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Officiel - Page 34

  • Téléphérique à Toulouse

    Depuis le 21 décembre 2016, c'est officiel : Toulouse aura bien son téléphérique ! Un nouvel équipement de transport qui doit voir le jour en 2020 et transporter quelque 7000 passagers par jour sur 3 km et entre trois stations : Université Paul-Sabatier, Rangueil et Oncopole.

    Plus de détails sur ce projet qui décolle ci-dessous :

    Lien :  http://bit.ly/2h1JLz5 

     

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  • Sécurité Haute-Garonne

    Cette page est accessible directement via l'adresse suivante: http://www.haute-garonne.gouv.fr/saip

    1) Les anciennes sirènes d'alerte du réseau national d'alerte (RNA)

    Sirène SAIP

    Les sirènes d'alerte implantées sur le territoire national qui sonnent pour essai le premier mercredi de chaque mois, à midi, sont héritées de l'ancien réseau national d'alerte (RNA) (environ 4 500 sirènes). Ce réseau a été mis en place à partir de 1948 pour faire face à une attaque aérienne.

    La fin de la guerre froide, le vieillissement du réseau et la multiplicité des risques ont nécessité une modernisation de l’alerte.

    C'est pourquoi le ministère de l'Intérieur procède actuellement au déploiement du système d’alerte et d’information des populations (SAIP).

    La mise en place de ce nouveau système a été l’occasion de revoir l’implantation des sirènes afin de mieux prendre en compte les nouvelles natures de risques et répondre de manière plus pertinente aux besoins actuels de la population.

    2) Qu'est ce que le système d'alerte et d’information des populations (SAIP) ?

    Le SAIP est un ensemble d'outils (dont font partie les sirènes) qui permet la diffusion d'un signal ou d'un message par les autorités lors d’un événement d’une particulière gravité ou en situation de crise (catastrophe naturelle et industrielle, attentat terroriste), aux personnes qui sont susceptibles ou sont en train d’en subir les effets.

    Son déclenchement est de la compétence du maire et du préfet, voire du ministère de l'Intérieur.

    Le SAIP mobilisera plusieurs vecteurs d'alerte et d'information de la population : sirènes, SMS, service de diffusion de l'alerte à des opérateurs relayant avec leurs propres moyens ces informations (notamment panneaux à messages variables et radios).

    Pour ce qui concerne les sirènes, le déploiement du SAIP consiste à raccorder des sirènes existantes à ce système et à en installer des nouvelles.

    Dans le département de la Haute-Garonne, ce sont 135 sirènes (51 existantes et 84 nouvelles) qui seront raccordées au SAIP. Le déploiement est en cours.

    A cette occasion des essais sonores ont lieu à chaque raccordement d'une sirène au SAIP. La population est informée notamment par voie de communiqué de presse sur le site Internet de la préfecture.

    3) Quelles sont les caractéristiques du signal national d'alerte ?

    Deux catégories de sirènes sont à distinguer :

    Signal national d'alerte

    1- les sirènes du SAIP et les sirènes des exploitants industriels soumis à plan particulier d'intervention (PPI) :

    Le signal d'alerte : 3 séquences d'1 minute et 41 secondes, séparées par un silence

    Le signal de fin d'alerte : son continu de 30 secondes

    Les essais mensuels : 1 séquence d'1 minute et 41 secondes le premier mercredi de chaque mois à midi

    2- les sirènes « cornes de brume » des grands barrages (communes situées dans la « zone du quart d'heure » en cas de rupture de barrage :

    Signal d'alerte barrage

    Le signal d'alerte : 1 séquence de 2 minutes, son modulé d'une corne de brume

    Le signal de fin d'alerte : son continu de 30 secondes

    Les essais mensuels : 1 séquence de 12 secondes, son modulé d'une corne de brume, une fois par trimestre les premiers mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre, à 12h15

    Pour entendre le signal national d'alerte : http://www.iffo-rme.fr/sons

    Arrêté du 23 mars 2007 relatif aux caractéristiques techniques du signal national d'alerte

    4) Rappel sur les consignes générales de comportement en cas d’alerte :

     

    Au signal, il faut :

    Rejoindre sans délai un local clos, de préférence sans fenêtre, en bouchant si possible soigneusement les ouvertures (fentes, portes, aérations, cheminées....)

