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  • Bananes flambées

     

     

    C'est recette gourmande, très en vogue dans les seventies.

    Il vous faut une banane juste mûre par personne, 1 peu de beurre, 3 ou 4 fraises et des amandes; 1 cuillère à soupe d'armagnac ou 1 verre de jus d'orange fait par vous, de la cassonade selon votre goût perso… de la cannelle

    Faites cuire rapidement vos fraises avec le jus d'orange et un peu de cassonade.

    Pelez et coupez les bananes en long, faites-les dorer avec un peu de beurre dans la poêle, rajoutez l'armagnac, faites flamber (pour les enfants, ne pas flamber); saupoudrez de cassonade et de cannelle, laissez cuire 2 minutes en évitant d'écraser les bananes.

    Rajoutez les amandes et attendez qu'elles dorent.

    Disposez en présentation dans les assiettes à dessert, bananes entières ou coupées, d'un côté et fraises de l'autre, rajoutez la sauce de la poêle et le jus des fraises. Rajoutez du yaourt entier ou du fromage blanc ou de la chantilly ou encore, une boule de glace, si vous n'avez pas eu votre compte de calories.

    Ou bien une sauce au chocolat: vous pouvez la réaliser facilement avec la pâte à tartiner en chocolat en question en la faisant chauffer au bain-marie.

     

  • Fouace de chez nous vraiment, mais vraiment à l'ancienne!

    Si vous retrouvez des recettes de vos grands-mères dans un cahier et que vous trouvez que, même en suivant la recette très précisément, votre gâteau n'a pas le même goût de votre enfance c'est parce que vous utilisez des ustensiles fabriqués avec de la pétrochimie…

    Figurez-vous que le premier plastique (formica) n'est arrivé en France, dans les cuisines pauvres que vers 1960! La cuisine se faisait avec des ustensiles en bois, fer, alu (mais, ça, évitez) terre, verre.

    Pour 2-3 gourmands

    450 g de farine, 80 g de sucre, 15 cl de lait

    80 g de beurre, 4 œufs, 1 sachet de levure de boulanger de préférence, sel

    Nous utilisions le moule à baba souvent pour les grosses quantités ou le moule à flan (c'est un moule cannelé).

    Délayer la levure dans un peu d'eau tiède et attendez 10 m', avant de vous en servir.

    Dans un saladier en terre ou en verre, versez la farine, le sucre, une pincée de sel, et versez au centre la levure délayée. Mélangez en ajoutant peu à peu le lait. Ajoutez les œufs un à un, puis le beurre fondu, et enfin l'eau de fleur d'oranger (si vous en trouvez en flacon de verre, achetez. Le plus souvent, le verre est réservé aux eaux florales de beauté mais cela fait l'affaire en cuisine).

    Mélangez délicatement avec une spatule en bois, (pas de nylon ni de plastique cancérigènes)  puis à la main (avec des ongles non-peints pour éviter les écailles de vernis chimiques dans votre pâte) afin d'obtenir une pâte lisse et élastique.

    Couvrez le récipient avec un torchon propre (laissez tomber le papier plastique, cela vous fera moins de nitrites sur le gâteau) et mettez-le dans un endroit tiède à l'abri des courants d'air. Laissez lever la préparation pendant au moins 2 heures.

    Travaillez la pâte à nouveau à la main et déposez-la dans un moule rond en fer beurré et sucré. Dessinez un losange ou des croisillons sur le dessus avec un couteau.

    Faire cuire à four moyen, thermostat 6 (180°C), pendant 40 minutes environ mais ne laissez pas brunir trop le gâteau.

    Sortez du four, saupoudrez de sucre rémoulade et démoulez tiède sur un plat en porcelaine blanche.

    Pour démouler facile, passez une lame de couteau entre le moule et le gâteau, enrobez le moule d'un torchon humide et retournez sur un plat de service en porcelaine blanche non peinte (pour éviter les vernis et peintures pétrochimiques).

     

  • Nous, cela fait longtemps que l'on sait d'où vient la moisissure du Roquefort!

    Suisse: le mystère des "trous" dans le fromage enfin élucidé

    L'institut des sciences en denrées alimentaires Agroscope, basé à Berne, vient de trouver l'explication scientifique aux "trous" dans certains fromages suisses. Et les bactéries, longtemps soupçonnées, n'y sont pour rien...

    Qui ne s'est jamais demandé pourquoi l'Emmental ou encore l'Appenzell étaient criblés de trous ? ... A l'origine de l’apparition de ces cratères de toutes formes qui amusent tant les enfants, il n'y a pas d'intervention humaine, ni aucune petite souris qui serait passée par là... Alors depuis des décennies, la Suisse, pour qui le fromage est une affaire tout à fait sérieuse, tente de percer le mystère. Et c'est chose faire.

    Après un siècle d'étude, l'institut des sciences en denrées alimentaires Agroscope, basé à Berne, vient de découvrir le pot-au-roses. Les "trous" dans le fromage sont en fait provoqués par des gaz qui se dégagent pendant la fermentation. Et ces gaz sont eux-mêmes engendrés par de petites particules de foin qui tombent dans le lait pendant la traite des vaches.

