Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société - Page 124

  • Il est fou, celui-là ou quoi?

    Je viens à l'instant même de fermer le téléviseur sur une Escapade de Petitrenaud, qui se déroulait à Marseille… En fait, je suis entrée dans l'émission au moment où le toqué de la toque, un certain Ludo, nous démontrait sa bouillabaisse, que d'ailleurs, il intitule, sans se casser la tête: “Ma bouillabaisse“.

    DANGER TOTAL dans chacun de ses moindres gestes!

    Il fait de la cuisine de “pin's“ comme dit ma fille, celle où l'assiette est 3 fois plus grande que ce qui est à l'intérieur; celle où, aussitôt que l'on a réglé la note (qui doit être à la hauteur de son arrogance), on file vite fait vers le Macdo en face pour avoir quelque chose qui vous rempli l'estomac. Ces trucs-gargottes sont ouverts tout le temps et il y en a tous les coins de rue, honte aux Français qui s'en repaissent!

    Je le vois faire cuire 1 poisson (rouget je crois, mais bon, j'ai déjà dit: je ne suis pas spécialiste en poisson, surtout qu'il s'agit là de filets) à la vapeur: simple comme bonjour; le petit bout de poisson est posé sur une assiette, il le filme bien serré et le pose sur une casserole d'eau bouillante, le bain marie que l'on connait tous.

    Vous me direz: et alors? le film étirable, c'est des composés chimiques en veux-tu en voilà… surtout quand on y dépose un aliment chaud.

    Puis, il prend l'autre poisson, il le met également dans un film et le pose sur une plancha qui est mouillée d'huile….

    Et alors? le film étirable, c'est des composés chimiques en veux-tu en voilà… et c'est bien pire si on le met à cuire avec l'aliment! par la plancha, le bain-marie ou autre!

    Et comme le toqué vous concocte la bouillabaisse à sa façon, il y a deux pommes de terre creusées d'un côté, dans lequel il verse la rouille, fait maison comme il se doit.

    Pour la rouille, je n'ai pas vu la préparation mais je suppose qu'il doit la fabriquer à sa manière désastreuse.

    Mais, là où j'avais envie de vomir, c'est qu'il a posé un morceau de pomme de terre pour le colorer, sur un grand plat de pain noir qu'il disait. Ce pain est brûlé à noir et réduit en poudre….. Réduit à noir: bonjour le cancer!

    Si vous n'avez pas le cœur sensible, visitez mon site

    www.tradi-cuisine.com

    et lisez les dossiers; dans le blog, vous trouverez toutes les aberrations de la cuisine actuelle, des matériaux utilisés.  

    Et à la fin de l'émission, j'apprends que sa maman lui dirait, en le voyant faire: c'est pas comme ça qu'on fait (humour, il parait)

    Il vient d'avoir une étoile Michelin et il n'a que 26 ans nous commente joyeusement Petitrenaud!

    Je ne dis rien pour l'âge… bien sûr, tout le monde n'est pas parfait.

    Mais, je finis cette note par la morale de l'histoire pré-citée: surtout, n'allez JAMAIS PLUS dans ces restaurants étoilés, quel qu'en soit le nombre, car les préparations et la cuisine des produits mis dans leurs belles assiettes, c'est le plus court chemin pour aller à l'hôpital!

    Contentez-vous d'apprendre à cuisiner vous-même, faites les recettes comme autrefois, dans de bons articles de cuisine d'autrefois: du verre, de l'émail, de l'inox ou, au moins pire, de céramique.

    Contentez-vous d'apprendre à choisir les bon produits, même s'ils sont surgelés: les aliments sont D’ABORD surgelés avant d'être mis dans les sachets plastiques, donc, pour les décongeler sortez-les du sachet et laissez la tiédeur de votre cuisine faire.

    Contentez-vous de faire appel à votre bon sens…. votre intuition vous indiquera si vous agissez mal… d'ailleurs, votre corps vous le fera vite savoir si vous lui donnez n'importe quels mauvais aliments.

     

     

     

  • Vous prendrez bien un peu de bonheur?

     

    AMAI3.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Toulouse, capitale provisoire de la future grande région du Sud

    Toulouse devrait être le chef lieu provisoire de la future grande région réunissant Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon. Le choix opéré par l’État de retenir la Ville rose devra cependant être approuvé par les collectivités locales. Les deux conseils régionaux ont ainsi trois mois pour se prononcer.

    Le préfet de Midi-Pyrénées Pascal Mailhos, désigné pour piloter la fusion, saisira pour sa part le conseil municipal de Toulouse afin qu’il rende son avis.

