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nutrition - Page 12

  • Manger du chocolat réduirait le risque d’accident vasculaire cérébral

    Une étude qui sera présentée au 62ème congrès de l’Académie Américaine de Neurologie en avril 2010 à Toronto, montre que les personnes mangeant du chocolat sont moins à risque d’accidents vasculaires cérébraux que ceux n’en mangeant pas.

    Le chocolat est riche en antioxydant, contenant en particulier des flavonoides. Cette étude est une analyse de trois études précédentes. La première avait montré chez 44 500 personnes mangeant du chocolat toutes les semaines, une réduction de 22% du risque d’accident cérébral. Dans la seconde étude, 1169 personnes qui mangeaient 50 grammes de chocolat par semaine avaient une réduction de la mortalité de 46% après un accident vascualaire cérébral. La troisième étude ne retrouvait pas de bénéfice.

    L’auteur de cette analyse, Gustavo Saposnik, se refuse cependant à conclure formellement, estimant que d’autres études sont nécessaires car on ne sait pas si cet effet bénéfique n’est pas simplement lié au fait que ce sont les personnes les mieux portantes qui ont le plus de facilité à manger du chocolat.

    Source

    American Academy of Neurology’s 62nd Annual Meeting, Toronto April 10 to April 17, 2010

  • Ventre plat? à savoir

    Crachez votre gomme à mâcher

    Beaucoup de gens mâchent du chewingum pour se couper la faim ou pour s’empêcher de manger sans y penser, mais cela peut avoir un effet secondaire fâcheux : le ballonnement. Nous avalons tous un peu d’air lorsque nous mâchons, mais ce phénomène s’accroît considérablement avec une gomme, ce qui cause des gaz et des ballonnements. Méfiez-vous aussi ces causes fréquentes de ballonnements.

    De plus, il a été prouvé que certains édulcorants augmentent votre appétit pour la malbouffe; la gomme à mâcher pourrait donc faire gonfler votre tour de taille sur deux fronts et vous empêcher d’obtenir un ventre plus plat.

  • Bon à savoir!

    10 fruits les moins sucrés

    1 - Le citron

    On pouvait s'en douter, le citron est le fruit le moins sucré, avec seulement 2 g de sucre pour 100 g.

    Il contienr 2 g de sucre pour 100 g de fruit

    2 - Fraise et framboise

    Ce sont les fruits rouges les moins sucrés, Pour la portion recommandée de 50 g, elles contiennent 2 g de sucre (ce qui fait 4 g de sucre aux 100 g).

    3 - La prune

    La prune contient 9 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est de 30 g ce qui correspond à environ 2,7 g de sucre.

    4 - La groseille

    La groseille contient 6 g de sucre pour 100 g, soit 3 g pour sa portion est de 50 g,

    5 - La mûre

    La mûre contient 9 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est de 50 g, soit 4,5 g de sucre par portion.

    6 - L’abricot

    L'abricot contient 9 g de sucre pour 100 g, comme la prune, mais sa portion habituelle est de 65 g ce qui donne 5,85 g de sucre par portion.

    7 - La mandarine

    La mandarine contient elle aussi 9 g de sucre pour 100 g, soit 6,3 g de sucre pour sa portion de 70 g.

    8 - Le kiwi

    Le kiwi contient 9 g de sucre pour 100, mais sa portion est d’environ 75 g ce qui donne 6,75 g de sucre pour la portion.

    9 - La pastèque

    La pastèque contient 7 g de sucre pour 100 g, ce qui correspond à sa portion.

    10 - Le melon

    Le melon contient environ 6 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est d’environ 120 g ce qui donne environ 7,2 g de sucre par portion.

    Les fruits d'Automne et d'Hiver contenant le moins de sucre

    Pamplemousse: 6 g/100 g

    Orange: 8 g/100 g

    Mandarine & Kiwi: 9 g / 100 g

    Poire: 10 g/100 g

    Pomme, coing, raisin noir: 11 g/100 g

    Raisin blanc: 16 g/100 g

    Les fruits de Printemps et d'Été contenant le moins de sucre

    Rhubarbe, fraise & framboise: 4 g/100 g

    Groseille & melon: 6 g/100 g

    Nectarine & pastèque: 7 g/100 g

    Abricot, prune & mûre: 9 g/100 g

    Cassis, pêche & poire: 10 g/100 g

    Myrtille, pruneau, pomme: 11 g/100 g

    Figue: 13 g/100 g

    Cerise: 14 g/100g

    Les fruits exotiques contenant le moins de sucre

    Vous pouvez également trouver d’autres fruits, plus exotiques et faiblement sucrés sur les étalages du marché:

    La carambole qui contient 4 g de sucre pour 100 g,

    La goyave qui en renferme 6 g par 100 g,

    La cranberry ou canneberge fraîche qui comporte 7 g de sucre pour 100 g.

