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OCCITANIE - Page 228

  • Les blasons de Toulouse

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    La plus ancienne représentation des armes de Toulouse est celle figurant dans le sceau attaché à une lettre des Capitouls au Roi Pierre II d'Aragon, en 1211, pendant la Croisade des Albigeois.

    Au verso du blason, on trouve l'agneau nimbé, portant la Croix de Toulouse en bannière. L'agneau symbolise la force, il serait le signe premier de la ville et remonterait à l'époque romaine

    Selon Nicolas Berey (1663), la symbolique de l'animal s'expliquerait par le culte rendu à Jupiter, révéré sous la figure d'un bélier. Ce bélier païen aurait été par la suite représenté foulé par la Croix des Comtes de Toulouse. Le bélier finira christianisé, en agneau pascal, tête nimbée, portant la Croix en bannière, ou passant devant elle et l'adorant.

    Au recto du sceau, on trouve le Château Narbonnais (à gauche) et la Basilique Saint Sernin (à droite). Les deux monuments n'étaient à l'origine que deux châteaux ou tours anonymes, symbole de force encore, image probable des très célèbres murs d'enceinte romains chantés du poète Ausone, ou, plus spécialement du château Narbonnais.

    A une certaine époque, l'on aurait voulu les identifier à des monuments toulousains : l'un, le tout premier, celui de droite, restera le fameux château Narbonnais, l'autre, celui de gauche sera, un moment, le château du Bazacle couvrant les Moulins (les deux forteresses de Toulouse), puis christianisé à son tour, deviendra la Basilique Saint Sernin, avec les trois tours qu'elle aurait dû avoir.

    La croix du Languedoc

    La croix du Languedoc, également nommée croix occitane ou encore croix de toulouse, semble avoir des origines très anciennes. Cette croix aux douze points semble avoir été l'un des symboles d'un peuple gaulois implanté au IIIe siècle avant Jésus Christ (av. JC).

    La croix du Languedoc s'impose dans le domaine toulousain au début du XIIIe siècle. Elle apparaît sur le sceau de Raymond VI en 1211 et figurera, dès lors, les armes de la ville de Toulouse puis celle du Languedoc, du XIVe au XVIIIe siècle.

    La croix du Languedoc a fait l'objet de nombreuses hypothèses quant à sa signification symbolique. Il faut d'emblée préciser qu'elle n'a rien à voir avec l'iconographie chrétienne. Le symbole de la croix semble être solaire ; les quatre branches représentent les quatre saisons, et chaque point figure un mois de l'année, mais également un des douze signes zodiacal. Ces derniers ont peu à peu disparu afin de connoter la croix d'un symbolisme chrétien.

    Tombée en désuétude de par son particularisme régional marqué, la croix du Languedoc a été réhabilitée par Dominique Baudis qui en a fait l'emblème de la région Midi-Pyrénées et de la mairie de Toulouse.

    L'artiste Raymond Moretti a réalisé au centre de la place du Capitole une immense croix du Languedoc, sur laquelle il n'a pas manqué d'apposer les signes du zodiaque.

     

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  • Les marchés sont dans le vent d'autan

    Avec 46 marchés de plein-vent, Toulouse privilégie ce mode de consommation. Trois nouveaux sites sont d'ailleurs prévus à la rentrée: à Saint-Michel, Borderouge et rue de la Concorde.

    À 35 ans, Marine fait son marché chaque jour au Cristal, sur les boulevards. Malgré des horaires contraignants, la jeune femme tient à acheter des produits frais et locaux : "Le marché c'est une madeleine de Proust. Les odeurs, les couleurs, le choix. Je n'hésite pas à me lever une heure plus tôt pour m'y rendre. Pour la santé de ma famille bien sûr mais aussi pour le côté sympa, vivant. Je connais les exposants. Au fil du temps, des liens se tissent".

    À Toulouse, les marchés de plein-vent se portent bien. Ils sont même en pleine expansion avec 46 marchés recensés (toutes catégories confondues). En juin deux nouveaux marchés ont été créés, à Saint-Martin du Touch et aux Pradettes le samedi. Trois nouveaux venus sont prévus à la rentrée. Le 3 septembre, un marché de produits régionaux doit ouvrir à Saint-Michel face à l'ancienne maison d'arrêt. Ce type de marché est prisé du public. Il apporte la campagne sur un plateau, en milieu urbain. A venir aussi un marché de pépiniéristes dans le jardin du Muséum de Borderouge et enfin un autre de cartes anciennes en centre-ville .

