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société - Page 54

  • Eclairage leds, danger

    Depuis le 1er septembre 2018, les ampoules halogènes sont interdites à la vente dans l’Union européenne et les consommateurs sont invités à se tourner vers les LED. Voici les différents moyens de s'éclairer :

    • les éclairages avec un filament qui chauffe: ce sont les lampes à incandescence (interdites depuis 2013), dont font partie les halogènes,
    • les lampes fluorescentes, qui s’allument grâce à une décharge électrique dans un gaz : ce sont les ampoules fluocompactes et les tubes néons par exemple.
    • les LED qui utilisent le passage d’électrons dans un semiconducteur. Ces ampoules à bas voltage permettent de faire des économies d’énergie.

    Les LED sont souvent scintillantes: l’émission de lumière par la LED ne se fait pas en continu. Les Angliches utilisent le terme de "flicker" pour parler de cette "lumière papillonnante". Ce scintillement n’est pas forcément perçu par l’utilisateur. Or, le "flicker" peut être nocif à la santé : il favorise les migraines et la fatigue oculaire.

    En effet, une recherche à prouvé que le ballast magnétique -qui contrôle l’éclairage fluorescent- produit un flicker avec une fréquence de 100 par seconde. Des ballasts électroniques plus efficaces et meilleurs pour la santé sont ensuite arrivés sur le marché. Pour les LED, certains circuits électriques sont mieux conçus que d’autres, et les lampes plus ou moins scintillantes. Mais les consommateurs, quand ils achètent leurs ampoules, n’ont aucun moyen de savoir si elles seront très scintillantes. Or, d’après le chercheur, le flicker des LED est parfois plus important que celui des pires éclairages fluorescents.

    Le flicker n’est pas le seul problème avec les LED.  En janvier 2017, l’Inserm a dévoilé une étude sur les effets de la lumière bleue sur la rétine, suggérant qu’elle favorise la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). Pour ce travail, les chercheurs ont travaillé sur des rats dont la pupille était dilatée. Ils ont d’abord montré que toutes les ampoules sont nocives à la rétine à une intensité élevée : en 24 h d’exposition à 6000 lux, les photorécepteurs sont sujets à l’apoptose (mort cellulaire). Mais en utilisant des intensités correspondant à un usage habituel (500 lux), il est apparu que seul l’éclairage LED était nocif à la rétine, même si les dégâts étaient moins importants qu’avec une intensité élevée. Il reste à savoir si ces résultats sont transposables à l’Homme.

    Cette toxicité des LED serait due à la lumière bleue qu'elles émettent. Pour faire une lumière blanche, les LED combinent en effet une lumière bleue et une lumière jaune. Or la lumière bleue est plus énergétique et plus dangereuse que la jaune, à intensité équivalente. En août 2018, une autre étude, venant de l’université de Toledo, a confirmé que la lumière bleue faisait courir un risque pour la vision. Pour Ajith Karunarathne, chercheur à l’université de Toledo, " Ce n’est un secret pour personne que la lumière bleue nuit à notre vision en endommageant la rétine de l’œil ". Son laboratoire a trouvé que l’exposition à la lumière bleue favorise des réactions qui génèrent des molécules toxiques pour les cellules photoréceptrices. Or ces cellules de la rétine ne sont pas capables de se régénérer; si elles meurent, elles sont définitivement perdues. Les lumières verte, jaune ou rouge ne sont pas nocives comme la lumière bleue.

    Les chercheurs ont aussi trouvé que l’alpha-tocophérol, une forme de vitamine E,  permet d'arrêter la mort des cellules grâce à ses propriétés antioxydantes. On trouve de l'alpha-tocophérol dans des huiles (tournesol, pépins de raisins, colza, olive...), les noisettes, l'avocat, l'œuf...

    Quoi qu'il en soit, pour réduire votre exposition à la lumière bleue, vous pouvez équiper votre écran d'ordinateur d'un filtre spécial. Ou utiliser sur votre ordinateur, votre tablette et votre smartphone des applications comme f.lux ou Twilight qui filtrent la lumière bleue. Evitez de regarder votre smartphone ou votre tablette dans le noir. En été, portez des lunettes de soleil avec un filtre contre les UV et la lumière bleue, car le soleil en émet aussi.