    “Le chef-lieu provisoire fera office de chef-lieu de la nouvelle région à compter du 1er janvier 2016 et jusqu’à la détermination par décret en Conseil d’État du chef-lieu et du nom définitifs, soit au plus tard au 30 septembre 2016, après avis du conseil régional de la future région“, précisent les services de l’État.

    Ce qui correspond à ce que j'avais déjà mis en exergue sur les buts de mon blog: Occitanie!

    J'espère bien que ce nom sera choisi et pas un mélange de Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon..... il nous faut une dénomination simple et efficace!

  • Conférence: ne pas la manquer!

    Le 25 mai 1665, l'évêque de Montauban célébrait la première messe abritée par l'église Saint-Exupère. La construction de ce monument venait juste d'être achevée ! Les annales manuscrites de Toulouse nous apprennent que les Carmes déchaussés avaient invité les Capitouls à assister à l'office religieux. Pour célébrer cet anniversaire, l'association des amis de Saint-Exupère propose une vidéo conférence mercredi 27 mai de 18 heures à 19 heures dans la nef de l'église du même nom, 33, allée Jules Guesde. Ces 60 minutes ne seront pas de trop pour que les conférenciers, Marcel Smotkowitz et Pierre Houdart, nous dévoilent le très riche passé des lieux… entrée libre.

     

    201504242108-full.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • On se fout de notre gueule?

    TRÈS GROSSE COLÈRE

    Très concernée par la maladie, j'ai une alerte google sur ces mots clés et hier, je reçois l'invitation à aller lire cette note.

    Sclérose en plaques: l’Observatoire français à la recherche de piste environnementales?

    Alors que le vaccin contre l'hépatite B a été accusé, sans preuve, d’être en cause dans l’apparition de cas de Sclérose en Plaques (1)  des facteurs environnementaux pourraient être à l’origine de cette maladie qui touche en France environ une personne sur 650, soit entre 80 000 et 120 000 personnes, dont 5 000 nouveaux cas par an.

    Heu, ça c'est trop, c'est faux. Mentir pour récupérer toujours plus de fric!

    Allez plus bas pour l'URL de l'Inserm.

    http://www.enviscope.com/environnement/sante/sclerose-en-plaques-lobservatoire-francais-a-la-recherche-de-piste-environnementales/31190

     

    Quoi: du fric pour rechercher les facteurs environnants? Du pognon pour engraisser ces chercheurs ni plus, ni moins!

    Cela fait plus de trois ans qu'au Canada, on oblige les femmes enceintes et les enfants jusqu'à 6 ou 7 ans à avaler de la vitamine D en grandes quantités! Au Canada, ils ont une véritable épidémie de SEP: au moins 6000 personnes par an. En France, nous avons environ un peu moins de 2000 personnes chaque année.

    Il y a un super dossier très précis sur cette maladie ci-après l'URL: c'est pas rien, l'INSERM! ils ne disent pas le même chiffre du nombre de malades! alors quoi?

    http://www.inserm.fr/thematiques/neurosciences-sciences-cognitives-neurologie-psychiatrie/dossiers-d-information/sclerose-en-plaques-sep

    Il y est déjà décrit que la SEP peut provenir de facteurs environnementaux...  Chaque année, le 30 Mai, c'est la journée mondiale de la SEP: les neurologues se réunissent en congrès pour se passer les infos. Et, ils savent bien déjà que le manque de soleil est un facteur très important: pas de soleil, pas de vitamine D…. (nous, les phytothérapeutes, nous savons depuis des années que ce que l'on nomme “vitamine D“ est bien plus important qu'une simple vitamine: c'est une hormone, quelque chose de très important dans notre organisme.)

    Ce fric qui est dépensé pour dire ce qui déjà a été dit dans d'autres pays, il vaudrait mieux le mettre à rechercher dans les pays où l'on planque les femmes sous des ponchos à grille pour les yeux avec gros bas, et gants: ces femmes-là, elles ne doivent pas trop récupérer la vitamine D du soleil.

    Il faudrait enseigner (avec ce pognon dépensé pour engraisser de la soi-disant élite* scientifique) dans certains pays, à tous leurs propriétaires, que si leurs femmes et filles sont des marchandises, ils vont perdre de la rentabilité de leur capital s'ils vendent des marchandises avariées par la SEP.

