruction de la production laitière et donc disparition de nos 500 fromages… et les yaourt et autres…

    Nous aurions une Normandie sans vaches et des montagnes sans moutons.

    Lourd handicap pour la mode française, privée de laine, de cuir et de soie.

    Destruction de notre gastronomie. Finis la choucroute, le cassoulet (MERDE ALORS!), le pot-au feu, la poule au pot, le coq au vin, le foie gras, les escargots, les crêpes et toutes les pâtisseries.

    Disparition des médicaments puisque 100% d’entre eux sont testés sur des animaux. Les essais sur des humains causeraient donc un bon nombre de morts. Et on trouvera des volontaires? ça va pas la tête?

    Disparition des spectacles d’animaux, des cirques, des zoos et des animaux de compagnie.

    Il faut donc espérer que cette mode du véganisme se limitera au noyau de quelques bobos militants, car sa généralisation conduirait inévitablement à la mort des terroirs, des ports de pêche et de pans entiers de notre industrie agroalimentaire.

    C’est l’âme de la France qui disparaîtrait, dit l’auteur. Remarquez, on serait pas les seuls, y'en a d'autres qui mangent de la viande dans le monde!

    Le véganisme est un danger économique et social qui doit être combattu. Non seulement sa généralisation détruirait de nombreux secteurs économiques, mais on assisterait au retour des grandes famines dans le monde.

    Nuisible pour la santé, destructeur de richesses, le véganisme n’est supportable qu’à dose homéopathique pour l’économie. À forte dose, c’est un fléau dévastateur.

    Mais le pire, dans cette religion du végan, est l’incohérence totale de ses adeptes, qui prétendent défendre et respecter la vie animale, alors que l’agriculture intensive détruit la vie de milliards de petits animaux, d’insectes, d’oiseaux, de hérissons ou de rongeurs.

    En quoi la vie d’un hérisson pèserait-elle moins que celle d’un mouton qu’on égorge en abattoir? La posture morale des végans est une imposture.

    Si on ne détruit pas les animaux de la ferme, les animaux sauvages, qu'est-ce qu'il nous reste comme place à nous, humains, quand il y aura des centaines de milliard de moutons, poules et coqs, partout dans la campagne... et je parle pas des loups et des sangliers!

    "Dans un champ naturel, il y a 2,5 tonnes de vers de terre à l’hectare. 50 kg  ou 500 000 vers de terre.

    "Un seul hectare traité par les insecticides et engrais tue des millions d’insectes, ce qui détruit tout un écosystème équilibré, entraînant  la mort  d’oiseaux et de rongeurs.

    "C’est une hécatombe aux conséquences dévastatrices. 1/3 des oiseaux ont disparu de nos campagnes, ainsi que 75% des insectes.

    "Les champs d’agriculture intensive qui nourrissent les ayatollahs du végan sont des cimetières. C’est là l’expression de toute la mauvaise foi du discours végan".

    Le végan n’est viable ni économiquement, ni moralement. C’est un passeport pour un désastre absolu.

    https://www.youtube.com/watch?v=6X4UEawXu-Q

    Jacques Guillemain

    Ex-officier de l’armée de l’air. Pilote de ligne retraité. Un “lépreux” parmi ces millions de patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel.

    De toutes façons, sans les abeilles, on est cuit!

     

     

  • Epouvantable et monstrueux!

    Une amie médecin m'a envoyé ces deux vidéos... mais, quelle horreur!

     


     

     

  • Chichoulet à l'espagnole

    Photo: fèves sèches

    Je vous rappelle que le terme “chichoulet“, c'est moi qui l'ai inventé! because, contrairement aux toqués de la toque française, je ne veux pas jurer que le cassoulet était fait avec des fèves sèches avant que le haricot ne vienne ici (vers 1650); et pourquoi, on ne le faisait pas avec des pois chiches, hein?