    Les fruits rouges contenant le moins de sucre

    Fraise: 4 g/100 g

    Framboise: 4 g/100 g

    Groseille: 6 g/100 g

    Mûre: 9 g/100 g

    Cassis: 10 g/100 g

    Myrtille: 11 g/100 g

    Cerise: 14 g/100 g

    Quels sont les fruits secs (naturels) les moins sucrés?

        Noix du Brésil: 2,33 g/100 g

        Noix: 3 g/100 g

        Amande: 4,2 g/100 g

        Cacahuète: 5,9 g/100 g

        Noisette: 4,9 g/100 g

        Noix de macadamia: 4,24 g/100 g

        Noix de pécan: 4,9 g/100 g

        Pignon de pin: 5,21 g/100 g

        Pistache: 7,74 g/100 g

        Noix de cajou: 8,01 g/100 g

     

    Quels sont les fruits qui contiennent le moins de fructose?

    Pour les personnes qui souffrent de malabsorption du fructose, il est important de connaître les fruits qui en sont les moins pourvus pour éviter les troubles intestinaux:

        Rhubarbe: 0,67 g/100 g

        Citron: 0,4 g/100 g

        Pêche: 1,29 g/100 g

        Abricot: 1,3 g/100 g

        Nectarine: 1,37 g/100 g

        Mandarine: 1,5 g/100 g

    Quels sont les fruits les plus riches en sucre?

        Datte: 64,7 g/100 g

        Litchi: 15,7 g/100 g

        Banane: 15,6 g/100 g

  • Alzheimer: état de la recherche

    Alors que 3 millions de personnes en France seulement sont atteintes de la maladie d'Alzheimer, la perspective de voir apparaître un traitement ne cesse de s'éloigner. Les échecs des laboratoires pharmaceutiques ont en effet continué de s'accumuler en 2018 et 2019, au point que Pfizer a annoncé qu'il renonçait à développer des médicaments contre la démence (ce qui fait suite à plusieurs tentatives infructueuses, notamment celle du bapineuzumab, en 2012).

    Au total, on considère que 99,6% des pistes de médicaments contre Alzheimer se sont révélées des échecs cuisants ne dépassant même pas la phase de test. Et les 0,4% de médicaments qui ont finalement été mis sur le marché sont incapables d’enrayer, ou même de ralentir le cours de la maladie. C’est d’ailleurs ce constat qui a conduit le ministère de la Santé français à décider du déremboursement de quatre médicaments anti-Alzheimer à compter du 1er août 2018.

    Que faire aujourd’hui contre cette maladie?

    Le problème réside sans doute dans le fait que les laboratoires, comme la plupart des chercheurs, s’obstinent à s’attaquer aux plaques amyloïdes. Or, selon le Dr Dale Bredesen, auteur de La fin d’Alzheimer, la formation de plaques amyloïdes ne serait pas la cause d’Alzheimer mais une réponse du cerveau face à diverses agressions endogènes ou exogènes (inflammation, carences en nutriments / molécules bénéfiques, molécules toxiques, etc).

    De nouvelles théories émergent pour expliquer pourquoi les maladies cognitives se développent dans le cerveau. Plusieurs mettent en avant le l'influence du mode de vie. Les recherches montrent que la démence commence vers l'âge de 45 ans et s'installe lentement. Les études expérimentales et épidémiologiques suggèrent qu'un régime alimentaire sain, la pratique régulière de l'exercice, adoptés le plus tôt possible, peuvent prévenir les maladies dégénératives.

    La qualité du sommeil jouerait aussi un rôle majeur, dans la mesure où l'amyloïde est éliminée pendant le sommeil profond. Un sommeil perturbé viendrait interrompre ce processus d'élimination.

    Les chercheurs s'intéressent aussi au jeûne intermittent. Des études récentes chez l'animal laissent penser qu'une telle pratique peut s'opposer à la progression d'Alzheimer. 

    Ces pistes de prévention et de traitement sont suivies par plusieurs équipes de recherche. Le Dr Dale Bredesen croit qu'il existe jusqu'à 36 causes de la maladie, et non une seule, et propose aux patients un protocole personnalisé qui allie diététique, activité physique, supplémentation, meilleure gestion du sommeil et du stress, exercices cognitifs, etcuillère Deux petites études ont enregistré des résultats prometteurs dont une étude, parue dans le journal Aging en 2016.

    Mais pour le Dr Bredesen, qui a suivi 2000 patients depuis 6 ans, le taux de succès de ce protocole, en termes d’inversion des symptômes, atteint quasiment 100% chez les stades précoces et, en moyenne, tous stades confondus, plus de 50%. D'autres études sont en cours.