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Blog - Page 103

  • Croque-Monsieur à la poêle

    Toutes mes recettes toulousaine... pour les fauchés, ceux qui n'ont pas le temps, ceux qui n'ont pas de four....

    Pour 4 personnes

    50 g de beurre; 8 grandes tranches de pain de mie; 8 fines tranches d’emmental

    2 grandes tranches de jambon blanc; on dit aussi  jambon de Paris

    Poivre

    Mettre le beurre à température ambiante pour le faire ramollir et qu'il devienne "pommade".

    À l’aide d'un couteau, étaler une très fine couche de beurre sur chaque face du pain de mie. Placer ensuite une tranche de jambon et une d'emmental sur 4 tranches de pain, puis ajouter une pincée poivre. Poser les tranches de pain de mie restantes, dessus

    Poser les croque-monsieur dans une poêle froide et allumer la plaque de cuisson ou le feu. Laisser colorer à feu doux pendant 5 minutes. Retourner les croque-monsieur lorsqu'ils sont croustillants et colorer l'autre face, à feux doux durant 5 minutes également. Laisser reposer pendant 3 minutes avant de servir.

    Si vous avez trop faim, faites cuire des œufs au plat, à part, et déposez délicatement sur vos croques monsieur que vous devrez baptiser: croque madame!

  • Le couvre-feu à 18h a-t-il aggravé l'épidémie à Toulouse?

    Image: place du Capitole, à Toulouse

    Plus de trois semaines après la mise en place d’un couvre-feu à 18h, l’utilité de la mesure est de plus en plus interrogée. A Toulouse, le couvre-feu serait même à l’origine d’une reprise de l’épidémie.

    Alors que le couvre-feu à 18h fait peser sur les Français un climat particulièrement morne et anxiogène, la mesure se voit plus en plus critiqué par différents responsables scientifiques et politiques. En Lorraine, où l’épidémie reprend de plus belle, plusieurs personnalités dénoncent une mesure en place depuis presque un mois et totalement inefficiente sur la reprise du virus. La situation serait même encore pire à Toulouse où, raconte La Dépêche, le couvre-feu à 18h est soupçonné par un laboratoire de virologie d’avoir entraîné la reprise de l’épidémie. Le laboratoire, appartenant au CHU de Toulouse, a estimé l’impact de l’application du couvre-feu sur le taux de positivité du virus. " Nous avons atteint les 10 % de positivité au Covid entre le 20 et le 24 janvier ", affirme Chloé Diméglio, docteur en mathématique appliquées et biostatisticienne au laboratoire du CHU, soit dix jours après l’instauration du couvre-feu.

    Une augmentation similaire à celle qui avait suivi Noël

    Dans les semaines qui avaient suivi les fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre, ce taux de positivité avait déjà augmenté, passant de 4 à 8.5%. Les 10% qui suivent la mise en place du couvre-feu constituent une nouvelle augmentation anormale, alors que la mesure était supposée réduire – ou au moins stopper – la progression du virus. " Le fait d’avoir concentré la circulation des personnes aux mêmes horaires est peut-être un effet indésirable du couvre-feu à 18 heures, à Toulouse en tout cas ", avance Chloé Diméglio. Et la scientifique a pensé à d’autres hypothèses avant de condamner le couvre-feu. Le variant anglais ? " Il circule faiblement chez nous ", affirme Chloé Diméglio. " Quant à la galette des rois, j’ai du mal à croire qu’elle a eu un impact plus important que les fêtes de fin d’année ", poursuit-elle. De quoi contribuer à augmenter la grogne qui monte contre les mesures coercitives et uniformisées du gouvernement.

     

    Source:

  • Le maraîcher se pend

    Le maraîcher se pend et les gendarmes verbalisent tout le village…

    Cela lève le cœur. Cela donne des envies de révolution.

    La personne qui témoigne, digne, dit tout.  Cela se passe à côté de Rennes, dans un village, dont nous ne saurons pas le nom. Le maire a demandé de ne pas exposer sa commune à l’ire du préfet… Je ne vois pas, quant à moi, l’intérêt d’un tel silence. Il est évident que le préfet est au courant et connaît les sentiments dudit maire… qui aurait été, ainsi que sa commune, bien plus protégé si on avait su le nom du village.