    Arrêter climatisation, chauffage et ventilation

    Se mettre à l’écoute de la radio

    Ce qu’il ne faut pas faire :

    Rester dans son véhicule.

    Aller chercher les enfants à l’école (les enseignants se chargent de leur sécurité)

    Téléphoner (les réseaux doivent rester disponibles pour les secours)

    Rester près des vitres

    Ouvrir les fenêtres pour savoir ce qui se passe dehors

    Allumer une quelconque flamme (risque d’explosion)

    Quitter l’abri sans consigne des autorités

    Des consignes spécifiques sont également applicables pour chaque risque : par exemple, en cas de risque de rupture de barrage, il faut rejoindre un point haut de la commune.

    Dans tous les cas, suivre les consignes des autorités.

    Liens utiles :

    http://www.interieur.gouv.fr/Alerte/Le-SAIP-en-4-clics

    Application mobile SAIP : http://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Lancement-de-l-application-mobile-SAIP

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/alerte

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/risquesmajeurs

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/pcs

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/vigipirate

  • ATTENTION: DANGER MORTEL!

    Lu dans Challenges 498 du 17 novembre 2016

    Page 130 – Menthon-Rouvier

    Sous le titre: Jean-Louis Bruguières conseille de prendre des gants contre Daesh, il faut bien entendu comprendre:

    Jean-Louis Brugières, ex-juge antiterroriste indique que “nous devons prendre des gants car une pâte à base de cyanure posée sur les barres pourrait être mortelle, comme cela a été testé sur les poignées des voitures de policiers irakiens“.

    Faites passer sur les réseaux sociaux

     

  • Toulouse attire toujours plus d'emplois en Occitanie

    Portée par une industrie aéronautique et spatiale, la région de Toulouse est l'une des plus attractives de France au niveau des emplois qualifiés. Au détriment des autres régions d'Occitanie qui ne peuvent rivaliser avec elle.

    Toulouse plaît et ça se sait. La chaleur de ses briques, son climat doux, sa gastronomie, la festivité de ses nuits étudiantes ou encore son équipe de rugby et de football en font un lieu privilégié et plébiscité dans la région. La Ville rose et sa zone d'emploi est l'une des plus attractives de France mais surtout au sein même de la région Occitanie selon une des dernières analyses de l‘Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

    "Pour mesurer cette attractivité, nous nous sommes basés sur la capacité du territoire à attirer les ressources externes, explique Jean-Philippe Grouthier, directeur régional Insee Occitanie, nous avons analysé le taux d'arrivées d'emplois productifs : la création ou le transfert d'un emploi dans une zone différente. C'est la capacité à attirer du capital. La deuxième est son taux d'arrivées d'actifs qualifiés : cadres, fonctions métropolitaines, informaticiens, ingénieurs, etc. C'est la capacité à attirer du travail". Et Toulouse séduit puisqu'en 2013, 4 000 actifs qualifiés ont choisi de s'y installer.

    Autre chiffre parlant, la zone d'emploi toulousaine est sur la troisième marche du podium pour son taux d'arrivée d'emplois productifs, entre Lyon et Lille. "Toulouse se distingue nettement dans sa capacité à attirer des emplois qualifiés, détaille Jean-Philippe Grouthier, elle a des caractéristiques particulières qui la distinguent des autres zones : une industrie aéronautique et spatiale, la concentration des pôles de décision et sa part importante dans la recherche et le développement".

    Fossé entre Toulouse et Montpellier

    Si elle attire au plan national, Toulouse se distingue également au sein de sa propre région où elle draine une grande partie des emplois. En effet, la zone d'emploi de Toulouse concentre 50,3 % des créations d'emplois productifs (contre 16,9 % pour Montpellier) et 60,2 % des arrivées d'actifs qualifiés (14,4 pour Montpellier) en Occitanie. "La moitié des emplois productifs sur la région sont créés à Toulouse. C'est un rapport de 1 à 4 face à Montpellier", note Jean-Philippe Grouthier. S'il est cependant un secteur où Toulouse pêche, par rapport à Montpellier et dans la région, c'est sur son taux d'arrivée des retraités (moins de 2,3 pour 1000 habitants) et sur son attractivité touristique jugée "moyenne" par l'Insee.

