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DANGERS - Page 13

  • Le sentiment d'insécurtité...

    Toulouse: deux clientes se font importuner, un quinquagénaire s’interpose et prend de violents coups au visage par deux hommes de 21 et 33 ans

    Dimanche soir, vers 22h30, dans une supérette du quai de la Daurade, à Toulouse, un quinquagénaire entend deux hommes en train d’importuner des clientes présentes dans le magasin. Ce dernier intervient et les reprend verbalement. Mécontents, à la sortie, ils s’en prennent à lui, lui portant des coups de pied et des coups de poing au visage, lui cassant deux dents.

    Après cet accès de violence, les deux agresseurs ont pris la fuite, chacun de leur côté. Prévenus, deux équipages de la police ont pu les rattraper grâce à leur signalement et les ont interpellés. Ce lundi, ces deux marginaux de 21 et 33 ans se trouvaient toujours en garde à vue.

    20 minutes

  • Aïe

    En cette période de réduction des mesures barrières contre la COVID-19, et considérant l'expérience australienne où une vague estivale inattendue de bronchiolite du nourrisson a été observée lors de l'été austral 2020-2021, la question se pose de savoir si le même phénomène est possible en France cet été.

    Les autorités sanitaires des États-Unis, pays où les mesures barrières ont été levées plus tôt que dans notre pays, signalent une augmentation significative du nombre de cas de bronchiolite dans les états méridionaux (les premiers à supprimer l'obligation du port du masque) et alertent les professionnels de santé sur une possible épidémie estivale (faisant suite à une faible épidémie hivernale, comme en France l'hiver passé).

    En France, un frémissement du nombre de cas a été signalé ces dernières semaines par Santé publique France avec une augmentation de 42 % du nombre d'hospitalisations liées à la bronchiolite entre début mai et mi-juin 2021. La vigilance reste donc de mise, d'autant plus que l'expérience australienne indique un âge moyen des enfants infectés supérieur à l'âge habituel de survenue de la bronchiolite et que les symptômes observés chez ces jeunes enfants sont proches de ceux de la COVID-19.

    Alors qu'une saison typique de bronchiolite est à l'origine, chaque semaine, de 5 à 6 000 passages aux urgences pédiatriques et d'environ 2 000 hospitalisations, la saison hivernale 2020-2021 a culminé autour de 2 200 passages et 1 000 hospitalisations hebdomadaires

    De plus, le signalement récent de deux foyers de COVID-19 dans des établissements scolaires en Israël (probablement en lien avec le variant delta – indien) plaide pour une recherche systématique de la cause d'une infection respiratoire chez un enfant, afin de distinguer entre virus respiratoire syncytial (responsable de la bronchiolite), SARS-CoV-2 ou un autre agent pathogène (rhinovirus, virus parainfluenza ou l'un des coronavirus du rhume, par exemple).

    Assisterons-nous à une vague estivale d'infections à VRS chez les nourrissons ? La question se pose au vu des données recueillies en Australie et aux États-Unis.

    En Australie, un été marqué par une explosion du nombre de cas de bronchiolite

    Aux États-Unis, une augmentation significative du nombre de cas depuis la fin de l'obligation de porter le masque

    De plus, il faut savoir que des médecins de Houston, Texas, ont signalé que le nombre hebdomadaire de cas de bronchiolite dans cette ville avait augmenté de 160 % en mai 2021 (comparé aux valeurs moyennes recueillies entre juin 2020 et mars 2021).

    Donc, en France, il est essentiel que les professionnels de santé restent particulièrement attentifs aux infections respiratoires infantiles cet été et jouent leur rôle dans le repérage précoce d'une éventuelle vague estivale de bronchiolite ou l'apparition d'infections par le variant Delta de SARS-CoV-2.

    Les données épidémiologiques françaises sur la saison 2020-2021
    Le point épidémiologique Bronchiolite de la semaine 17 (du 26 avril au 2 mai 2021), Santé publique France.

    Le point épidémiologique Bronchiolite de la semaine 23 (du 7 au 13 juin 2021), Santé publique France.

    Il a été remarqué que, plus la bronchiolite du nourrisson est sévère, plus la grippe saisonnière, arrivant une 15e de jours plus tard, en moyenne, est sévère!

