toulousain - Page 66
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Danger: cela fait grossir!
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Mince alors!
Une sauce mayonnaise sans œuf!
Vite fait, en plus!
Il vous faut un pied-plongeur
Ingrédients
1 verre (20 cl) d'huile végétale; ½ verre à moutarde (10 cl) de lait
1 cuillère à café de moutarde forte; ½ gousse d’ail dégermée (optionnel)
1 c. à soupe de vinaigre; 1 cuillère à café de jus de citron fraîchement pressé
Sel et poivre
Placez la moutarde, le lait et l'huile dans un pichet en verre très épais, profond, adapté pour pied mélangeur. Plongez le pied mélangeur au fond de la tasse et actionnez pour faire une émulsion.
Ajoutez l'ail dégermé et le sel et mélangez encore.
Versez la mayonnaise dans un bol, ajoutez le vinaigre et le jus de citron à la cuillère. Assaisonnez au goût avec du sel et du poivre.
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Boire un petit coup c'est agréable…
3 verres? Bonjours les dégâts..
Recette du ratafia à l'orange en bas du texte
Les diverses boissons alcoolisées
Il existe deux grands groupes de boissons alcoolisées, d'après leur mode de fabrication et leur teneur en alcool:
les boissons fermentées:
vin et dérivés (de 8,5 à 25°),
apéritif à base de vermouth (18°),
bière (de 2 à 12°),
cidre (de 1,5 à 10°),
les boissons distillées (la distillation augmente la teneur en alcool):
eaux de vie et dérivés (de 35 à 70°),
liqueurs (de 15 à 20°).
Comprendre le degré d'alcool d’une boisson alcoolisée
L'alcool éthylique ou éthanol provient de la fermentation du sucre (glucose et du fructose) contenus dans les fruits et les céréales.
La teneur d'une boisson en alcool pur s'évalue en degré (°) et elle est inscrite sur les bouteilles en volume.
Ex: un vin à 12° contient 12 ml d'alcool pur pour 100 ml de vin.
Soit 12 x 0,8 = 9,6 g d'alcool pur pour un verre de 100 ml de vin.
Il y a à peu près autant d'alcool pur (9 à 10 g) dans:
= 1 verre de 100 ml de vin,
= 1 verre de 70 ml d'apéritif à 18°,
= 1 "demi" de 250 ml de bière à 5°,
= 1 verre de 250 ml de cidre à 5°,
= 1 flûte de 100 ml de champagne à 12°,
= 1 dose de 25 ml de whisky à 45°,
= 1 dose de 25 ml de pastis à 45°,
= 1 dose de 25 ml de digestif à 45°.
L'alcool est très énergétique: il apporte 7 kcal par gramme d'alcool. De plus, il s’agit de calories favorisant le stockage "des mauvaises graisses".
Par exemple:
1 verre de 100 ml de vin à 12° apporte 70 kcal.
1 dose de 25 ml d'apéritif non sucré (whisky, rhum, vodka...) apporte 60 kcal.
1 verre de 100 ml d'apéritif sucré ou 1 canette de bière de 250 ml apportent 100 kcal.
Attention aux apéritifs et cocktails alcoolisés sucrés !
L’apport en sucre masque l’effet de l’alcool. Ils se boivent très facilement et l’addition peut être lourde en alcool, sucre et donc en calories !
L'alcool n'est pas un élément essentiel à la santé. L'eau est la seule boisson indispensable à l'organisme.
Cependant, il semblerait qu’une petite consommation d’alcool (1 verre de vin par jour) serait un facteur de protection vasculaire. L’alcool et le tanin du vin rouge pourraient augmenter le “bon cholestérol sanguin“ (HDL). Pour reconnaître le bon du mauvais sachez que le mauvais est LDL -soit le Laid, du coup, le HDL est le bon).
Les alcools secs (whisky, vodka…) provoquent une dilatation des artères et pourraient favoriser l’élimination d’une plaque d’athérome. C’est pour cela que certains cardiologues conseillent de boire un verre de vin rouge par jour et un verre d’alcool fort par semaine.
Le mauvais côté de l’alcool
Une consommation abusive d’alcool engendre de nombreux désordres digestifs ou nerveux et sur le long terme, favorise l’obésité, l’artériosclérose, l’hypertension et l’alcoolisme chronique avec dégénérescence du foie, pancréas….
