L'écriture inclusive est à bannir! arrêtez de jouer les bobos incultes avec cela!
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L'écriture inclusive est à bannir! arrêtez de jouer les bobos incultes avec cela!
Voici votre météo, ÉTÉ et HIVER 2018
valable 50 km autour de Toulouse
JUIN
N'oubliez pas votre parapluie jusqu'à la mi-juin et prenez un parapluie anti-retournement car le vent sera plutôt fort…
Ensuite, dernière quinzaine de juin, c'est beaucoup: temps plus calme et température plus chaude qu'habitude
JUILLET
On continue sur la lancée de fin juin; le temps sera sec, peu humide et assez chaud pour la période….
Hélas, cela ne va pas durer: 2e quinzaine de juillet: fort vent, belle pluie mais il fera toujours très chaud!
AOUT
Première quinzaine, le temps sera moins sec, pas d'orage mais toujours très chaud pour la saison… attention à la grande vague de chaleur…..
Oui, mais: 2e quinzaine, orages et fort vent; température plus basse.
SEPTEMBRE
1ere quinzaine: belle remontée des températures mais petite pluie et petit vent.
deuxième quinzaine: cela va mieux mais plus de pluie et d'humidité et il fera encore très chaud pour un septembre
OCTOBRE
Même type de temps que fin septembre: petite pluie, petit vent; température assez haute
Pour la 2e quinzaine, vous reprenez comme en début octobre.
NOVEMBRE
1er quinzaine: ce sera encore bien chaud pour un novembre avec un peu de vent et pas mal d'humidité (petite pluie) légère baisse des températures en vue.
2e quinzaine: peu de pluie, même sec et peu de vent mais baisse des températures plus forte.
DÉCEMBRE
1ere quinzaine, temps clair, peu humide et belle descente des températures
1e quinzaine même type de temps qu'au début du mois mais les températures vont bien plonger.
Comme je le serine depuis le mois d'août 2018: l'été 2019 sera pourri!
Ingrédients: Pour 8 personnes
1 lapin de 1,2 kg environ; 2 oignons; 1 bouquet de persil
1 bouquet de thym; 1 branche de céleri; Poivre et Sel
Vin blanc; cuillère à soupe d'huile d'olive
100 g de saindoux ou graisse canard
1 feuille de laurier
Demandez à votre boucher de préparer votre lapin en morceaux. Salez et poivrez vos morceaux sur votre plan de travail.
Épluchez les oignons, enlevez les parties ligneuses du céleri. Coupez vos oignons en quatre.
Déposez tous vos ingrédients dans un grand saladier avec le lapin. Ajoutez l'huile d'olive et la moitié d'une bouteille de vin blanc.
Laissez macérer six heures. Faites fondre le saindoux dans une casserole. Faites revenir la viande dix minutes dans le saindoux chaud.
Ajoutez ensuite un peu du liquide de macération puis faites cuire pendant 1 h 20 environ le temps que le vin s'évapore.
Retirez la viande puis émiettez-la avec une fourchette. Déposez la ensuite dans des bocaux en verre et laissez refroidir au frais.
La blette est un légume riche en minéraux et en oligo-éléments tout en étant peu calorique: elle a donc une densité nutritionnelle intéressante et une densité calorique faible. Voici ce qu’elle peut faire pour votre santé.
On sait que consommer quotidiennement des fruits et légumes permet de prévenir certaines pathologies comme le diabète, l’obésité et les maladies cardiovasculaires.
La blette est un légume riche en fibres, ainsi qu’en antioxydants comme le bêta-carotène et la chlorophylle, mais aussi en minéraux tels que le calcium, le magnésium et le potassium. Consommer ce légume permet donc de se protéger contre diverses maladies.
Elle aide à diminuer la pression artérielle
Grâce à ses teneurs intéressantes en calcium, magnésium et potassium, la blette permet d’améliorer la pression artérielle. Mais c’est aussi grâce à sa teneur en nitrate. Des études ont en effet révélé que les légumes riches en nitrate alimentaire, comme la blette, permettent de réduire la pression artérielle, d’inhiber l’agrégation plaquettaire et préserver ou améliorer le dysfonctionnement des cellules vasculaires [1, 2].
