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nutrition - Page 11

  • Pourquoi le sucre des fruits est bon pour la santé…

    et le sucre transformé ne l’est pas

    Les fruits sont, avec les légumes, incontournables de tout régime alimentaire sain et un tant soit peu équilibré. Ils se caractérisent souvent, entre autres, par leur douceur – surtout lorsqu’ils sont bien mûrs. Ce goût suave si apprécié provient de leur forte teneur en un type de sucre qui, on ne sera pas très surpris… s’appelle le fructose ! Ils contiennent également du glucose, mais en quantité beaucoup plus faible.

    Nous allons nous concentrer sur le premier de ces deux sucres. Car, paradoxalement, le fructose pourrait bien être le plus nocif pour notre santé.

    Le fructose est, avec le glucose, un composant du sucre blanc (ou de table) et du sirop de maïs. Ces deux édulcorants sont utilisés comme ingrédients courants dans la préparation des aliments transformés, des sauces et condiments, des sucreries et des boissons gazeuses sucrées.

    C’est là que le problème commence. De nombreuses études associent une consommation accrue de ces produits à une incidence plus grande de maladies métaboliques telles que l’obésité, le diabète, la stéatose hépatique (l’excès de graisse dans le foie) et les lipides sanguins.

    Quantité et qualité, les deux paramètres clés

    Concernant la question de la quantité. La hausse de consommation de produits alimentaires riches en édulcorants entraîne, en parallèle, celle de l’absorption de calories. Calories qui, si elles ne sont pas brûlées, s’accumulent sous forme de graisse dans l’organisme et vont favoriser le développement des maladies métaboliques indiquées ci-dessus.

    Malheureusement, ce type de régimes hypercaloriques, pauvres en fruits et légumes et riches en graisses et fructose, s’est mondialisé – d’où la croissance épidémique de ces pathologies.

    Pourtant, si vous consultez un diététicien ou un nutritionniste, vous trouverez toujours le même conseil : pour être en bonne santé, mangez environ cinq portions de fruits et légumes, réparties sur les différents repas de la journée.

    La consommation quotidienne modérée d’un aliment naturel et non transformé, tel qu’un fruit, est par contre saine. Et faisons preuve de bon sens : il ne s’agit pas de manger deux kilos de poires et un melon par jour !

    Pour ce qui est de la qualité, maintenant. Le fructose se transforme très facilement en graisse dans le foie. Pour une même quantité de fructose et de glucose, le premier va produire plus de graisse dans le foie. Ce qui fait que du fructose en excès a plus de risque d’altérer notre métabolisme et de faciliter l’apparition de maladies métaboliques que les autres sucres.

    Mais alors… Ces pathologies sont-elles aussi favorisées par la simple consommation de fruits, également riches en fructose ?

    Tout est dans l’emballage

    Un petit mot de rappel, déjà, sur l’évolution de notre espèce. Nous sommes, quoi qu’en pensent certains, des singes et les chimpanzés sont nos lointains cousins. Pendant des millions d’années, nos ancêtres se sont adaptés à une alimentation variée, riche des légumes, graines et fruits cueillis.

    Lorsque nous prenons du fructose de manière traditionnelle, si l’on peut dire, nous ne l’ingérons pas seul mais associé à son “emballage“ naturel: le fruit dans son entier, avec tous ses autres composants – fibres, minéraux, vitamines, etc.

    C’est pourquoi nous devons mâcher consciencieusement chaque morceau que nous mangeons. Ce faisant nous mélanger ces différents composants, dont les abondantes fibres, avec notre salive et nos sucs digestifs. Cela signifie que le fructose contenu dans le fruit est incorporé lentement et associé à de nombreux autres éléments dans notre organisme.

     

    Ce qui permet à nos cellules intestinales d’absorber et de consommer la grande majorité du fructose qui arrive. Si bien qu’au final, seule une très faible partie de celui-ci parvient au foie via le sang pour être transformée en graisse.