Les organismes de santé recommandent de ne pas dépasser:
- 13 g d'alcool par jour pour une femme, ce qui représente, par semaine, 9 verres (de 100 ml) de vin à 12°.
- 15 g d'alcool par jour pour un homme, ce qui représente, par semaine, 11 verres (de 100 ml) de vin à 12°.
*Un verre de vin de 10 cl ou une autre boisson alcoolisée, définie dans le paragraphe suivant.
Dans tous les cas, il est conseillé de ne pas dépasser 10 % de l'apport calorique total de la journée sous forme d'alcool, autrement dit, si votre alimentation est peu calorique, ne buvez pas ou très peu d'alcool !
L'alcool est déconseillé pendant la grossesse ou pendant l’allaitement
En effet, l’alcool traverse la barrière placentaire de la femme enceinte et diffuse dans le lait de la maman qui allaite. Il passe donc de la maman à l’enfant !
Circuit de l'alcool dans l'organisme et alcoolémie
L'alcool est ingéré par la bouche, passe dans l'œsophage puis dans l'estomac et arrive à l'intestin.
Absorption de l’alcool
La presque totalité de l'alcool est absorbée au niveau de l'intestin (seule une très faible quantité d'alcool est absorbée au niveau buccal).
Aussitôt absorbé, l'alcool diffuse dans le sang à une vitesse qui dépend de sa dilution et de l'état de plénitude de l'estomac:
- elle est plus rapide pour les boissons alcoolisées de haut titre (eaux de vie) que pour celles plus diluées (bière, cidre ou vin),
- elle est plus rapide à jeun que si l'alcool est bu au cours d'un repas (surtout si celui-ci est riche en graisse).
Diffusion et élimination de l'alcool
Une faible quantité d'alcool est éliminée dans les urines, la transpiration ou la respiration et dans les larmes. En effet 90 % à 95 % de l'alcool ingéré est métabolisé au niveau du foie. L'alcool diffuse dans tous les organes pendant qu'il est lentement transformé par le foie. Il faut en moyenne 7 heures à l'organisme pour éliminer 1 g d'alcool.
L'alcoolémie
L'alcoolémie correspond à la présence d'alcool dans le sang. On la mesure par un taux d'alcoolémie exprimé en grammes par litre.
Attention, l'alcoolémie autorisée par le code de la route est de 0,5 g d'alcool par litre de sang ce qui correspond par exemple à:
- pour un homme de 70 kg:
. 2 verres de vin pris à jeun ou avec quelques amuse-gueules,
. 3 verres de vin pris au sein d’un repas complet,
- pour une femme de 50 kg:
. 1 verre de vin pris à jeun ou avec quelques amuse-gueules,
. 2 verres de vin pris au sein d’un repas complet.
Si la consommation de vin est double (soit 1 g d’alcool par litre de sang), il faudra attendre 3 à 4 heures après l’ingestion avant de retrouver une alcoolémie de 0,5 pour pouvoir prendre la route
Effet de l'alcoolisation
- Ivresse ou intoxication aiguë
Cet état est obtenu par une consommation d'alcool importante.
Ses effets sont d'autant plus évidents que le sujet n'est pas habitué à boire.
On distingue 4 phases qui peuvent se succéder:
- un temps inapparent: le sujet se sent "normal" mais ses réflexes et son jugement peuvent être déjà perturbés,
- une phase d'euphorie: le jugement et l'autocontrôle sont déjà altérés. Le sujet se croit plus fort, plus intelligent…,
- une phase d'incoordination: apparaissent les troubles de l'équilibre et du langage,
- une phase de coma: si la consommation alcoolique est trop rapide et trop abondante, on peut observer une intoxication grave des centres nerveux (rythme cardiaque et respiration ralentis). Ce coma éthylique peut aller jusqu'à la mort.
- Alcoolisme chronique
Il naît de l'absorption quotidienne, pendant des mois et des années, de quantités d'alcool trop importantes par rapport aux possibilités d'élimination de la personne.
L'organisme est en permanence « imbibé d'alcool » et n'a pas le temps de transformer la totalité de l'alcool ingéré.