Elle baisse la glycémie
La blette contient un antioxydant nommé acide alpha-lipoïque qui aurait des effets bénéfiques sur la glycémie. Des études ont montré que cet antioxydant permettait d’abaisser la glycémie, d’augmenter la sensibilité à l’insuline et de prévenir les changements causés par le stress oxydatif chez les patients diabétiques.
Ils ont également vu des effets protecteurs sur le foie des diabétiques [3].
Cependant, l'acide alpha-lipoïque étudié a été administré par voie intraveineuse. Certaines études ont suggéré que la prise orale n'est pas suffisamment efficace.
Elle est intéressante pour les os
Comme les autres légumes verts à feuilles, la blette est une très bonne source de vitamine K. Des études ont montré qu’un bon apport en vitamine K pouvait améliorer la santé osseuse en améliorant l’absorption du calcium et en réduisant son élimination par voie urinaire. [4]
Elle améliore le transit intestinal
Les fibres que la blette contient peuvent avoir un effet régulateur sur le transit intestinal. Elles vont permettre de lutter contre la constipation, en douceur. Par ailleurs les fibres nourrissent les bonnes bactéries intestinales. Cet effet prébiotique peut rejaillir sur la santé générale.
Références:
[1] Br J Clin Pharmacol. 2013 Mar;75(3):677-96. doi: 10.1111/j.1365-2125.2012.04420.x. Vascular effects of dietary nitrate (as found in green leafy vegetables and beetroot) via the nitrate-nitrite-nitric oxide pathway. Lidder S, Webb AJ.
[2] Therapeutic effects of inorganic nitrate and nitrite in cardiovascular and metabolic diseases. S. A. Omar, A. J. Webb, J. O. Lundberg & E. Weitzberg. From the Department of Physiology and Pharmacology, Karolinska Institutet, Stockholm, Sweden; and Cardiovascular Division,Department of Clinical Pharmacology, King’s College London British Heart Foundation Centre, London, UK.
[3] Food & Nutrition Science Regular Papers. Effects of Chard (Beta vulgaris L. var cicla) on the Liver of the Diabetic Rats: A Morphological and Biochemical Study. Ozlem OZSOY-SACAN, Omür KARABULUT-BULAN, Sehnaz BOLKENT, Refiye YANARDAG, Yasemin OZGEY
[4] Dietary vitamin K intake is associated with bone quantitative ultrasound measurements but not with bone peripheral biochemical markers in elderly men and women. M. Bulló, R. Estruch, J. Salas-Salvadó
Comment choisir la blette, la préparer et la cuisiner pour préserver ses atouts santé?
Pour trouver une bonne blette, il faut que les côtes soient bien blanches et fermes.
Les feuilles doivent être d’un beau vert brillant et profond et elles ne doivent pas être déchirées.
La blette se conserve très bien 2-3 jours dans le bac à légumes du réfrigérateur. Pour une conservation optimale, vous pouvez l’envelopper dans un linge humide.
Pour la garder plus longtemps (au réfrigérateur ou au congélateur), vous pouvez précuire les côtes pendant 5 minutes à l’eau bouillante.
Avant de cuisiner la blette, il faut un minimum de préparation:
Séparer les côtes des feuilles.
Rincer soigneusement la blette à l’eau puis la sécher avec un linge propre. Un panier à salade peut être utile pour sécher les feuilles.
La blette peut être consommée crue, mais ayant une saveur particulière, elle est consommée le plus souvent cuite.
Il y a différents modes de cuisson:
A l’autocuiseur: 10 minutes de cuisson pour les côtes et à peine 5 minutes pour les feuilles.
A l’eau bouillante: 15 minutes; vous pouvez agrémenter l’eau à l’aide de bouillon, de citron ou d’aromates.
Au micro-ondes: il faut entre 5 et 7 minutes pour les feuilles avec un peu d’eau et d’huile d’olive.
A la poêle: pendant 5 à 10 minutes faites revenir les feuilles avec un peu d’ail, d’oignon, d’huile et d’eau.
Comment l’associer?
Vous pouvez cuisiner les feuilles et les côtes ensemble ou séparées.
