Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Gastronomie - Page 15

  • Filet de biche aux girolles

    Pour 4 personnes :

    500 g de filet de biche, 100 g de girolles fraîches ou en bocal

    1/2 verre de vin blanc sec, 1 cuillère à soupe de moutarde,

    1 jus de citron, 1/2 verre d'eau (50 ml),

    sel et poivre.

    Dans une cocotte mettre 1 goutte d'huile avec une noisette de beurre, puis faites dorer le filet de biche sur toutes ses faces. Salez et poivrez. Retirez du feu et maintenir au chaud.

    Lavez et préparez les girolles. Dans une poêle sans graisse à feu vif, faites-les dégorger de leur eau. Puis, ajoutez un peu de graisse et faire bien brunir.

    Si vos girolles proviennent d'un bocal en verre, videz et passez à travers une passoire et rincez sous l'eau courante; bien essorer avant de mettre sur le feu. Puis, ajoutez un peu de graisse et faire bien brunir.

    Remettre le filet de biche dans un sautoir et mouillez avec le vin blanc et l'eau.

    Baissez le feu et laissez mijoter 10 min environ. Retirez le filet et maintenez-le au chaud.

    Dans un bol, délayez la moutarde avec un peu de jus de cuisson.

    Déglacez le fond de la cocotte avec cette sauce. Coupez le filet de biche en tranches, mettez-les dans le plat de service.

    Ajoutez les girolles, arrosez du jus de cuisson et servez aussitôt.

     

  • Choisissez toujours Français

    Le Cifog lance sa marque collective Origine France

    Dans sa stratégie de reconquête après la crise de la grippe aviaire de 2015-2016, le Comité interprofessionnel du foie gras (Cifog) a dévoilé mardi 15 octobre à la presse son logo Origine France, qui sera commun à tous les acteurs de la filière, afin d’en faire un critère de reconnaissance.

    Les produits seront ainsi certifiés "foie gras de France", “magret de France“ ou “confit de France“, des sigles complémentaires avec l'IGP et le label Rouge. “Cette marque prouvera que les animaux sont nés, élevés, abattus, transformés, conditionnés et étiquetés en France“, précise Michel Fruchet, président du Cifog.

     

  • Coq au vin

    En fait, cela m'étonnerait que vous trouviez un coq chez votre volailler.

    Sous cette appellation, on vend des grosses poules pondeuses qui ne pondent plus autant. On les réforme.

    Un âge minimal de réforme est imposé dans l'Union Européenne: 35 jours pour un élevage en cage, 56 jours pour un élevage au sol, 81 jours pour un élevage en plein air, biologique ou non, par souci de rentabilité, alors que l'espérance de vie moyenne d'une poule est de 8 ans. Pour le coq, c'est à peu près pareil mais, bien sûr, il n'y en a pas dans l'élevage industriel.

    Les poules font des œufs sans coq…  mais, leurs œufs ne peuvent être couvés. Donc, pas de poussins.

    Ne soyez pas hystérique en rejoignant ces associations de vert(do) qui rachètent les poules d'élevage pour les donner, pour les mettre en retraite, chez les particuliers. Si les Français demandaient très souvent ces poules pour les recettes ci-après, le boucher aurait vite fait de récupérer les pondeuses réformées des fermes bio.

    D'ailleurs, je m'étonne que les agriculteurs n'aient  jamais pensé à vendre leurs poules de réformes à l'industrie agro-alimentaires qui font des conserves (pleines de conservateurs) de “coq“ au vin….

    Le coq au vin est un mets emblématique de la cuisine française, (le coq est notre emblème national et il est comme notre tempérament de Français: d'ailleurs, c'est le chef de la tribu des Arvernes en Auvergne, Vercingétorix, qui fait envoyer pour le narguer, un coq gaulois, en symbole de la combativité, agressivité, hargne, vaillance et orgueil des guerriers gaulois, à son assiégeant, l'empereur romain Jules César, lors du siège de Gergovie1 en 52 av. J.-C., durant la Guerre des Gaules.

