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  • Vivent les nanas!

    29 avril 1945.

    Les femmes votent pour la première fois en France à l’occasion des élections municipales. Ce premier scrutin est la manifestation concrète de l’ordonnance du 21 avril 1944 ouvrant le suffrage universel aux citoyennes françaises.

    Ce droit élémentaire a été obtenu un siècle après les hommes, qui ont pu bénéficier du droit de vote au suffrage universel dès 1848.

    Suffrage universel? il faut savoir que seuls les nobles et riches pouvaient voter avant 1848.

  • A propos de mon confit sarladaise...

     

    Voici la photo

    Vi, c'est moi qui l'ai fait!

  • Impissant par Paris avec mes sabots…

    en passant par la Lorraine avec mes sabots (bis)

    rencontré 3 capitaines avec mes sabots dondaine

    hohoho, avec mes sabots....

    ils m'ont dit que j'étais vilaine avec mes sabots (bis)

    cherchez la suite sur le net!

     

    Un urinoir écologique. Ce petit bac rouge d'environ un mètre de large, surplombé de petites plantes, est avant tout écologique : l’urine récoltée est recyclée et doit servir de compost aux plantes du bac, pour les faire pousser. "L'urine est stockée avec de la matière sèche (de la paille, ndlr) qui peut ensuite être transformée en compost", explique Laurent Lebot, l'un des deux designers de l'entreprise nantaise Faltazi, à l’origine de sa conception.

     

    Pissous, pissou, pissou

     

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    Comment son ancêtre a pu être qualifié d'hidalgo? c'est pas croyable d'avoir un QI de betteraves!!!

    Absurde ces Parigots!!!!

     

     

  • Toulouse aussi, ville lumière!

    Label Unesco: Toulouse mise sur l'éclairage

    Le Pont-Neuf et le port de la Daurade brillent de mille feux, en bord de Garonne. L'office de tourisme va ajouter deux parcours à ses visites guidées de nuit. Le Pont-Neuf et le port de la Daurade brillent de mille feux, en bord de Garonne.

    Avec en ligne de mire son classement au patrimoine mondial de l'Unesco, la ville de Toulouse illumine un par un ses monuments historiques, au plaisir des Toulousains et des touristes.

    Aussi belle de jour comme de nuit. Sans avoir la prétention de détrôner Paris, la Ville rose s'est lancée dans un ambitieux plan de mise en valeur de ses monuments historiques. Outre l'esthétique, l'objectif est de cette mise en valeur est de construire un fil directeur architectural en vue de sa candidature à l'Unesco. La ville veut ainsi rejoindre Bordeaux (2007) et Albi (2010) au patrimoine mondial de l'humanité. La place du Capitole, le dôme de La Grave* et le Pont-Neuf ne sont pas les seuls lieux sous les feux des projecteurs.

    140 points d'architecture remarquables

    "Nous avons lancé un audit avec 97 associations, des Toulousains et en interne qui nous ont permis de lister 140 points architecturaux intéressants", lance Emilion Esnault, conseiller municipal délégué à l'éclairage public. Il cite quelques exemples comme "une horloge rare de 24 heures ou une façade en mosaïques rue Alsace-Lorraine. Pour les mettre en valeur, nous avons installé de petits spots qui attirent le regard."

    Il en va de même pour les grands monuments dont l'éclairage doit être pensé en fonction de l'esthétique mais aussi en fonction de la consommation énergétique. "Nous utilisons exclusivement des LEDs qui ont une plus faible consommation détaille Emilion Esnault, nous mettons les sources lumineuses très près, pour souligner un détail et d'autres plus loin qui créent un voile de lumière. Nous cherchons à rester dans la finesse."

    Valoriser le patrimoine

    Dans le cadre de son Plan Lumière lancé en 2015, la ville de Toulouse s'est lancée dans un vaste programme de ré-éclairage des monuments historiques avec comme objectif d'illuminer un ou deux monuments emblématiques par an.

    Le coup d'envoi a été lancé en mars 2016 avec la cathédrale et de la place Saint-Étienne, suivie par cinq autres sites comme la statue Jeanne d'Arc, l'Obélisque de Jolimont ou l'ange de la place Dupuy. Plus retentissant, le port de la Daurade, inauguré le 11 juin dernier, bénéficie d'un éclairage dernier cri. Il est couplé avec de nouveaux projecteurs qui valorisent les murs-digues Saget. "On mutualise les travaux souligne Emilion Esnault, on s'occupera de l'éclairage du couvent des Jacobins lorsqu'on changera les filets anti-pigeons". Face à la Daurade, le Pont-Neuf et l'Hôtel-Dieu fraîchement illuminés réverbèrent de mille feux sur la Garonne. Un argument de plus et de taille à faire valoir pour la candidature de la ville mais surtout un plaisir pour les Toulousains et les touristes.

