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DANGERS - Page 12

  • DANGER POUR NOS LIBERTES FONDAMENTALES!

    La Gestapo, le retour: Macron invente le rétro-tracing des cas Covid 

    Entre guillemets les mots exacts utilisés par le politique…

    Dorénavant dès qu’un "cas" Covid sera identifié, la chasse sera organisée pour trouver, identifier… tous ceux que le quidam aura rencontrés, côtoyés, frôlés… au cours des 10 jours précédents… et pour chacun des heureux gagnants, idem… une nouvelle chasse sera ouverte.  pour  "débusquer" (mot exact) les éventuels porteurs de Covid… . La Sécu va envoyer ses enquêteurs chez vous, chez vos contacts, les contacts de contacts pour vous faire parler avec des questions "plus intrusives"…  pour "délier les langues".

    Et ils vont utiliser tous les moyens pour vous faire parler. Tous!  Mieux vaut en rire qu’en pleurer avec Jugnot et Bourvil.

    Source:

     

     

  • Attention aux emballages alimentaires

    Les boîtes sont enduite, à l'intérieur, d'une pellicule chimique (pour empêcher la rouille du fer) dont les molécules passent dans les aliments

    J'avais déjà lu des tas d'alertes à ce sujet… cela se confirme de plus en plus

    Un rapport réalisé à l’initiative de 9 ONG alerte sur la présence de PFAS (des polluants chimiques persistants et toxiques) dans les emballages alimentaires et la vaisselle à usage unique, notamment ceux utilisés en restauration rapide.

    Les PFAS (substances poly- ou per-fluoroalkylées) constituent un groupe d’environ 4 500 produits chimiques utilisés dans de nombreux secteurs industriels (textile, alimentaire, automobile,…) pour leurs propriétés anti-adhésives, anti-tâches, imperméables ou encore de résistance à l'huile ou à la chaleur.

    Ces produits chimiques sont très persistants dans l’environnement et dans le corps humain et peuvent donc s’accumuler au cours du temps. Ils sont d’ailleurs qualifiés de produits chimiques “éternels“.

    Notre exposition aux PFAS peut provenir de sources variées: des aliments ayant été en contact avec des emballages contenant des PFAS ou cultivés dans un sol ou avec une eau contaminés, des produits de consommation courante (peinture, vernis, poêle antiadhésives, tissus, produits ménagers…) ou encore l’eau potable. 

    Ces PFAS présentent un risque pour la santé: ils sont associés à un risque accru de cancer et auraient des impacts sur les systèmes immunitaire, reproductif et hormonal. Ils pourraient également réduire la réponse de l’organisme à la vaccination.

    Une étude réalisée à l’initiative de plusieurs Organisations non gouvernementales (ONG) - dont Générations Futures en France - s’est intéressée à la présence des PFAS dans les emballages ou la vaisselle à usage unique utilisés pour le contact alimentaire.

    L’étude a été initiée par 9 ONG de 6 pays européens dans le but de détecter l’éventuelle présence de PFAS dans des emballages et de la vaisselle jetables en papier, carton et fibres végétales moulées.

    Au total, 42 échantillons ont été analysés, parmi eux 15 venaient de France. Les échantillons analysés provenaient de chaînes de restauration rapide, de restaurants faisant de la vente à emporter, de supermarchés ou d’entreprises de vente d’emballages alimentaires en ligne.

    Les échantillons analysés étaient soit intentionnellement traités aux PFAS, soit ils ne l’étaient pas mais pouvaient contenir des traces de PFAS suite à une contamination. Les échantillons ont été envoyés à un laboratoire pour déterminer leur teneur en fluor organique total (TOF), un indicateur de la teneur totale en PFAS. Un autre laboratoire a fait une analyse ciblée de 55 PFAS. Enfin, certains échantillons ont été utilisés pour déterminer l’impact des PFAS sur l’activité thyroïdienne.

    Les résultats indiquent que les PFAS sont présents dans tous les échantillons et que parmi les 42 échantillons analysés 32 présentent un niveau de TOF qui démontre un traitement intentionnel aux PFAS. “Les concentrations les plus élevées ont été systématiquement trouvées dans des produits en fibre moulée, tels que des bols, des assiettes et des boîtes alimentaires annoncés comme des produits jetables biodégradables ou compostables“ indique le rapport des ONG.

