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DANGERS - Page 8

  • Vous souffrez de brûlures d'estomac?

    Voici les changements alimentaires qui ont un impact sur le reflux, d’après les études scientifiques.

    Le reflux gastro-œsophagien ou RGO est un trouble du système digestif qui se manifeste par le passage d’une partie du contenu de l’estomac dans l’œsophage. En cause : la motricité de l’œsophage. Le RGO peut s’accompagner de pyrosis (brûlure rétrosternale) et de régurgitations acides, souvent après un repas ou en position allongée. Le RGO symptomatique s’appelle œsophagite.

    Le régime RGO : comment stopper les remontées acides?

    Selon le Dr Cotinat, gastro-entérologue et auteure de Petits plats savoureux contre le reflux, "le traitement nutritionnel est de loin le plus efficace et le plus complet des traitements du reflux gastro-œsophagien". L'alimentation anti-reflux vise à la fois à limiter les agresseurs (stress oxydant, stress psychologique, inflammation…), d’autre part, à améliorer les défenses du corps (salivation, barrière anti-reflux, potentiel antioxydant et anti-inflammatoire). Plus le reflux est pris tôt, et plus les lésions et irritations de l'œsophage seront rapidement réversibles à l'aide de mesures nutritionnelles. En revanche, si vous souffrez de remontées acides depuis plusieurs années, vous aurez probablement besoin de changements alimentaires plus stricts.

    Voici des mesures diététiques à prendre en cas de reflux, assorties du conseil du Dr Cotinat: "Je vous suggère de commencer par augmenter largement les aliments protecteurs. Tentez ensuite de diminuer, voire supprimer, quelques aliments au profit d’autres. Puis, tranquillement, réajustez les consignes de manière à vous approprier votre nouvelle alimentation en gardant le plaisir et la convivialité".

    Que manger en cas de brûlures d'estomac?

    LES VEGETAUX, LES BONS ALIMENTS POUR LE REFLUX

    La consommation de fruits et de légumes est notre meilleure alliée. Elle est associée à un risque moindre de reflux gastro-œsophagien (RGO), car ce sont des aliments alcalinisants. Mais en cas de reflux, manger des végétaux aide aussi l’œsophage à résister à l'acide. Ce sont des aliments riches en antioxydants, en fibres, en vitamines, en minéraux, ce qui explique ces effets protecteurs.

        Manger des légumes à chaque repas (à hauteur d'au moins la moitié de l'assiette). A consommer crus et cuits, et en variant les couleurs, tout en favorisant les plus colorés pour davantage d’antioxydants.

        Manger quotidiennement des céréales complètes bio et/ou des légumes secs (lentilles, haricots, pois chiches…) et des oléagineux non grillés, non salés, surtout en cas de problème de constipation.

        Consommer les fruits de préférence en dehors des repas, et privilégiant autant que possible les petits fruits colorés (mûres, framboises, fraises, myrtilles, cassis…).

    LES ALIMENTS A ÉVITER

    Manger des aliments d’origine animale irritants semble aggraver les symptômes d’un reflux tandis qu’une alimentation grasse augmente le risque d’en développer un. La consommation d’aliments en conserve ou en canette est, quant à elle, associée à certains symptômes du RGO comme la dyspepsie. Consommer des aliments acides comme les agrumes ou les tomates semble aussi lié au RGO. Le chocolat est souvent accusé d’augmenter le reflux mais aucune étude n’a démontré qu’arrêter d’en manger entraînait un bénéfice. Chez certains patients souffrant aussi de maladie inflammatoire de l’intestin, l’adoption d’une alimentation sans gluten a permis d’améliorer aussi les symptômes du reflux.

    IL FAUT

        Adopter une alimentation riche en végétaux (non acides) et pauvre en viandes, avec le moins d’aliments ultra-transformés possible, et le moins de gluten et sucres raffinés possible peut aider contre le reflux.

        Notez que le régime méditerranéen (riche en végétaux, poisson source d'oméga-3, huile d’olive et pauvre en viande rouge et charcuteries) a été associé à une diminution du risque de RGO.

    Quelle eau boire en cas de reflux gastrique?

