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  • Pommes de terre farcies

    Bresse Bleu ou Roquefort 250 g, 2 tranche(s) jambon cru dégraissé

    8 très grosses pomme de terre, 2 cuillère(s) à soupe persil plat

    1 tomate, poivre et autres épices

    Pelez les pommes de terre, puis faites-les cuire entières à l’eau bouillante salée ou à la vapeur, 15 à 20 min suivant leur taille.

    Pendant ce temps, faites préchauffer le four à 180 °C (th. 6). Taillez le jambon cru en fines lanières, épépinez la tomate et coupez-la en dés. Coupez également le Bresse Bleu our le Roquefort en dés. Dans une terrine ou saladier, mélangez les lanières de jambon, les dés de tomate, les dés de fromage et le persil plat. Donnez un tour de moulin à poivre.

    Egouttez les pommes de terre, puis ménagez-leur une calotte dans la longueur, et creusez-les délicatement. Farcissez-les de la préparation et déposez-les dans un plat à gratin. Parsemez de coriandre moulu.

    Ajoutez 5 cl d’eau autour des pommes de terre et enfournez pour 8 à 10 min, pour faire légèrement fondre le fromage. Servez très chaud, dès la sortie du four. Servez saupoudré de persil ciselé.

    Bien sûr, vous pouvez remplacer avec de la chair à saucisse de Toulouse rissolée avant.

  • Une première en France

    Le groupe Kinepolis espère ouvrir une salle de cinéma équipée de lasers, courant décembre 2016, suite à l'ouverture de la nouvelle Galerie Espaces Fenouillet, près de Toulouse.

    Le cinéma promet " une réelle immersion dans l’univers des films ". Avec l’ouverture, en novembre 2016, de la nouvelle Galerie Espaces Fenouillet, située au nord de Toulouse, le groupe Kinepolis espère bientôt y ouvrir un cinéma. Les dirigeants tableraient sur une ouverture " entre le 15 et le 30 décembre 2016 ". Fort de huit salles et de 1 161 places, ce dernier a récemment annoncé être entièrement équipé en lasers. Une première en France.

    "Au top de la technologie "

    "C’est actuellement ce qui se fait de mieux en terme de technologie", souffle le groupe. Le cinéma serait le premier de France à être équipé de projecteurs laser, ce qui permettrait de proposer une excellente qualité d’image. "C’est le top de la technologie", poursuit-il. Précédemment, les projecteurs utilisaient des ampoules au xénon. En préférant le laser, ils offriraient une lumière " plus naturelle et un spectre de couleurs encore plus large ".

    En outre, la grande salle devra disposer de la technologie " Laser Ultra ", qui allie le meilleur projecteur à un son " Dolby Atmos multidimensionnel ". Soixante-quatre canaux de diffusion sonore oeuvrent donc dans cette salle, afin que les spectateur profitent du meilleur rendu possible.

    “Nous allons pouvoir offrir aux spectateurs de Fenouillet la meilleure qualité d’imagerie possible et élever l’expérience cinématographique à de nouveaux niveaux, précise Eddy Duquenne, le directeur général du groupe Kinepolis, dans un communiqué.”

    Réserver son siège en ligne

    En plus de ces innovations technologiques, le groupe précise équiper ses salles de larges fauteuils, particulièrement espacés, pour le confort de ses clients. Pour les spectateurs les plus organisés, il est même possible de réserver son siège en ligne, afin d’être sur d’avoir une place et d’arriver au cinéma l’esprit tranquille. Enfin, le cinéma Kinepolis propose des retransmissions d’événements, comme le concert des Kids United (samedi 3 décembre) ainsi que des ballets et opéras pour Noël (les 16 et 17 décembre).

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    Infos pratiques :

    Kinepolis Fenouillet

     RN 20 ZI Saint-Jory, près de Toulouse

     Ouverture prochaine, du lundi au samedi, de 9 h 30 à 20 h

     Tél. 05 61 70 77 55

     

    Comme j'habite à Fenouillet, faudra, un jour, que j'y traîne mes guêtres...