    Pensez à protéger votre rétine avec une alimentation riche en vitamine E et en lutéine et zéaxanthine, des antioxydants connus pour réduire le risque de DMLA, présents comme la vitamine E dans le jaune d'œuf mais aussi dans les légumes verts à feuilles comme l'épinard.

    Voir aussi mon site: www.on2nocives.com

     

  • Appel à témoins:

    une amnésique, retrouvée à Perpignan, recherche son identité

    France Bleu Hérault,  France Bleu Roussillon et  France Bleu

    Retrouvée inconsciente dans une rue de Perpignan en février 2018, une septuagénaire a totalement oublié son passé et son identité. Aujourd'hui elle recherche des personnes susceptibles de la reconnaître pour rassembler le puzzle de sa vie.

    © Radio France - Baptiste Guiet

    Elle a choisi de s’appeler Marie Bonheur. Comme un pied de nez à l'écran noir qui bloque sa mémoire depuis maintenant sept mois. En février dernier, des passants la retrouvent inconsciente et couverte d'ecchymoses près de la gare de Perpignan. À son réveil aux urgences, elle a tout oublié. Jusqu'à son propre nom. "Je me suis retrouvé devant le problème suivant : qui suis-je ? J'étais dans une espèce de brouillard." Ce brouillard ne s'est toujours pas levé depuis.

    "Je suis comme un chien perdu sans collier."

    L'enquête de police n'a rien donné et aucun indice n'a permis de retrouver son identité. Aucun signalement de personnes disparues ne correspond. Elle ne semble pas non plus être originaire de Perpignan. "Je suis comme un chien perdu sans collier" dit Marie qui vit aujourd'hui à contrecœur dans une unité médicale. "Je n'ai pas besoin d'être dans cette structure. Je ne suis pas malade. Je ne prends aucun médicament. Je suis en pleine forme".

    Le problème, c'est que pour la société, Marie Bonheur n'existe pas. "Sans identité vous n'avez aucun droits" explique Xavière Lethuillier, mandataire judiciaire à la protection des majeurs. "Marie n'a pas de couverture sociale, elle a besoin de refaire ses lunettes, elle ne peut pas. Elle n'a pas non plus accès à l'aide juridictionnelle. Elle n'a pas d'argent. Le plaisir d'un café ou d'une tablette de chocolat c'est quand on veut bien lui offrir !"

    "Il y a forcément des gens qui me connaissent."

    Seule solution pour sortir de l'impasse : un appel à témoins. "Il y a forcément des gens qui me connaissent" espère Marie. La retraité reconnait malgré tout une certaine appréhension : "j'ai vécu quelque chose de traumatisant et j'ai dû mettre des barrières. J'ai peur de retomber sur les images de ce que j'ai subi. Je me demande s'il est possible de reprendre ma vie... Est-ce que je vais y arriver ?"

    Si vous pensez reconnaître Marie, vous pouvez appeler le 06.38.13.77.37 ou envoyer un mail à appel.temoin.marie@gmail.com

     

  • Problèmes cardiaques?

    Pilulier de gélules sur mon site de phyto BIO

    Les bénéfices sur la santé cardiovasculaire d’une supplémentation en sélénium et coenzyme Q10 perdurent des années après l’arrêt du traitement.

    Le sélénium et la coenzyme Q10 sont tous deux nécessaires pour une fonction cellulaire optimale, ils sont essentiels au bon fonctionnement des vaisseaux et du cœur. De précédentes études ont montré que les personnes atteintes de troubles cardiovasculaires présentaient des taux abaissés de coenzyme Q10 et de sélénium. Le sélénium est indispensable à certaines protéines - les sélénoprotéines - qui nous protègent du stress oxydant. Et il joue un rôle dans la voie métabolique qui transforme la coenzyme Q10 dans sa forme active. La coenzyme Q10 a, quant à elle, deux rôles principaux: elle active la production d'énergie et c'est un puissant antioxydant. La coQ10 est nécessaire à l’activité des sélénoprotéines. Les deux nutriments fonctionnent en synergie, expliquant le manque d'efficacité d'une supplémentation isolée.