  • DANGER POUR NOS LIBERTES FONDAMENTALES!

    La Gestapo, le retour: Macron invente le rétro-tracing des cas Covid 

    Entre guillemets les mots exacts utilisés par le politique…

    Dorénavant dès qu’un "cas" Covid sera identifié, la chasse sera organisée pour trouver, identifier… tous ceux que le quidam aura rencontrés, côtoyés, frôlés… au cours des 10 jours précédents… et pour chacun des heureux gagnants, idem… une nouvelle chasse sera ouverte.  pour  "débusquer" (mot exact) les éventuels porteurs de Covid… . La Sécu va envoyer ses enquêteurs chez vous, chez vos contacts, les contacts de contacts pour vous faire parler avec des questions "plus intrusives"…  pour "délier les langues".

    Et ils vont utiliser tous les moyens pour vous faire parler. Tous!  Mieux vaut en rire qu’en pleurer avec Jugnot et Bourvil.

    Source:

     

     

  • Attention aux emballages alimentaires

    Les boîtes sont enduite, à l'intérieur, d'une pellicule chimique (pour empêcher la rouille du fer) dont les molécules passent dans les aliments

    J'avais déjà lu des tas d'alertes à ce sujet… cela se confirme de plus en plus

    Un rapport réalisé à l’initiative de 9 ONG alerte sur la présence de PFAS (des polluants chimiques persistants et toxiques) dans les emballages alimentaires et la vaisselle à usage unique, notamment ceux utilisés en restauration rapide.

    Les PFAS (substances poly- ou per-fluoroalkylées) constituent un groupe d’environ 4 500 produits chimiques utilisés dans de nombreux secteurs industriels (textile, alimentaire, automobile,…) pour leurs propriétés anti-adhésives, anti-tâches, imperméables ou encore de résistance à l'huile ou à la chaleur.

    Ces produits chimiques sont très persistants dans l’environnement et dans le corps humain et peuvent donc s’accumuler au cours du temps. Ils sont d’ailleurs qualifiés de produits chimiques “éternels“.

    Notre exposition aux PFAS peut provenir de sources variées: des aliments ayant été en contact avec des emballages contenant des PFAS ou cultivés dans un sol ou avec une eau contaminés, des produits de consommation courante (peinture, vernis, poêle antiadhésives, tissus, produits ménagers…) ou encore l’eau potable. 

    Ces PFAS présentent un risque pour la santé: ils sont associés à un risque accru de cancer et auraient des impacts sur les systèmes immunitaire, reproductif et hormonal. Ils pourraient également réduire la réponse de l’organisme à la vaccination.

    Une étude réalisée à l’initiative de plusieurs Organisations non gouvernementales (ONG) - dont Générations Futures en France - s’est intéressée à la présence des PFAS dans les emballages ou la vaisselle à usage unique utilisés pour le contact alimentaire.

    L’étude a été initiée par 9 ONG de 6 pays européens dans le but de détecter l’éventuelle présence de PFAS dans des emballages et de la vaisselle jetables en papier, carton et fibres végétales moulées.

    Au total, 42 échantillons ont été analysés, parmi eux 15 venaient de France. Les échantillons analysés provenaient de chaînes de restauration rapide, de restaurants faisant de la vente à emporter, de supermarchés ou d’entreprises de vente d’emballages alimentaires en ligne.

    Les échantillons analysés étaient soit intentionnellement traités aux PFAS, soit ils ne l’étaient pas mais pouvaient contenir des traces de PFAS suite à une contamination. Les échantillons ont été envoyés à un laboratoire pour déterminer leur teneur en fluor organique total (TOF), un indicateur de la teneur totale en PFAS. Un autre laboratoire a fait une analyse ciblée de 55 PFAS. Enfin, certains échantillons ont été utilisés pour déterminer l’impact des PFAS sur l’activité thyroïdienne.

    Les résultats indiquent que les PFAS sont présents dans tous les échantillons et que parmi les 42 échantillons analysés 32 présentent un niveau de TOF qui démontre un traitement intentionnel aux PFAS. “Les concentrations les plus élevées ont été systématiquement trouvées dans des produits en fibre moulée, tels que des bols, des assiettes et des boîtes alimentaires annoncés comme des produits jetables biodégradables ou compostables“ indique le rapport des ONG.