    Le problème du fructose prit sous forme transformée, et notamment liquide (jus et soda), est qu’il est absorbé trop vite et en trop grande quantité. New Africa/Shutterstock

    Voici comment le sucre transformé agit dans notre corps

    À l’inverse, lorsque nous absorbons une grande quantité de fructose “sorti de son milieu naturel“, que ce soit dans un bonbon, une sauce, une glace ou, pire, sous forme liquide, dans une boisson sucrée par exemple, la situation est très différente.

    Nous inondons littéralement notre tube digestif de fructose dissous dans l’eau. Ce dernier est rapidement absorbé par les cellules intestinales, mais elles sont rapidement débordées et une large partie continue donc son chemin jusqu’au foie. Où il va être transformé en graisse…

    Le foie est chargé de distribuer cet excès de graisse dans tout le corps. Si cela se produit de manière isolée, cela n’a guère d’importance. Mais une consommation importante et fréquente va dépasser nos capacités de régulation et, à long terme, entraîner des problèmes de santé. Cet excès de graisse déposé dans notre corps peut entraîner obésité, diabète, l’hypercholestérolémie, etc.

    Avec le temps, les troubles métaboliques augmentent également le risque de souffrir d’une crise cardiaque ou même d’un cancer. Par exemple, une étude a récemment été publiée et montre que plus la consommation de sucre est élevée, plus l’incidence du cancer est importante.

    Mais attention! Cette liaison dangereuse fructose-pathologies s’applique principalement à la consommation de sucre sous forme liquide. De plus, lorsque l’association entre apparition de cancers et consommation de jus de fruits est spécifiquement étudiée, elle est positive : plus la consommation de jus de fruits est élevée, plus l’incidence des cancers est importante.

    Le sucre des fruits: bon ou mauvais ?

    Si vous avez lu ce qui précède, vous devinez la réponse… Consommer des fruits est évidemment bon. Car nous les croquons, les mâchons, les mélangeons à d’autres aliments pour les rendre plus faciles à digérer. De cette façon, ses divers composants, y compris le fructose, sont lentement incorporés dans notre corps.

    Mais lorsque nous buvons du jus de fruits, la situation est différente. Nous absorbons beaucoup plus de fruits que si nous devions les éplucher, les mâcher, etc. De plus, comme nous ne prenons pas le fructose dans son « emballage naturel », il est absorbé d’un seul coup, rapidement, atteint le foie et une fois là, on a compris ce qui se passait.

    Les fruits sont donc de préférence à consommer en tant que tels, et les jus un plaisir auquel on peut s’adonner de temps en temps.

    Et si vous décidez de boire un jus, n’enlevez pas la pulpe ! La pulpe aide le sucre contenu dans le fruit à pénétrer plus lentement dans notre organisme, tout comme cela se produit lorsque nous mangeons le fruit directement…

    Auteurs: Juan Carlos Laguna Egea - Catedrático de Farmacología, Universitat de Barcelona

    Marta Alegret Jorda - investigadora en el Departamento de Farmacología y Química Terapéutica, Universitat de Barcelona

    The Conversation ES. CC BY ND

  • Vitamine de la beauté

    La vitamine C est utilisée depuis plusieurs siècles en raison de ses nombreux bienfaits pour l’organisme et la santé. Cette molécule possède notamment un large éventail d’effets bénéfiques pour la peau, et est très souvent recommandée par les dermatologues dans de nombreuses situations. De la cicatrisation à la protection anti-UV en passant par le raffermissement de l’épiderme, la vitamine C est un allié de choix lorsqu’il s’agit de prendre soin de sa peau.

    La vitamine C est un puissant antioxydant qui peut neutraliser les radicaux libres. En raison de ses propriétés antioxydantes, la vitamine C aide au processus de régénération naturel de la peau, ce qui aide le corps à réparer les cellules cutanées endommagées. Ainsi, de la même manière que la consommation d’aliments riches en antioxydants aide le corps à lutter contre les radicaux libres, les antioxydants topiques font de même pour la peau en aidant à compenser les agressions quotidiennes comme les dommages causés par les UV et l’exposition à la pollution de l’air.