    C'est une découverte qui a été faite complètement par accident, comme toutes les grandes découvertes", se réjouit l'institut scientifique

    Rien que du naturel donc et pourtant, ce sont les techniques modernes qui ont permis de faire cette découverte. Les chercheurs, qui avaient bien remarqué qu'il y avait de moins en moins de trous dans le fromage depuis ces dernières années, ont en effet constaté qu'ils avaient tendance à disparaître quand le lait était extrait avec des techniques plus modernes et "aseptisées" que celles des fromagers d'antan...

    Et c'est là, la révélation ! "C'est la disparition du seau traditionnel", placé sous le pis de l'animal, et dans lequel les fameuses particules de foin pouvaient flotter à loisir, qui est à l'origine de la disparition des "trous", explique  un porte-parole de Agroscope.

    Cette découverte pourrait permettre au fromager de varier le nombre de "trous" désirés dans ses meules en jouant sur le dosage des microparticules de foin, et aux enfants de de continuer à s'amuser de ces drôles de cratères.

     

  • L'institut du Cerveau et de la Moele Epinière: dernières avancées recherche SEP

    Je demande pardon à ceux qui ne sont pas concernés mais j'ai reçu énormément de visites avec le mot clé: SEP, donc, je continue à mettre des infos sur cette épouvantable maladie incurable.

     

    SEP: la recherche progresse au sein de l'ICM

    A l’occasion de la journée mondiale de la sclérose en plaques, ce mercredi 27 mai 2015, l’Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière fait le point sur les recherches actuellement menées par ses équipes.

    Première cause de handicap sévère d’origine non traumatique chez les trentenaires, la sclérose en plaques (SEP) touche environ 80 000 personnes en France, plus de 540 000 de personnes en Europe et environ 2,8 millions de personnes dans le monde.

     

    En fait, depuis 10 ans que je suis malade, ils répètent sans cesse ces stats... mais, je pense qu'il faut les tripler ou plus; personne, vraiment, n'a fait ces calculs, d'autant qu'en France il est interdit de faire des listes

     

    2015 : un succès pour MedDay

    En avril 2015, MedDay, start up incubée au sein de l’ICM, a démontré l’efficacité d’une biotine contre la forme progressive de la SEP dans une étude de phase III menée sur 154 patients. Une avancée majeure, car au delà de ralentir la maladie, le traitement permet une réelle amélioration de l’état de santé de certaines personnes. Un nouveau médicament pourrait ainsi être disponible d’ici un an sur le marché.

    Quatre équipes de recherche impliquées sur la SEP

    L’équipe de Brahim Nait Oumesnar et Anne Baron–Van Evercooren a mis en évidence le rôle bénéfique de plusieurs molécules dans la réparation de la myéline. La dernière avancée étant l’identification d’un gène pro-myélinisant, appelé Olig2. Ces découvertes pourraient jouer un rôle majeur dans le développement de thérapeutiques visant à stimuler la réparation des dommages causés par la SEP et donc à ralentir la progression de la maladie.

    L’équipe de Catherine Lubetzki et Bruno Stankoff vient de montrer par quels mécanismes les cellules nécessaires à la fabrication de la myéline sont recrutées et activées. Cette équipe développe également un programme innovant d’imagerie en tomographie par émission de positons (PET) pour étudier la démyélinisation et remyélinisation.

    L’équipe de Bertrand Fontaine et Sophie Nicole a identifié un ensemble de gènes associés à une prédisposition à la SEP. Les protéines codées par ces gènes sont impliquées dans la migration des lymphocytes T dans le cerveau. Or les lymphocytes T sont responsables de la destruction de la gaine de myéline et constituent une cible privilégiée des traitements actuels.

    Enfin, en collaboration avec les chercheurs, l’équipe de Jean-Christophe Corvol au Centre d’Investigation Clinique (CIC) de l’ICM a participé à l’évaluation de trois nouveaux traitements contre la sclérose en plaque, maintenant disponibles sur le marché.

    Equipes scientifiques

    Equipe "Approches moléculaires et cellulaires de la réparation myélinique"

    Chef d'équipe:  Anne BARON VAN EVERCOOREN

    Chef d’équipe:  Brahim NAIT OUMESMAR

    S’appuyant sur leurs expertises complémentaires en régénération des oligodendrocytes (B. Nait-Oumesmar), en neuroinflammation (V. Zujovic) et en biologie des cellules souches (A. Baron-Van Evercooren), les membres de l’équipe a pour objectif de mieux comprendre les mécanismes cellulaires et moléculaires impliqués dans la remyélinisation et de développer des thérapies innovantes favorisant la remyélinisation et offrant une neuroprotection efficace pour lutter contre la démyélinisation.

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    Equipe "Mécanismes de myélinisation et remyélinisation dans le système nerveux central"

    Chef d'équipe; Catherine LUBETZKI

    Chef d'équipe: Bruno STANKOFF

    L’équipe de Catherine Lubetzki et Bruno Stankoff se concentre sur la physiopathologie de la sclérose en plaques (SEP), notamment les mécanismes de myélinisation du système nerveux central et la remyélinisation et vise à traduire les connaissances acquises dans la pratique clinique.

    http://icm-institute.org/fr/actualite/sclerose-en-plaques-la-recherche-progresse-au-sein-de-licm

     

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