     

    Jules César le nargue à son tour en l'invitant à un dîner, dernier repas de la journée des Romains, où il lui fait servir son coq mijoté au vin. L'histoire dit que Vercingétorix et ses 30 000 guerriers arvernes infligent une défaite militaire historique écrasante, cuisante, et humiliante, à Jules César et aux 30 000 hommes de ses légions romaines, avant le siège d'Alésia de l'été suivant).

    Apparemment, les Gaulois ont trouvé le coq ainsi préparé bien bon. La recette est faite à base de découpes de coq marinées, puis braisées dans un vin rouge ou blanc, agrémentée d'un bouquet garni, de lardons, de champignons, de carottes et d'oignons. On peut préparer ainsi beaucoup d'autres viandes: bœuf bourguignon ou daube par ex. soit avec du vin rouge ou blanc; des vins de par chez soi, bien sûr.

     

    RECETTE TRADITIONNELLE

    Pour 6 personnes

    1 coq (ou à défaut un poulet, ou une poularde) de 3,5 kg, coupé en morceaux

    1/2 bouteille vin rouge corsé type, Cahors par exemple, ou Buzet

    150 g de cansalade (lardons pour les nordistes) en cubes

    250 g de champignons de Paris; quelques petits oignons blancs

    3 gousses d'ail haché fin et 5 carottes pelées, coupées en quartiers ou en rondelles

    Graisse de canard pour les Occitans, huile que vous voudrez, les autres!

    2 brins de thym; 1 feuille de laurier, sel de mer; poivre noir du moulin

    Persil haché frais.  

    2 kg de pommes de terre Bintge ou BF15 (les anciennes patates, y'a que ça de vrai!);

    Etant donné que c'est une vieille poule ou un coq, ils ont la peau dure; donc, prévoyez une longue cuisson et il faut faire une marinade.

    Un jour en avance, nettoyer et couper le poulet en morceaux. Versez 1/2 bouteille de votre vin rouge bien tanin, sur la volaille.

    Ajouter les petits oignons blancs, les carottes pelées et coupées en quartiers et les herbes aromatiques. Couvrir et mettre au réfrigérateur 1 jour avant de cuisiner.

    Le jour suivant, retirez et faire égoutter le bestiau et ses légumes. Gardez le vin pour la sauce, plus tard.

    Faites brunir le poulet dans la graisse dans votre sautoir. Ajoutez de l'ail aux légumes et faites cuire pendant quelques minutes.

    Mettre la volaille et les légumes dans une cocotte en fonte. Versez le vin de la marinade. Salez. Poivrez. Amenez à ébullition à feu moyen.

    Couvrir et diminuer le feu au minimum. Il faut laisser cuire 3 heures 30. La cuisson paraît longue, mais plus la cuisson est lente, meilleure est la viande. Vous diminuez de moitié en cocotte minute en inox. N'oubliez jamais que la cuisson démarre quand la soupape tourne à peine… inutile de la faire tourner comme une folle… quand vous éteignez le gaz et SANS RETIRER LA SOUPAPE, le plat cuit encore une vingtaine de minute (genre marmite norvégienne). Le tout reste au chaud très longtemps; environ deux heures).

    Préparez à part les pommes de terre vapeur. Il ne faut pas les mettre dans le vin car ce dernier empêchera de les cuire.

    Faites brunir les lardons de cansalade, les oignons blancs et les champignons pendant 10 minutes environ. Quand la volaille est prêt, ajoutez cansalade, oignon et champignons dans la cocotte et remuez pendant 2 à 3 minutes. Goûtez, ajoutez un peu de sel et de poivre si nécessaire. Saupoudrez de persil au moment du service

     

    RECETTE PLUS RAPIDE

    8 morceaux de poulet au choix; 30 g de graisse de canard

    150 g de petits lardons de cansalade (bon sang: n'achetez pas des lardons sous plastique, touts prêts: c'est une indignation au goût); faites l'effort de découper de la cansalade plate et surtout, bannissez les lardons fumés! Je ne le répèterai jamais assez).