    Favoriser une bonne salivation

    La sécrétion de salive a un rôle déterminant sur santé de la paroi de l’œsophage et la salive contient par ailleurs des composés protecteurs pour cette paroi. Favoriser la sécrétion de salive pourrait donc protéger du RGO et de ses complications. Deux solutions: bien boire, mastiquer plus.

    IL FAUT:

        Supprimer les eaux gazeuses et les sodas qui provoquent une distension de l’estomac et du reflux.

        Ne pas boire d’alcool (ou alors très occasionnellement et toujours avec modération) car l’alcool aggrave plusieurs symptômes du reflux (lire mesure n°3). Concernant le café et le thé, les études sont contradictoires.

        Boire de l’eau plate ou des tisanes semble le meilleur choix.

        Pour mastiquer plus, privilégier les aliments durs (crudités par exemple) et mâcher des chewing-gums (pas trop longtemps, ni trop souvent).

    Manger plus souvent et pas trop tard le soir

    Ne pas surcharger son estomac peut être utile contre le reflux. Pour cela, on peut fractionner sa prise alimentaire en 5-6 repas au lieu des trois habituels. Mais l’habitude la plus importante à prendre est de manger au moins deux heures avant de se coucher le soir et de ne pas prendre de collation après le repas. En effet, les repas tardifs du soir sont associés à une exposition plus longue à l’acidité et à des nuit plus courtes (or un sommeil insuffisant est lié à des symptômes de RGO plus importants).

    IL FAUT

        Manger à 19-20 h si vous vous couchez après 22 h est une bonne idée.

        Ne pas grignoter devant la télé ou l’ordinateur après le repas.

        Dormir avec le haut du lit incliné vers le haut diminue la pression sur l'abdomen et est associé avec des reflux moins graves et moins longs.

    Arrêter le tabac

    Chez les patients fumeurs souffrant de RGO, arrêter la cigarette permet à la fois d’améliorer les symptômes du reflux et la qualité de vie globale.

    Mincir

    Les personnes en surpoids ou obèses ont plus de risque de RGO que celles ayant un poids normal. La bonne nouvelle c’est qu’une perte de poids de 10% est associée à une réduction importante des brûlures d’estomac, régurgitation et douleurs de poitrine.

    Utiliser des substances naturelles avant de prendre de IPP

    Le traitement classique du RGO fait appel à des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). Les IPP sont très largement prescrits (également en association avec des anti-inflammatoires), un peu trop même.

    Les inhibiteurs de pompe à protons (IPP) sont des médicaments du RGO (oméprazole, ésoméprazole, lansoprazole, etc...). On les prescrit aussi dans les ulcères, les œsophagites érosives. Ils diminuent la sécrétion acide de l’estomac. On les utilise aussi protéger les muqueuses digestives de l’agressivité des anti-inflammatoires oraux (anti-inflammatoires non stéroïdiens, aspirine, stéroïdes). Pris au long cours, ces médicaments qui figurent parmi les plus prescrits et les plus profitables pour l’industrie comportent des risques. Or 70% des patients à qui ils sont prescrits ne devraient pas en prendre, sachant qu’il existe des alternatives naturelles.

    Parmi les remèdes efficaces, on trouve, les compléments antioxydants, les oméga-3, la mélatonine, l'aloe vera et la réglisse.

    Zoom sur la mélatonine

    Une étude pilote vient de trouver que l’on peut traiter le reflux gastro-œsophagien avec plusieurs substances naturelles – dont la mélatonine - plus efficacement qu’avec l’un des médicaments les plus prescrits, l’oméprazole (Mopral).

    L’étude qui nous intéresse a porté sur 351 patients : 176 ont reçu un complément naturel à base de mélatonine, vitamines B6, B9 et B12, L-tryptophane et méthionine (deux acides aminés) et bétaïne. Les 175 autres ont reçu de l’oméprazole (Mopral à 20 mg/j), l’un des médicaments vedettes du RGO. Après 40 jours, les symptômes ont totalement régressé chez tous les patients traités naturellement, mais seulement chez 65% des patients traités par l’oméprazole.