    30 Gigawatts >Consommation électrique. C'est la Consommation électrique de la ville de Toulouse sur l'année 2015 soit une baisse constante de deux gigawatts par an. Au total, le budget (investissement et fonctionnement) de l'éclairage public représente 5,5 millions d'euros.

    Le Plan Lumière à mi-chemin

    Lancé en octobre 2104, le Plan Lumière est pour le moment considéré comme à moitié atteint. Il visait trois objectifs : lutter contre le sentiment d'insécurité, mieux éclairer les lieux de vie et faire rayonner Toulouse la nuit. Des monuments historiques aux quartiers pavillonnaires en passant par le canal du Midi ou les zones industrielles, la ville s'est lancée dans une démarche de sobriété énergétique et possède aujourd'hui un des parcs énergétiques les mieux maîtrisés de France.

    Hôpital de La Grave

    Adresse: Rue du Pont-Saint-Pierre (c'est-à-dire le plus beau coin de notre Ville Rose, bord de la Garonne, de l'autre côté de la Prairie des Filtres).

    L'hôpital de La Grave se situe dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse, c’est-à-dire sur la rive gauche de la ville. Sur près de six hectares (trois fois la superficie de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques), La Grave fut le second grand établissement hospitalier et la principale maternité de Toulouse durant une grande partie du XXe siècle avant que soit créé le CHU de Rangueil. Son nom vient de la grève où il a été bâti le long de la Garonne.

    L'hôpital servit durant le Moyen Âge aux populations malades de la peste puis dès 1647, comme lieu de grand renfermement des mendiants, prostituées et aliénés. Dont 3000 toulousains morts de la peste.

    De 1508 à 1514, l'hôpital est agrandi et prend le nom d'hôpital Saint-Sébastien car le saint invoqué permet de combattre la maladie des pestiférés. Ils sont hébergés dans un pavillon à l’abri du mur d’enceinte et à l’écart des autres pensionnaires. Sa situation extra-muros permettait d’isoler les malades des habitants. En 1516, la Tour Taillefer qui se trouve près du parc du musée Les Abattoirs servant de réserve de poudre et de munitions et faisant partie des remparts de la ville, est utilisée à l’accueil des pestiférés, des mendiants et des épileptiques.

    En 1557, avec l'afflux des malades, l'hôpital devient trop petit et les remparts et tours adjacentes sont utilisés pour les héberger. Même les prés des Sept-Deniers et de Bourrassol sont réquisitionnés. Au XVIIe siècle, Toulouse est touchée par la plus meurtrière épidémie de peste. Le 17 juin 1629, tous les malades soignés à l'hôpital Saint-Sébastien des Pestiférés meurent par contagion.

    L'hôpital bénéficie de protections au titre des monuments historiques : une inscription partielle en 1986 et un classement partiel en 1988.

    Regardez sur France24: il y a souvent le dôme de Saint-Pierre pour lancer les pub.... (c'est rapide mais on le reconnait bien).

     

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  • Les 350 ans du Canal du Midi en quelques dates

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    Riquet

    Le Canal du Midi fête cette année ses 350 ans. Retour en quelques dates sur l'ouvrage de Pierre-Paul Riquet et sur une longue histoire de navigation entre Atlantique et

    Sans Pierre-Paul Riquet, son inventeur, il n'y aurait pas de Canal du Midi. Plusieurs avant lui avaient eu l'idée de créer un canal reliant l'Atlantique à la Méditerranée mais tous se sont heurtés au problème de son approvisionnement en eau. Lui va persévérer et convaincre Colbert puis le roi Louis XIV de construire cet ouvrage de 240 kilomètres à travers la province du Languedoc pour faciliter la circulation des marchandises et éviter le détroit de Gibraltar alors contrôlé par les Espagnols et les pirates.

    Octobre 1666, un édit royal donne le feu vert à l'ouvrage

    Le 7 octobre 1666, Louis XIV signe "L'édit de construction pour le canal des mers Océane et Méditerranée". Pierre-Paul Riquet devient adjudicataire des travaux de construction du canal, de Toulouse à Trèbes, pour la modique somme de 3,630 millions de livres. Deux ans plus tard, il achète aux enchères  le fief et les péages du canal, devenant alors le "Seigneur du canal du Languedoc". A ce titre, il pourra percevoir à son compte les taxes instituées sur les marchandises et les personnes transportées.

    Il meurt en 1680, peu avant la toute première mise en eau du Canal.