     

  • Illuminations de Noël

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    Esquirol réenchantée et cône lumineux géant à Toulouse

    Les cercles colorés rues Saint-Antoine-du-T et Boulbonne font partie d'une déambulation illuminée créée par la Ville de Toulouse pour les fêtes. (Photo : Patrice Nin/Ville de Toulouse)

    Les fêtes de fin d’années approchent et, avec elles, la traditionnelle période des illuminations des rues de Toulouse. Le top départ sera donné le samedi 3 décembre 2016, pour une période d’illuminations qui s’étalera jusqu’à mi-janvier 2017.

    La Ville a présenté lundi 21 novembre les nouveautés en la matière, avec des surprises réservées pour les places Esquirol, Saint-Étienne et Arnaud Bernard…

    Esquirol, nouvelle place illuminée cette année

    Comme annoncé au début de la mandature de Jean-Luc Moudenc à la tête du Capitole, une nouvelle place emblématique de Toulouse est illuminée chaque hiver. Cela avait commencé avec la place Wilson et sa fontaine lumineuse en 2014, suivie en 2015 par la place Saint-Georges et son TreeLight.

    Cette année, la marie va donc poursuivre cette stratégie en se concentrant sur la place Esquirol. " L’ambiance générale sera un esprit de grâce et de féerie pour un Noël lié à l’imaginaire ", décrit Émilion Esnault, conseiller municipal en charge de l’éclairage public.

    Si l’élu souhaite pour l’heure " garder un peu de mystère sur cette nouveauté afin de surprendre les Toulousains ", il concède malgré tout quelques détails de mise en scène :

    “Notre volonté est d’utiliser tout l’espace de la place, comme un seul environnement global. Dans la continuité de ce qui avait été fait place Wilson, il y aura aussi un mélange de couleurs modernes et du blanc classique dans les éclairages. ”

    C’est le concepteur et scénographe toulousain Lionel Bessières qui a été chargé de concevoir les illuminations pour la place Esquirol. Les Toulousains auront donc un aperçu de son travail dès lundi 21 novembre, puisqu’il s’est occupé de la nouvelle mise en lumière des Jacobins, inaugurée à 20 h.

     

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    Un cône lumineux de onze mètres place Saint-Étienne

    Entre ces trois places emblématiques – Wilson, Saint-Georges, Esquirol – se dessine donc au fil des années une sorte de " parcours des illuminations de Noël dans la ville ", comme le définit Émilion Esnault. C’est ainsi que des cercles colorés rues Saint-Antoine-du-T et Boulbonne ont ainsi marqué cette déambulation lumineuse, qui va être poursuivie cet hiver.

    Le réenchantement de la place Esquirol, auquel ont été associés les commerçants, ne sera pas la seule surprise cette année. Parmi les investissements prévus, figure également un cône lumineux de onze mètres de haut, sorte de sapin géant stylisé, qui sera installé sur la place Saint-Étienne.

    Les illuminations densifiées dans les faubourgs

     

    Une dizaine d’autres de ces cônes lumineux, plus petits cependant (trois à cinq mètres de haut), seront de plus répartis dans différents quartiers de la ville, tandis que les dix sapins boules utilisés les années précédentes sont aussi maintenus.

    Une façon de poursuivre la densification des illuminations dans les faubourgs toulousains. Avec un accent particulier accordé au quartier Arnaud-Bernard: l’un des deux sapins contemporains TreeLight mis en place à Saint-Georges l’an passé va en effet être transféré place Arnaud-Bernard.

    “Cela fait partie d’un plan plus large mené avec  la maire de quartier Julie Escudier afin de mettre en valeur le secteur. L’éclairage de Noël sera ainsi renforcé à Arnaud Bernard avec ce sapin, mais aussi davantage de motifs sur les candélabres, indique Émilion Esnault, mu par l’objectif de " faire toujours plus avec moins".

    Le conseiller municipal s’efforce en effet depuis trois ans de serrer les cordons de la bourse, stabilisant cet hiver le budget des illuminations à 700 000 euros, contre 850 000 euros à son arrivée au Capitole.

    Inauguration des animations de Noël le 3 décembre

    L’inauguration des différentes animations aura lieu le samedi 3 décembre 2016, à 18 h au square Charles-de-Gaulle, et sera suivie de l’inauguration des illuminations à 19 h à Esquirol. Celle-ci sera marquée par " une mise en lumière particulière, dynamique ", souligne-t-on du côté de la mairie.

    À cette occasion, les Toulousains pourront voir les membres de la compagnie de théâtre de rue les Plasticiens Volants déambuler en lumière dans les rues de Toulouse tout au long du parcours reliant le square à Esquirol.