    "Le public aime les marchés de plein-vent, assure Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire en charge du commerce. À la fois pour la convivialité et le lien social mais aussi pour la fraîcheur des produits, favorisée par les circuits courts".

    Hier fréquenté surtout par des seniors, le marché de plein-vent a pris un coup de jeune ces dernières années. "Le public s'est fait plus familial, glisse Patrick Divoux, délégué sur le marché nocturne de Belfort. On voit aussi beaucoup d'étudiants désireux de manger sain qui achètent en petite quantité. Plus pratique quand le budget est serré. Il est aussi fréquent de voir des clients en vélo ou des jeunes avec des cabas déambuler entre les étals".

    Le marché évolue avec la ville et répond aux besoins du consommateur. "Les associations de quartier servent souvent de relais dans l'installation d'un marché, assure Claude, primeur depuis vingt ans au Cristal, plus ancien marché de plein-vent de Toulouse. Elles peuvent par exemple revoir avec les commerçants des horaires plus appropriés à l'exemple du marché de Saint-Georges qui se tient désormais aussi certains soirs en semaine. En occupant l'espace, l'implantation d'un marché peut aussi contribuer à l'apaisement d'un quartier.

    Ces dernières années, le marché est aussi devenu un acteur économique qui se démène pour capter le client des grandes surfaces. Ce retour à la proximité, de changement d'habitude de consommation, est dans l'air du temps. Fraîcheur, qualité, prix... les marchés sont dans le vent.

    * les horaires sont susceptibles de changer durant la saison estivale.

    ... A venir pépiniéristes et vieux papiers

    Face à l'engouement du public, Toulouse dope ses marchés. Dans les cartons, la Ville devrait prochainement mettre en place un marché de pépiniéristes dédié aux plantes, près du Jardin du Muséum de Borderouge. Un marché pédagogique en lien avec les ateliers du Muséum. Sous l'impulsion de l'association des commerçants et artisans de la Concorde, un marché de cartes postales anciennes, de timbres et de vieux papiers doit voir le jour les 2e et 4e samedis de chaque mois de 9 heures à 15 heures, autour de la fontaine Clémence Isaure. Un marché ouvert aux commerçants et collectionneurs dans l'esprit du Carré Marigny à Paris. Le Club des cartophiles de Midi-Pyrénées a été sollicité.

    Enfin, petit changement : la brocante, une autre sorte de marché de plein-vent, installée le samedi matin, depuis des décennies sur le parvis de la cathédrale Saint-Sernin déménage en janvier 2017 sur l'esplanade de Saint-Aubin. Un déménagement lié au réaménagement du parvis de Saint-Sernin. Enfin, le marché Saint-Aubin va s'étendre devant l'église, en proposant des exposants non alimentaires et compléter ainsi l'offre artisanale déjà présente.

    Ce n'est pas un petit changement: c'est une révolution!! ndlr

     

  • Salade de fèves fraîche d'été

    200 à 250 g de fèves par personne, un oignon rouge on une dizaine par personne de petits oignons blanc;

    ½ poivron rouge par personne, huile de noisette, vinaigre de madère, 4 tomates cerise; deux ou trois petits cornichons, quelques brin de persil frais.

    Pour aller plus vite, vous pouvez prendre des fèves surgelées, elles ont déjà la peau pelée.

    Sinon, prendre des fèves fraîches, les écosser, les faire blanchir, retirer la peau. Environ 250g par personne.

    Faites cuire les fèves pelées environs 6 à 8 minutes dans de l'eau bouillante salée.

    Écumez si nécessaire. Passez-les et mettre à rafraichir tout de suite dans de l'eau très froide.

    Pendant ce temps, passez les poivrons à la flamme du gaz et pelez-les. Coupez-les en tronçons dans un saladier.

    Rajoutez les fèves, une vinaigrette à l'huile de noix ou noisettes, les petits oignons, les tomates cerises coupées en deux, les cornichons coupés en rondelles s'ils sont trop gros. Avec les fèves, la sarriette se mélange à merveille et aident bien la digestion.

    Pour une salade plus complète, ajoutez des quartiers d'œufs durs.

    Je viens de vous écrire ma salade de ce midi!

    Amis sépians: contient une bonne proportion de glycine, cet acide aminé qui nous est fortement recommandé... voir article dans mon blog

    www.biotine-sep.com

     

  • Touchez pas au cochon!

     

    Si vous aimez la saucisse de Toulouse et la cansalade, allez lire ce texte!

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2016/08/07/les-islamo-collabos-5834250.html

     

     

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    Si vous en voulez d'autres gifs, j'en ai!

    demandez ...