    Les apports en sélénium sont faibles en Europe et la production endogène de la coQ10 diminue avec l’âge. Dans la première partie de cette étude, des chercheurs avaient montré qu’une supplémentation combinée en sélénium et en coenzyme Q10 permettait de diminuer la mortalité cardiovasculaire. Dans cette nouvelle étude, les chercheurs ont voulu savoir si les effets bénéfiques persistaient dans le temps.

    L'étude

    228 personnes âgées et en bonne santé ont reçu soit un supplément 200 mg de coQ10 et 200 µg de sélénium, soit un placebo pendant 4 ans.

    Les premiers résultats obtenus après 5 ans de suivi avaient montré que 12,6 % des personnes ayant pris le placebo étaient décédées des suites d'un problème cardiovasculaire contre seulement 5,9% dans le groupe ayant reçu la supplémentation. Ces résultats avaient été confirmés par une mesure biologique de la rigidité artérielle, le NT-proBNP, significativement abaissé dans le groupe supplémenté. De même, l'échographie cardiaque faisait état d'une fonction cardiaque "significativement meilleure".

    La suite de l'étude parue dans PlosOne montre que les bénéfices sur la santé cardiovasculaire de la supplémentation combinée en sélénium et en coenzyme Q10 persistent des années après l’arrêt du traitement. En effet, 12 ans après la fin de l’essai clinique, les patients ayant reçu la supplémentation présentent un risque de mortalité cardiovasculaire 40% inférieur à celui des patients du groupe de contrôle. Les chercheurs soulignent que les résultats sont statistiquement forts et que les effets bénéfiques non seulement perdurent mais qu’en plus, ils s’amplifient. De plus, le traitement est efficace chez des personnes souffrant de diabète, d’hypertension ou encore de cardiopathie ischémique.

    L’effet bénéfique de la supplémentation est particulièrement visible chez les femmes, vraisemblablement parce qu’elles présentaient des niveaux plus faibles de coQ10 au début de l’étude. A noter que l’étude a été réalisée en Suède où les niveaux de sélénium sont particulièrement bas. La supplémentation a donc permis d’optimiser les niveaux plasmatiques alors que le groupe de contrôle est resté à un niveau insuffisant.

    Où trouver ces deux molécules

    Sur mon site de produits phyto bio: www.biotine-sep.com

    fiches techniques

    Sélénium:

    Sa découverte est récente et on ne le connaît pas entièrement; il atténue les effets nocifs des métaux lourds présents dans l'organisme (empoisonnements). Maladies cardio-vasculaires et cancers – vieillissement accéléré et mauvaise qualité de la peau par excès de radicaux libres;

    Il est protecteur de la cellule, surtout des hématies; c'est un antioxydant majeur, un anti-vieillissement, anti-cancer et antitoxique; il stimule la production des spermatozoïdes; bref, son action est bénéfique pour le bien-être général car il freine l'apparition de certaines maladies, favorise le maintient de nos fonctions intellectuelles et enfin, permet de renforcer les défenses immunitaires.

    CARENCE:

     Elle est à l'origine de nombreux troubles du système cardiovasculaire (troubles du rythme), du pancréas et responsable de stérilités, cause des douleurs des faiblesses musculaires et de nombreux cancers.

    AUCUN EXCÈS

     A craindre sous forme organique et aux doses raisonnables; en excès, dans certains cas, il peut causer l'anorexie, des troubles de la digestion, des étourdissements

    Antioxydant majeur avec le béta-carotène et les vitamines C et E. Il s'oppose à l'activité des radicaux libres, protecteur de la cellule; facteur antivieillisseur et anti-cancer et protège contres les substances toxiques; équilibre sexuel masculin; Protège le cœur et les vaisseaux

    Coenzyme Q10

    Le Coenzyme Q10 est nécessaire pour que les mitochondries génèrent suffisamment d’ATP, la molécule productrice d’énergie la plus importante.

    La coenzyme Q10 est un antioxydant liposoluble qui aide à prévenir les lésions radicalaires à la surface lipidique de la peau. Mais avec l’âge, les concentrations cutanées de CoQ10 diminuent de façon importante. La perte de ce nutriment protecteur est probablement l’une des causes de l’augmentation de l’incidence des maladies de la peau et du photo-vieillissement observés chez les personnes âgées.