    Par ailleurs, les analyses montrent également que les PFAS présents dans les emballages analysés peuvent causer un déséquilibre des hormones thyroïdiennes. Enfin, malgré l’analyse ciblée, 99% des PFAS utilisés pour traiter ces échantillons n’ont pas pu être identifiés individuellement.

    Les PFAS peuvent migrer de l’emballage ou de la vaisselle vers les aliments, augmentant ainsi l’exposition du consommateur à ces polluants.

    C'est ce que je n'arrête pas d'écrire ici!

    L’utilisation des PFAS reste très répandue dans les emballages et la vaisselle jetable, qui sont produits en très grande quantité, utilisés peu de temps puis jetés. Il s’agit d’une source de contamination environnementale importante qui contribue à la contamination de la chaîne alimentaire et à l’exposition de l’humain aux PFAS.

    Par ailleurs, le contact direct des aliments avec des emballages contenant des PFAS augmentent cette exposition.

    À l’heure actuelle, seul le Danemark a interdit les PFAS dans les emballages alimentaires. Pour les autres pays, les industriels ont tendance à remplacer certains PFAS interdits par d’autres PFAS qui ne le sont pas encore (généralement parce qu’ils ont fait l’objet de moins d’études).

    Les ONG réclament quant à elles l’interdiction de tous les PFAS dans les emballages alimentaires et on ne peut que valider surtout qu’il est tout à fait possible de faire sans.

     

  • ... et c'est pareil, partout en France

    Toulouse. Vaccins Covid-19 : les déclarations d’effets indésirables explosent

    25 mai 2021 - 17:28

    En raison de l’utilisation de vaccins contre la Covid-19, le Centre régional de pharmacovigilance de Toulouse, qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments, enregistre, depuis janvier, cinq fois plus de déclarations qu’en temps normal.

    4000 signalements pour les quatre premiers mois de l’année 2021… C’est du jamais vu au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Toulouse, qui recueille les déclarations d’effets indésirables des médicaments, avant de faire remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM).

    “La hausse est considérable, c’est cinq fois plus que l’an passé à la même période. Nous sommes déjà submergés en temps normal. Là, autant dire que nous le sommes encore plus et à moyens constants”, ironise le professeur Jean-Louis Montastruc, directeur du CRPV et membre de l’Académie nationale de médecine.

    Toutes les déclarations enregistrées

    D’ordinaire, la structure rattachée au CHU de Toulouse enregistre en effet 2100 déclarations par an en moyenne. Dont une infime partie liée aux vaccins classiques. C’est bien évidemment la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui est à l’origine de cette spectaculaire hausse. Et même si bon nombre de déclarations concernent des effets indésirables déjà connus, comme d’éventuelles douleurs musculaires, toutes sont prises en compte.

    “Que ce soit les patients ou les professionnels de santé, tout le monde peut signaler des effets indésirables et c’est une très bonne chose que ce chiffre augmente. Ce suivi après la commercialisation permet de mieux préciser encore le rapport bénéfice-risque d’un médicament ou d’un vaccin”, explique le professeur Montastruc.

    Des effets “graves” pour un tiers des déclarations

    Car le Centre régional de pharmacovigilance ne fait pas qu’enregistrer les signalements. Il a aussi la lourde tâche d’authentifier chacun d’entre eux. Étant donné l’afflux depuis le début de l’année, priorité est toutefois donnée aux effets graves et inattendus qui représentent, selon le directeur du CRPV, environ un tiers des déclarations à l’heure actuelle.

    “Ce qui est très difficile dans cette période où l’ensemble de la population se fait vacciner, c’est de faire la part des choses entre les événements qui seraient survenus sans vaccin et ceux dus à l’injection d’une ou deux doses. Des accidents vasculaires cérébraux, par exemple, cela arrive tous les jours”, illustre-t-il.