    *Les élites scientifiques: s'ils étaient aussi doués, ils auraient trouvé le médoc pour nous guérir de cette maladie, incurable actuellement. A part la cortisone à hautes doses (perso, 500 g dans le coco tous les mois en perf pendant 5 ans et demi et des cachets anti-leucémie aussi longtemps, je n'ai pas vu d'amélioration de la maladie mais j'ai une telle tronche que je ne me regarde plus depuis longtemps dans les vitrines ou les glaces de la maison!), ils n'ont trouvé que le moyen de se remplir les poches avec le pognon de la France (nos impôts) pour aller sur toute la planète se pavaner dans des hôtels de séminaires en séminaires, où comme la fable du Chat et des Rats, de Lafontaine, “concile vain est ainsi tenu“!

    Il n'y a pas si longtemps, en France, on avait 1 cas par mois. Vous devinez tout(e) seul(e) sans autres commentaires, pourquoi chez nous, de plus en plus de cas sont répertoriés.

    Il n'y a pas que le manque de vitamine D, c'est aussi la faute à pas de chance: Le fait d'avoir une hérédité de maladies auto-immunes: comme c'est mon cas (et celui de ma fille); C'est dans ma famille paternelle. Et la famille maternelle, a mis aussi son grain de sel pour nous causer du souci supplémentaire: à défaut d'être la 3 ou 4e dynastie de nobles et Grands de FRANCE, ou autres fortunes du CAC 40, nous avons un héritage qui vaut son pesant d'emm…. c'est la vie! et on n'est pas seul-es dans ce cas sur la planète: on fait de son mieux pour faire avec mais, au moins, on essaie pas de prendre du fric sur la malchance de la vie, comme ces malfaisants, ci-haut, désignés, le font.

    Bande de faux-culs!

     

  • Du l'art(d), du cochon, poil au menton!

    Des chercheurs toulousains feront se mouvoir des arbres au rythme de leur sève lors de la Biennale de Venise 2015

    Des arbres évoluant au milieu du public, au rythme de leur physiologie et des conditions météorologiques: c’est l’étonnant projet auquel ont participé des chercheurs du CNRS et de l’université de Toulouse dans le cadre de "Révolutions", une installation de l’artiste Céleste Boursier-Mougenot. Jean-Paul Laumond, Directeur de recherche CNRS au LAAS-CNRS et spécialiste en robotique revient sur cette incroyable participation.

    Toulouse Infos: Comment a débuté cette collaboration avec l’artiste Céleste Boursier-Mougenot?

    Jean-Paul Laumond: J’ai rencontré Céleste Boursier-Mougenot à l’automne dernier lors de l’exposition qu’il a donné au musée des abattoirs, à cette occasion il avait mis en mouvement des pianos. J’ai été très sensible à son travail car le cadre de recherche en robotique sur lequel je travaille depuis des années s’intitule "le problème du déménageur de piano". J’ai été interpellé par ces pianos qui réagissaient en fonction du public et des variations atmosphériques.

    TI: En quoi consiste votre projet pour la Biennale 2015?

    JPL: Nous sommes partis sur le projet de faire évoluer 3 arbres au gré de leur métabolisme au sein du pavillon français. C’est une très belle ambition avec une connotation poétique dont la réalisation passait par la possibilité d’établir un lien entre des informations sensorielles propres à l’arbre et comment les faire se déplacer au milieu du public.

    TI: Ces arbres vont se mouvoir au rythme de la montée de leur sève, avec qui l’artiste a-t-il collaboré dans ce domaine?

    JPL: Pour quantifier la physiologie des arbres, l’artiste a collaboré avec Jérôme Chave du laboratoire Évolution et diversité biologique (CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier) et Valérie Le Dantec du Centre d’études spatiales de la biosphère (CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier/IRD/CNES). En fonction de la journée, un passage de nuages qui va masquer le soleil par exemple va avoir une influence sur la vitesse de la montée de la sève, grâce à des sondes placées sur les arbres ces chercheurs en biodiversité restituent le rythme de la nature on va dire.

    TI: Quelles ont été les contraintes techniques pour motoriser ces 3 arbres?

    JPL: Les arbres sont de vrais pins qui mesurent 4 mètres de haut et ils sont dans un grand pot qui fait 4 mètres de diamètre, donc pour trouver un système mécanique capable de transporter ces pots il fallait concevoir un robot approprié. Pour trouver l’entreprise capable de concevoir un tel robot, avec mon collègue Michel Taix nous avons organisé un appel d’offres qui a permis de toucher plusieurs industriels de la robotique. C’est une entreprise Rennaise qui a été choisi pour concevoir ces 3 robots capables de porter des charges de plusieurs tonnes.

    TI: A quoi ressemblera l’installation au final?