    Par ailleurs, les analyses montrent également que les PFAS présents dans les emballages analysés peuvent causer un déséquilibre des hormones thyroïdiennes. Enfin, malgré l’analyse ciblée, 99% des PFAS utilisés pour traiter ces échantillons n’ont pas pu être identifiés individuellement.

    Les PFAS peuvent migrer de l’emballage ou de la vaisselle vers les aliments, augmentant ainsi l’exposition du consommateur à ces polluants.

    C'est ce que je n'arrête pas d'écrire ici!

    L’utilisation des PFAS reste très répandue dans les emballages et la vaisselle jetable, qui sont produits en très grande quantité, utilisés peu de temps puis jetés. Il s’agit d’une source de contamination environnementale importante qui contribue à la contamination de la chaîne alimentaire et à l’exposition de l’humain aux PFAS.

    Par ailleurs, le contact direct des aliments avec des emballages contenant des PFAS augmentent cette exposition.

    À l’heure actuelle, seul le Danemark a interdit les PFAS dans les emballages alimentaires. Pour les autres pays, les industriels ont tendance à remplacer certains PFAS interdits par d’autres PFAS qui ne le sont pas encore (généralement parce qu’ils ont fait l’objet de moins d’études).

    Les ONG réclament quant à elles l’interdiction de tous les PFAS dans les emballages alimentaires et on ne peut que valider surtout qu’il est tout à fait possible de faire sans.

     

  • ... et c'est pareil, partout en France

    Toulouse. Vaccins Covid-19 : les déclarations d’effets indésirables explosent

    25 mai 2021 - 17:28

    En raison de l’utilisation de vaccins contre la Covid-19, le Centre régional de pharmacovigilance de Toulouse, qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments, enregistre, depuis janvier, cinq fois plus de déclarations qu’en temps normal.

    4000 signalements pour les quatre premiers mois de l’année 2021… C’est du jamais vu au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Toulouse, qui recueille les déclarations d’effets indésirables des médicaments, avant de faire remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM).

    “La hausse est considérable, c’est cinq fois plus que l’an passé à la même période. Nous sommes déjà submergés en temps normal. Là, autant dire que nous le sommes encore plus et à moyens constants”, ironise le professeur Jean-Louis Montastruc, directeur du CRPV et membre de l’Académie nationale de médecine.

    Toutes les déclarations enregistrées

    D’ordinaire, la structure rattachée au CHU de Toulouse enregistre en effet 2100 déclarations par an en moyenne. Dont une infime partie liée aux vaccins classiques. C’est bien évidemment la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui est à l’origine de cette spectaculaire hausse. Et même si bon nombre de déclarations concernent des effets indésirables déjà connus, comme d’éventuelles douleurs musculaires, toutes sont prises en compte.

    “Que ce soit les patients ou les professionnels de santé, tout le monde peut signaler des effets indésirables et c’est une très bonne chose que ce chiffre augmente. Ce suivi après la commercialisation permet de mieux préciser encore le rapport bénéfice-risque d’un médicament ou d’un vaccin”, explique le professeur Montastruc.

    Des effets “graves” pour un tiers des déclarations

    Car le Centre régional de pharmacovigilance ne fait pas qu’enregistrer les signalements. Il a aussi la lourde tâche d’authentifier chacun d’entre eux. Étant donné l’afflux depuis le début de l’année, priorité est toutefois donnée aux effets graves et inattendus qui représentent, selon le directeur du CRPV, environ un tiers des déclarations à l’heure actuelle.

    “Ce qui est très difficile dans cette période où l’ensemble de la population se fait vacciner, c’est de faire la part des choses entre les événements qui seraient survenus sans vaccin et ceux dus à l’injection d’une ou deux doses. Des accidents vasculaires cérébraux, par exemple, cela arrive tous les jours”, illustre-t-il.

