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recettes - Page 72

  • Le parlé toulousain... celui des natifs de Toulouse - 1

    A

    A bisto de nas: au pifomètre. De l'occitan "a vista de nas", "à vue de nez"

    Abattis: expression: je vais te caresser les abattis! battre quelqu'un

    Adieu! ou Adiou! (se prononce: a di ou!): interj. "Salut !" De l'occitan "adiu", usitée aussi bien pour aborder quelqu'un que pour en prendre congé

    Antchoubi! ou antchouli!: exclamation, expression de surprise (comme boudu!)

    Arranquer: arracher

    Astiaou: emmerdeur

    Atal: permet d'indiquer une mesure approximative en l'accompagnant d'un geste de mains évoquant la dimension. De l'occitan atal, ainsi. "Il a pesqué un poisson, il était atal, té!" (Pesqué: péché)

    Atcher: regarder (déformation de l'occitan agachar, regarder) “atche le drolo“ (regarde ce gosse insupportable)

    Atchouler (s'), atchouffer (s'): tomber sur le cul. De l'occitan cuol (prononcer tchoul: cul)

    Avé: avec

     

    B

    Ba pla: va plan, "ça va bien" souvent on rajoute un bruit de lèvres, genre “hooo“ les “o“ diminuent et disparaissent sous les lèvres closes

    Peut être aussi posé sous la forme interrogative Bas pla? "tu vas bien?"

    Bader: de l'occitan badar – t'a pas fini de me bader!?

    1. regarder avec curiosité ou intérêt et fascination

    2. être dans les nuages, demeurer sans rien faire – arrête de bader, fais ton boulot!

    Baderne: niais, nigaud; veilles badernes “vieux co…."

    Baloche: fête populaire de village ou de quartier avec bal, qui revient tous les ans.

    Barjaque: un peu fou ou “complètement barjaque, té“!

    Barjot: fou – Barjotte: folle

    “Tous les fous ne sont pas à Baraqueville!" Baraqueville: hôpital des fous.

    Bartas: buissons qui bordent les fossés au bord de la route

    Bay: "va ", n'affecte pas le locuteur. "Bay, advienne que pourra" ou Vay – l'y“ se prononce “ï“

    Bé: é oh bé! -  éh bé, selon l'intonation, marque l'hésitation, l'étonnement, la réprobation.

    “Bé un (le “u“ se dit “ou“) cop“: expression parlé: bois un coup-

    Bèbe: faire la bèbe, bouder

    Bedel: un veau

    Bèï caga: pour renvoyer quelqu'un l'envoyer promener. De l'occitan "vèi cagar", "va chier"

    Bernard-pudént, bernat-pudént: punaise (la bestiole !)

    Bestiasse: abruti(e), fou

    Bestiou, bestioulet: nigaud

    Bicouse: mèche de cheveux rebelle

    Birouléger: virevolter – le “u“ se dit “ou“

    Bombasse: jeune fille, femme (utilisé lorsqu'on n'a pas les mots pour décrire une femme magnifique)

    Bon peu (un ~): une certaine quantité, assez importante. Traduction littérale de l'occitan "un bon pauc" - le u se dit ou

    Boudu!: exclamation et expression de surprise ou d'agacement. "Boudu que calou aujourd'hui" approximativement "bon Dieu qu'il fait chaud aujourd'hui" - souvent renforcé par le célèbre "boudu con" ! - De l'occitan "bou Diu" (le “u“ se dit “ou“) = "bon Dieu"

    Boudoufle: bébé joufflu

    Bouillave: boue; mais aussi: faire trop l'amour “ça bouillave sec“

    Bouffarel (l'ange): nom donné à une personne joufflue. "Regarde-le, on dirait l'ange Bouffarel!"

    Bouffe: baffe, gifle

    Bougne, bugne : bosse au front, grosseur, enflure. Coup, choc.

    Boulard : grosse bille à jouer

    Bouléguer: remuer, mélanger. De l'occitan bolegar (prononcer " boulega ")

    Bourmal (mettre un): mettre un coup de poing

    Bournich: maladroit : expr. petit et degourdich, gran estala bournich = petit et dégourdi, grand et maladroit

    Bourmélous, -ouse: morveux, au propre et au figuré

    Braguer: rajuster le pan de chemise dans le pantalon

    Brandouiller: branler, bouger

    Branque, Branquignol: fou

    Brave: un peu bête, idiot.