    Des scientifiques allemands ont démontré que lorsqu’elle est appliquée de façon topique, la CoQ10 traverse la surface de la peau pour atteindre les couches vivantes de l’épiderme où elle réduit le stress oxydant. Ces chercheurs ont également noté une réduction de la profondeur des rides après l’application de la CoQ10. De plus, l’application topique de CoQ10 aide à protéger la peau des effets des rayons ultraviolets, en particulier des rayons particulièrement dangereux pour l’ADN qui ne sont pas arrêtés par les écrans solaires classiques. Ils ont conclu que la CoQ10 pourrait contrebalancer les effets du photo-vieillissement et ainsi favoriser une apparence plus jeune de la peau. Les effets bénéfiques de la CoQ10 ont été confirmés par une étude réalisée à l’université de Scranton, en Pennsylvanie, où des chercheurs ont constaté qu’un traitement quotidien avec une lotion contenant de la CoQ10 apportait une protection anti-oxydante à la peau de sujets jeunes d’âge moyen.

    Une étude italienne d’une durée de huit années a montré un lien direct entre les niveaux de CoQ10 et la progression de mélanomes, le plus mortel des cancers cutanés. Non seulement les concentrations de CoQ10 étaient plus faibles chez les sujets ayant un mélanome que chez ceux en bonne santé, mais les patients avec un cancer ayant métastasé vers d’autres tissus avaient des niveaux de CoQ10 inférieurs à ceux des sujets sans métastase. La CoQ10 a donc un rôle protecteur très net dans la peau vieillissante.

    Les fibroblastes sont les cellules qui produisent le collagène et l’élastine. Chez les adultes âgés, les fibroblastes connaissent des dysfonctionnements mitochondriaux avec pour résultat une incapacité à produire l’énergie indispensable à l’exécution de leurs missions. Des scientifiques pensent que ce déficit d’énergie contribue à l’apparition des signes visibles du vieillissement cutané. La CoQ10 est largement utilisée pour contrer le déclin de la production d’énergie dans les mitochondries qui accompagne le vieillissement. L’utilisation de CoQ10 par voies orale et topique restaure les niveaux de CoQ10 déficients dans les cellules cutanées.

    En pratique

    Le sélénium et la coenzyme Q10 semblent agir en synergie pour préserver les cellules cardiaques. On retrouve le sélénium dans les noix du Brésil, les produits carnés – rognons de porc ou de bœuf – ainsi que dans le poisson et les mollusques. Avant toute supplémentation, sachez que le sélénium en trop grande quantité peut se révéler toxique. Quant à la coenzyme Q10, on la trouve dans les abats, le bœuf, les sardines, le maquereau, les cacahuètes, l’huile de soja. Le corps en fabrique aussi à partir de l’acide aminé tyrosine, avec l’aide de 8 vitamines, pas moins (B2, B3, B5, B6, C, B9, B12). Il faut donc veiller à ne pas manquer, ce qui est facile si l’on prend un complément quotidien.

     

  • Parigots, têtes de pisseurs!

    "Les pisseuses " se rebiffent contre les uritrottoirs !

    Elle n’a pas de bol, Anne Hidalgo. Quoi qu’elle invente, elle fait des mécontents. Pire que cela: elle qui explique tous ses déboires par la misogynie a réussi à se mettre aussi les féministes à dos!

    Pourtant, la maire de Paris multiplie les précautions. Elle choisit judicieusement les quartiers pour tester ses initiatives époustouflantes, celles de la ville de demain qui sera verte et transgenres. Son préféré est le Marais, si cher à son protecteur Delanoé. C’est un quartier chic et choc où les copines ont le goût de la fête et un pouvoir d’achat sans rapport avec celui de la ménagère. Sans doute pour leur faciliter le retour de boîte dans les lofts au pied de la Tour Saint-Jacques, Anne Hidalgo leur a offert des passages-piétons aux couleurs de l’arc-en-ciel. Et pour les urgences sanitaires, elle a fait poser ses jolis uritrottoirs rouges dans l’île Saint-Louis.

    Regarder le coucher de soleil sur les tours de Notre-Dame en pissant face à la Seine, c’est pas le bonheur, ça?