     

     

  • Toulouse aussi, ville lumière!

    Label Unesco: Toulouse mise sur l'éclairage

    Le Pont-Neuf et le port de la Daurade brillent de mille feux, en bord de Garonne. L'office de tourisme va ajouter deux parcours à ses visites guidées de nuit. Le Pont-Neuf et le port de la Daurade brillent de mille feux, en bord de Garonne.

    Avec en ligne de mire son classement au patrimoine mondial de l'Unesco, la ville de Toulouse illumine un par un ses monuments historiques, au plaisir des Toulousains et des touristes.

    Aussi belle de jour comme de nuit. Sans avoir la prétention de détrôner Paris, la Ville rose s'est lancée dans un ambitieux plan de mise en valeur de ses monuments historiques. Outre l'esthétique, l'objectif est de cette mise en valeur est de construire un fil directeur architectural en vue de sa candidature à l'Unesco. La ville veut ainsi rejoindre Bordeaux (2007) et Albi (2010) au patrimoine mondial de l'humanité. La place du Capitole, le dôme de La Grave* et le Pont-Neuf ne sont pas les seuls lieux sous les feux des projecteurs.

    140 points d'architecture remarquables

    "Nous avons lancé un audit avec 97 associations, des Toulousains et en interne qui nous ont permis de lister 140 points architecturaux intéressants", lance Emilion Esnault, conseiller municipal délégué à l'éclairage public. Il cite quelques exemples comme "une horloge rare de 24 heures ou une façade en mosaïques rue Alsace-Lorraine. Pour les mettre en valeur, nous avons installé de petits spots qui attirent le regard."

    Il en va de même pour les grands monuments dont l'éclairage doit être pensé en fonction de l'esthétique mais aussi en fonction de la consommation énergétique. "Nous utilisons exclusivement des LEDs qui ont une plus faible consommation détaille Emilion Esnault, nous mettons les sources lumineuses très près, pour souligner un détail et d'autres plus loin qui créent un voile de lumière. Nous cherchons à rester dans la finesse."

    Valoriser le patrimoine

    Dans le cadre de son Plan Lumière lancé en 2015, la ville de Toulouse s'est lancée dans un vaste programme de ré-éclairage des monuments historiques avec comme objectif d'illuminer un ou deux monuments emblématiques par an.

    Le coup d'envoi a été lancé en mars 2016 avec la cathédrale et de la place Saint-Étienne, suivie par cinq autres sites comme la statue Jeanne d'Arc, l'Obélisque de Jolimont ou l'ange de la place Dupuy. Plus retentissant, le port de la Daurade, inauguré le 11 juin dernier, bénéficie d'un éclairage dernier cri. Il est couplé avec de nouveaux projecteurs qui valorisent les murs-digues Saget. "On mutualise les travaux souligne Emilion Esnault, on s'occupera de l'éclairage du couvent des Jacobins lorsqu'on changera les filets anti-pigeons". Face à la Daurade, le Pont-Neuf et l'Hôtel-Dieu fraîchement illuminés réverbèrent de mille feux sur la Garonne. Un argument de plus et de taille à faire valoir pour la candidature de la ville mais surtout un plaisir pour les Toulousains et les touristes.

    30 Gigawatts >Consommation électrique. C'est la Consommation électrique de la ville de Toulouse sur l'année 2015 soit une baisse constante de deux gigawatts par an. Au total, le budget (investissement et fonctionnement) de l'éclairage public représente 5,5 millions d'euros.

    Le Plan Lumière à mi-chemin

    Lancé en octobre 2104, le Plan Lumière est pour le moment considéré comme à moitié atteint. Il visait trois objectifs : lutter contre le sentiment d'insécurité, mieux éclairer les lieux de vie et faire rayonner Toulouse la nuit. Des monuments historiques aux quartiers pavillonnaires en passant par le canal du Midi ou les zones industrielles, la ville s'est lancée dans une démarche de sobriété énergétique et possède aujourd'hui un des parcs énergétiques les mieux maîtrisés de France.

    Hôpital de La Grave

    Adresse: Rue du Pont-Saint-Pierre (c'est-à-dire le plus beau coin de notre Ville Rose, bord de la Garonne, de l'autre côté de la Prairie des Filtres).

    L'hôpital de La Grave se situe dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse, c’est-à-dire sur la rive gauche de la ville. Sur près de six hectares (trois fois la superficie de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques), La Grave fut le second grand établissement hospitalier et la principale maternité de Toulouse durant une grande partie du XXe siècle avant que soit créé le CHU de Rangueil. Son nom vient de la grève où il a été bâti le long de la Garonne.