    Brêle: bon à rien, nul ou nulle

    Bringue (à toute): très vite, à toute allure. Syn; : à toute blinde.

    Bringaïre: fêtard

    Bringuer: faire la fête, (on dira aussi faire la bringue)

    Bufadou ou bouffadou: soufflet, bâton percé en longueur pour attiser le feu

    Buffe: sexe féminin

    La blague: quand est-ce qu'une femme ressemble le plus à un cow-boy?

    quand elle est sur son bidet et qu'elle a la buffe à l'eau!

    Buffer: souffler, souffle court; le vent d'autan souffle fort: buffo bén! buffo bio!

    Bugne: un coup

    Bugné: qui a reçu ou qui s'est donné un coup: "je me suis bugné"

     

    C

    Cabourd: brute, dingue, une personne qui agit de façon brutale et irréfléchie: cabourde

    Cagade: (vulg.) chiure; échec; rater quelque chose, action très maladroite… "Il a fait une cagade"

    Cagadou ou cagatou: wc

    Cagagne:

    1. diarrhée

    2. blues, cafard, manque de chance

    Cagaïre: emmerdeur ou emmerdeuse

    Cagasse, cagagne  (vulg.) diarrhée, chiasse

    Caganes (les), cabèches: Les toilettes

    Cagnard, cagnàs: grosse chaleur, canicule

    Cagne: flemme

    Caguette: bébé chieur, petit nom de bébé

    Caguer:

    1. chier

    2. s'en moquer: j'en ai rien à caguer!

    Canaillou, -ne: fripon, -ne

    Caner: crever "je suis cané"

    Cansalade, ventrêche: lard de la poitrine et du ventre du cochon. De l'occitan cansalada

    Caouèc, -èque: idiot, fou

    Cap d'ase: tête d'âne

    Cap de mul: tête de mule

    Cap de porc: tête de porc

    Capèl, capèu, capet, capelut: chapeau

    Carbonade: grillade de cochon. De l'occitan carbonada

    Care: honte, "j'ai pris la care devant tout le monde"

    Cascant: sale

    Casquer: recevoir des coups

    2.: payer cher!

    Castagne (châtaigne): bagarre

    Cepe: couillon, "dis pas n'importe quoi, grand cepe va "

    Chichourle (fan de): Exclamation. Grosse surprise : " Oh, fan de chichourle! "

    Chocolatine: pain au chocolat

    Churluper ou churluquer: faire du bruit en absorbant un liquide comme la soupe avec la cuillère; on ajoute parfois tchu devant: tchurluper

    Cligner, clugner: compter (à cache-cache)

    Clos: crâne: "je me suis fait mal au clos!" Prononcer "closs". Occitan clòsc, coquille, crâne.

    Cluques: les lunettes

    Coucougne: petit nom de bébé

    Coucougner, coucouner, coucounéjer: dorloter, cajoler

    Couffe, couffade, couffignolerie: erreur, gaffe

    Couffle: être couffle: avoir trop mangé

    Couillonnét ou "couillounous": petit couillon

    Couillonner: rouler, arnaquer

    Coustelous: morceaux de côtes de porc

    Cramer: brûler, peur être aussi employé lorsqu'une personne a perdu contre un adversaire: "il s'est fait cramer"

    Craque: mensonge, "raconter des craques" = "raconter des histoires"

    Croustade: gâteau de recettes diverses suivant les lieux, le plus souvent: tarte aux pommes

    Croustet: le quignon, l'extrémité de la baguette, morceau de pain comportant de la croûte, c'est aussi le petit bout de pain qui traîne après le repas. “malfiso! (attention): Tu sortiras pas de table tant que tu laisse des croustets!"

    Cufelle: épluchures, ce qu'on peut mettre dans une poubelle de table

    Cul de guêpe: quelqu'un de maigre

    Cuque: nom que l'on donne à toute sorte d'insectes indéterminés.