    1  gros oignon jaune: 3 carottes

    2 gousses d’ail; 2 cuillères à soupe rases de farine, 1 verre de bouillon

    1 verre à liqueur d'Armagnac; 1 cuillère à soupe de concentré de tomate

    3/4 de litre de vin rouge de chez nous

    250g champignons de Paris; bouquet garni et sel, poivre

    Faites rissoler dans une cocotte en fonte (si possible) les morceaux de poulet et les petits lardons dans la matière grasse avec les oignons

    Rajoutez les carottes en rondelles et l'ail coupés en morceaux. Saupoudrez de la farine quand c'est bien brun. Mélangez soigneusement

    Arrosez de l'Armagnac et faites flamber. Mouillez ensuite avec le vin rouge, le verre d’eau (dans lequel vous pouvez glisser un petit cube de bouillon de volaille) et la cuillerée de concentré de tomate.

    Sel, poivre, bouquet garni. Laissez mijoter à demi-couvert trois-quarts d’heure, feu moyen.

    Dix minutes avant la fin de la cuisson, ajoutez les champignons coupés en lamelles ou cubes au choix. Il est possible, si nécessaire, de faire réduire la sauce en la laissant sur feu vif.

    Saupoudrez de persil au moment du service

  • Poulet au Crémant de Limoux

    Une bonne recette de l'Aude. Apprise grâce à mon audoise de mère

    Empathie émotionnelle atavique pour tous les habitants du midi, impactés par les inondations récentes...

     

    Pour 5 à 6 personnes

    1 gros poulet fermier découpé en morceaux; 350 gr de champignons émincés

    200 gr de cansalade plate salée, coupée en petits dés (ben, oui, quoi, les nordistes appellent cela des lardons)

    1 bouteille de Créman de Limoux; 1 grand verre d'eau

    2 cuillères à café de farine, 2 cuillères à soupe de graisse d'oie ou de canard

    150 gr d'oignon jaune coupés en cubes; sel, poivre

    2 cuillères à café d'Armagnac; 2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse

    1 cuillère à café de moutarde maison (vous trouvez la recette en cherchant dans la boîte à outils “recherche“

    Faites revenir le poulet dans la graisse de canard. Salez et poivrez. Quand les morceaux de poulet sont bien dorés, les retirer et les réserver au chaud.

    Faire brunir les champignons et la cansalade en lardons dans le jus de cuisson, faire frire puis ajouter les oignons. Rajoutez le poulet, saupoudrez de farine en pluie.

    Remuez soigneusement 1 mn à feu vif. Mouillez avec l'eau et le Crémant de Limoux. Grattez le fond du récipient pour bien décoller les sucs et la farine qui pourraient être attachés. Laissez cuire à couvert durant environ 1 heure à feu moyen et vérifier de temps en temps la cuisson et remuer.

    Quand le poulet est cuit, disposez les morceaux sur le plat de service chaud. Faites réduire la sauce à feu vif puis ajouter la crème fraîche, l'Armagnac et la moutarde. Goûtez...

    Bien remuer. Servir dans une saucière.

    Ce plat s'accompagne d'un riz blanc ou d'une purée de brocolis ou de haricots verts ou de pomme de terre.

    A ce haut niveau de cuisine familiale, cela devient de la gastronomie!

     

     

  • Pigeonneau du Lauragais confit

    Bien sûr, c'est un petit pigeon.... mais non, pas ceux des jardins, ceux qui sont spécialement élevés pour la gastronomie!

     

    Pour 4 personnes

    4 pigeonneaux de 350g chacun environ

    Faites une farce rustique: 1 œuf, persil; ail

    De la mie de pain trempée dans du lait

    Le foie et le cœur écrasés; sel; poivre

    De la graisse de canard (300g)

    Désossez les pigeons par le dos pour pouvoir retirer la carcasse, gardez l'os des cuisses et des ailes.