    En effet, les antioxydants préviennent ou réduisent les dommages à nos cellules en neutralisant la production de molécules hautement réactives appelées radicaux libres. En d’autres termes, les antioxydants aident à garder notre corps et nos cellules de la peau en bonne santé. Ce pouvoir de lutte contre les radicaux libres n’est pas seulement important pour aider à garder les signes de vieillissement prématuré à distance. En neutralisant ces radicaux libres, la vitamine C peut également aider à protéger la peau contre les changements précancéreux causés par l’exposition aux UV.

    La vitamine C est un ingrédient puissant dans de nombreux produits anti-âge. Certaines études montrent qu’elle peut réduire l’apparence des rides lorsqu’elle est utilisée pendant au moins 12 semaines. Une alimentation saine riche en ce nutriment pourrait également aider. La recherche suggère que les personnes qui consomment plus de vitamine C développent moins de rides. Combinée à différents actifs, la vitamine C est un excellent moyen de prendre soin de sa peau quotidiennement à tout âge.

    Un large éventail d’effets bénéfiques pour la peau

    Les bienfaits de la vitamine C pour la peau ne se limitent pas à son statut antioxydant. Elle possède de nombreuses autres propriétés cicatrisantes pour la peau qui la rendent digne d’une place permanente dans votre armoire à pharmacie. D’une part, lorsque la vitamine C est utilisée localement, car elle est très acide, la peau est amenée à se guérir en accélérant la production de collagène et d’élastine. Le collagène et l’élastine sont tous deux des fibres protéiques naturelles qui aident à garder la peau rebondie et ferme.

    effet vitamine c peau

    La vitamine C possède de nombreux effets bénéfiques pour la peau, parmi lesquels : unification du teint, illumination du teint, cicatrisation accélérée, réduction des taches brunes, production de collagène, antivieillissement, réparation accélérée des lésions de la peau et réduction des rides. Certaines crèmes sont spécifiquement conçues pour apporter ce soutien nutritif à la peau.

    Dans une étude, le gel de vitamine C appliqué sur la peau a rendu des cicatrices chirurgicales moins visibles. Dans l’expérience qui a inclus 80 personnes, la moitié d’entre elles ont appliqué quotidiennement le gel de silicone infusé de vitamines sur leur plaie pendant 6 mois après le retrait de leurs points de suture. Par la suite, leurs cicatrices étaient moins visibles que celles des personnes n’ayant pas utilisé le produit.

    Ainsi, en aidant à promouvoir la production de collagène, la vitamine C topique peut aider à prévenir le vieillissement prématuré de la peau. Une autre chose intéressante à propos de la vitamine C : elle contient une propriété qui inhibe la production de mélanine de la peau, ce qui provoque la décoloration de la peau comme les taches brunes et l’hyperpigmentation. Avec une utilisation topique continue, la vitamine C peut aider à prévenir la formation de taches brunes en premier lieu.

  • Les myrtilles ont-elle vraiment des bienfaits?

    Cet article est publié en collaboration avec “Pour une meilleure santé“ (PuMS): l’émission santé grand public conçue par des universitaires. Coproduit par l’Université de Paris et EM&I Production, ce rendez-vous mensuel d’actualité de la santé est animé par le Dr Boris Hansel.

    Quel rapport existe-t-il entre la savoureuse myrtille de nos sous-bois et les pilotes de chasse anglais qui harcelaient les bombardiers allemands durant leurs raids nocturnes sur Londres, pendant la Seconde Guerre mondiale ? Selon la légende, les militaires de la Royal Air Force auraient consommé de la confiture de myrtilles en quantité afin d’améliorer leur vision nocturne, ce qui aurait expliqué leur supériorité dans les combats aériens.