    On a honte. Honte d’être dans la France de Macron. Honte qu’il y ait eu tant de traîtres pour voter pour ce dictateur impitoyable qui déteste les Français de souche.

    Jamais une scène pareille ne se serait passée à la sortie d’une mosquée. Les nôtres sont de plus en plus méprisés, haïs, humiliés… traités comme des délinquants pendant que les véritables délinquants sont, eux, épargnés, relâchés… On se souviendra que ce sont peut-être les mêmes gendarmes, d’ailleurs, qui ont laissé la rave-partie à côté de Rennes se dérouler tranquillement tout le week-end…  Courageux avec les faibles, avec ceux qui respectent la loi, mais lâches avec les meutes islamisées ou d’antifas…

    La colère monte, monte…

    Christine Tasin

     

    Source

  • Propriétaires ou locataire: attention!

    Des jeunes -qui ont crié dans la rue devant la maison de Roland- se sont fait agresser de façon violente par la gauchiasse! en bas de l'article, quelques conseils pour vous défendre si l'on a squatté votre maison... c'est ce que je ferais si l'on m'"expulsait" de mon logement... à vous d'en trouver d'autres! sinon, puisque la loi est pour les pauvres, contre les "riches proprios", payez un pauvre pour qu'il le fasse à votre place: il risquera moins que vous!

    Et oui, même locataires, c'est déjà arrivé!

    En France, les squatteurs ont plus de droits que les propriétaires

    Propriété privée by belpo (CC BY-NC 2.0) — belpo, CC-BY

    Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie?

    La négation de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen

    L’article 17 de la DDHC et les articles 544 & 545 du Code civil sont désormais allègrement ignorés, contournés, bafoués. Les récentes et de plus en plus fréquentes accaparations de logements par des squatteurs, en sont l’illustration la plus spectaculaire.

    Ce phénomène qui n’est pas récent, n’a pas été pris au sérieux par les gouvernements précédents. Malgré une médiatisation importante, l’aggravation actuelle n’incite pas le gouvernement, pas plus que les élus, à réagir pour régler ce problème grave. Ils se réfugient derrière la notion très magnanime de droit au logement pour trouver prétexte à ne pas expulser des individus qui volent impunément le bien d’autrui.

    Ce bien dont les propriétaires acquittent au trésor public des taxes foncières, des droits de cession ou de mutation permet d’abonder le grand tonneau sans fond permettant de payer des allocations de soutien social aux spoliateurs de logements.

    Ces squatteurs très bien renseignés par le site Internet "Guide juridique de l’occupant sans titre" s’organisent pour profiter gratuitement et pratiquement sans risque d’un logement et de son contenu, (un meublé gratuit !) pour une durée variable.

    En effet, si la loi prévoit un an d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende pour occupation illégale du bien d’autrui, cette sanction est très rarement appliquée car les prisons sont encombrées et les allocations perçues par les squatteurs sont insaisissables.

    Et quand la force publique est enfin requise après des mois de procédure, celle-ci est réticente à exécuter l’expulsion qui doit être suivie d’un relogement. Le "bon" squatteur préférera squatter un autre logement plutôt que devoir payer un loyer !

    Vers une "soviétisation" de la propriété?

    La loi du 3 janvier 1992 déclare que l’eau fait partie du bien commun de la nation. Cependant, l’article 641 du Code civil dispose que tout propriétaire dispose des eaux pluviales qui tombent sur son fonds, ainsi que des eaux de sources qui y sont nées.  Cet article du Code civil, modifié par une ordonnance du 18 septembre 2019 devrait s’imposer comme plus récent que la loi de 1992.

    Il n’empêche qu’un propriétaire qui veut créer une réserve collinaire sur ses terres pour collecter les eaux de ruissellement hivernales, régulant l’excédent qui provoque des crues dévastatrices, ne peut le faire sans "l’agrément" des services administratifs, eux-mêmes soumis à l’agrément des associations environnementalistes.

    Ainsi, l’opinion qui approuve sans réserve la collecte et la mise en réserve de l’eau qui tombe sur les toitures, s’offusque et s’oppose le plus souvent contre le stockage de celle qui tombe sur les champs.

    Ainsi, au prétexte que l’eau appartient à tout le monde, on préfère laisser partir à la mer une eau de pluie si précieuse qui pourrait, par l’irrigation, lutter contre les dégâts des sécheresses estivales, permettant de réguler les récoltes en quantité et en qualité pour le bien commun.