    Faut qu'ils soient bien orgueilleux les chefs français pour  avancer qu'avant le haricot, le cassoulet était fait avec des fèves (et fraîches encore, berkkk, il était vert? mais non, coco, on peut le faire avec des fèves sèches qui deviennent brun foncé en séchant!);

    Donc, n'allez jamais manger un cassoulet fait par un chef -qui se la joue- en vous le cuisant avec des fèves fraîches: risible! Boycottez l'abruti!

     

    Heu… c'est encore tôt pour la saison mais c'est pour les grands apétits. D'ailleurs, vous pouvez le consommer un peu tiède (pas trop, sinon la graisse fige).

    Pour les quantités des poids chiches, aucune importance car il y a plus de viande que de chichoulet…. mais, bon, suivez les quantités mises sur le parquet.

    Faites tremper les pois chiches toute la nuit, DANS DE L'EAU EN BOUTEILLE, si vous voulez éviter les molécules pharmaceutiques de l'eau du robinet et autres chimiques, quoi qu'ils en disent.

    Par personne: 1 cuisse de canard confite (de préférence, pas en boîte), 80g de saucisse de Toulouse, 50g de chorizo piquant ou non, 1 carotte, 1 grosse tomate bien mûre, 20 g de couenne, 1 tranche de cansalade plate

    Pour l'ensemble du plat

    1,5 l de bouillon maison, ½ poivron rouge ou vert par personne, 2 ou 3 morceaux de sucre

    1 ou 2 oignons jaune, 1 petite boîte de concentré de tomate, ½ à plus cuillère à café de piment d'Espelette en poudre ou en larmes sèches

    2 brindilles de thym sec, une branchette de romarin sec, 1 feuille de laurier sec que vous trouvez ici:

    www.biotine-sep.com

    ce sont des plantes bio, sans irradiation (donc, il faut surveiller que des petites bêtes ne rentrent pas dans le sac au bout de quelques semaines, genre mites alimentaires.

    Les aromates, en général sont irradiées, justement pour tuer les petits bestiaux… (c'est la loi française qui l'oblige, au même titre que les crevettes qui, dès qu'on les sort de la mer, sont en voie de pourrissement rapide). En dehors de ceci, vérifiez que vos aliments ne soient pas irradiés… pour la santé parfaite de votre corps! (hein? vous ne le saviez-pas?)

    Si je vous dis de prendre des aromates secs, c'est que ces plantes sont plus aromatiques une fois séchées. Si vous avez du frais, mettez le double de plantes:

     

    Dans un sautoir (sauteuse à fond plat), dégraissez le confit dans le sautoir très chaud, à feu vif et faites-le rissoler dix mn en le tournant et retournant bien (mais oui, vous pouvez utiliser une fourchette à barbecue, pas de problème si en le piquant, vous faites sortir de la graisse, c'est même mieux).

    Dans le gras, sur feu vif aussi, faites revenir les tranches de cansalade et le chorizo coupé en rondelles, ajoutez la saucisse de Toulouse coupée en petits bouts, rajoutez les oignons coupés en petits cubes et les poivrons coupés en gros dés. Retirez le maximum de gras en penchant le sautoir, avec une cuillère inox.

    Une fois assez dégraissé, rajoutez les tomates coupées en gros cubes, les morceaux de sucre, les aromates et laissez cuire encore 10 mn; conservez à part.

    Dans la cocotte minute, faites d'abord blanchir les couennes, coupées en morceaux dix minutes dans de l'eau du robinet. Jetez l'eau pharmaceutique et faites cuire 1 h vos pois chiches dans du bouillon maison. (voir en fin de recette).

    Mélangez avant de fermer la soupape, la boîte de concentré de tomate dans le bouillon. (Comment faire, facile: ouvrir la boîte ronde, versez-là dans un bol avec une louche du bouillon et remuez le tout avant de verser dans la cocotte minute). Rajoutez le piment d'Espelette.