    Les illuminations de Toulouse en chiffres

    • 800 mètres : c’est la longueur du plafond lumineux au-dessus de la rue d’Alsace-Lorraine. " Les plus grand de France ", selon Émilion Esnault.
    • 20 kilomètres de guirlandes lumineuses, dont dix en centre-ville
    • 700 motifs lumineux, dont 110 dans le centre-ville
    • 50 Pères Noël colorés dans les écoles
    • 600 heures d’allumage des guirlandes
    • 5 000 euros, c’est le coût en consommation électrique des illuminations, équipée en Led, pour les deux mois
  • Savoir pour ne pas avoir de diabète

    Le diabète de type 2 se caractérise par un excès de glucose dans le sang en raison d’une résistance à l’insuline. C’est une maladie associée en partie à des facteurs du mode de vie (surpoids, sédentarité, mauvaise alimentation….). En agissant sur certains facteurs modifiables, il est possible d’éviter de développer un diabète, surtout si vous êtes en situation de prédiabète. Voici quelques précautions à prendre.Eviter les boissons sucrées

    Une nouvelle étude parue dans l’European Journal of Endocrinology montre que boire 2 boissons sucrées par jour double le risque de deux formes de diabète : le diabète de type 2 et le diabète auto-immun latent chez l’adulte.

    Des études antérieures ont déjà montré que la consommation régulière de boissons sucrées augmente le risque de diabète de type 2. Ainsi, une méta-analyse a rapporté une augmentation de 13% du risque de diabète de type 2 pour chaque boisson sucrée consommée quotidiennement. Et les boissons « light » sont également concernées, notamment parce qu’elles augmentent l’appétit en altérant la signalisation de la satiété et qu'elles diminuent la tolérance au glucose en modifiant le microbiote intestinal.

    "L’association entre la consommation de boissons sucrées et le diabète auto-immun chez l'adulte est moins claire" disent les auteurs de l’étude. C'est pourquoi ils se sont intéressés à la fois au diabète de type 2 et au diabète auto-immun latent chez l’adulte (ou LADA pour latent auto-immune diabetes in adults). Le LADA est une forme de diabète auto-immun qui progresse lentement et qui touche les adultes. Il est semblable au diabète de type 1 dans lequel le pancréas ne produit plus d’insuline. Certains experts le considèrent comme un hybride entre le diabète de type 1 (maladie auto-immune) et le diabète de type 2 (maladie de civilisation).

    Les chercheurs ont analysé les données concernant plus de 2 800 personnes, certaines souffrant de diabète (type 2 ou LADA), d’autres en bonne santé. Résultats : 2 boissons sucrées de 200 ml consommées quotidiennement doublent le risque de développer un diabète. Et le risque est à peu près le même avec les boissons light, contenant des édulcorants. De plus, pour chaque boisson supplémentaire par jour sucrée - light ou non - le risque de diabète de type 2 augmente de 20%, le risque de LADA de 15%.

    "Le LADA n’est pas systématiquement diagnostiqué car il faut des tests supplémentaires pour diagnostiquer l’auto-immunité, il est donc difficile d’estimer sa prévalence » disent les auteurs. On estime que 9% des diabètes de type 2 diagnostiqués chez les Européens seraient positifs pour le LADA. Or, la consommation de boissons sucrées - light ou non - est associée à un risque accru des deux formes de diabète.

    Plusieurs phénomènes peuvent expliquer cette association: d’abord des apports élevés en boissons sucrées sont associés à un risque accru d’obésité, elle-même associée au diabète de type 2. En ce qui concerne le diabète auto-immun latent, les chercheurs pensent que la consommation de boissons sucrées provoque des pics de glycémie et donc des pics d’insuline. Ces phénomènes répétés pourraient stresser puis épuiser les cellules qui produisent l’insuline.