    De véritables enquêtes pour confirmer ou non le rôle des vaccins dans les effets indésirables

    Pour cela, le CRPV mène donc de véritables enquêtes dites d’imputabilité qui prennent parfois plusieurs heures. “Avec des analyses cliniques ou pharmacologiques et en étudiant la chronologie des événements, nous parvenons toujours à identifier si une déclaration d’effet indésirable est liée au vaccin ou non”, assure Jean-Louis Montastruc.

    Hémophilie, hypertension, paralysie faciale…et bien sûr thromboses

    Parmi les signalements graves, le CRPV a ainsi dû mener des investigations sur des cas d’hémophilie, d’attaques cardiaques, d’hypertension artérielle ou encore de paralysie faciale. “La grande nouveauté spécifique à la campagne de vaccination, ce sont bien sûr les cas de thromboses veineuses qui ont beaucoup fait parler”, ajoute l’expert en pharmacologie.

    Hormis ces cas précis imputés au vaccin AstraZeneca, les déclarations traitées par le centre régional de pharmacovigilance de Toulouse ne font pas état d’un vaccin plus propice à générer des effets secondaires qu’un autre.

    Étant le plus prescrit, le vaccin Pfizer est à l’origine d’une grande majorité des signalements enregistrés, loin devant l’AstraZeneca, puis le Moderna et enfin le Janssen, dernier de des vaccins autorisés en France.

     

    Source:

  • SCANDALE!

    Au micro de RTL, Élise Lucet, présentatrice de l’émission Cash Investigation, révèle que les données de nos cartes Vitale sont revendues sans consentement à IQVIA, société privée, leader mondial des data de santé.

    L’autorisation a été émise par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).

  • Salade pour 1

    Et aussi pour emmener au travail (attention, ayez une boîte inox, le plastique, c'est chimique! surtout si vous utilisez des produits très chauds ou avec des aliments acides: vinaigrette, citron… pas d'alu non plus!).

    Pour 1 personne:

    1 poignée de salade frisée; 12 tranches de magret de canard fumé (vous pouvez sécher votre magret, la recette est sur le blog; il ne sera pas fumé mais bien meilleur pour la santé car vous n'utiliserez pas de “fumée industrielle“)

    80 g de haricots verts; 2 petits champignons de Paris

    80 g de roquefort, 2 c. à soupe de cerneaux de noix concassés

    1 c. à soupe de graisse de canard, 1 c. à soupe d’huile de noix, noisette ou avocat

    Sel et poivre

    Faite cuire les haricots verts à la vapeur 8 à 10 min.

    Coupez les champignons en tranches et les faire revenir à feu vif dans la graisse de canard. Ajoutez les haricots verts et faire sauter quelques minutes. Égouttez et laissez refroidir.

    Dresse la salade en plaçant la salade frisée au fond, puis le mélange haricots-champignons, le roquefort émietté, les tranches de magret et les noix.

    Saler, poivrer et arroser avec l’huile de graines ci-dessus.

    Si vous utilisez des haricots verts en pots de verre, passez-les sous l'eau courante. Prendre un saladier, y placer des feuilles de papier absorbant, posez les haricots et roulez-les dans le papier pour retirer le maximum d'eau.

    Pour encore plus complet, rajoutez un œuf dur, coupé en 8. Et encore plus complet: ajoutez des pois chiches cuits en verrine de verre, bien essorés sous de l'eau fraîche.

    Pourquoi les pots en verre?

    L'intérieur des boîtes métalliques est revêtu d'un verni chimique au bisphénol A  qui peut, dans certaines conditions (chaleur, humidité…), se détacher des chaînes produites par polymérisation, et donc passer des contenants au contenu.

    Les travaux de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) relatif à l’évaluation des risques liés au bisphénol A pour la santé humaine ont révélé que la voie d’exposition prépondérante était la voie alimentaire, les conserves étant responsables à hauteur de 50% de l’exposition alimentaire au BPA dit “non conjugué“ (autrement dit, non lié à d’autres composés).

    Concernant les autres denrées, la viande participait à hauteur de 17% à cette exposition et les produits de la mer à 3%, “sans qu’il y ait d’explication sur la source de contamination de ces denrées“. Or, le bisphénol A possède une activité biologique, qui peut s’avérer délétère.