    De véritables enquêtes pour confirmer ou non le rôle des vaccins dans les effets indésirables

    Pour cela, le CRPV mène donc de véritables enquêtes dites d’imputabilité qui prennent parfois plusieurs heures. “Avec des analyses cliniques ou pharmacologiques et en étudiant la chronologie des événements, nous parvenons toujours à identifier si une déclaration d’effet indésirable est liée au vaccin ou non”, assure Jean-Louis Montastruc.

    Hémophilie, hypertension, paralysie faciale…et bien sûr thromboses

    Parmi les signalements graves, le CRPV a ainsi dû mener des investigations sur des cas d’hémophilie, d’attaques cardiaques, d’hypertension artérielle ou encore de paralysie faciale. “La grande nouveauté spécifique à la campagne de vaccination, ce sont bien sûr les cas de thromboses veineuses qui ont beaucoup fait parler”, ajoute l’expert en pharmacologie.

    Hormis ces cas précis imputés au vaccin AstraZeneca, les déclarations traitées par le centre régional de pharmacovigilance de Toulouse ne font pas état d’un vaccin plus propice à générer des effets secondaires qu’un autre.

    Étant le plus prescrit, le vaccin Pfizer est à l’origine d’une grande majorité des signalements enregistrés, loin devant l’AstraZeneca, puis le Moderna et enfin le Janssen, dernier de des vaccins autorisés en France.

     

    Source:

  • SCANDALE!

    Au micro de RTL, Élise Lucet, présentatrice de l’émission Cash Investigation, révèle que les données de nos cartes Vitale sont revendues sans consentement à IQVIA, société privée, leader mondial des data de santé.

    L’autorisation a été émise par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).

  • Salade pour 1

    Et aussi pour emmener au travail (attention, ayez une boîte inox, le plastique, c'est chimique! surtout si vous utilisez des produits très chauds ou avec des aliments acides: vinaigrette, citron… pas d'alu non plus!).

    Pour 1 personne:

    1 poignée de salade frisée; 12 tranches de magret de canard fumé (vous pouvez sécher votre magret, la recette est sur le blog; il ne sera pas fumé mais bien meilleur pour la santé car vous n'utiliserez pas de “fumée industrielle“)

    80 g de haricots verts; 2 petits champignons de Paris

    80 g de roquefort, 2 c. à soupe de cerneaux de noix concassés

    1 c. à soupe de graisse de canard, 1 c. à soupe d’huile de noix, noisette ou avocat

    Sel et poivre

    Faite cuire les haricots verts à la vapeur 8 à 10 min.

    Coupez les champignons en tranches et les faire revenir à feu vif dans la graisse de canard. Ajoutez les haricots verts et faire sauter quelques minutes. Égouttez et laissez refroidir.

    Dresse la salade en plaçant la salade frisée au fond, puis le mélange haricots-champignons, le roquefort émietté, les tranches de magret et les noix.

    Saler, poivrer et arroser avec l’huile de graines ci-dessus.

    Si vous utilisez des haricots verts en pots de verre, passez-les sous l'eau courante. Prendre un saladier, y placer des feuilles de papier absorbant, posez les haricots et roulez-les dans le papier pour retirer le maximum d'eau.

    Pour encore plus complet, rajoutez un œuf dur, coupé en 8. Et encore plus complet: ajoutez des pois chiches cuits en verrine de verre, bien essorés sous de l'eau fraîche.

    Pourquoi les pots en verre?

    L'intérieur des boîtes métalliques est revêtu d'un verni chimique au bisphénol A  qui peut, dans certaines conditions (chaleur, humidité…), se détacher des chaînes produites par polymérisation, et donc passer des contenants au contenu.

    Les travaux de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) relatif à l’évaluation des risques liés au bisphénol A pour la santé humaine ont révélé que la voie d’exposition prépondérante était la voie alimentaire, les conserves étant responsables à hauteur de 50% de l’exposition alimentaire au BPA dit “non conjugué“ (autrement dit, non lié à d’autres composés).

    Concernant les autres denrées, la viande participait à hauteur de 17% à cette exposition et les produits de la mer à 3%, “sans qu’il y ait d’explication sur la source de contamination de ces denrées“. Or, le bisphénol A possède une activité biologique, qui peut s’avérer délétère.