    2. Personne petite et fluette.

    Cuquet: larve de phrygane qui sert d'appât à la pêche. Diminutif du précédent

    Currou: croupion de volaille

    Cussou: 1. vrillette ou ver du bois

    2. au figuré: individu avare

     

    Voyelles

    i -  Le i se prononce comme en français : un nis (un nid).

    u - Le u se prononce aussi comme en français (et non "ou" comme en espagnol !) : la luna (la lune).

    a - Le a tonique garde la même prononciation qu’en français: un pastre (un berger).

     Il se prononce " o " en majorité, lorsqu’il est en fin de mot (ou suivi d’un s) : trenta cadièras (trente chaises).

    è Le è se prononce " ouvert ", tout comme en français : un castèl (un château).

    e En revanche, le e qui ne comporte pas d’accent se prononce " é " comme dans été : negre (noir).

    o - Le o se prononce "ou": un ostau (une maison).

    ò -  Avec un accent grave, il reste prononcé "o" : un estilò, un bòsc (un stylo, un bois).

    Groupes de voyelles

    Diphtongues Lorsque deux voyelles se suivent à l’écrit, on prononcera les deux à l’oral selon la prononciation indiquée plus haut: una glèisa, un peis, lo coide (une église, un poisson, le coude).

    Le u dans une diphtongue va se transformer en " ou " exceptionnellement: una taula, lo teulat (une table, le toit).

    Triphtongues Lorsqu’il y a trois voyelles qui se suivent, on prononce les trois successivement: nuèit (nuit), fiau (fil), ieu (je, moi).

    Consonnes particulières

    lh Le groupe de consonnes lh se prononce comme dans le français de " escalier " : una fuèlha (une feuille).

    nh Le groupe de consonnes nh est l’équivalent du " gn " en français : una castanha (une châtaigne).

    Selon les régions et les variantes, on trouvera différentes expressions et traductions d’une même idée.

    À vous de reconnaître ou de choisir celle qui vous convient ou que l’on dit chez vous.

  • Quels sont les bienfaits du salsifis?

    Ses atouts santé ne sont donc pas vraiment documentés. Ce que l’on sait, en revanche, c’est que le salsifis est un légume-racine source de fibres. Ces fibres, et plus précisément l’inuline, ont plusieurs effets bénéfiques sur la santé, particulièrement digestive.

    Le salsifis est un légume racine plus glucidique que le navet, mais moins que la pomme de terre. Il peut donc très bien remplacer cette dernière dans les recettes car sa richesse en fibres lui confère un index glycémique (IG) beaucoup moins élevé que la patate.

    Est-ce que le salsifis fait grossir?

    La richesse en fibres du salsifis permet de prévenir la constipation en améliorant le transit intestinal, mais aussi certains cancers, comme celui du côlon, il prévient les maladies cardiovasculaires et permet de contrôler le diabète de type 2 ainsi que l’appétit donc la prise de poids.

    L’inuline est un très bon prébiotique. Comme elle n’est ni digérée ni absorbée par l’intestin, elle va fermenter dans le microbiote intestinal, ce qui est favorable pour l’équilibre de cette flore, ainsi que, par ricochet, pour le système immunitaire. L’inuline aurait un effet bénéfique sur les lipides sanguins, notamment quand ils sont trop élevés (hyperlipidémie). Cependant, ces études n’ont pas été réalisées spécifiquement avec le salsifis. Les fibres du salsifis sont bien tolérées : elles sont suffisamment douces pour ne pas irriter l’intestin et suffisantes en même temps pour exercer un effet bénéfique.

    Les extraits de salsifis, anticancer?

    Au Liban et en Palestine, le salsifis est utilisé en médecine traditionnelle contre le cancer. Des chercheurs ont donc évalué les effets d’un extrait alcoolique de salsifis in vitro et in vivo. Ils ont conclu à son caractère hépatoprotecteur. Par ailleurs, cet extrait aiderait à limiter la prolifération de certaines cellules cancéreuses. Ceux sont ses propriétés antioxydantes qui expliqueraient ses potentiels effets anticancer. Évidemment l’extrait de salsifis est bien plus concentré en composés protecteurs que le salsifis que l’on peut manger à table.

    Comment préparer le salsifis ?

    Le salsifis se trouve difficilement sur les étals de nos jours, en revanche on trouve de la scorsonère également appelée “salsifis noir“, en botte avec ses feuilles. Elle a une racine longue, cylindrique, recouverte de peau noire et une chair couleur crème. La texture du salsifis noir est moins fibreuse et plus charnue que celle du salsifis blanc.