    La véracité de cette belle histoire est toutefois mise en doute : il s’agissait probablement plutôt d’une manœuvre de désinformation visant à cacher aux soldats de la Wehrmacht l’existence du radar, dont l’efficacité nocturne est, elle, certaine. Les rares études menées pour vérifier les capacités des extraits de myrtilles à améliorer la vision de nuit montrent en effet que leur consommation ne semble pas être plus efficace que celle d’un placebo. Si les myrtilles ne permettent pas d’améliorer la vision nocturne de personnes saines, ont-elles un effet sur une vision dégradée ? Bien que certains travaux chez l’animal ou in vitro suggèrent l’existence de mécanismes plausibles, jusqu’ici aucune étude clinique d’ampleur permettant de le vérifier de façon satisfaisante n’a été menée chez l’être humain.

    Mais qu’en est-il des autres vertus prêtées aux petites baies violettes ? Lutte contre les problèmes circulatoires, diarrhées, ulcères… Le folklore attribue à la consommation de myrtilles de nombreux bienfaits, mais seuls certains d’entre eux ont été attestés par des travaux scientifiques.

    DES PIGMENTS AUX PROPRIETES ANTIOXYDANTES

    Que contiennent donc les myrtilles? Un peu de sucre (de 6 à 10 grammes pour 100 grammes de baies), des fibres, des tanins, des vitamines, des oligo-éléments et des polyphénols, dont les effets bénéfiques sur la santé font l’objet de nombreux débats. Parmi ces derniers, les plus notables sont les anthocyanines, des pigments auxquels les myrtilles doivent leur tenace couleur bleu violet.

    Ce sont les propriétés antioxydantes de ces molécules, appartenant au groupe des flavonoïdes, qui expliqueraient certains des effets des myrtilles : elles limiteraient la dégradation des cellules par les “radicaux libres“. Dérivés de l’oxygène, ces composés chimiques sont très réactifs, et très toxiques. Ils ont en effet capables d’interagir avec les molécules des structures cellulaires et de les endommager en les “oxydant“, provoquant un stress dit “oxydatif“ - à ne pas confondre avec le stress lié à l’angoisse ou une anxiété.

    Une consommation associée à une diminution des risques d’infarctus et de diabète

    En s’appuyant sur des données collectées grâce à la cohorte des infirmières américaines de la célèbre “Nurses Health Study“, des scientifiques ont pu montrer que la consommation, au moins trois fois par semaine, de fruits riches en anthocyanine (myrtille et fraise) était associée à une diminution des infarctus du myocarde.

    C’est également grâce à cette même cohorte, augmentée des 40 000 médecins de la cohorte “Heart Protection Study“, qu’en 2012, une étude a montré que la consommation d’aliments riches en anthocyanines (en particulier des myrtilles) était associée avec un risque moindre de survenue de diabète de type 2 (jusqu’à 20 % de diminution).

    PuMS_L’EMission santé de l’Université de Paris et de l’AP-HP fait le point sur les vertus des myrtilles.

    DES EFFETS SUR LES NEURONES CHEZ LE RAT

    Au début des années 2000, des travaux ont révélé que la consommation d’extraits de myrtille redonnait une nouvelle jeunesse à des rats vieillissants : elle améliorait l’état de leur mémoire et leur motricité, et modifiait leurs neurones cérébraux.

    Il n’en fallait pas plus pour lancer les recherches visant à tester l’effet des myrtilles sur la mémoire. Parmi les centaines d’articles produits sur ce sujet, une revue récente en a identifié une douzaine de bonne qualité. Les travaux qu’ils rapportent ont évalué les résultats de la consommation d’extraits de myrtille, comparée à celle d’un placebo. Indiscutablement, on observe une (légère) tendance à l’amélioration des performances mnésiques lors des tests.

