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Vi, c'est moi qui l'ai fait!
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Vi, c'est moi qui l'ai fait!
Voici mes victuailles du réveillon de Noël: du foie gras, bien sûr pour commencer. Je l'achète en terrine de verre… lorsqu'il est en promotion. Je fais bien attention à ne choisir que le foie gras qui n'a pas coulé sa graisse. Il vaut mieux payer du foie que de la graisse, bien sûr.
Cependant, même si à travers le pot de verre vous avez choisi le moins gras, il y a toujours de la graisse dans le bocal. Chose que j'ôte soigneusement et met de côté sur une assiette en verre, au réfrigérateur. Ne jetez jamais cet or goûteux! D'ailleurs, on ne doit jamais rien jeter en cuisine, il existe toujours un moyen de récupérer un fond de plat ou de légumes.
La preuve? c'est ici: www.tradi-cuisine.com
Après le foie gras, nous avions des crevettes: rien à dire, on les mange nature, sans fioritures. Puis, le saumon sauvage, fumé au bois de hêtre. Consommé nature, avec du pain de seigle. Il est toujours parfait. On m'a dit que le saumon sauvage est plus “pesticidé“ que le saumon d'élevage. Peut-être… mais, tant que je n'ai pas lu ou regardé un reportage de mon moi-même…
Puis j'ai fait du confit de canard avec pommes de terre et giroles à la graisse de canard, bien sûr.
Les pommes de terre bio sont assez petites. Donc, marre de peler ces minuscules légumes… Je les lave soigneusement dans une première eau, je les laisse tremper dix minutes dans une eau bicarbonée. Je les récupère une à une pour retirer les germes, retirer les taches diverses pas très jolies. Pour ma recette, même si elles sont petites, je les coupe en deux. Je les passe à la cocotte vapeur durant 5 minutes.
Puis, dans la sauteuse où j'ai fais fondre la graisse des cuisses confites, je jette mes girolles pour les faire suer (je sais très bien faire suer les autres!) et mes gros morceaux de pommes de terre déjà précuits puisqu'ils sont passés à la vapeur. Je fais sauter longuement le tout dans la graisse récupérée, sans oublier de rajouter sel, poivre, pincée d'herbes de Provence que vous achetez ici sur mon site.
Après le confit et sa poêlée (parait qu'on dit sarladaise mais on a toujours fait cela chez moi, à Toulouse, quand j'étais môme, j'ai jamais demandé le nom du plat, je me contente de savoir la recette et... de le manger!…. vient le fromage (nous, c'est chèvre fermier et Roquefort Papillon) et la bûche glacée.
Le lendemain midi, on a fini le foie gras. Il ne restait rien du saumon et des crevettes; par contre, il y avait bien assez de la poêlée de pommes de terre aux champignons. Ni une, ni deux, j'ai récupéré le peu de graisse de foie gras posé sur l'assiette, il était durci au frigo. Il n'y en avait que la valeur d'une grosse cuillère à soupe. Je l'ai ajouté sur le restant de pommes de terre, j'ai battu trois œufs dans un saladier et j'ai versé dans le sautoir. Très bon croyez-moi!
Chez nous, ce qui compte, c'est le soir du réveillon; le repas du lendemain ne sert qu'à finir les restes (s'il y en a). Quand on a eu une bonne “ventrée“ la veille, le midi suivant on mange peu. Enfin, chez moi c'est ainsi. Et d'ailleurs, pour le petit déjeuner, on n'en fait pas; par contre, de grands lampées d'eau en bouteille (n'en déplaise aux ingénieurs de l'assainissement de l'eau, qui nous coûte un max, l'eau du robinet contient les molécules médicamenteuses et, non, merci).
Concernant le confit, dernière info très importante: le confit acheté dans des boîtes alu (appert) est -hyper- cuit… il ne demande pratiquement que du réchauffage.
Le confit du boucher par contre, il faut le cuire 35 à 40 minutes, après l'avoir dégraissé (et conservé la graisse pour cuire une poêlée de légumes, une omelette, etc.).