    Il est préférable de choisir des salsifis noirs avec une racine ferme et fine, le mieux est de les acheter non lavés et avec leurs feuilles (signe de fraîcheur). Mais vous pouvez également les trouver en conserve et surgelés.

    Quelle conservation pour le salsifis ?

    Les salsifis frais se conservent de préférence dans un torchon ou du papier essuie-tout dans le bac à légumes du réfrigérateur pendant 2-3 jours.

    Vous pouvez aussi les congeler: pour cela, il faut au préalable les laver, les éplucher et les couper avant de les blanchir et de les mettre au congélateur.

    La cuisine du salsifis

    Le salsifis noir a tendance à tacher les mains et à s’oxyder rapidement. Pour éviter de vous salir les mains, deux options s’offrent à vous:

    Vous pouvez les faire tremper une heure avant de les éplucher, puis les mettre dans un bol d’eau froide additionnée de citron ou de vinaigre,

    Vous lavez les salsifis, puis vous les faites cuire à l’eau avec la peau, ce sera alors plus facile à éplucher.

    Si on trouve surtout le salsifis déjà cuit en conserve, il existe aussi en version crue sur les étals, qui peut se manger comme telle, après épluchage et découpage en fines lamelles. Le salsifis cuit peut aussi être refroidi avant d'intégrer une salade.

    Comment le cuire

    Il existe différentes manières de cuire le salsifis. La meilleure étant la cuisson vapeur pour éviter qu’il ne se défasse. Ensuite la cuisson à l’eau pendant 10-15 minutes, en surveillant bien afin qu’il garde une texture assez ferme.

    Il peut également être cuit à la poêle, au wok, ou encore au four en gratin.

     

    J'adore cette recette

    Poêlée de salsifis à la moutarde

    Pour 2 personnes:

    300 g de salsifis, 2 cuillères à soupe de moutarde forte

    5 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse

    10 g de beurre, 1 cuillère à café de muscade

    Persil et poivre

    Lavez et épluchez les salsifis, les couper en rondelle. Faites fondre le beurre, puis ajouter les salsifis, cuire 10 min feu moyen en surveillant

    Ajoutez la crème et la moutarde, bien mélanger, laissez cuire 5 min environ. Assaisonnez la poêlée à l’aide de la muscade, du poivre et du persil.

    Servir chaud.

  • Pommes de terre farcies aux champignons

    Faites chauffer le four à 180°

    Pour 4

    4 grosses pommes de terre; 150 g de champignons

    1 oignon; 1 gousse d'ail, 4 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse

    100 g de fromage râpé, persil frais haché, sel, poivre

    Choisir  des pommes de terres assez grosses et oblongues si possible

    Bien les laver et les faire cuire dans un grand volume d'eau salée bouillante pendant environ 25 minutes. (Plantez un couteau dans la chair pour vérifier la cuisson).

    Pendant ce temps, lavez et coupez les champignons en petits cubes. Émincez finement l'oignon et l'ail puis faire revenir le tout dans une poêle avec un filet d'huile d'olive pendant 5 à 10 minutes.

    Une fois les pommes de terre cuites, coupez le dessus en forme de chapeau et creusez pour récupérer la chair (sans faire de trou dans la peau). Déposez la chair dans un saladier et ajoutez les champignons cuits, les herbes ciselées, la crème fraîche et la moitié du fromage.

    Salez, poivrez et bien mélanger puis garnir les pommes de terre de cette préparation.

    Parsemez le reste de fromage râpé sur les pommes de terre farcies et enfourner 10 minutes à 180°C. dans un moule beurré.

  • Poivrons farcis à l'ancienne

    Pour 6 personnes

    6 poivrons. 4 tomates; 300g de riz, 40 g de graisse de canard

    250g de viande de boeuf haché ou chair de saucisse de Toulousqe

    1 gros oignons jaune, 3 gousses d'ail; Herbes de Provence

    1 cuillère à café de Piment d'Espelette

    Plongez 5 minutes les poivrons dans l'eau bouillante, détachez la peau puis coupez le chapeau et videz-les.

    Faites cuire le riz dans un grand volume d'eau. Puis faites dorer les cubes d'oignons et l'ail haché avec la viande et les dés de tomates. Assaisonnez avec les herbes et le Piment.