    Évitons toutefois de nous emballer. L’interprétation de ces résultats est en effet problématique, car les doses d’anthocyanines ingérées varient fortement d’une étude à l’autre (de 1 à 100). Par ailleurs, les durées d’expérimentation sont également très hétérogènes (de quelques jours à quelques mois). Il est donc impossible de tirer des conclusions définitives, et encore moins de formuler une recommandation précise en matière d’alimentation.

    Quoi qu’il en soit, une chose est certaine: de par leur composition (faible taux de sucre, présence de fibres, forte teneur en composés antioxydants…), rien ne s’oppose à la consommation de myrtilles dans le cadre d’une alimentation équilibrée. Mais attention, toutes les myrtilles ne se valent pas!

    MYRTILLES SAUVAGES OU MYRTILLES CULTIVEES ?

    Si le volume représenté par la cueillette des myrtilles sauvages reste difficile à évaluer, la culture de la myrtille se développe dans le monde entier, en particulier au Maroc et au Pérou, qui mettent en place des filières bio. À l’heure actuelle plus de la moitié de la production mondiale de myrtilles, estimée à plus de 700 000 tonnes/an en 2014, reste cependant produite par États-Unis et le Canada, l’Europe n’en produisant qu’un dixième. Vous pouvez vous aussi cultiver des myrtilles dans votre potager. Pour obtenir des fruits, veillez à planter deux arbustes de variétés différentes, dans une zone légèrement ensoleillée, à proximité de fleurs qui attireront les insectes pollinisateurs.

    Il faut cependant savoir qu’il existe une différence entre la myrtille dite sauvage (Vaccinium myrtilloides), dont la pulpe colorée tache les doigts, et la myrtille de culture (Vaccinium corymbosum), plus grosse. La pulpe de cette dernière est blanche, donc moins riche en anthocyanines. Il est donc probablement préférable d’ingérer des myrtilles sauvages plutôt que des myrtilles de culture.

    Attention toutefois: les myrtilles sauvages peuvent être responsables de l’échinococcose alvéolaire, une maladie très grave du foie due à un ver minuscule (Echinococcus multilocularis). Celui-ci parasite les renards, dont les déjections peuvent contaminer les myrtilles, qui poussent à hauteur de sol.

    Pas de panique: le nombre d’infections est très rare (moins d’une vingtaine par an en France), et il existe désormais un traitement efficace pour cette maladie autrefois mortelle. Si ce risque vous inquiète malgré tout, l’alternative est de consommer les myrtilles cuites, sous forme de tarte par exemple…

    Auteurs: Boris Hansel - Médecin, Maître de conférences des universités-praticien hospitalier, Inserm U1148, Faculté de Santé, Université de Paris

    Philippe Giral - Maître de conférence des universités - Praticien hospitalier, Institut E3M, AP-HP

    Conversation. CC BY ND

  • Trois verres, bonjour…..

    Les alcools les moins caloriques par dose usuelle

    Le pastis

    Pour obtenir un bon pastis, on noie 2,5 cl de pastis dans de l’eau, pour un total d’environ 68,5 calories.

    Vin blanc sec

    Bu très frais sur une terrasse ou pendant un repas, le vin blanc sec est un des vins les moins caloriques avec 69 calories pour son verre de 12,5cl.

    Whisky

    Pour un verre de 3 cl sans ajout de soda, un verre de whisky pur contient 74 calories.

    Vin rosé

    Consommé surtout l’été pour son côté frais, un verre de rosé de 12,5 cl contient 89 calories.

    Le cidre

    Cette boisson réalisée à partir de jus de pomme fermenté renferme entre 2 et 8 % d’alcool et ne contient que 93 calories pour un verre de 25 cl.

    Le vin rouge

    Bu de préférence à table avec des plats d’inspiration méditerranéenne, un verre de vin rouge de 12,5 cl contient 95 calories.

    Le vin blanc normal

    Le vin blanc est (en moyenne) légèrement plus calorique que le vin rouge : un verre de 12.5 cl contient 97 calories.