    Garnissez de la farce l'intérieur des pigeons, bien les refermer en cousant et les ficeler afin de leur donner une forme correcte.

    Faites cuire durant environ une heure dans la graisse de canard frémissante. Bien les égoutter.

    Accompagner de pommes de terre sautées (avec un peu de la graisse de canard) avec des champignons et une bonne persillade (recette dite des "cèpes à la Toulousaine".

     

     

  • Honte aux cuisiniers toulousains qui servent des faux-cassoulet!

    Ci-dessus, les cocos blancs

    Hier soir, soirée anniversaire, nous allons au restaurant comme d'habitude. J'ai cherché très longtemps sur le net un restaurant spécialités locales, fait maison. J'ai trouvé sur un site la “perle rare“ et j'ai regardé le menu… fort alléchant. Que des produits du terroir occitan, enfin plutôt, midi-pyrénéen: confit, cassoulet, vins du coin (Buzet etc.).

    Je ne vous parlerai pas du décor, très moche de mon point de vue mais, je ne suis pas décoratrice, je ne m'intéresse qu'à ce qu'il y a dans l'assiette. L'accès est difficile car la rue des Jacobins est située en plein centre de Toulouse. J'y vais en transport spécialisé -qui a eu des difficultés pour s'insérer dans cette petite rue- mais les conducteurs “normaux“ doivent avoir du souci pour se garer. Ce samedi soir était une magnifique soirée automnale, chaude, dont Toulouse a le secret et les rues étaient noires de passants, déambulant nonchalamment, comme le font si bien les Toulousains. C'est un spectacle à lui tout seul, ce marivaudage, joyeux et bon enfant, des nuits toulousaines.

    La rue des Jacobins est, sans nul doute, proche du plus beau cloître de France (j'assume!) que les touristes visitent, ébahis par tant de majesté, de sérénité (vi, les Jacobins étaient des moines) et de grâce dans la taille des pierres. A noter impérativement sur votre agenda de visite toulousaine!

    Nous avons été bien accueillies par un serveur d'une amabilité et d'une gentillesse incroyable qui s'est mit, tout de suite, à notre service, bienveillant et attentif. 3 serveurs dans la salle, tout de noir vêtus et une femme à la caisse, n'hésitant pas à prêter la main au service si nécessaire. La patronne s'en aucun doute.

    Je prends le menu qui, très pompeusement, s'appelle “un sacré coup de fourchette“ car j'y décèle ce qui fait toujours mon bonheur dans les restos de Toulouse: foie gras mi cuit et cassoulet maison. 25 euros sans le dessert, tout de même! Ma fille, reine de la soirée, se décide pour un menu “Marciac“ (le chef doit aimer le Jazz) a 17,00 € qui contient la salade de chèvre chaud, de l'onglet servi avec des pommes de terre en tranches, et un dessert (nous prenons toujours une glace au café) mais, ce sera seulement 2 boules de glace café (glace un peu minable) et de la chantilly en bombe (vous avez dit: fait maison?).

    L'assiette de foie gras est arrivée trois tranchettes translucide comme les os d'une grand-mère ménopausée, sur trois pains toastés qui avaient du être coupés pour le menu de midi, du pain de campagne au levain, froid et dur comme du bois. Servi sur une assiette d'ardoise avec, dans un coin quelques feuilles de laitue et deux ou trois tranchettes de tomate.

    Ha oui, j'ai oublié de mentionner, dans un autre coin, une dizaine de morceaux de noix. Bon point, ce foie gras famélique n'est pas servi avec de la confiture d'oignons ou de figues… non mais, quelle horreur. J'ai déjà raconté, ce me semble, comme les restaurateurs se sont mis à servir le foie gras avec des trucs sucrés: mea culpa, c'est de ma faute pour avoir écrit un article sur le Journal des Chasseurs (en 1984, je crois) que les oies romaines, avant de partir dans les pays chauds se gavaient de figues dont les arbres étaient nombreux autour de Rome.