    L'hôpital servit durant le Moyen Âge aux populations malades de la peste puis dès 1647, comme lieu de grand renfermement des mendiants, prostituées et aliénés. Dont 3000 toulousains morts de la peste.

    De 1508 à 1514, l'hôpital est agrandi et prend le nom d'hôpital Saint-Sébastien car le saint invoqué permet de combattre la maladie des pestiférés. Ils sont hébergés dans un pavillon à l’abri du mur d’enceinte et à l’écart des autres pensionnaires. Sa situation extra-muros permettait d’isoler les malades des habitants. En 1516, la Tour Taillefer qui se trouve près du parc du musée Les Abattoirs servant de réserve de poudre et de munitions et faisant partie des remparts de la ville, est utilisée à l’accueil des pestiférés, des mendiants et des épileptiques.

    En 1557, avec l'afflux des malades, l'hôpital devient trop petit et les remparts et tours adjacentes sont utilisés pour les héberger. Même les prés des Sept-Deniers et de Bourrassol sont réquisitionnés. Au XVIIe siècle, Toulouse est touchée par la plus meurtrière épidémie de peste. Le 17 juin 1629, tous les malades soignés à l'hôpital Saint-Sébastien des Pestiférés meurent par contagion.

    L'hôpital bénéficie de protections au titre des monuments historiques : une inscription partielle en 1986 et un classement partiel en 1988.

    Regardez sur France24: il y a souvent le dôme de Saint-Pierre pour lancer les pub.... (c'est rapide mais on le reconnait bien).

     

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  • La France avant tout!

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  • Pour l'été, des visites bleu pastel dans la ville rose

    Du 27/07/2016 au 28/09/2016

    Jusqu'à fin septembre, l'office de tourisme de Toulouse organise tous les mercredis des visites guidées "Bleu pastel" sur la célèbre plante tinctoriale, son histoire et ses usages actuels. Satis tinctoria, herbe du Lauragais, herbe de saint Philippe, varède, guède, waide ou encore wedde: autant de noms pour désigner la petite plante aux fleurs jaunes à l'origine de l'âge d'or du pays de Cocagne pendant la Renaissance. Pendant l'été, l'office de tourisme de Toulouse invite les toulousains et les touristes à partir à la découverte du pastel des teinturiers tous les mercredis à 15 heures. Durant ces deux heures et demie de visite guidée, vous partirez notamment sur les traces des marchands pasteliers toulousains à travers leurs nombreux hôtels particuliers, bâtis au XVIe siècle alors que le triangle Toulouse-Albi-Castelnaudary formait le plus grand grenier à pastel de tout le continent européen. “La première partie de la visite est consacrée au patrimoine architectural toulousain lié au pastel, explique l'une des guides de la visite. Nous emmenons ainsi les visiteurs dans les cours intérieures des deux plus beaux hôtels particuliers toulousains construits par des pasteliers: l'hôtel d'Assézat et l'hôtel de Bernuy“.

    A partir d'ici, je dis que c'est du copinage!

    La visite se poursuit ensuite à la boutique Fleurée de Pastel, située dans un autre hôtel particulier, l'hôtel Delfau. Vous pourrez y assister à une démonstration de teinture réalisée à partir de feuilles de pastel, et découvrir toutes les soieries, vêtements, cotons, bijoux, aquarelles, encres et autres produits à base de pastel proposés par la boutique. Enfin, les visiteurs pourront comprendre les usages contemporains du pastel dans une boutique Graine de Pastel. Cette franchise, créée par deux Toulousaines, propose toute une ligne de produits pour le corps à base de pigments et d'huile de pastel. “Les visiteurs pourront découvrir toute la gamme à la boutique de la place Saint-Etienne, et tester parfums, crèmes, savons“, détaille la guide.

    Créée l'année dernière, “Bleu Pastel“ est proposée tous les mercredis de l'été à 15 heures jusqu'au 28 septembre.

    Informations utiles

    “La visite est notamment consacrée au patrimoine du pastel à Toulouse“

    Visite guidée “Bleu pastel“ organisée par l'office de tourisme de Toulouse tous les mercredis de l'été jusqu'au 28 septembre.

    "Début de la visite à 15 heures à l'office de tourisme au donjon du Capitole. Durée: 2heures 30.

    Tarifs: 11 euros / 6 euros pour les 7 - 16 ans / gratuit avant 6 ans.

    Nombre limité de places, réservations conseillées sur www.toulouse-tourisme.com ou au 0 892 180 180 (0,45 € TTC/min).

     

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    Hôtel d'Assézat