  • 13 médicaments qui font grossir

    d'autres font maigrir

    De nombreux médicaments influencent le poids, parmi lesquels antidiabétiques, antidépresseurs, anti-épileptiques et anti-psychotiques.

    Ils sont censés vous soigner, mais ils vous font parfois grossir ou maigrir... Des scientifiques de la Mayo Clinic  (Rochester, Minnesota) publient dans la revue Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism une liste de médicaments courants qui influencent le poids des patients.

    La prise de poids ou la perte de poids est un effet secondaire qui peut être associé à différents médicaments. Les médecins doivent connaître ces effets secondaires lorsqu'ils prescrivent ces médicaments à leur patient afin de l’informer des risques pour qu’il adapte son hygiène de vie.

    Ici, les scientifiques ont mené une revue de littérature systématique et une méta-analyse pour faire une synthèse des médicaments couramment prescrits et associés avec des changements de poids. Ils ont recherché dans les bases de données internationales des essais cliniques qui comparaient un médicament à un placebo et mesuraient les changements de poids.

    Résultats: 257 essais cliniques randomisés portant sur 54 médicaments et 84.696 patients ont été inclus dans l’analyse. Un gain de poids était associé avec les médicaments suivants:

    des antidépresseurs: amitriptyline (1,8 kg), mirtazapine (1,5 kg),

    des anti-psychotiques: olanzapine (2,4 kg), quetiapine (1,1 kg), risperidone (0,8 kg),

    un anti-épileptique: gabapentine (2,2 kg),

    des anti-diabétiques: tolbutamide (2,8 kg), pioglitazone (2,6 kg - médicament retiré du marché en France), glimepiride (2,1 kg), gliclazide (1,8 kg), glyburide (2,6 kg), glipizide (2,2 kg), sitagliptine (0,55 kg), natéglinide (0,3 kg).

    D’autres médicaments étaient associés à une perte de poids:

    Des antidiabétiques: metformine (1,1 kg), acarbose (0,4 kg), miglitol (0,7 kg), pramlintide (2,3 kg), liraglutide (1,7 kg), exénatide (1,2 kg),

    Des anti-épileptiques: zonisamide (7,7 kg), topiramate (3,8 kg),

    Un médicament utilisé pour le sevrage tabagique: bupropion (1,3 kg),

    Un antidépresseur: la fluoxetine (1,3 kg)

    Pour de nombreux autres médicaments, par exemple prescrits contre l’hypertension ou des anti-histaminiques, les modifications de poids n’étaient pas significatives ou les preuves faibles.

  • Bon à savoir

    Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s'inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées?

    Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats des vaccinations sont excellents et en particulier qu’elles auraient fait disparaître l’épidémie en Grande-Bretagne avec l’absence de morts (!) et en particulier en Écosse. Pourtant curieusement les données de l’OMS montrent le contraire.

    Pour aller plus loin
    Des articles généraux sur le développement des vaccins contre la COVID-19

    - Hotez PJ & Bottazzi ME. Developing a low-cost and accessible COVID-19 vaccine for global health. PLoS Negl Trop Dis 14(7), juillet 2020.
    - Hotez PJ, Corry DB & Bottazzi ME. COVID-19 vaccine design: the Janus face of immune enhancement. Nature Review Immunology volume 20 June 2020 p.347.
    Des articles sur les conditions de la sécurité des vaccins COVID-19
    - Haynes BF, Corey L, Fernandes P, et al. Prospects for a safe COVID-19 vaccine. Science Translational Medicine, 19 octobre 2020.
    - Lambert PH, Ambrosino DM, Andersen SR, et al. Consensus summary report for CEPI/BC March 12–13, 2020 meeting: Assessment of risk of disease enhancement with COVID-19 vaccines. Vaccine. 25 mai 2020.

    - Jeyanathan M, Afkhami S, Smaill F, et al. Immunological considerations for COVID-19 vaccine strategies. Nature Review Immunology volume 20 October 2020 p.615.
    - Eroshenko N, Gill T, Keaveney MK, et al. Implications of antibody dependent enhancement of infection for SARS-CoV-2 countermeasures. Nat. Biotechnol. 38, 789–791 (2020).
    - Diamond, MS et Pierson, TC. The challenges of vaccine development against a new virus during a pandemic. Cell Host Microbe 27, 699–703 (2020).
    Un article de fond sur la réponse Th1

    - Zhang Y, Zhang Y, GU W et Sun B. Th1/Th2 cell's function in immune system. Adv Exp Med Biol 2014;841:45-65.