    L’eau, bien commun, ne doit plus être utilisée comme propriété individuelle, même si la finalité est le bénéfice commun!

    Les prospectives des conseils gouvernementaux vont plus loin

    Mais la réflexion pour collectiviser les biens privés n’a pas de limites. Si l’air est depuis longtemps considéré comme un bien commun, les limites de propriété étant difficiles à définir, et étroitement surveillées pour des questions de salubrité publique, il est aussi prétexte à taxation (CO2) et restrictions (vignette Crit’Air) qui sont autant d’atteintes à la libre disposition des biens privés.

    Les besoins budgétaires incitent les têtes pensantes des gouvernements à réfléchir sur de nouvelles mesures pour éponger la dette abyssale de la nation. Ainsi France Stratégie, think tank ayant succédé au commissariat au plan récemment régénéré par la nomination de François Bayrou, proposait en 2017 de:

    Rééquilibrer comptablement le bilan patrimonial de l’État, par la voie d’un transfert d’actifs depuis le bilan des agents économiques privés résidents […] L’État décrète qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels, à hauteur d’une fraction fixée de leur valeur, et que ce nouveau droit de propriété est désormais incessible.

    Non seulement cette proposition envisage de spolier les propriétaires d’une partie du terrain qui supporte leurs constructions, mais elle ne propose aucune indemnité, en infraction totale avec l’article 545 du Code civil. Plus encore, elle envisage l’obligation du paiement d’un loyer annuel sur la partie du sol accaparée par l’État.

    Le propriétaire, qui s’acquitte déjà des taxes et impôts qui normalement donnent obligation à l’État d’apporter ses protection et garantie, devient locataire et les loyers impayés éventuels seront retenus lors de la future cession de l’immeuble.

    À l’issue d’un colloque organisé à l’Assemblée nationale le 27 novembre 2019 par les députés Dominique Potier, Jean-Michel Clément et Jean-Bernard Sempastous, un appel pour une nouvelle loi foncière a été signé par 17 organisations (collectivités territoriales, syndicats agricoles, ONG…). Parmi les neuf mesures proposées, figure en premier plan :

    Inscrire dans la loi le principe selon lequel le sol, comme les autres ressources naturelles, est un "élément du patrimoine commun de la Nation“.

    Cela aura-t-il comme conséquence la dépossession de leurs terres pour les propriétaires ruraux? Les bailleurs ruraux seront ils privés de leurs fermages? Les citadins pourront-ils accéder en tout temps et en tout lieu dans les champs agricoles, comme les seigneurs du Moyen Âge, pour des randonnées de loisirs sans avoir à répondre des dégâts aux récoltes?

    Une nationalisation masquée?

    L’État-providence se trouve confronté à une impossibilité mathématique. La production nationale ne suffit plus à équilibrer la masse monétaire qu’il distribue pour soutenir l’économie et aider les plus démunis à survivre. S’il continue à distribuer de l’argent qu’il n’a plus, il risque le défaut de remboursement de ses dettes; s’il cesse de soutenir l’économie et les citoyens, ce sera le chaos, puis la guerre civile.

    Comme il ne peut pas augmenter les impôts pour alimenter ses dépenses, pour rassurer ses créanciers il rééquilibre son bilan. Il regonfle son actif en s’accaparant les actifs de ses citoyens. Les actifs immobiliers ne pouvant se délocaliser sont les premiers visés. Il réalise ainsi un objectif progressiste d’égalité. Pourquoi des citoyens seraient-ils propriétaires et profiteraient d’une rente de situation

    Ce rééquilibrage ne tiendra qu’un temps: quand une société distribue plus qu’elle ne produit, la finalité est inéluctablement dans un premier temps l’appauvrissement, puis la faillite. Ainsi, les solutions envisagées vont dilapider en peu de temps des richesses ayant mis des générations à se construire. Un bien est -généralement- mieux entretenu par celui qui a peiné pour le construire ou l’acquérir que par celui qui l’utilise.