    1694, le canal des deux mers est enfin totalement achevé

    Du 15 au 25 mai 1681, le Canal est mis en eau complètement et voit la première navigation solennelle entre Toulouse et Sète. Il sera ensuite complètement vidé pour parfaire ses ouvrages. Il est considéré comme achevé en 1684 mais s'ensable rapidement. Le roi envoie alors Vauban pour l'inspecter. Sur les préconisations de ce dernier, 48 acqueducs et ponts-canal sont construits pour limiter l'ensablement. Le Canal des deux Mers est considéré comme terminé en 1694. Il aura mobilisé jusqu’à 12000 hommes et femmes au plus fort des travaux. Le coût total de sa construction s’élève à plus de 17 millions de livres. Pour payer les dettes, les héritiers Riquet devront vendre une partie des parts de la propriété du canal.

    1765, grande phase de plantation sur le canal

    En 1765 s'ouvre une grande phase de plantation sur le canal. L'essence choisie ? Le peuplier. Cette même année, un recensement de la batellerie compte 224 barques marchandes qui commercent quotidiennement entre Agde et Toulouse.

    1850 - 1880, arrivée de l'emblématique platane sur les berges du Canal

    Entre 1850 et 1880, une grande phase de renouvellement des plantations est engagée. Le platane devient l'essence dominante sur les rives du Canal du Midi et lui donne cette empreinte qu'on retrouve désormais sur toutes les cartes postales de l'ouvrage.

    Novembre 1897, l'Etat devient propriétaire de l'ouvrage

    Une loi autorise l’État à racheter le canal du Midi pour près de 40 millions de francs. C'est désormais le Service des Canaux du Midi qui assure la gestion du réseau compris entre l’étang de Thau et Castets-en-Dorthe. Le transport de marchandises retrouve alors un régime de croissance grâce notamment à la suppression des droits de navigation.

    1996, classement à l'Unesco

    L'UNESCO classe le canal du Midi sur la liste du Patrimoine Mondial de l’Humanité le 7 décembre 1996. Pour le Comité, "le site est de valeur universelle exceptionnelle en tant qu'une des réalisations les plus extraordinaires du génie civil de l'ère moderne. Il est représentatif de l'éclosion technologique qui a ouvert la voie à la Révolution industrielle et à la technologie contemporaine. En outre, il associe à l'innovation technologique un grand souci esthétique sur le plan architectural et sur le plan des paysages créés, approche que l'on retrouve rarement ailleurs".

    2006, un champignon microscopique vient gâcher la carte postale

    En 2006, le premier foyer de chancre coloré est découvert sur le Canal du Midi à Villedubert, à l’est de Carcassonne. Ce champignon microscopique s'attaque exclusivement au platane et le tue en 2 à 5 ans. En une décennie, la maladie n'a cessé de progresser sur les rives du Canal malgré les mesures prises par Voies Navigables de France (VNF) qui gère l'ouvrage pour l'endiguer. 14 000 platanes ont déjà été abattus sur les 42 000 existants. Un programme de sauvegarde a été engagé en 2012 pour sauver la voûte arborée du Canal et son image.

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  • Les témoignages des Toulousains archivés et bientôt mis en ligne

    De nombreux messages, dessins et autres objets ont été déposés sur la façade du Capitole, à Toulouse, après les attaques du 13 novembre…

    De nombreux messages et objets ont été déposés sur la façade du Capitole, à Toulouse, le 16 novembre 2015, pour soutenir les victimes des attentats de Paris et Saint-Denis, trois jours plus tôt.

    De nombreux messages et objets ont été déposés sur la façade du Capitole, à Toulouse, le 16 novembre 2015, pour soutenir les victimes des attentats de Paris et Saint-Denis, trois jours plus tôt. - Nicolas Stival / 20 Minutes

    Des dessins, des petits mots, des bougies, voire des chapelets… La façade de l’hôtel de ville de Toulouse, place du Capitole, s’est couverte de messages de solidarité pour les victimes des attentats de Paris et Saint-Denis, le 13 novembre. Ceux-ci vont passer à la postérité.

    Le maire Jean-Luc Moudenc (LR) a en effet demandé aux archives municipales de récupérer ces témoignages, comme cela avait été déjà le cas après l’attentat contre Charlie Hebdo, au mois de janvier.

    “Les documents originaux et en bon état de conservation seront collectés, indique la ville de Toulouse dans un communiqué. Des photographies ont d’ores et déjà été réalisées“.

    Les documents seront restaurés si besoin, puis mis en ligne pour consultation sur le site des archives municipales.

     

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  • Protégez votre santé

    Les colorants à éviter

    Jaune de quinoléine (E104). Ce colorant jaune se trouve surtout dans les sodas et confiseries mais aussi dans certaines confitures et dans les boissons alcoolisées. Il est interdit aux Etats-Unis et en Australie parce que c’est un agent mutagène, potentiellement cancérogène. Le jaune de quinoléine est aussi susceptible de provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles.