    Le chiffre: 6 6 00 emplois supplémentaires. Après trois années d'érosion, l'aire urbaine de Toulouse a gagné 6 600 emplois salariés dans le secteur privé avec notamment l'intérim, la sécurité privée ou encore la programmation et le conseil en informatique.

    Toulouse une agglomération dynamique

    Bénéficiant d'un berceau favorable, l'activité économique toulousaine se porte plutôt bien, portée notamment par Airbus et ses 21 000 employés à Blagnac mais aussi par ses myriades de sous traitants comme Safran, ATR, Thalès, etc. Ce terreau séduit sur le plan régional mais aussi national (80 % proviennent d'autres régions). Ainsi, 10 000 nouveaux habitants s'installent à Toulouse chaque année lui donnant un solde positif. De plus, entre 2003 et 2013, Toulouse est la ville qui a vu son produit intérieur brut (PIB) par habitant. Il est passé de 28 733 € à 37 833 € par Toulousain soit une hausse de 31,6 %, la plus forte hausse de France. Cependant, nouveaux arrivants rime aussi avec nouveaux chômeurs. Avec 10,3 % de sans-emploi, Toulouse reste au-dessus de la moyenne nationale.

    " Au niveau de l'attractivité d'emplois qualifiés, on n'a clairement pas deux grandes métropoles. Toulouse et Montpellier ne jouent pas dans la même catégorie".

    Jean-Philippe Grouthier, directeur régional Insee Occitanie

     

  • Toulousain, meilleur des meilleurs!

    À Toulouse, Gaëtan Bouvier élu meilleur sommelier de France

    Lundi 7 novembre se déroulait la finale du concours du meilleur sommelier de France. Et c'est le Lyonnais, Gaëtan Bouvier, qui s'est vu remettre le trophée du vainqueur.

    Gaëtan Bouvier, au centre, s'est vu remettre le trophée de meilleur sommelier de France 2016 par Carole Delga. (Photo : Union de la sommellerie française)

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    Lancé en février à Lyon, le concours du meilleur sommelier de France a trouvé son épilogue dans l’hémicycle de l’hôtel de la région Occitanie, lundi 7 novembre.

    Présidente de la première région productrice de vin de l’hexagone, c’est Carole Delga qui a tout naturellement remis le trophée du meilleur sommelier de France à Gaëtan Bouvier.

    Le sommelier s’était déjà distingué la veille, le dimanche 6 novembre, lors de la demi-finale qui avait opposé neuf participants, toujours à Toulouse.

    Récompensé pour sa connaissance des vins

    Lundi, le Lyonnais a disputé la victoire aux côtés de Gaëtan Bouvier, Jean-Baptiste Klein, Florent Martin et Pierre Vila Palleja. Il s’agissait pour les compétiteurs de réussir différentes épreuves de service, de dégustation ou encore de connaissance de vins.

    Gaëtan Bouvier succède ainsi à Jonathan Bauer-Monneret, vainqueur du concours en 2014, la compétition se déroulant tous les deux ans.

     

  • Concours: créez le nouveau logo de la région Occitanie

     ...et gagnez 8 000 euros

    Au cours d'un vote prévu mardi 25 octobre, la région Occitanie va proposer un concours ouvert aux créateurs et designers afin de définir son nouveau logo.

    À quoi devrait ressembler le logo de l’Occitanie? Le Conseil régional va se rassembler, mardi 25 octobre, et proposera le lancement d’un concours ouvert aux designers, aux créateurs, aux étudiants des beaux-arts locaux pour la création du symbole qui représentera notre nouvelle région. Comme pour le nom, l’assemblée a souhaité passer par une consultation populaire afin de mettre en valeur les talents locaux.

    Jusqu’à 8 000 euros à gagner

    Le gagnant de ce concours présidé par Carole Delga sera récompensé par un prix de 8000 euros. Le deuxième recevra un chèque de 5 000 euros et le troisième, 3 000 euros.

    Ce nouveau logo devra tenir compte de toutes les cultures et identités régionales, avec une référence à nos couleurs: l’or et le rouge sang, explique une porte-parole de la Région.

    Les modalités seront connues une fois le concours approuvé par le Conseil régional.

     

    8000 € c'est pas trop! étant donné les cadeaux que s'octroient eux-même les élus et autres ponctionnaires des "collectivités territoriales" (sic)...