    Hélas pour Hidalgo, les Parisiens sont ingrats. Ne comprennent rien. Ne connaissent pas leur chance de l’avoir pour maire. Après ses jolis passages arc-en-ciel, ce sont les pissottières du futur qui ont été vandalisées. Par des femmes ! Recouvertes d’autocollants jaunes qui disent " Les bites en public, c’est non ! ", ou encore " Une bite correcte est une bite rangée ", et rappellent qu’au terme de la loi l’exhibition sexuelle est " punie d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende ". Au cas où les messieurs ne comprendraient pas, des affiches développent l’idée: "T’es un chien? Non? Alors pourquoi tu pisses dans la rue? " Et pour les cerveaux jamais sortis de l’enfance: " T’as appris à faire caca au pot, non? Alors apprends à faire pipi aux toilettes au lieu de sortir ta bite partout. " Enfin, pour que les pisseurs de rue comprennent bien l’incongruité de la chose, des protections hygiéniques ont été collées sur les boîtes rouges…

    Le Parisien, rapportant cet odieux acte de vandalisme, en attribuait la maternité aux Femen. Mauvaise pioche. Pas de Femen là-dessous. L’équipe de Slate.fr a retrouvé les coupables: c’est un tout nouveau collectif opportunément baptisé " les pisseuses ". Et si les demoiselles revendiquent un militantisme féministe, elles dénoncent surtout le côté dégoûtant des boîtes à pipi, loin de la prétention de la mairie qui les décrit comme une grande avancée écologique qui " permet de faire du compost et de faire pousser des fleurs". La réalité, dit une pisseuse, c’est que "Ça débordait, la pisse dégoulinait des plantes, les plantes mouraient "; sa voisine dénonce ce " greenwashing" et confirme: "Ça pue, y a des fuites de partout". On les croit.

     

    La mairie a répondu. On a mal compris: les uritrottoirs ne sont pas sexistes, ils sont féministes. L’adjoint à la propreté Mao Peninou explique: " L’utilisation des uritrottoirs permet de libérer du temps d’utilisation sur les sanisettes, donc du temps d’utilisation pour les femmes." C’est ça où les pissottières sauvages dans les entrées d’immeubles, dit-il. Subtil…

    Donc, pour résumer et si monsieur Peninou dit vrai, il y aurait une case en moins dans le cerveau des hommes. Celle du contrôle du robinet.

    Et dire que toutes les pubs TV sur l’incontinence urinaire visent les femmes…

  • Arrêt du tabac : vapoter nuirait à l’immunité

    Pour arrêter de fumer, certains se tournent vers la cigarette électronique, mais est-ce une bonne idée ? Une nouvelle étude vient de trouver que vapoter entraîne des effets néfastes sur le corps.

    Pourquoi c’est important

    En France, 34% des 15-75 ans fument, un chiffre largement supérieur à celui d’autres pays développés comme la Grande Bretagne, l’Australie ou le Canada. Et les fumeurs sont de plus en plus nombreux à vouloir arrêter, en particulier les moins de 25 ans d’après un rapport de l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé). La cigarette électronique a été massivement lancée sur le marché français et environ 12 millions de personnes l’ont déjà testée en France. Elle représente un outil d’aide à l’arrêt très plébiscité.

    L’étude

    Une étude vient de montrer que " vapoter " endommagerait des cellules immunitaires vitales, ce qui rendrait la cigarette électronique plus nocive que ce que certains spécialistes pensaient. Des chercheurs britanniques ont ainsi découvert que les vapeurs de la cigarette électronique pouvaient désactiver d’importantes cellules immunitaires dans les poumons ce qui provoquerait une inflammation dans cet organe.

    Ils ont remarqué que la vapeur causait de l'inflammation et altérait l'activité des macrophages alvéolaires, c'est-à-dire des cellules qui éliminent les particules de poussière, les bactéries et les allergènes potentiellement nocifs.

    Cependant ces résultats ont été obtenus en laboratoire et il est nécessaire de réaliser plus de recherches pour mieux comprendre le mécanisme.

    Malgré tout, les autorités de santé anglaises estiment qu’il est beaucoup moins nocif de " vapoter " que de fumer une cigarette, et que si c’est un bon moyen d’arrêter le tabac, il ne faut pas hésiter à l’utiliser.