    Il s’agit toutefois d’une association et l’étude ne peut pas conclure qu’il existe un lien de cause à effet entre la consommation de boissons sucrées et le risque de diabète. De nombreux autres facteurs entrent en effet en jeu. Cependant  les raisons d’arrêter les sodas et autres boissons sucrées, même light ne manquent pas: augmentation de la graisse viscérale, hypertension, risque d’infarctus, puberté précoce, vieillissement accéléré…

    Glucides vs graisses, ne pas se tromper d’ennemi

    Pour limiter le risque de développer un diabète, c’est bien les glucides qu’il faut diminuer ou apprendre à bien choisir et non pas les graisses qu’il faut bannir. Longtemps celles-ci ont été montrées du doigt, favorisant ainsi la consommation des glucides. Le Programme national nutrition santé (PNNS) conseille même de manger peu de graisses et au contraire des féculents à chaque repas. Ce type de message anti-gras, pro-féculents a fait grimper la consommation de féculents/farineux et en même temps le nombre de personnes souffrant de diabète… Tous les aliments glucidiques, qu’il s’agisse d’aliments sucrés ou du pain et des pommes de terre sont convertis en glucose. Plus ils sont raffinés, plus cette conversion est rapide. Pour gérer ce sucre sanguin, le pancréas produit de l’insuline. Mais lorsque les glucides sont consommés en trop grande quantité, l’organisme finit par s’épuiser, le pancréas qui a été trop sollicité ne produit plus assez d’insuline et le diabète se développe.

    Beaucoup d'aliments riches en glucides consommés dans les pays industrialisés sont de faible qualité, c'est-à-dire avec un index et une charge glycémiques élevés, peu de fibres, mais beaucoup de calories. De tels aliments sont rapidement digérés et absorbés, et provoquent une hausse rapide du taux de sucre dans le sang, puis un pic d’insuline.

    Pour limiter votre risque de diabète, choisissez des glucides à index glycémique bas qui ont un véritable intérêt pour la santé. Des chercheurs internationaux se sont d’ailleurs accordé sur l’utilité de l’index glycémique pour la santé, et demandent que les industriels affichent l'index glycémique des aliments.

    Privilégier l’huile d’olive

    L’huile d’olive aide à contrôler sa glycémie, selon un article paru dans Nutrition & Diabetes où des scientifiques montrent que l’huile d’olive vierge extra améliore les taux de glucose et de cholestérol dans le sang. Dans cet article, les chercheurs ont testé l’effet de l’huile d’olive vierge extra ajoutée à un repas de type méditerranéen. 25 personnes en bonne santé ont participé et ont mangé un repas typiquement méditerranéen avec ou sans huile d’olive vierge extra (10 g). Dans une autre partie de l'étude, les volontaires ont eu un repas méditerranéen avec 10 g d’huile d’olive ou 10 g d’huile de maïs.

    Dans la première partie de l’étude, 2 h après le repas, ceux qui avaient pris le repas avec l’huile d’olive avaient significativement moins de glucose et de cholestérol-LDL dans le sang, et plus d’insuline par rapport à ceux qui n’avaient pas eu d’huile d’olive. Dans la deuxième partie de l’étude, l’huile d’olive a amélioré les profils lipidiques et glycémiques, par rapport à l'huile de maïs : il y avait une plus faible augmentation du glucose, plus d’insuline et moins de LDL avec l’huile d’olive.

    Par conséquent, l’huile d’olive vierge extra améliore le taux de glucose après un repas. La prévention du diabète grâce au régime méditerranéen pourrait être due aux propriétés anti-oxydantes de l’huile d’olive. Ainsi, par exemple, parmi les composants de l’huile d’olive vierge extra, l’oleuropéine réduirait le stress oxydant.

    Limiter les fritures et les grillades

    Les fritures et les grillades conduisent à la formation de produits de glycation avancée, les AGE, issus de la réaction de Maillard. On trouve des AGE en abondance dans les produits transformés (produits de panification, biscuits, fast-food, chips, cacahuètes, amandes et aliments grillés, etc). Or, les AGE favorisent le vieillissement et de nombreuses études d’observation ont lié taux sanguin élevé d’AGE et diabète.

    Des chercheurs ont cherché à savoir si on pouvait diminuer le risque de diabète en adoptant un régime pauvre en AGE. Ils ont suivi 138 hommes et femmes répartis en 2 groupes, tous souffrant du syndrome métabolique caractérisé notamment par des troubles de la glycémie. Un groupe témoin ne devait rien changer à son alimentation, tandis que l'autre groupe devait limiter les cuissons à haute température (barbecue, friture, cuisson au four) et les remplacer par des cuissons plus douces (cuisson à la vapeur, à l’eau, bain-marie, etc). Les chercheurs ont évalué la résistance à l’insuline au début et à la fin de l’étude grâce à une prise de sang.