    Un premier toqué de la toque s'est emparé de mon texte pour proposer un foie gras “truffée de figues“, l'horreur gastronomique absolue! J'avais écris ce texte car dans ces années-là, une association voulait faire disparaître le gavage des canards ou des oies dans la communauté européenne. Heureusement pour nous, elle n'y est jamais arrivée: tant pis pour ces sectaires écolos et tant mieux pour notre patrimoine gascon.

    Ensuite arrive le cassoulet et là, j'ai compris “le sacré coup de fourchette“ provient du fait qu'il y a 3 louches de haricots (lingots, bien sûr) dans un plat en terre et, posé par-dessus, une cuisse de canard confite (une vraie pourtant: un jour, j'ai vu dans un cassoulet, des manchons; suis morte de rire en y repensant!). Ouf, il n'y avait pas de chapelure. IL N'Y A JAMAIS DE CHAPELURE DANS UN CASSOULET VRAI!

    Zut, il n'y avait pas de couennes, de porc, de cansalade… il manquait la tomate concentrée qui donne une petite couleur au Cassoulet Toulousain (j'ai raconté l'histoire de ce rajout dans le bouillon) et re-zut, malgré ce qu'avait dit le serveur, il n'y avait pas de carottes (dont la couleur met de la gaîté dans les haricots “lingots“ (re-sic).

    Un second serveur nous a proposé les desserts et a demandé “ça allait?“. Unanimement, nous avons dit “non“. Cris du cœur. Ma fille montre que son onglet (d'un poids environ de 120 g a vu son poids amputé d'au moins 40 gr qui sont restés dans l'assiette: des nerfs, des nerfs, des nerfs!

    De mon côté, je dis: où sont les carottes? il soulève une cuillère de haricots et me dit: ça, c'est pas de la carotte? et j'aperçois une minuscule miette rouge: carottes en brunoise! Je n'ai même pas parlé des haricots qui n'étaient pas cuisinés mais servis avec la saumure dans laquelle ils avaient été mis en boîte…. dégoûtée.

    Non mais, vous imaginez? une brunoise de carotte… les ancêtres paysans du Lauragais ou de la Gascogne ont eu, un jour, cette idée folle de passer du temps pour couper finement les carottes! La cuisine ménagère n'a rien à voir avec les délicatesses des cuisiniers d'aujourd'hui, croyez-moi! Aussi fous que Charlemagne qui inventa l'école!!!

    J'ai pris en sus, 4,00 € une coupe de glace au café. J'ai bu du Buzet, bouteille de 37,5 cl, qui m'a laissé une impression bizarre (j'ai souvent bu du Baron d'Ardeuil et toujours apprécié ce vin (le bon vin qui tâche, comme on disait autrefois)… sur la bouteille une étiquette: cuvée 2008, à consommer jusqu'en 2022… n'importe quoi, l'étiquetage!

    Total pour deux personnes (avec une San Pellegrino de 50 cl) 58,00 €. Pas cher du tout. Mais, chez moi, quand je fais du cassoulet, mes amis ou autres disent toujours: “pour trouver des haricots, il faut regarder sur toutes les viandes que tu y met!".

    Là, l'inverse: trop de haricots non cuisinés et un morceau de Saucisse de Toulouse, très grillée sur un côté et une cuisse confite (dans son jus, c'est-à-dire, la graisse retirée et cuite, au micro-ondes? mais rajoutée au dernier moment; la saucisse semblait avoir été posée aussi sur le plat en terre et rajoutée au dernier moment afin de réchauffer tout au micro-ondes.

    Chez moi, toujours, les viandes cuites à part et rajoutées dans la marmite pleine de bouillon et de haricots, et cuites durant 35 mn, minimum. Là oui, le cassoulet prend tout son sens!

    Comme m'a dit le second serveur, peu aimable: “la prochaine fois, ne prenez pas du cassoulet si celui-là vous déplait“….

    Ouais, t'a raison, mon coco!