    Au bout de ce laps de temps de cuisson, rajoutez tous les autres ingrédients, sans retirer les aromates, mélangez bien et posez votre confit sur le dessus; refermez la cocotte et remontez en vapeur; dès que la soupape tourne, éteignez le feu; laissez la soupape cela permet au contenu de cuire encore un peu (genre marmite norvégienne): plus c'est cuit, meilleur c'est. Et puis, tout reste au chaud jusqu'au moment du repas (retirez les aromates avant de servir, bien sûr!).

    En été, vous pouvez préparer et éteindre le feu sous  le chichoulet  une bonne heure à l'avance pour qu'il ne soit pas trop chaud.

    C'est meilleur le lendemain, donc, ceux et celles qui travaillent doivent le préparer la veille et le réchauffer le lendemain. Pour réchauffer, vous pouvez récupérer -pour la jeter- la graisse figée qui s'est formée sur le dessus du plat; il sera moins gras.

    Je vous conseille de mettre beaucoup de bouillon; sinon, faites cuire les pois chiches dans beaucoup d'eau en bouteille: vous pourrez conserver du bouillon dans un pot en verre à visser et le congeler pour une autre utilisation.

    Si vous êtes trop pressé-e, utilisez des pois chiches en verrine de verre. Vous démarrerez la recette plus vite, sans avoir à faire tremper les pois chiches. Pour avoir un bon bouillon, prévoir de cuire l'ensemble au moins 20 mn en cocotte mais, NE RAJOUTEZ LE CONFIT QUE 10 MN AVANT LA FIN (sinon, bouillie de viande). Pour du confit en boîte, attention, il est archi cuit, donc, ne le laissez pas longtemps dans le bouillon.

    Date limite de consommation: avant les autres!

     

  • Produits trafiqués

    Un produit qu’il ne faut jamais acheter tout prêt.

    A ne jamais acheter au supermarché car trop souvent source d'épaississants, d'émulsifiants, d'arômes, et autres agents cosmétiques et économiques (ACE).

    Les crèmes allégées

    On pourrait penser que la crème fraîche est un produit simple, que l'on peut acheter les yeux fermés. Erreur! Même dans la crème, on trouve des additifs.

    La seule crème fraîche que l'on peut acheter sans se poser de questions est la crème entière épaisse. En revanche, c'est du côté des crèmes allégées (ou légères) que l'on retrouve le plus d'ACE, destinés à stabiliser, homogénéiser et donner de la texture.

    Pour les crèmes liquides ouvrez l'œil et lisez les étiquettes. il y a très peu de crèmes fraîches liquides qui contiennent des additifs.

    D'ailleurs, vous verrez qu'au réfrigérateur, plus la date se rapproche de la fin de consommation, plus votre crème liquide semble…. épaisse!

    Pour la crème fouettée, il n’existe aucune marque correcte au supermarché: elles renferment trop de sucre et d’ACE,  mais des recettes simples de chantilly maison existent.

     

    Les crèmes végétales pour les tordu-es de l'allégé végétalisme

    Avec le développement du végétalisme, de nouveaux produits ont fait leur apparition: les crèmes végétales.

    Présentées comme saines (végétal oblige), elles entrent pourtant presque toutes dans la catégorie des aliments ultra-transformés avec leur longue liste d’ACE (additifs, matière grasse et sucre ajoutés, épaississants, émulsifiants, arômes). À éviter donc.

    Dirigez-vous vers des alternatives réellement saines: les crèmes à base de coco (non allégées), les yaourts Sojade (magasin bio), les purées d’oléagineux (mélangées avec du lait de soja et de l’huile), le tofu soyeux ou encore la crème épaisse de soja lacto-fermentée de la marque Sojami.

    Se nourrir de ces dernières conn.. c'est se préparer à des lendemains qui déchantent. Les produits cultivés par nos ancêtres font que, 50 000 après, les humains sont toujours là.

    Ne tombez pas dans les délires d'abruti-es écervelé-es!