    Garnissez les poivrons et recouvrez avec le chapeau. Mettre dans un plat à four huilé. Enfournez à 200°C pendant 45 minutes.

     

  • Poulet basquaise (ultra-rapide)

    Pour ceux et celles qui ne veulent pas rester des heures en cuisine

    Pour 4 personnes

    4 cuisses de poulet; 6 tomates bien mûres (ou des tomates en boîtes au jus! déjà pelées!!!); 2 poivrons

    1 bouquet garni; 20 cl de vin blanc (correspond à un demi-verre à moutarde)

    Huile d'olive

    Faites dorer à part les cuisses de poulet, conservez au chaud.

    Coupez, épépinez les poivrons en lamelles. S'ils vous donnent des “remontées“ vous pouvez le peler avec un économe ou passez sur la flamme du gaz et pelez ensuite une fois la peau brûlée; (se pêlera plus facilement si vous le mettez dans un sac plastique encore brûlant de la flamme)

    Faites mijoter dans la cocotte les lamelles de poivrons, puis ajoutez les tomates coupées en 4 ou 6 (chacun pélera dans son assiette ou pelez-les en les faisant tremper deux minutes à l'eau bouillante) et assaisonnez. Mélangez.

    Intégrez les cuisses de poulet et le vin blanc. Laissez cuire 30 minutes à feu moyen

  • Tatin de pomme de terre à la cansalade

    Photo: cansalade roulée (de plus en plus difficile à trouver dans les boucheries)

     

    Préchauffez le four à 200°C.

    8 à 10 tranches de poitrine salée (cansalade plate)

    150 g de gruyère râpé

    7 pommes de terre cuites dans 40 mn d'eau bouillante

    1 fromage de chèvre coupé en cubes

    3 gros œufs

    20 cl de crème entière liquide

    1 pâte feuilletée

    Sel ou pas car la cansalade est très salée, poivre

    Ôtez la couenne de la poitrine plate et faîtes-là rôtir -à sec- dans votre poele en tôle

    Dans un moule bien huilé, disposez les tranches de poitrine cansalade et mettez par-dessus -bien étalé- le gruyère râpé, les pommes de terre cuites entières et pelées, ajoutez des cubes de chèvre et poivrez généreusement chaque couche, sauf la cansalade qui est déjà salée et poivrée.

    Dans un grand saladier, mettez les œufs. Battez en omelette et ajoutez  la crème. Mélangez au fouet inox.

    Recouvrez de crème votre moule, puis terminez en déposant la pâte feuilletée. Piquez la pâte pour éviter qu’elle ne gonfle à la cuisson. Faites cuire au four pendant 30 minutes. À la sortie du four, retournez la préparation sur un grand plat bien plat.

    En général: il faut toujours choisir de la porcelaine blanche entièrement ou  avec juste un dessin sur le rebord: en effet, les peintures utilisées sont, sans aucun doute, toxiques et leur chimie passent dans la préparation, notamment si elle est très chaude!

     

  • Une recette d'autrefois pour le goûter

    Pâte à tartiner de pommes au caramel

    un bon moyen de faire manger des fruits, même si la longue cuisson détruit pas mal les vitamines.

    Pour 1 pot

    2 grosses pommes qui a trainé dans le compotier; je préfère les “gala bio“

    100 g d'eau et 200 g de sucre

    Lavez, perlez et épépinezr les pommes, puis les coupez en cubes assez petits

    Faites les cuire, dans une casserole à fond épais, avec 100 g d’eau jusqu’à obtenir une purée. Avec un mixeur plongeant, mixez le tout pour obtenir une compote lisse.

    Dans une autre casserole à fonds épais, réalisez un caramel à sec: mettre 1/3 du sucre et laisser fondre. Ajoutez le 2ème tiers, le laissez fondre puis terminer par le tiers restant. Laissez le sucre fondre complètement, à feu modéré, sans remuer.

    Le caramel doit être blond. L'ajouter alors à la compote de pommes. Mélanger. Verser la pâte à tartiner encore chaude jusqu’en haut du pot.

    Elle se conserve une semaine au réfrigérateur.

    Les pommes font maigrir, mais pas cette recette à tartiner, donc, prudence!