Les feuilles de blette se mélangent très bien à des omelettes, en accompagnement d’une viande ou d’un poisson, dans une tarte sucrée ou salée, ou bien dans une farce.
Pour les côtes, vous pouvez les mettre dans une soupe, avec de la crème, en gratin, en salade dans une quiche ou tarte. Ou avec une sauce tomate à l'oignon et des dés de cansalade.
La blette se marie très bien aux tomates, aux sardines, aux anchois et à la crème.
La viande était en pratique la principale source de protéines jusqu’à l’invention de l’agriculture il y a 10 000 ans. De nos jours elle n’est plus la seule source alimentaire de protéines. Est notamment cultivée toute une famille de plantes, famille des légumineuses appelée ensuite papilionacées et aujourd’hui fabacées qui ont une racine capable de fixer l’azote atmosphérique et dont les graines sont riches en protéines.
Les représentants alimentaires de cette famille sont les fèves, les haricots, les lentilles, les pois, etc. dont les graines riches en amidon sont désignées sous l’appellation féculents.
Selon les tables Ciqual 2016 de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), les teneurs en protéine pour 100 grammes des principales sources végétales sont les suivantes: tofu (soja)10 g, lentilles cuites 8 g, pain 8 g, pâtes cuites 4 g.
L’Anses vient de séparer les fabacées des légumes pour en faire une classe spécifique "en raison de leur teneur en fibres et en protéines". L’agence propose de diminuer la viande dans la ration et d’augmenter l’apport de légumineuses. L’impératif de 5 fruits et légumes (à défaut de huit) par jour est maintenu mais l’exclusion des fabacées de la classe des légumes va rendre très compliquée son observance…
"Les légumineuses constituent une excellente source de protéines: 100 g de légumineuses apportent autant de protéines que 100 g de viande, de poisson ou d’abats sans apporter de graisses saturées“. clame Aymeric Caron, l’auteur de No steak (Thierry Souccar Editions). Les vaches sont sauvées…
C’est une tromperie. C’est vrai chimiquement parlant mais faux alimentairement parlant. Il est exact que les lentilles crues contiennent autant de protéines que la viande mais on ne peut pas manger les lentilles crues. Il faut les faire cuire. À la cuisson, les légumes secs triplent de volume et, cuits, leur teneur en protéines tombe à environ 8 g pour 100 g seulement contre 27 g pour 100 g pour un bifteck grillé (Tables Ciqual, 2016).
Pour un apport protéique équivalent à celui d’un steak de 150 g, il faudrait donc ingérer… 500 g de lentilles cuites ! Nous ne sommes pas capables d’ingérer, et de façon répétée, une telle quantité (énorme volume) et notre système digestif est, lui, incapable de la digérer.
Par ailleurs, à la différence de la viande, les légumineuses ne fournissent pas tous les acides aminés essentiels mais ont pour certains un acide aminé en quantité limitante, ce qui oblige à les associer à une autre source de protéines végétales (céréales) pour obtenir un bon rapport d’acides aminés. Les légumineuses sont ainsi suffisantes en lysine et limitantes en méthionine alors que les céréales (maïs, riz, blé, orge) sont suffisantes en méthionine et limitantes en lysine.
Donc, les lentilles ne peuvent ni quantitativement ni qualitativement remplacer la viande (trop faible teneur en protéine, composition en acides aminés mal adaptée).
La consommation de lentilles ne peut clairement pas constituer un apport protéique suffisant pour les besoins quotidiens. Le pain ayant une teneur en protéine égale à celle des lentilles cuites, il vaudrait mieux pour des raisons organoleptiques (qui est susceptible d’exciter un récepteur sensoriel) et de physiologie digestive remplacer l’apport protéique de la viande par du pain plutôt que des lentilles.
La seule solution pour remplacer les sources animales serait la mise au point de procédés d’extraction et concentration des protéines à partir de sources végétales, ainsi que le suggère Alex Tabarok dans une publication récente. Sans doute sommes-nous alors loin des considérations sur les qualités organoleptiques et gastronomiques…
Dans l’état actuel des choses (et de nos habitudes alimentaires) seules les protéines animales peuvent nous permettre d’assurer l’apport protéique correspondant à notre besoin physiologique. Malgré notre empathie pour ces animaux, il parait encore difficile de se passer des vaches, des porcs, des poulets et des poissons.