Attention à l'arnaque: le confit doit être entouré de graisse de canard; trop souvent, on l'entoure de graisse de porc (saindoux); vous la différenciez à l'odeur et la couleur (graisse trop blanche du porc).
Une fois jugée comestible, une espèce vivante va encore subir de nombreuses opérations classificatrices: certains aliments sont purs, d’autres impurs, on ne consomme pas un aliment avec n’importe quel autre aliment, certains sont consommés crus, d’autres cuits, d’autres sont réservés à certains groupes (chefs, femmes enceintes.), à certaines périodes de la journée, de l’année etc. Tous ces classements complexes et largement inconscients forment un système culinaire, une cuisine, ils nous situent dans le temps et dans l’espace, en tant qu’individus et en tant que groupes.
Tous les êtres humains parlent, chaque groupe a sa langue ; tous mangent, chaque groupe a sa cuisine.
Le principe d’incorporation
Il veut que, lorsque nous introduisons un aliment dans notre corps, nous lui fassions franchir la frontière entre le monde et le soi, entre le dehors et le dedans. De manière universelle, l’être humain est convaincu que l’aliment agit non seulement sur l’état de son organisme mais sur sa nature même: on est ce qu’on mange. Dans la plupart des cultures il est tenu pour évident que ce que l’on mange modifie ce que l’on est ; les exemples sont légion, et pas seulement dans les sociétés dites primitives. De nombreuses personnes pensent que la viande rouge donne de la force et les boxeurs, il n’y a pas si longtemps, allaient aux Halles le matin pour boire le sang frais des bêtes puissantes.
Ce principe d’incorporation explique aussi les tentatives des êtres humains pour maîtriser leur identité corporelle ou symbolique par leur alimentation ; " que tes aliments soient ta seule médecine " disait Hippocrate.
Le paradoxe de l’omnivore
Le paradoxe de l’omnivore implique que l’être humain doit chercher sans cesse de nouveaux aliments potentiels tout en restant prudent tant qu’il n’a pas la certitude de leur innocuité. Les omnivores ne peuvent survivre qu’en arbitrant constamment entre 2 motivations concurrentes, la néophilie, ou appétence pour les nourritures nouvelles et la néophobie, c’est-à-dire la peur de celles-ci. Cette ambivalence installe chez l’omnivore neuronal une anxiété constitutive de l’alimentation elle-même.
L’urbanisation, l’industrialisation, la mondialisation, la circulation de l’information, l’affaiblissement des préceptes religieux, les changements à l’œuvre dans le domaine de la famille viennent bouleverser ces schémas millénaires sur lesquels sont assises en partie nos identités personnelles et collectives.
Fausse sécurité ou liberté culinaire
Nos anciennes classifications sont chamboulées par l’éloignement des lieux de fabrication des produits alimentaires, leurs transformations technologiques et leur surabondance.
Le principe d’incorporation se voit lui aussi remis en cause: on est ce qu’on mange mais quand on ne reconnait plus ses aliments, qui devient-on vraiment en les mangeant?
Enfin, dans ce monde de nouveautés permanentes portées par la communication des firmes, on ne sait plus quoi est quoi, ce qui est ancien et ce qui est nouveau, et notre naturel omnivore ne sait plus où donner de la fourchette.
Loin des campagnes d’antan, face à une offre alimentaire plus large que jamais, de moins en moins soumis aux cadres culturels et religieux traditionnels, exposé aux injonctions contradictoires de l’information nutritionnelle, l’individu moderne se retrouve libre, seul, en situation d’avoir à renouveler chaque jour sa culture culinaire.
Cet environnement inédit est anxiogène et explique pêle-mêle le succès des livres de recettes, les régimes et gourous de tous poils, le succès des émissions culinaires, et…le refuge dans la fausse sécurité du bio.
Pourtant un regard distancié nous permet de constater que la plupart de nos contemporains vivent nutritionnellement un âge d’or, dégagés de la crainte millénaire de la famine et protégés par la technologie. Rappelons que les infections alimentaires tuaient encore 15 000 personnes par an dans la France des années 50 du siècle dernier pour 150 aujourd’hui.