    Cependant le professeur Thickett de l’université de Birmingham qui a conduit l’étude, met en garde : " Je ne crois pas que les e-cigarettes sont plus nocives que les cigarettes ordinaires – mais nous devrions faire preuve d'un scepticisme prudent quant au fait qu'elles sont aussi sûres qu'on nous le fait croire. "

    En pratique

    Il est préférable de jamais commencer à fumer, mais si on veut se sortir de ce cercle vicieux, la cigarette électronique peut aider, à condition qu’elle ne remplace pas la cigarette mais vous aide réellement à ne plus fumer.

    De son côté, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) indique que la cigarette électronique :

    • peut être considérée comme un outil d’aide au sevrage tabagique
    • constitue un outil de réduction des risques du tabagisme même si pour les usagers à la fois de tabac et de cigarette électronique, le débat reste ouvert
    • induit un risque de " renormalisation " de la consommation de tabac compte tenu de l’image positive véhiculée par son marketing et sa visibilité dans les espaces publics.

    En conséquence, le HCSP recommande, entre autres, de poursuivre et d’intensifier les politiques de lutte contre la consommation de tabac et d’informer, sans en faire publicité, les professionnels de santé et les fumeurs, des avantages et des inconvénients de la cigarette électronique.

    Référence :

    Scott A, Lugg ST, Aldridge K, Lewis KE, Bowden A, Mahida RY, Grudzinska FS, Dosanjh D, Parekh D, Foronjy R, Sapey E, Naidu B, Thickett DR. Pro-inflammatory effects of e-cigarette vapour condensate on human alveolar macrophages. Thorax. 2018 Aug 13. pii: thoraxjnl-2018-211663.

     

    Tabac + sédentarité + alcool + malbouffe = 17 ans de vie en moins

  • Impissant par Paris avec mes sabots…

    en passant par la Lorraine avec mes sabots (bis)

    rencontré 3 capitaines avec mes sabots dondaine

    hohoho, avec mes sabots....

    ils m'ont dit que j'étais vilaine avec mes sabots (bis)

    cherchez la suite sur le net!

     

    Un urinoir écologique. Ce petit bac rouge d'environ un mètre de large, surplombé de petites plantes, est avant tout écologique : l’urine récoltée est recyclée et doit servir de compost aux plantes du bac, pour les faire pousser. "L'urine est stockée avec de la matière sèche (de la paille, ndlr) qui peut ensuite être transformée en compost", explique Laurent Lebot, l'un des deux designers de l'entreprise nantaise Faltazi, à l’origine de sa conception.

     

    Pissous, pissou, pissou

     

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    Comment son ancêtre a pu être qualifié d'hidalgo? c'est pas croyable d'avoir un QI de betteraves!!!

    Absurde ces Parigots!!!!

     

     

  • Boulettes -sans viande- de légumes

    Photo: légumes en brunoise ou lycée de Versailles...(selon Berrurier)

    brunoise de légumes

     

    Choisissez les légumes que vous aimez: betteraves, carottes, avocats, choux divers…

    Ingrédients pour 4 personnes:

    300 à 350 g de légumes cuits; ½ ou une entière courgette

    50 g environ de farine de pois chiches; 1 œuf

    Huile d’olive, Cumin, curcuma ou autres épices, Persil

    Sel et Poivre

    Couper les légumes en fines brunoise et râpez la courgette. Si vous ne souhaitez pas de mâche (ex. si vous avez choisi des légumes durs à avaler pour vos enfants, betterave, épinard, choux Bruxelles…) mettre les légumes dans un mixeur en ajoutant le persil et les épices ainsi que l’œuf puis mixer.

    Ajoutez la farine de pois chiche petit à petit jusqu’à obtenir une consistance idéale pour les boulettes, puis rouler de petites doses de la préparation dans vos mains pour former des boulettes à votre grosseur idoine. Tassez bien pour ne pas qu'elles se défassent dans la poêle. Astuce: mouillez légèrement vos mains avant de rouler les boulettes.

    Mettre de la farine de pois chiches dans une assiette, puis rouler les boules dessus.

    Faites légèrement chauffer l’huile d’olive dans une poêle puis faire rissoler les boulettes pendant 5 minutes environ en les faisant bien rouler.

    Bien sûr, vous pouvez, à la place des boulettes, faire des pavés. Prévoir une ou deux minutes supplémentaires de cuisson.

    Avec une salade, un morceau de fromage, un fruit et c'est un petit repas pas très lourd pour l'été. Et qui ne vous laissera pas bouillir dans la cuisine avec cette chaleur....