    Azorubine / carmoisine (E122). Ce colorant synthétique rouge que l’on trouve essentiellement dans les charcuteries est interdit en Australie, en Norvège, en Suède et aux États-Unis.

    Amarante (E123). Ce colorant rouge est autorisé uniquement dans les vins apéritifs, spiritueux, y compris les boissons spiritueuses de moins de 15 % d'alcool en volume et les œufs de poisson. Il est interdit aux Etats-Unis, en Norvège, en Russie et en Autriche. Des chercheurs japonais ont établi que l’amarante est génotoxique.

    Rouge Ponceau 4R / rouge cochenille (E124). Ce colorant est utilisé en pâtisserie fraîche ou sèche, entremets, flans, fruits au sirop, confiserie, bonbons, chewing-gum, chorizo. Ce colorant est probablement génotoxique.

    Erythrosine (E127). Ce colorant n’est autorisé que pour les cerises pour cocktail, cerises confites ou bigarreaux au sirop. Le potentiel cancérogène de l’érythrosine est connu depuis de nombreuses années.

    Rouge “allura” AC (E 129). On le trouve dans les sodas, les apéritifs, les saucisses et les viandes pour hamburger. Ce colorant est probablement génotoxique.

    Noir brillant BN (E151). Ce colorant se trouve dans les harengs fumés. Il est interdit aux Canada, aux État Unis, en Finlande, Japon, en Norvège. C’est un agent mutagène et génotoxique.

     

    Les additifs au phosphate à proscrire

    L’Agence européenne des aliments doit réévaluer ces additifs avant le 31 décembre 2018, une tâche à laquelle est assignée une " priorité haute ". Mais compte tenu des études défavorables qui s’accumulent chaque jour, et qui lient l’excès de phosphore à des risques cardiovasculaires, rénaux et maintenant de cancer, nous conseillons de ne plus consommer d’aliments qui renferment ces additifs, afin d’obliger les industriels à changer leurs pratiques. En voici la liste :

    •Acide orthophosphorique (E338)

    •Orthophosphates de sodium (E 339)

    •Orthophosphates de potassium (E 340)

    •Orthophosphates de calcium (E 341)

    •Orthophosphates de magnésium (E343)

    •Diphosphates (E 450)

    •Triphosphates (E 451)

    •Polyphosphates (E 452)

     

    Les autres additifs indésirables

    Nitrate de sodium (E251) et nitrite de sodium (E205). Ce sont des conservateurs très présents dans les charcuteries et les viandes traitées façon charcuteries (volailles…). Ils sont classés comme des cancérogènes probables par le Centre international de recherches sur le cancer (Lyon) en présence d’amines ou d’amides apportés par les viandes ou les poissons. Remplacer les nitrites est certes compliqué; en plus de la belle couleur qu'ils donnent au jambon, ils sont surtout là pour prévenir le développement de la bactérie à l'origine du botulisme (Clostridium botulinum). Il existe des alternatives : probablement plusieurs substances naturelles devront être mises ensemble à contribution (CCMP, lactates, antioxydants...). Comme cela entraînerait un coût supplémentaire pour les producteurs, et une modification des méthodes de production, rien n'avance du côté de la recherche de solutions plus sûres.

     

    BHA (E320). Cet antioxydant de synthèse est considéré comme un cancérogène potentiel par le National Toxicology Program des Etats-Unis.

    Glutamate monosodique (E621). Cet exhausteur de goût se retrouve dans de nombreux plats cuisinés et soupes. Une partie de la population et certains asthmatiques y est sensible et réagit par des symptômes regroupés sous le nom de " syndrome du restaurant chinois ". Les acides aminés excitateurs comme l’acide glutamique et l’acide aspartique sont soupçonnés d’être toxique pour les neurones et de favoriser des maladies dégénératives comme Parkinson.

    Hexaméthylènetétramine (E239). Ce conservateur de synthèse utilisé dans certains fromages contient du formaldéhyde, produit chimique toxique. Il n’est pas autorisé en Australie et Nouvelle-Zélande.

    Orthophénylphénol (E231). Conservateur de synthèse autorisé pour le traitement externe des agrumes, interdit en Australie et Nouvelle-Zélande. Il peut être à l’origine de réactions cutanées et d’inflammation des muqueuses.

    Parabènes (E214-E219). Ces conservateurs pour cosmétiques sont également utilisés comme additifs alimentaires. Certains peuvent se comporter comme des hormones femelles. Plusieurs parabènes alimentaires sont interdits en Australie. A éviter chez les enfants et pendant grossesse et allaitement.