     

  • La viande de bœuf va augmenter: explications

    La viande de bœuf va augmenter: explications

    L’effet bœuf de Le Foll: sauver la filière bovine grâce au halal des migrants!

    La vache, quel le Foll celui là! Il va nous faire bouffer de la vache enragée…

    Vous allez payer plus cher votre steak de bœuf pour nourrir gratuitement en halal des migrants.

    Voici comment: Trois ministres européens ont décidé d’utiliser l’humanitaire pour désengorger le marché de la viande et du lait et ainsi de faire remonter les cours pour sauver l’agriculture. L’idée est de fournir gratuitement en viande les pays d’accueil de migrants ainsi que les pays d’origine du départ de ces migrants(*). Bravo, l’idée est généreuse, elle séduit même.

    Oui mais si vous nourrissez des rats, faudra s’attendre à une infestation de rats, c’est un véritable appel d’air à l’immigration qui risque d’être mis en place par un allemand Schmidt, un polonais Jurgiel et … un français, puisqu’il faut toujours un socialiste français dans une immense connerie monumentale, le bien nommé Le Foll.

    Tout le monde sait que la filière bovine connait des difficultés, les éleveurs ne vendent pas assez cher lait et bestiaux pour avoir un revenu correct. Pour beaucoup ce revenu est de moitié le salaire minimum ceci pour 50-60 heures / semaine et avec un maximum 10 jours de vacances. Intermédiaires entre la grande distribution et le producteur, des grandes sociétés comme Lactalis achètent à vil prix pour vendre chèrement.

    Elles ont le quasi monopôle de la production des produits laitiers (lait, fromages et crèmes fraîches ou sucrées). En final vous avez le distributeur qui se fait une marge plus que correcte mesurable au nombre de Mercedes garées sur les places réservées de la direction d’un simple magasin de bourg. Le producteur de base vend pratiquement à perte et roule, lui, en Clio d’occasion.

    Revenons au principe humanitaire de notre cher ministre qui porte le nom d’une maladie bovine. On sait que nos amis migrants, 100% clandestins et 100% remboursés par la Sécu consomment de la viande certifiée halal sinon la réaction est brutale: Il vous jette le plat (gratuit) à la figure. En plus il faut que ce soit au goût de leur terroir, c’est à dire plutôt bien épicé sinon là aussi le bénévole prend le plat dans la gueule (Il faut être profondément idiot pour aider ces primitifs).

    Donc et par conséquent tous les excédents de la filière bovine devront passer par un abattoir rituel. Il y a là un premier problème. Et même un double problème. Comment des ministres de l’Agriculture osent proposer une solution qui n’est pas légale. L’abattage rituel, c’est à dire sans étourdissement, est interdit sauf dérogation. Le fait de réaliser une filière étatique qui donne doit à une absence de dérogation pour être le régime général est une déculottée devant l’envahisseur musulman.

    L’autre problème est le financement de l’Etat à cet abattage rituel. En principe l’état ne finance pas le culte, sauf pour deux régions depuis le concordat, les curés ou les rabbins ne sont pas salariés de l’état. Au travers des abattoirs rituels le client final va payer pour constituer le salaire d’un vérificateur musulman. Il y a donc financement d’un culte au travers d’une décision d’un ministre. Déjà, et j’en ai parlé sur ce site, que nous avons un système de notation de viande sous forme d’étoiles sans savoir de quel morceau il s’agit, nous aurons désormais systématiquement du bœuf halal ce à quoi je ne peux me résoudre.

    Parce que je suis têtu et irréductible et inventif aussi, gourmand également, j’ai repris des recettes comme de la blanquette de veau et j’ai remplacé le veau par des morceaux de rôti de porc. Impeccable. Idem pour le bœuf bourguignon mais je suggère plutôt du sanglier à la place du porc. Il est dommage de devoir modifier nos recettes ancestrales pour se battre contre un ennemi de l’intérieur.

    Non pas Bœuf bourguignon mais sanglier bourguignon.

    Alors Monsieur Le Foll, rangez vos idées du même nom au placard et mettez-vous y même, jetez la clef dans un caniveau, là où cette idée idiote n’aurait jamais dû sortir et arrêtez de vendre la France clef en main à l’envahisseur musulman.

    Philippe Legrand

     

    http://ripostelaique.com/leffet-boeuf-de-le-foll-sauver-la-filiere-bovine-grace-au-halal-des-migrants.html