    Un article de fond sur la réponse Th2
    - Boniface S, Magnan A et Vervloet D. Th2. La Lettre du Pneumologue - Volume IV - no1 - janv.-févr. 2001.
    Un article de fond sur la réponse Th17
    - Cambier L, Defaweux V, Baldo A, et al. Rôle des cellules Th17 dans les maladies infectieuses et auto-immunes. Ann. Méd. Vét., 2010, 154, 104-112.

    Un article sur le rôle positif de l'ADE
    - Chan KR, Wang X, Saron WWA, et al. Cross-reactive antibodies enhance live attenuated virus infection for increased immunogenicity, Nat. Microbiol. 2016; 1(12): 16164.
    Un article sur l'IAED dans l'infection par le virus Zika
    - Bardina SV, Bunduc P, Tripathi S, et al. Enhancement of Zika virus pathogenesis by preexisting antiflavivirus immunity. Science; 356(6334): 175–180 14 avril 2017.
    Un article sur l'IAED dans la fièvre Ebola
    - Kuzmina NA, Younan P, Gilchuk P, et al. Antibody-dependent enhancement of Ebola virus infection by human antibodies isolated from survivors. Cell Rep. 2018 Aug 14; 24(7): 1802-1815.
    Les articles sur l'IAED médiée par le complément dans le VIH et Zika
    - Fust G, Toth FD, KissJ, et al. Neutralizing and enhancing antibodies measured in complement-restored serum samples from HIV-1 infected individuals correlate with immunosuppression and disease, AIDS 8 (5) (1994) 603–609.
    - Cardosa MJ, Porterfield JS & Gordon S. Complement receptor mediates enhanced flavivirus replication in macrophages, J. Exp. Med. 158 (1) (1983).
    Sur les réinfections expérimentales avec 229E
    - Callow KA, Parry HF, Sergeant M, Tyrrell DA. The time course of the immune response to experimental coronavirus infection of man. Epidemiol Infect. 1990 Oct;105(2):435-446.