Oser manger par toi-même
Dans ce champ ultrasensible de l’alimentation, ce qui est à l’œuvre, comme partout ailleurs, c’est le combat entre la liberté assumée des individus et le retour fantasmé à un univers protecteur mais prescrit.
Les politiques, les media, les scientifiques ne doivent pas jeter de l’huile sur les feux de ces peurs explicables, ils doivent accompagner rationnellement l’autonomie nouvelle de chacun dans ses choix alimentaires et culinaires.
Kant donnait pour devise aux Lumières " ose savoir par toi-même " ; " ose manger par toi-même " voilà une belle devise pour une liberté alimentaire encore à construire.
Richard Guédon - Contrepoints.org
Richard Guédon est docteur en médecine, ancien Directeur médical d’une mutuelle d’assurances et ancien administrateur d’une caisse d’assurance maladie.
Champagne :
4 mythes que vous ne connaissez pas sur cette boisson culte
Comment le champagne a-t-il, contre toute attente, atteint un tel prestige pour devenir le symbole festif par excellence dans le monde entier ?
Par Joonas Rokka.
Un article de The Conversation
Qu’est-ce qui a fait d’un simple vin, cultivé dans une région viticole plutôt médiocre, l’une des icônes les plus célèbres et les plus féériques d’aujourd’hui ? Comment le champagne a-t-il, contre toute attente, atteint un tel prestige pour devenir le symbole festif par excellence dans le monde entier ? Aucune fête, anniversaire, mariage, contrat d’affaires, événement sportif ou exposition artistique ne saurait être parfait sans champagne. Si ses mystérieuses bulles ne suffisent pas à tout expliquer, comment le champagne est-il devenu l’emblème de la fête ?
Poussé par la curiosité, j’ai entrepris d’examiner les 250 années de marketing avant-gardiste du champagne et ce qu’elles nous révèlent sur l’image en constante évolution du champagne et son rôle dans la culture de la consommation. J’ai découvert que la renommée impérissable du champagne est née de quatre temps de mythification. Ils ont façonné son identité nationale et les archétypes qui accompagnent sa consommation à l’époque moderne. Cette fabuleuse histoire d’image de marque nous offre une leçon de marketing. Elle permet de comprendre le pouvoir de la mythification collective en matière de connexion et de reconnexion des marques au tissu culturel de la société.
Le mythe de l’origine
À l’origine, la Champagne était plus connue pour son commerce de la laine que pour ses vins. Région viticole la plus septentrionale, son terroir n’était pas considéré comme adapté à la production de bons vins. La production était souvent offerte comme cadeau promotionnel aux acheteurs de laine.
Ce sont les moines bénédictins qui ont commencé à améliorer la qualité des vins régionaux pour les vendre. Ils avaient besoin de fonds pour leurs monastères. Mais, contrairement à ce que l’on prétend souvent, ils n’ont pas " inventé " le champagne. Ce n’est que bien plus tard que Pierre "Dom" Pérignon (1635–1713), qui dirigeait un monastère à Reims, fut inscrit dans le "mythe de l’origine". Une stratégie promotionnelle élaborée pour souligner les notions de patrimoine, d’authenticité et de racines attachées au champagne et faire face à un marché toujours plus concurrentiel.
Mais alors, qui a inventé le champagne? Hé bien… personne. Les bulles se forment naturellement dans certaines circonstances. Le champagne a réellement pris son essor quand les producteurs de laine, recevant de plus en plus de commandes de champagne de la part de leurs clients, y ont vu une opportunité de sortir de l’industrie de la laine, la production de champagne leur semblant une activité plus rentable et prometteuse. Le mythe attribuant l’invention de l’élixir magique aux saints hommes est demeuré.