Tous les organes peuvent être lésés surtout le système digestif et nerveux:
- au niveau de l'appareil digestif, on compte les gastrites, les cirrhoses, les pancréatites, les cancers de la bouche, du pharynx ou de l'œsophage,
- au niveau du système nerveux, on peut citer les troubles des réflexes, de la vision, de l'équilibre, lésions des nerfs (polynévrites), atteinte des centres nerveux (confusion mentale, diminution de la mémoire, somnolence…).
Toutes ces lésions sont très souvent progressives et le sujet peut ne s'en rendre compte que très tardivement.
On peut devenir un malade de l'alcool sans avoir jamais été ivre. Peu à peu l'organisme va passer à l'état de dépendance, c'est à dire qu'il ne pourra plus être privé d'alcool sans que se produisent des trouble
Les “on dit“ de l'alcool
- L'alcool réchauffe
C'est une sensation de chaleur due à la dilatation des vaisseaux situés sous la peau. En réalité, la température du corps s'abaisse d'un ½ degré par fraction de 50 g d'alcool ingéré. La consommation d'alcool par temps froid peut au contraire masquer un abaissement de la température et provoquer de graves problèmes.
- L'alcool donne des forces
L'alcool provoque dans un premier temps un sentiment d'euphorie qui donne une sensation de force mais ce sentiment s'évanouit rapidement et une sensation d'épuisement le remplace.
- Il n'y a pas beaucoup d'alcool dans la bière ou le cidre, on peut en boire à volonté
Il est vrai que la bière et le cidre ont un degré d'alcool inférieur à une eau de vie, cependant les quantités consommées de ces boissons alcoolisées sont plus importantes. Il y a autant d'alcool pur dans un « demi » de bière (250 ml) que dans une dose de whisky (25 ml). Au final, une personne qui boit 2 “demi“ de bière, ingère autant d'alcool qu'une personne qui prend 2 verres de whisky.
En conclusion: la modération
Les apéritifs alcoolisés, le vin, la bière, les digestifs... peuvent être consommés, s'ils font partie de moments festifs, mais en tenant compte:
- d’une part des limites de toxicité pour l’organisme,
- d’autre part de l'apport calorique total de votre alimentation.
Ratafia d'oranges
Levez le zeste de 5 oranges, mettez-les dans un bocal, versez dessus 2 litres d'eau-de-vie.
Exprimez le suc de 12 oranges, passez-le; avec ce suc, imbibez 1 kilogramme de sucre; quand il est à peu près dissous, mêlez-le à l'eau-de-vie.
Fermez le bocal, tenez-le au soleil pendant quelques semaines; filtrez ensuite au papier et conservez en bouteilles de verre à bouchon.
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Salade de pâtes à la saucisse de Toulouse
Pour 6 personnes
500 g de petites pâtes (coquillettes)
300 g de saucisse grillée de Toulouse, coupée en rondelles ou 2 blancs de poulet (ou reste de poulet grillé); des tomates cerise
du basilic, 1 citron vert, de la très bonne huile d'olive
un peu de piment en poudre
Commencez par faire cuire vos pâtes comme indiqué sur le paquet. Placez-les dans un saladier et arrosez d'huile d'olive puis placez au frais environ 1 heure.
Ensuite, faites cuire rapidement vos blancs de poulet dans une poêle avec de l'huile d'olive. Découpez ensuite le poulet en petits morceaux. Vous pouvez utiliser des restes de poulets cuits que vous déchirerez à la main.
Placez les morceaux de poulet ou de saucisse par-dessus les pâtes. Coupez vos tomates cerise en deux puis ajoutez-les à la salade.
Dans un bol, mettre le basilic, un peu de piment en poudre, du citron vert et un filet d'huile d'olive. Mélangez-le tout puis verser sur les pâtes.
Vous pouvez utiliser ce mélange pour des pommes de terre, des pois chiches cuits, haricots blancs ou verts (en pot de verre).
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Pâtes au camembert
PLAT COMPLET
Pour 6 personnes
500 g de tortellinis; 2 gousses d'ail; 40 g de beurre
40 g de farine; 30 cl de lait; Sel, poivre; 1/2 cuiller à café de noix de muscade moulue
1 camembert; 150 g de jambon cru ou cuit; 1 C à café de persil frais
Cuire les tortellinis dans de l'eau bouillante comme indiqué sur le paquet.