    Les articles historiques sur la VAED dans la bronchiolite infectieuse et la rougeole
    - Rauh LW & Schmidt R. Measles immunization with killed virus vaccine: Serum antibody titers and experience with exposure to measles epidemic. Am. J. Dis. Child. 109, 232–237 (1965).
    - Kim HW, Canchola JG, Brandt CD, et al. Respiratory syncytial virus disease in infants despite prior administration of antigenic inactivated vaccine. Am. J. Epidemiol. 89, 422–434 (1969).
    Des articles sur l'IAED et la VAED dans la dengue
    - Katzelnick LC, Gresh L, Halloran ME, et al. Antibody-dependent enhancement of severe dengue disease in humans. Science 358, 929–932 (2017)
    - Thomas SJ et Yoon IK. A review of Dengvaxia: Development to deployment. Hum. Vaccin. Immunother. 15, 2295–2314 (2019).
    - Fowler AM, Tang WW, Young MP, et al. Maternally Acquired Zika Antibodies Enhance Dengue Disease Severity in Mice. Cell Host Microbe. 2018 Nov 14;24(5):743-750.
    L'étude sur la VAED dans la PIF
    - Vennema H, De Groot RJ, Harbour DA, et al. Early Death after Feline Infectious Peritonitis Virus Challenge due to Recombinant Vaccinia Virus Immunization. J. Virol. Mars 1990, p. 1407-1409
    Deux articles comparant la dengue et la PIF
    - Cloutier M, Nandia M, Ihsana AU, et al. ADE and hyperinflammation in SARS-CoV2 infection- comparison with dengue hemorrhagic fever and feline infectious peritonitis. Cytokine. 2020 Dec; 136: 155256.
    - Weiss RC et Scott FS. Antibody-mediated enhancement of disease in feline infectious peritonitis: comparisons with dengue hemorrhagic fever. Comp. lmmun. Microbiol. Infect. Dis. Vol. 4. No. 2, pp. 175-189, 1981.
    Des articles sur l'IAED et la VAED dans le SRAS
    - Clay C, Donart N, Fomukong N, et al. Primary severe acute respiratory syndrome coronavirus infection limits replication but not lung inflammation upon homologous rechallenge. J. Virol. 86, 4234–4244 (2012).
    - Liu L, Wei Q, Lin Q, et al. Anti-spike IgG causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection. JCI Insight 4, e123158 (2019)
    - Weingartl H, Czub M, Czub S., et al. Immunization with modified vaccinia virus Ankara-based recombinant vaccine against severe acute respiratory syndrome is associated with enhanced hepatitis in ferrets. J. Virol. 78, 12672–12676 (2004).
    - Kam YW, Kien F, Roberts A, et al. Antibodies against trimeric S glycoprotein protect hamsters against SARS- CoV challenge despite their capacity to mediate FcgammaRII dependent entry into B cells in vitro. Vaccine 25, 729–740 (2007).
    - Wang Q, Zhang L, Kuwahara K, et al. Immunodominant SARS Coronavirus Epitopes in Humans Elicited both Enhancing and Neutralizing Effects on Infection in Non-human Primates. ACS Infect Dis 2016;2(5):361–76.
    - Wang Q, Zhang L, Kuwahara K, et al. Immunodominant SARS coronavirus epitopes in humans elicited both enhancing and neutralizing effects on infection in non-human primates, ACS Infect. Dis. 6 (5) (2020):1284–1285.
    - Liu L, Wei Q, Lin Q, et al. Anti-spike IgG causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection. JCI Insight 4, e123158 (2019).
    - Tseng CT, Sbrana E, Iwata-Yoshikawa N, et al. Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus. PLoS One. 2012; 7(4): e35421.
    - Deming D, Sheahan T, Heise M, et al. Vaccine Efficacy in Senescent Mice Challenged with Recombinant SARS-CoV Bearing Epidemic and Zoonotic Spike Variants. PLoS Med. 2006 Dec; 3(12): e525.
    - Wang SF, Tseng SP, Yen CH,et al. Antibody-dependent SARS coronavirus infection is mediated by antibodies against spike proteins. Biochem Biophys Res Commun. 2014 Aug 22; 451(2): 208–214.

    Des articles sur l'IAED et la VAED dans le MERS
    - Houser KV, Broadbent AJ, Gretebeck L, et al. Enhanced inflammation in New Zealand white rabbits when MERS-CoV reinfection occurs in the absence of neutralizing antibody. PLOS Pathog. 13, e1006565 (2017).

    - Agrawal AS, Tao X, Algaissi A., et al. Immunization with inactivated Middle East Respiratory Syndrome coronavirus vaccine leads to lung immunopathology on challenge with live virus. Hum. Vaccin. Immunother. 12, 2351–2356 (2016).
    Les études évoquant une ADE in vitro dans la COVID-19
    - Wu F, Yan R, Liu M, et al. Antibody-dependent enhancement (ADE) of SARS-CoV-2 infection in recovered COVID-19 patients: studies based on cellular and structural biology analysis. medRxiv, 13 octobre 2020.
    - Wan Y, Shang J, Sun S, et al. Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry. J. Virol. Volume 94 Issue 5 March 2020.
    Le cas de réinfection plus sévère dans la COVID-19
    - Tillett RL, Sevinsky JR, Hartley PD, et al. Genomic evidence for reinfection with SARS-CoV-2: a case study. The Lancet Infect Dis, 12 octobre 2020.

    Sur la plus faible réaction aux vaccins dans certaines populations
    - Doherty M, Schmidt-Ott R, Santos JI, et al. Vaccination of special populations: Protecting the vulnerable. Vaccine 2016 Dec 20;34(52):6681-6690.
    Les recommandations de la FDA sur le développement d'un vaccin contre la COVID-19
    Development and Licensure of Vaccines to Prevent COVID-19 - Guidance for Industry, Octobre 2020.

    Sources : VIDAL