    JPL: Au sein du pavillon France de la Biennale de Venise qui date du 19 e siècle, les spectateurs pourront voir 1 arbre motorisé dans l’espace central et à l’extérieur du pavillon dans les jardins du pavillon il y aura les 2 autres arbres qui seront en mouvement. Ce sont ces 2 derniers qui vont transmettre des informations et des commandes à celui qui est à l’intérieur pour que lui aussi soit en mouvement.

    www.toulouseinfos.fr

     

  • Aïgo boulido: l'ail sauve la vie, la preuve!

    Il est des remèdes de grand-mère qui fonctionnent toujours aujourd’hui, mais que dire de potions médicinales concoctées il y a plus de mille ans? Dans une recherche présentée au congrès annuel de la Society for General Microbiology à Birmingham, des chercheurs décrivent un remède médiéval qui pourrait aider à lutter contre des bactéries résistantes aux antibiotiques.

    Au fait, mes recettes de grand-mères sont ici:

    http://www.tradi-cuisine.com/astuces/index.html

    et, NON, je ne suis pas grand-mère et NON, je ne le serais jamais.... d'ailleurs, j'ai fêté mes 18 ans hier à peine, c'est pour dire! :-)

     

    La résistance aux antibiotiques est un problème croissant dans le monde car elle rend plus difficile la lutte contre les infections bactériennes. L’apparition de résistances est due à l’exposition répétée aux antibiotiques. Aux Etats-Unis, le CDC estime qu’il y a chaque année 23.000 décès et 2 millions de maladies causées par des bactéries résistantes aux antibiotiques.

    Ici, des scientifiques de l’université de Nottingham ont identifié une recette du 9e siècle servant à traiter un orgelet, une infection généralement causée par la bactérie Staphylococcus aureus. La recette comptait 5 ingrédients: 2 espèces d’Allium (ail et oignon ou poireau), de la bile de bœuf, du vin et du cuivre. Elle provenait d’un livre du 10e siècle: le “Bald’s Leechbook", l’un des plus anciens manuels médicaux connus. Les sociétés anciennes utilisaient des combinaisons de composés naturels pour traiter les infections. Parmi ces substances connues pour leurs effets anti-microbiens, on trouve les extraits d’espèces Allium, le miel ou la bile de bœuf.

    Si vous souhaitez l'expérimenter, la recette consiste à couper finement des quantités égales d’ail et de l’autre Allium, et à les écraser dans un mortier pendant 2 min. On y ajoute 25 mL de vin anglais provenant d’un vignoble près de Glastonbury, puis les sels biliaires bovins dissous dans l’eau distillée. La potion est gardée au frais pendant 9 jours à 4 °C dans un récipient contenant du cuivre. Chacun des ingrédients du mélange possède des propriétés antibactériennes. Les chercheurs ont ensuite exposé des Stahylococcus aureus résistants à la méticilline (SARM), à la potion, dans des cultures de laboratoire et sur des blessures infectées de souris. Les ingrédients seuls ont aussi été testés.

    Lorsqu’ils ont effectué leurs tests, les chercheurs ont été surpris par l’efficacité de la combinaison des ingrédients : la potion a anéanti les bactéries, en tuant 999 cellules sur 1.000. Comme l’explique Steve Diggle, un des auteurs de ces travaux, " Quand nous avons trouvé que cela pouvait vraiment rompre et tuer les cellules de biofilms de S. aureus j’étais sincèrement émerveillé. Les biofilms sont naturellement résistants aux antibiotiques et difficiles à traiter. " La recette complète était plus efficace que chaque ingrédient pris séparément.

    Début 2015, la Maison Blanche a annoncé un grand plan de lutte contre les bactéries résistantes aux antibiotiques. Les "superbactéries" (superbugs), bactéries résistantes aux antibiotiques, ont causé de graves problèmes dans des hôpitaux de Los Angeles où elles étaient liées à un appareil médical: un duodénoscope.

    La montée de la résistance aux antibiotiques représente un enjeu pour la santé publique, d’où la nécessité de trouver de nouvelles stratégies contre ces pathogènes.  Les remèdes antibactériens anciens sont donc une alternative pour de nouvelles thérapies.

    Source

    Harrison F, Roberts A, Rumbaugh K, Lee C et Diggle S. A 1,000-year-old antimicrobial remedy with anti-staphylococcaal activity. Résumé S19We1006. Annual Conference 2015. Society for General Microbiology.

    P.S.: j'ai reçu avant-hier une information sérieuse (Canada) disant que les antibiotiques deviennent efficaces si le corps contient une bonne dose de fer: en effet, on sait que plus de 40% de la population –surtout les femmes- sont carencées en fer.

    Pensez-y si un de vos proches se trouve dans un état très grave.