Peler et hachez l'ail. Dans une casserole faire cuire le beurre et l'ail. Ajoutez la farine et mélanger. Laissez cuire jusqu'à ce que cela devienne mousseux.
Ajoutez alors le lait petit à petit en fouettant bien entre chaque ajout. Salez, poivrez et ajoutez la noix de muscade.
Hacher le camembert et le jambon. Gardez quelques morceaux pour la décoration. Ajoutez le camembert et le jambon à la sauce. Laissez fondre à feu doux en remuant régulièrement. Passez la sauce au mixer.
Dresser les tortellinis avec la sauce crémeuse. Décorer avec des morceaux de jambon, de camembert et un peu de persil.
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Truffade de pommes de terre
Un plat bien de chez nous!
Ingrédients
1kg de pommes de terre, 500gr de tomme de l'Aveyron
250g de lardons de cansalade non salée, non fumée
1 grosse gousse d’ail; Huile d’olive
Persil, sel, poivre
Préchauffez le four à 200°.
Faites cuire vos dés de cansalade dans votre poêle noire, sans graisse: ceux-ci vont rendre de la graisse, donc, plus diététiques. Mais, si vous souhaitez qu'ils soient croustillants, mettre de l'huile dans la poêle, attendez qu'elle chauffe bien et jetez les dés de cansalade. Réservez une fois bien brunis.
Beurrez votre plat en verre, (vous pouvez commencer par y passer une gousse d'ail coupée en deux, avant, puis pelez vos pommes de terre et coupez-les en rondelles. Disposez-les dans le fond de votre plat. Émincez l’ail et déposez sur les pommes de terre.
Coupez des morceaux de tomme et éparpillez-les sur les pommes de terre. Faites la même chose avec les lardons. Mélangez le tout.
Badigeonnez de deux cuillères à soupe d’huile d’olive. Mettez une pincée de sel et de poivre, puis ajoutez quelques bouts de persil.
Enfournez pendant 45 mn à plus.
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Celle qui a sauvé des millions de bébés
Cette semaine, notre héros du Progrès est une héroïne, Virginia Apgar, anesthésiste et chercheur américaine, qui a inventé le test permettant d’évaluer rapidement la santé du nouveau-né et de déterminer si l’enfant a besoin immédiatement de soins médicaux néonataux.
Ce test, dénommé "score d’Apgar" continue à être utilisé couramment dans le monde entier et il est reconnu pour avoir sauvé la vie de millions de nouveau-nés depuis 1952.
Virginia Apgar est née à Westfield, dans le New Jersey, le 7 juin 1909. Apgar avait deux frères aînés, dont l’un est mort en bas âge de la tuberculose, tandis que l’autre vivait avec une maladie chronique. En raison des problèmes médicaux de ses deux frères, Apgar choisit de faire carrière dans le domaine médical.
En 1929, Apgar obtient un diplôme de zoologie avec des mineures en physiologie et chimie au Mount Holyoke College, et la même année, elle commence sa formation médicale au College of Physicians and Surgeons (P&S) de l’Université de Columbia.
Apgar obtient son diplôme de médecine en 1933 et commence un internat de deux ans en chirurgie à l’Hôpital presbytérien P&S. Bien qu’elle fasse montre de compétence, le président du P&S, qui s’inquiétait des perspectives économiques pour les femmes chirurgiens pendant la Grande Dépression, lui conseille de faire carrière dans l’anesthésie – un nouveau domaine d’étude qui commençait à prendre forme en tant que spécialité plutôt médicale, que strictement infirmière.
Apgar suit ce conseil et après la fin de son internat en 1936, elle commence une formation d’anesthésiste d’un an à l’hôpital presbytérien. Après avoir terminé le cursus, elle effectue son résidanat en anesthésiologie à l’université du Wisconsin et à l’hôpital Bellevue de Manhattan, NYC.
En 1938, elle retourne à l’Hôpital presbytérien et devient directrice du nouveau département d’anesthésie. Apgar est la première femme à occuper un poste de direction à l’Hôpital presbytérien.
