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cuisine - Page 3

  • Spaghetti aux boulettes de viande

    C'est ma recette perso et mon plat préféré après le cassoulet et le confit de lentilles et le foie gras

    Pour 6

    800 g de viande hachée en vrac

    1 gros paquet spaghetti

    1 pot de sauce tomate (en cubes) bio

    2 œufs, 50 g de chapelure

    150g de mie de pain trempée dans du lait

    1 c. à soupe d'origan, huile d’olive, sel et poivre, 1 sucre

    2 cuillères à soupe de persil haché

    Déposez la viande hachée dans un saladier en verre. Émiettez-y la mie de pain avant d'ajouter les œufs entier et le persil ciselé. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Malaxez bien le tout et façonnez des boulettes.

    Roulez-les dans la chapelure et faites les ensuite cuire à la poêle avec de l’huile pendant 5 à 6 minutes à feu vif en remuant constamment. Retirez sur un plat.

    Coupez l'oignon en gros cubes et la cansalade en lardons; faites les sauter dans la poêle puis, lorsqu'ils ils sont très bien colorés, ajoutez la tomate en cubes, deux feuilles de laurier et des branchettes de thym, l'origan et un peu de sucre (pour l'acidité); laissez cuire 5 mn à feu moyen, en surveillant.

    Débutez la cuisson des spaghetti. Pour cela, mettez-les à cuire dans une grande casserole d’eau salée en suivant la durée prévue sur le paquet. Égouttez-les.

    Les diposer dans le saladier de présentation encore bien chaud en arrosant d'un filet d'huile d'olive ou de beurre fondu, ajouter la tomate et posez les boulettes de viande par-dessus. Maintenez au chaud tant que cela n'est pas servi.

    A SAVOIR: les pâtes refroidissent vite, servez très chaud ou sur des assiettes chaudes: plus les pâtes sont petites (étoiles, vermicelles) plus elles refroidissent vite.

  • Manger du chocolat réduirait le risque d’accident vasculaire cérébral

    Une étude qui sera présentée au 62ème congrès de l’Académie Américaine de Neurologie en avril 2010 à Toronto, montre que les personnes mangeant du chocolat sont moins à risque d’accidents vasculaires cérébraux que ceux n’en mangeant pas.

    Le chocolat est riche en antioxydant, contenant en particulier des flavonoides. Cette étude est une analyse de trois études précédentes. La première avait montré chez 44 500 personnes mangeant du chocolat toutes les semaines, une réduction de 22% du risque d’accident cérébral. Dans la seconde étude, 1169 personnes qui mangeaient 50 grammes de chocolat par semaine avaient une réduction de la mortalité de 46% après un accident vascualaire cérébral. La troisième étude ne retrouvait pas de bénéfice.

    L’auteur de cette analyse, Gustavo Saposnik, se refuse cependant à conclure formellement, estimant que d’autres études sont nécessaires car on ne sait pas si cet effet bénéfique n’est pas simplement lié au fait que ce sont les personnes les mieux portantes qui ont le plus de facilité à manger du chocolat.

    Source

    American Academy of Neurology’s 62nd Annual Meeting, Toronto April 10 to April 17, 2010

  • Canard à l'orange

    Une vieille recette française; au fait, il y a longtemps que je n'en ai cuisiné!

    Pour 5-6, à mariner la veille

    2 h 20 en cocotte minute; trois heures 20 en cocotte normale

    Un fond d'Armagnac ou de cognac (facultatif)

    Un beau canard évidé et brûlé (pour les restants de plumes)

    2 kg d'oranges - poivre, sel - 1/2 l de vin blanc

    180 g de cansalade en lardons; 1 litre de bouillon maison

    1 ou 2 gros oignons- 2 cuillères à soupe de graisse de canard

    200 g de champignons de paris et trois carottes.

    5 branchettes de thym frais ou 2 branches thym sec

    La veille, déoupez le canard en morceaux après l'avoir brûlé sur la gazinière

    Pressez le jus des oranges et arrosez les morceaux mis dans un grand saladier

    Le lendemain, sortez les morceaux de la marinade (conservez-là) et essuyez les morceaux avant de les faire revenir dans votre cocotte à cuire jusqu'à ce qu'ils soient bien dorés dans la graisse de canard. Arrosez d'alcool et mettre le feu pour flamber.

    Égouttez bien et réservez dans un plat creux en verre

    Faites revenir les oignons à bien brun et la cansalade. Remettre dans votre cocotte les morceaux de canard, ajoutez le bouillon maison, le vin blanc, le poivre, les champignons de Paris, les carottes coupées en rondelles, les branchettes de thym et mettre à cuire à feu moyen durant trois heures ou 2 h en cocotte minute.

    Passez le jus des oranges et rajoutez au liquide de cuisson, salez, goûtez. Remettre à cuire le plus longtemps possible

    Mettre le liquide dans une saucière pour parsemer dans l'assiette sur du riz, des pommes de terre, etc. servis avec un morceau de canard, servir très chaud.

  • Histoire de la tartine et genèse d’un fantasme:

    la pâte à tartiner chocolatée…

     

    La pâte à tartiner est cette fameuse substance onctueuse que l’on peut étaler sur une base comme le pain – voire une crêpe, une biscotte… En général, le résultat est ce qu’on appelle trivialement "une tartine", dont la définition est celle d’une tranche de pain (potentiellement beurrée) recouverte de ladite pâte sucrée ou salée. Plus de la moitié des Français en consomment régulièrement et 26% n’utilisent que la pâte leader du marché.

    Si ancrée dans les habitudes qu’elle soit, cette pratique est moderne. Le mot "tartine" est lui-même assez récent, et ne date que de la fin du XVIe siècle. Il fait alors partie du jargon populaire, car, pour certain, le fait d’ajouter du beurre sur le pain est une péjoration de la brioche pour laquelle le beurre est mélangé à la pâte.

    La brioche est alors l’ordinaire à la cour, d’où la fameuse phrase (faussement ?) attribuée à Marie-Antoinette – " S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche ". La question du pain est à l’époque brûlante, du fait d’une augmentation de son prix suite à une disette artificiellement créée par des spéculateurs. Quand le peuple oblige le roi Louis XVI et sa famille à quitter Versailles pour revenir à Paris, le 6 octobre 1789, il crie d’ailleurs: "Nous ne manquerons plus de pain! Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron!".

    DE L’HISTORIQUE DE LA TARTINE

    Une des premières images connues de tartine remonte au XVIe siècle. Il s’agit du "Repas de noces", une peinture de Pieter Brueghel l’Ancien qui représente un repas réunissant des paysans dans une salle bondée – dont, au premier plan, l’enfant à la tartine sur les genoux en train de lécher son index.

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