Toulouse(31): Les tentes de réfugiés albanais se multiplient à Saint-Cyprien
Depuis plusieurs jours, elles font partie du paysage de l’avenue Étienne Billères, proche de la Patte d’Oie. Quatre tentes, installées à même le trottoir, juste devant l’entrée de la veille sociale, structure municipale en charge de l’orientation sur les questions d’hébergement, où se pressent chaque jour des centaines de réfugiés et de demandeurs d’asile. Les habitants des tentes le sont aussi. La préfecture de Haute-Garonne a recensé deux familles -avec cinq enfants- l’une primo arrivante, l’autre qui était hébergée à l’hôtel par l’État jusqu’au 22 février dernier, et aurait refusé une orientation vers un centre d’accueil pour demandeurs d’asile. Tous sont Albanais.
Les Albanais figurent parmi les cinq premières nationalités dans les chiffres de demande d’asile à Toulouse. Des chiffres qui, selon la préfecture, ont "très fortement augmenté" en 2017 par rapport à l’année précédente. En 2016, l’Albanie était devenue le premier pays d’origine pour les demandeurs d’asile en France, avec 7 432 demandes enregistrées par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides.[…]
Dans la cité, les habitants parlent d’une collaboration paisible, même si l’on sent poindre quelques tensions. "Des tentes, il y en a depuis plus d’un an ici, raconte un locataire. Mais il y a une semaine, une nouvelle vague d’habitants est arrivée." Il parle d’immigration économique, évoque aussi un pays qui n’est pas en guerre[…]
La Dépêche
… en dissuadant sa grand-mère de faire le vaccin anti-grippe!
L’épidémie de grippe responsable de 13000 décès
Précoce et longue, l’épidémie de grippe saisonnière a été marquée cette année par une forte proportion d’hospitalisations ainsi qu’une surmortalité notable. Selon Santé publique France, la mortalité attribuable à la maladie a été estimée à 13 000 décès.
(il faut savoir qu'il y a 5 ans, elle ne faisait que 3 à 5000 décès maxi en France… le triplement provient du fait que l'on ne vaccine plus les personnes âgées)
Cette année l’épidémie de grippe a débuté précocement en Ile-de-France au cours de la semaine du 4 au 10 décembre. Elle s’est ensuite propagée en quatre semaines à l’ensemble des régions métropolitaines. Elle a ensuite duré 16 longues semaines pour s’achever dans l’ensemble des régions de métropole fin mars.
Hospitalisations et cas graves en hausse
Au cours de l’épidémie, près de 2,4 millions de consultations pour syndrome grippal ont été relevées. Si cela correspond à une ampleur modérée en ambulatoire, le nombre d’hospitalisations pour grippe a été lui le plus élevé depuis 2009-2010. Parmi ces patients hospitalisés, 20% étaient âgés de moins de 5 ans et 53% de 65 ans et plus.
Le nombre de cas graves de grippe admis en réanimation est également le plus élevé depuis la saison 2009-2010, (2009-2010 est l'arrivée de la grippe dite A H1N1, la fameuse grippe qui a fait si peur au gouvernement de l'époque) avec 2 915 cas depuis le 1er novembre 2017.
Enfin, l’excès de mortalité attribuable à la grippe est estimé à environ 13 000 décès tous âges confondus. Ces décès concernent des personnes de 65 ans et plus à 93%.
Un vaccin moyennement efficace
L’efficacité modérée du vaccin contre le virus de type B/Yamagata, qui a eu un impact important chez les personnes de 65 ans et plus, ainsi que la couverture vaccinale toujours insuffisante (45,6%) chez les personnes ciblées ont contribué à la sévérité de cette épidémie », souligne Santé publique France.
Pour la saison 2018/2019, la composition vaccinale reste inchangée pour la valence H1N1. Elle sera néanmoins modifiée pour les valences H3N2 et B/Victoria, selon les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Source: Santé publique France, 25 avril 2018