Le mythe de l’opulence
Le second mythe forgé autour du champagne est celui de l’opulence. Le fait que le champagne soit singulièrement identifié et commercialisé comme un produit de luxe peut être attribué à… un heureux hasard. Il remonte aussi loin que l’année 496 après J.-C., quand le roi des Francs, Clovis, fut baptisé chrétien à Reims, berceau du champagne. Dès lors, la tradition voulut que les rois français se fassent couronner dans la ville.
Par la suite, chaque couronnement donna lieu à de somptueux festins au cours desquels les invités s’enivraient du vin local, le champagne. Cette tradition marque l’origine du champagne comme boisson de fête, dégustée principalement par une minorité de privilégiés.
Cette identité du champagne fut encore exacerbée lorsque le monarque le plus opulent de tous, à savoir Louis XIV, le roi Soleil, goûta pour la première fois au champagne dans la magnifique cathédrale de Reims, à l’âge de 16 ans. Ce fut Louis qui associa le champagne à ses autres obsessions : la mode, le prestige et le luxe.
L’industrie connut encore une nouvelle impulsion grâce au décret de Louis XV, autorisant pour la première fois le transport du champagne – et uniquement du champagne –, dans des bouteilles en verre au lieu de fûts en bois. Pour les producteurs, cela fit toute la différence car le bois laissant échapper le gaz, le vin s’éventait. En outre, cette nouvelle loi contribua à l’élaboration soigneusement pensée du conditionnement du champagne – l’un des tout premiers cas de marketing moderne.
Sa promotion par des célébrités fut immédiatement monnaie courante. Les étiquettes affichaient des superstars telles que Marie-Antoinette, Jeanne d’Arc, des officiers de l’armée victorieux, des nobles, des artistes et autres personnalités. Les vendeurs de champagne ont très vite compris l’intérêt de ces techniques de construction d’image pour renforcer la notoriété de leurs marques et attiser les désirs d’une base de clientèle croissante et toujours plus fortunée.
Le mythe de la nation
Avec la Révolution française de 1789, le couperet tomba, mettant fin à l’association du champagne avec les monarques et les aristocrates. Pourtant c’est la révolution qui lança le troisième, et peut-être le plus puissant, cycle de mythification en liant intimement le champagne à " l’âme " et aux vertus de la nouvelle République française.
À cette époque, le champagne s’était acquis une renommée suffisante pour devenir un symbole national de premier plan, une réussite collective digne de respect. Non seulement "le champagne est l’image brillante de notre nation", selon la célèbre citation de Voltaire, mais il en est venu à être considéré comme "l’expression la plus glorieuse" de la civilisation française.
Sous l’Empire la destinée glorieuse du champagne s’accomplit véritablement. Napoléon s’en servit quand il voulut établir une nouvelle société bourgeoise, industrieuse et loyale. Jean-Rémy Moët établissait Moët aux États-Unis, développant une nouvelle clientèle dont le président George Washington en personne. Et lorsque l’armée russe mit Napoléon en déroute et atteignit la ville de Reims, l’entreprenante Madame " Veuve " Clicquot ouvrit ses caves de champagne aux vainqueurs dans l’espoir que cela l’aiderait à conquérir le marché russe.
Ces stratégies portèrent leurs fruits. Après la chute de l’Empire et à l’aube de la première révolution industrielle, le champagne connut un véritable âge d’or. Grâce à l’accès plus rapide aux différents marchés et à des réseaux ferroviaires efficaces, le champagne pouvait être transporté plus loin, en plus grande quantité et vers plus d’endroits que jamais auparavant. De nouveaux équipements permirent une production plus efficace et rendirent le champagne plus attrayant, tant d’un point de vue gustatif qu’esthétique.
Le champagne s’imposa rapidement comme un symbole de la France aux yeux du monde. Cette période fut marquée par l’augmentation des contrefaçons. Mais l’Appellation d’Origine Contrôlée internationale n’était pas accordée au champagne avant les années 1930. Cette reconnaissance marqua l’aboutissement de plusieurs siècles d’efforts marketing de la part de la communauté de Champagne.