    Le champagne

    Cette boisson de fête contient 102 calories pour 12,5 cl.

    Quelle est la bière la plus calorique ?

    La bière est une incontournable des apéritifs, notamment en été où elle permet de se désaltérer. Mais cet alcool est très riche en glucides ce qui en fait un des alcools les plus caloriques par rapport à la dose généralement consommée.

        Bière forte : 206 calories

        Bière brune : 132 calories

        Panaché : 119 calories

        Bière blanche : 114 calories

    Les cocktails les moins caloriques

    Les cocktails sont des bombes caloriques grâce aux sodas, jus, sucre ajoutés… Voici les 6 moins caloriques (mais qui restent très riches en calories) :

    Le Mimosa

    C’est un cocktail à base de champagne avec un peu de jus d’orange. Pour un verre on obtient environ 75 calories.

    L’Americano

    On mélange du Campari avec du Martini et de l’eau gazeuse, pour un total d’environ 110 calories.

    Le Spritz

    On mélange du Campari avec du Prosecco, de l'eau gazeuse, des glaçons et des zestes d'orange, pour un total de 120 calories.

    Le Bloody Mary

    Un verre de mélange de jus de tomate avec un peu de vodka et des épices contient environ 123 calories.

    Le Bellini

    Vin blanc sec et un peu de jus de fruit à la pêche, pour environ 125 calories.

    La Margarita

    Un peu de téquila, de cointreau et du jus de citron (avec beaucoup de glace pilée), dans un verre comptant 140 calories.

    Punch

     

    L'ajout de jus de fruit augmentant considérablement la teneur en calories des cocktails, le punch contient donc 243 calories pour un verre de 15 cl.

    Kir royal

    L'ajout de champagne qui donne le fameux kir royal classe ce cocktail parmi les plus caloriques, 138 calories pour un verre de 12,5 cl.

    Quel est l'alcool qui contient le moins de sucre ?

    Voici les alcools qu’on peut consommer a priori, toujours avec modération et en gardant à l’esprit qu’on ignore encore les vrais effets de l’alcool sur la cétose.

    Parmi les moins riches en sucres, les alcools forts :

        Brandy : 0 glucide

        Téquila : 0 glucide

        Rhum : 0 glucide

        Vodka : 0 glucide

        Whisky : 0,5 glucide

        Champagne : 1 à 4 g de glucides par verre

        Vin rouge : 1 à 3 g de glucides par verre

        Vin blanc : 1 à 4 g de glucides par verre

        Bière brune : 13 g par verre

        Bière forte : 15,18 g par verre

        Punch : 26,7 g par verre

    QUELQUES CONSEILS

    Avant tout, il faut être raisonnable avec l’alcool. Il est recommandé de ne boire qu’une ou deux boissons alcoolisées par heure. Cela permet d’éviter d’être ivre, tout en limitant les calories.

    Rappel: l’Organisation Mondiale de la Santé préconise deux verres d’alcool pour la femme et 3 pour l’homme au maximum par jour.

    Esayez de boire un verre d’eau entre chaque verre d’alcool. Ce dernier déshydrate énormément l’organisme ce qui peut engendrer la “gueule de bois“ du lendemain.

    Une astuce perso: après les libations et ripailles, au moment du coucher boire une infusion de persil frais: dans une tasse, laissez infuser 7 à 8 brins de persil. Boire non sucré

    Faites attention à ce que vous mangez quand vous buvez.

    Souvent les snacks et apéritifs sont très salés et caloriques. Non seulement ils ne vous nourrissent pas, mais ils vous donnent encore plus soif, et vous allez consommer plus d’alcool. Il existe des graines non salées: noix de cajou, cacahouette, etc…

    Essayez d’opter pour des apéritifs plus légers comme des crudités avec une sauce au fromage blanc, des olives, un mélange de noix, ou des tartinades “maisons“. Il y a pas mal de recettes ici à trouver dans la boîte outil “recherche“