    Comme les solutions proposées ne règlent pas le problème de la production nationale et le déséquilibre de la balance commerciale, et que ce rééquilibrage de bilan ne sera que d’effet temporaire, quelles seront les prochaines propositions? Confisquer l’épargne des citoyens-fourmis pour la distribuer aux citoyens-cigales? Cela est déjà prévu par la loi Sapin 2…

    Il est temps de rétablir l’ordre et le respect d’autrui et de son bien

    L’Homme est ainsi fait qu’il préfère la carotte au bâton. Le citoyen qui peine chaque jour à produire de la richesse consent à partager le fruit de son travail par le biais de l’impôt. C’est ainsi que la société a progressé en confort, en justice sociale. Grâce à la démocratie, l’État se doit de garantir l’équité, la sécurité et la pérennité de la paix sociale.

    Mais on ne peut que constater chaque jour un peu plus la dégradation de ces critères. J’avais dénoncé dans un précédent billet la position ambiguë de l’État face aux dégradations et à son laxisme dans le maintien de l’ordre public.

    Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie?

    Comment un paysan peut-il continuer à produire de la nourriture quand des individus s’attaquent à ses animaux, sabotent ses installations d’irrigation?

    Comment un commerçant peut-il exister quand à chaque manifestation son magasin est pillé, vandalisé, incendié?

    Comment le salarié peut-il continuer à se lever chaque matin pour aller travailler et payer par ses impôts les allocations sociales du voyou qui a brûlé sa voiture?

    La loi a imposé le soutien aux citoyens défavorisés, malchanceux, et c’est heureux. La majorité d’entre eux ont assez de sens civique pour respecter la loi et ses concitoyens. Mais la jurisprudence a supprimé tous les moyens de coercition efficace pour dissuader ceux d’entre eux qui se livrent à des actes inacceptables et destructeurs.

    On ne met plus en prison les délinquants même récidivistes, on laisse en liberté surveillée des individus dangereux qui peuvent égorger malgré le bracelet électronique, on ne peut pas diminuer ou supprimer les allocations ou subsides sociaux aux agresseurs, pilleurs de magasins ou brûleurs de voitures…

    Bref, si on est bénéficiaire de minimas sociaux, si on a peu ou rien, on peut voler, détruire, agresser… la punition est hypothétique! Si on n’a rien, on a tous les droits!

    Et malheur à celui qui, attaqué, a l’audace de se défendre… S’il prend le dessus, blesse ou tue son agresseur, tout sera fait pour lui retirer le bénéfice de la légitime défense et s’il a du bien, on le fera payer !

    Armand Paquereau

    papyrural.blog4ever....

     

    Si, on peut se défendre: par exemple, hurler devant la maison de l'avocat gauchiasse qui protège les squatteurs1 pour lui faire mauvaise image de marque devant ses voisins. Hurler plusieurs fois par jour, pas plus de 5 mn avant que la police n'intervienne et vous colle une contredanse et prendre soin d'hurler pas les mêmes jours et pas la même heure.

    Déjà, ces avocats de la gauchiasse seront plus modérés à défendre les squatteurs. D'ailleurs, vous pouvez faire la même chose devant votre propriété ou appartement squatté!

    1- on trouve des papiers à coller sur les vitres que le site en question vous indique de télécharger: il y a toujours le nom de l'avocat et son numéro de téléphone.

  • France indigne et dégueu  …

    Âgé de 88 ans, Roland comptait vendre sa maison pour rejoindre son épouse dans un Ehpad. En attendant, il louait depuis deux ans un appartement qui le rapprochait de celle qu’il souhaite rejoindre. L’heure venue de passer à l’action et de mettre en vente le pavillon dans lequel il a passé sa vie entière… Trop tard ! Des marginaux ont forcé les portes et changé les serrures. Passées 48 heures, ils sont inexpulsables.

    Outre ce problème de froidure qui risque de les enrhumer, les squatteurs doivent avoir le temps de saccager toutes les pièces du pavillon. Les membres du tribunal d’instance à l’origine de la décision savent que les travaux ne peuvent être effectués en quelques jours. Cuisine, salle de bains, salon, chambres. Compter deux bons mois. Roland doit enfin comprendre qu’il n’est qu’un odieux propriétaire recroquevillé sur son patrimoine.

    Source:

     

     

  • Omelette  a la cansalade et champignons des bois

    Je vous rappelle que toutes les recettes que je vous donne ici, je les réalise depuis.... un max de temps!