Le mythe de la modernité
Dès le début des années 1900, le champagne fut mis en avant par les publicitaires à travers le prisme de la modernité. Durant la Belle Époque, les publicités pour le champagne mettaient en scène les merveilles modernes auxquelles aspiraient les classes moyennes en expansion, voitures, montgolfières, bateaux à vapeur, avions…
Ce n’est pas un hasard si le champagne était servi à bord du Titanic ou s’il fut dégusté à l’Exposition universelle de Paris en 1889, lors de laquelle la Tour Eiffel fut dévoilée aux yeux du monde. Le champagne devint omniprésent pour baptiser les navires et nouer des relations d’affaires. Il fit l’objet du tout premier film publicitaire au monde. Le champagne devenait un symbole de modernité à une époque où la France essayait d’oublier les horreurs de la Première Guerre mondiale et aspirait à se tourner vers un âge nouveau, plein de promesses.
Lorsque la concurrence arriva sous la forme du Prosecco italien ou du Cava espagnol, les publicitaires du champagne s’adaptèrent, s’appuyant sur la mythologie, l’histoire et le patrimoine du champagne pour en faire un produit de prestige unique. Moët créa le mythe évoqué précédemment autour de Dom Pérignon pour promouvoir sa marque premium.
Champagne et star : le cas Jay Z.
Aux temps modernes, c’est avec James Bond, Audrey Hepburn ou, plus récemment, Beyoncé et son mari Jay Z, que nous adhérons aux mythes et à l’histoire entourant le champagne, preuve ultime de l’acuité contemporaine du champagne et de l’écho qu’il continue de trouver en tant qu’icône sur le marché mondial. Par le biais d’une mythification collective, le champagne a su non seulement tirer parti de tendances culturelles et sociales favorables, mais également gérer d’intenses contradictions culturelles, continuant ainsi à faire scintiller notre imaginaire.
Pour bien brûler, donc pour bien contrôler votre poids ou pour maigrir, en bonne santé, vous devez prendre en considération chacune des actions suivantes:
Augmentez vos dépenses caloriques: avoir une vie active.
Restaurez ou augmentez votre musculature: faire du sport.
Corrigez vos apports caloriques: mangez ni trop ni trop peu.
Équilibrez votre alimentation: veiller à une bonne répartition de vos protéines, lipides et glucides alimentaires.
Ciblez votre alimentation: faire les bons choix
Consommer des aliments riches en chrome. Cet oligo-élément facilite la stabilisation de la glycémie (taux de sucre dans le sang). Ceci a pour conséquence d’éviter le stockage des graisses.
Les aliments les plus riches en chrome sont les viandes, le foie de veau, les brocolis, les haricots verts, les champignons, les asperges, les pommes de terre, les prunes, le gruyère, les céréales complètes, le germe de blé, la levure de bière.
Il n’y a pas que l’alimentation qui permette de brûler des calories, mais votre mode de vie peut y contribuer largement.
Faire du sport régulièrement dans les limites de votre santé et votre condition physique: cela permet de maintenir, voire augmenter votre masse musculaire. Non seulement, vous augmentez vos dépenses caloriques liées à l’activité sportive, mais aussi celles liées à votre musculature. N’oubliez pas que les muscles dépensent beaucoup d’énergie mais pas la graisse corporelle qui ne fait que stocker les calories excédentaires! Ainsi, plus vous serez musclé(e), plus vous dépenserez de calories… même en dormant!
Lutter contre le froid: cela augmente la dépense énergétique.
Quelques conseils: ne chauffez pas trop votre lieu de vie, réduisez de un à deux degrés la température de votre maison en hiver, dormez la fenêtre ouverte. Ne vous couvrez pas excessivement. Alternez douches froides et chaudes.
Évitez les médicaments vendus pour activer le métabolisme: certains médicaments ou compléments alimentaires à base de plantes sont vendus pour maigrir. Il faut être très vigilant aux nombreuses contre-indications et aux risques d’accidents cardio-vasculaires. Par ailleurs, leur efficacité sur le long terme n’est pas prouvée.