En 1949, Apgar devient également la première femme à occuper un poste de professeur titulaire à la P&S. La chaire d’anesthésiologie la libère de nombreuses tâches administratives, lui permettant ainsi de consacrer davantage de temps à la recherche.
Apgar constate que la mortalité infantile (c’est-à-dire les bébés âgés de 0 à 1 an) aux États-Unis a diminué rapidement entre les années 1930 et 1950. Mais que le taux de mortalité des bébés dans les 24 heures suivant la naissance est resté le même.
Perplexe devant cet écart, Apgar commence à étudier les différences entre les nouveau-nés en bonne santé et les nouveau-nés nécessitant des soins médicaux.
En 1952, Apgar élabore un test appelé "score d’Apgar" que les professionnels de la santé peuvent utiliser pour évaluer la santé des nouveau-nés. Le système de notation Apgar donne à chaque nouveau-né un score de 0, 1 ou 2. Zéro indique la pire condition possible et deux indique la condition idéale dans chacune des cinq catégories suivantes: activité (tonus musculaire), pouls, grimace (irritabilité des réflexes), apparence (couleur de la peau) et respiration. Pour que son évaluation soit facile à retenir, la première lettre de chacune des cinq catégories forme le mot "APGAR".
Le test est généralement effectué sur les nouveau-nés 1 minute puis 5 minutes après leur naissance. Un score cumulé de 3 ou moins est généralement considéré comme dangereusement bas et justifiant une prise en charge médicale immédiate.
Le test d’Apgar est rapidement devenu une pratique courante dans le monde entier. Il reste aujourd’hui encore une procédure standard pour évaluer la santé du nouveau-né.
En 1959, Apgar obtient une maîtrise en santé publique à l’université Johns Hopkins et commence à travailler pour la Fondation March of Dimes – une organisation américaine à but non lucratif qui œuvre à l’amélioration de la santé des mères et des bébés – en dirigeant son programme de recherche axé sur le traitement et la prévention des malformations congénitales.
Tout en travaillant à la March of Dimes, Apgar devient une fervente partisane de la vaccination universelle pour prévenir la transmission de la rubéole de la mère à l’enfant.
Virginia Apgar deviendra ensuite maître de conférences, puis professeur clinique de pédiatrie à l’université Cornell. Elle décède le 7 août 1974.
Tout au long de sa carrière, elle recevra de nombreux doctorats honorifiques, le "Distinguished Service Award" de l’American Society of Anesthesiologists (1966) et le titre de " Femme de l’année en sciences " par le Ladies Home Journal (1973).
En 1995, elle a été intronisée au National Women’s Hall of Fame des États-Unis.
On attribue à l’utilisation du score d’Apgar la réduction du taux de mortalité infantile car il a considérablement augmenté la probabilité de survie des bébés dans les 24 heures suivant la naissance. L’invention et l’utilisation du score d’Apgar ont permis de sauver des millions de vies et continuent à en sauver des milliers d’autres chaque jour. C’est pourquoi Virginia Apgar est notre vingt-deuxième héros du progrès.
Les Héros du progrès, c’est aussi:
- Alfred Sommer, la vitamine A
- David Nalin, la réhydratation par voie orale
- Louis Pasteur, père de la microbiologie
- Paul Hermann Müller, les propriétés insecticides du DDT
- Malcom McLean, les conteneurs de transport
- Abel Wolman et Linn Enslow, la purification de l’eau
- Pearl Kendrick & Grace Eldering vaccinent contre la coqueluche
- Gutenberg, la diffusion du savoir
- James Watt, la vapeur, moteur du progrès
- Joseph Lister, stérilisation et asepsie
- Maurice Hilleman, des vaccins vitaux
- Françoise Barré-Sinoussi, la découverte du VIH
- Richard Cobden, héros du libre-échange
- William Wilberforce: une vie contre l’esclavage
- Ronald Ross: la transmission du paludisme
- Alexander Fleming et la pénicilline
- Jonas Salk et le vaccin contre la polio
- Landsteiner et Lewisohn, l’art de la transfusion
- Edward Jenner, pionnier du vaccin contre la variole
- Fritz Haber et Carl Bosch, le rendement des cultures
- Norman Borlaug, père de la révolution verte