    Ingrédients

    300 g de champignons; 100 g de poitrine salée; 6 oeufs

    3 gousses d'ail hachées; 1 cuillère à soupe de crème

    Persil frais haché

    Lavez soigneusement les champignons, les sécher dans un torchon propre, retirer le pied puis les couper en 4.

    Coupez la cansalade en lardons; Faites chauffer une poêle en tôle sur le feu avec une grosse cuillère à soupe de graisse de canard. Faites sauter les lardons puis les champignons Lorsque ils sont cuits et dorés ajouter l'ail haché. Poursuivre la cuisson 2 minutes en remuant de temps en temps.

    Cassez les oeufs et les battre en omelette. Rajoutez le sel et poivre. Versez le tout dans la poêle. Laissez cuire feu moyen 7 mn d'un côté. Glissez un plat vraiment plat sur la poêle et retournez d'un coup sec puis remettre la poêle sur le feu, cuire encore 3 à 5 mn

  • Votre beauté madame: lèvres

    On ne s'en serait pas douté! mais, parfois on se demande si…

    Les lèvres sont la partie du corps dont la peau est la plus fine. Très sensibles aux agressions externes telles que le froid, la chaleur, la pollution ou les produits cosmétiques irritants, elles sont également impactées par les changements qui s’opèrent à l’intérieur de l’organisme. Ainsi, le changement de leur couleur en dit long sur votre état de santé. Bon à savoirs sur vos lèvres et l’état de votre corps.

    La médecine traditionnelle orientale affirme que votre état de santé peut être déterminé grâce à l’apparence de vos lèvres. Leur couleur naturelle la plus courante est le rose; toute autre coloration peut être le signe de soucis de santé.

    Lèvres roses brillantes

    Si vos lèvres sont d’une couleur rose, unie et brillante, vous avez de la chance. Elles indiquent que vous êtes en pleine forme et que votre corps est sain. Profitez-en et faites tout votre possible pour rester ainsi.

    Les lèvres pâles à blanchâtres

    Si vos lèvres sont plus pâles que d’habitude, ceci peut être le signe d’une anémie. Votre corps manque probablement d’hémoglobines ou globules rouges. Pour redonner leur couleur naturelle, les “experts“ recommandent d’adopter un régime alimentaire riche en aliments à forte teneur en fer et vitamine C, tels que les lentilles, les épinards, les oranges, etc.

    Les lèvres d’une couleur rouge intense

    Si vos lèvres sont trop rouges, c’est que votre organisme est surchauffé. Ceci indique également que votre rate et votre foie sont surmenés. Pour remédier à cet état, consommez du melon amer, du céleri et du miel, afin d’améliorer et stimuler le fonctionnement de ces organes. Il est également primordial d’avoir un nombre suffisant d’heures de sommeil et d’éviter le stress.

    Les lèvres violettes ou vertes

    Il n’est pas inhabituel de voir la couleur de vos lèvres changer, quand elles sont exposées à un climat très froid. Mais si vous remarquez que ces couleurs persistent, il vous faudra demander l’avis d’un médecin qui vérifiera l’état de votre cœur et de votre système respiratoire. Cette couleur pourrait indiquer un manque d’oxygénation de votre organisme.

    Les lèvres rouge foncé ou noirâtres

    Cette couleur indique que votre système digestif ne fonctionne pas correctement. Il faudra donc le stimuler en consommant des aliments frais riches en fibres et en minéraux et en évitant les aliments gras et transformés difficiles à digérer. Vous pouvez aussi boire de l’eau citronnée pour éliminer les toxines accumulées dans votre corps.

    Les lèvres aux coins violets

    Si les coins de vos lèvres sont violets, ceci indique que l’équilibre énergétique de votre organisme est troublé. D’ailleurs, cette coloration est généralement accompagnée d’une hausse de votre température corporelle. Dans ce cas, reposez-vous au maximum et évitez de consommer les aliments épicés et transformés.

    Si vous avez vos règles, évitez également de manger certains aliments qui favorisent ce déséquilibre énergétique, tels que les champignons, les œufs, la chair de crabe ou la viande de canard.

    ASTUCE: si vos lèvres sont irrités, gercées: vous avez au réfrigérateur le remède idéal: du beurre (bien sûr que vous aurez acheté AOP, celui qui est le moins trafiqué par l'agro-alimentaire).