    A la fin de l’étude, par rapport au groupe témoin, les participants du groupe pauvre en AGE présentaient une amélioration importante de la résistance à l’insuline : presque 2 fois plus faible. Autre résultat intéressant, le groupe ayant suivi un régime pauvre en AGE présentait des marqueurs plus faibles du stress oxydatif et de l’inflammation.

    Les AGE pourraient avoir un effet direct sur le pancréas en altérant la voie de fabrication d’insuline, en modifiant l'insuline et en activant l'expression de gènes pro-inflammatoires.

    Marcher

    Une étude rapporte que la marche est bien plus efficace que la course pour améliorer les marqueurs du prédiabète, et elle est encore plus efficace alliée à une alimentation saine.

    Des chercheurs ont voulu savoir si l'activité physique seule pouvait égaler l'effet du sport allié au régime, et quelle activité physique était la plus efficace. 150 Américains en stade de prédiabète (glycémie à jeun comprise entre 1.06 g/L et 1.26 g/L) ont été sélectionnés. Les participants ont été répartis aléatoirement en 4 groupes distincts.

    Un premier groupe a modifié son alimentation pour perdre du poids et a pratiqué une activité physique modérée, équivalent à 12 km de marche par semaine.

    Les personnes appartenant aux trois autres groupes ne devaient rien changer à leur alimentation mais devaient pratiquer une activité physique (marche ou jogging) à une fréquence variable (12 ou 20 km) : le groupe numéro 2 devait marcher l’équivalent de 12 km par semaine, soit 3 h de marche. Le groupe numéro 3 devait marcher l’équivalent de 20 km par semaine, soit 5 h de marche. Et le quatrième groupe devait courir 20 km par semaine, l’équivalent de 2 h de jogging.

    Le groupe numéro 1 (régime + marche 12 km) a obtenu les meilleurs résultats : la tolérance au glucose a été améliorée de 8% tandis que la glycémie à jeûn a diminué de 0.15 g/L. Ensuite, c’est le groupe qui devait marcher 20 km par semaine qui a obtenu de bons résultats. Le groupe jogging est quant à lui arrivé dernier, les participants n’ayant présenté presque aucune amélioration métabolique : amélioration de la tolérance au glucose de 2% seulement et pas d'amélioration de la glycémie à jeun.

    D’autres études ont montré que marcher après le repas permet de réduire la glycémie.

    Sources

    Josefin E Löfvenborg, Tomas Andersson, Per-Ola Carlsson, Mozhgan Dorkhan, Leif Groop, Mats Martinell, Tiinamaija Tuomi, Alicja Wolk, Sofia Carlsson. Sweetened beverage intake and risk of latent autoimmune diabetes in adults (LADA) and type 2 diabetes. European Journal of Endocrinology (2016) 175, 605–614.

    Violi F, Loffredo L, Pignatelli P, Angelico F, Bartimoccia S, Nocella C, Cangemi R, Petruccioli A, Monticolo R, Pastori D, Carnevale R. Extra virgin olive oil use is associated with improved post-prandial blood glucose and LDL cholesterol in healthy subjects. Nutr Diabetes. 2015 Jul 20;5:e172. doi: 10.1038/nutd.2015.23.

    Helen Vlassara, Weijing Cai, Elizabeth Tripp, Renata Pyzik, Kalle Yee, Laurie Goldberg, Laurie Tansman, Xue Chen, Venkatesh Mani, Zahi A. Fayad, Girish N. Nadkarni, Gary E. Striker, John C. He, Jaime Uribarri.Oral AGE restriction ameliorates insulin resistance in obese individuals with the metabolic syndrome: a randomised controlled trial. Diabetologia, 2016; DOI: 10.1007/s00125-016-4053-x.

    Joseph JJ, Echouffo-Tcheugui JB, Golden SH, Chen H, Jenny NS, Carnethon MR, Jacobs D Jr, Burke GL, Vaidya D, Ouyang P, Bertoni AG.“Physical activity, sedentary behaviors and the incidence of type 2 diabetes mellitus: the Multi-Ethnic Study of Atherosclerosis (MESA).” BMJ Open Diabetes Res Care. 2016 Jun 23;4(1):e000185. doi: 10.1136/bmjdrc-2015-000185. eCollection 2016.