    Cette étude est donc très intéressante, même si elle n’a été conduite qu’en simple aveugle (les patients ne savaient pas ce qu’ils prenaient, mais les médecins le savaient). Une confirmation par une étude en double aveugle serait nécessaire.

    La mélatonine pourrait agir sur le RGO en inhibant la sécrétion acide de l’estomac, mais aussi la synthèse de monoxyde d’azote (NO pour nitric oxide). Le NO joue un rôle important dans la relaxation transitoire du sphincter œsophagien, à l’origine d’un reflux chez de nombreux patients.

    Pour en savoir plus et surtout bénéficier de l’expérience d’une gastro-entérologue qui a suivi des milliers de patients depuis une trentaine d’années, lire Soigner le reflux naturellement et Petits plats savoureux contre le reflux.

    Références

        Sethi, Sajiv; Richter, Joel E.Diet and gastroesophageal reflux disease: role in pathogenesis and management. Current Opinion in Gastroenterology: March 2017 - Volume 33 - Issue 2 - p 107–111.

        Ammar Hassanzadeh Keshteli, Pouria Shaabani, Seyed-Reza Tabibian, Parvane Saneei, Ahmad Esmaillzadeh, Peyman Adibi : The relationship between fruit and vegetable intake with gastroesophageal reflux disease in Iranian adults. J Res Med Sci. 2017; 22: 125

        Nachman F, Vazquez H, Gonzalez A, et al. Gastroesophageal reflux symptoms in patients with celiac disease and the effects of a gluten-free diet. Clin Gastroenterol Hepatol 2011; 9:214–219.

        Harathi Yandrapu, Marek Marcinkiewicz, Irene Sarosiek, Jerzy Sarosiek, M : The Role of Saliva in Esophageal Defense: Implications in Patients With Nonerosive Reflux Disease. American Journal of the Medical Sciences, Volume 349, Number 5, Pages 385–391, May 2015.

        Mone I, Kraja B, Bregu A, et al. Adherence to a predominantly Mediterranean diet decreases the risk of gastroesophageal reflux disease: a cross-sectional study in a South Eastern European population. Dis Esophagus 2016; 29:794–800.

        de Bortoli N, Guidi G, Martinucci I, et al. Voluntary and controlled weight loss can reduce symptoms and proton pump inhibitor use and dosage in patients with gastroesophageal reflux disease: a comparative study. Dis Esophagus 2016; 29:197–204

        Eivind Ness-Jensen, Kristian Hveem, Hashem El-Serag, Jesper Lagergren : Lifestyle Intervention in Gastroesophageal Reflux Disease. Clinical Gastroenterology and Hepatology February 2016, Volume 14, Issue 2, Pages 175–182.e3

        Kohata Y, Fujiwara Y, Watanabe T, Kobayashi M, Takemoto Y, et al. : Long-Term Benefits of Smoking Cessation on Gastroesophageal Reflux Disease and Health-Related Quality of Life. PLOS ONE February 4, 2016.

        Pereira Rde S. Regression of gastroesophageal reflux disease symptoms using dietary supplementation with melatonin, vitamins and aminoacids: comparison with omeprazole. J Pineal Res. 2006 Oct;41(3):195-200.

  • Pénurie de moutarde: pas la faute du climat

    La pénurie de moutarde est liée à la fermeture des économies qui a interrompu les habitudes et comportements.

    La faute de la Nature???

    Les consommateurs constatent des pénuries dans les rayons de leurs magasins ces temps-ci. Par exemple, vous ne pouvez plus trouver de la moutarde…

    Actu.fr rapporte que selon la Confrérie des producteurs de moutarde, 80% des grains proviennent du Canada, qui souffre de sécheresse. L’explication laisse un peu sur sa faim… Après tout, les pénuries surgissent de toutes parts en ce moment, pas juste pour la moutarde.

    La sécheresse n’a pas causé le manque de production de voitures, ni la pénurie de carton pour les colis. Bookseller rapporte que le coût d’impression d’un livre a augmenté de 40% l’an dernier. Vous ne pouvez pas mettre cela sur le compte de la guerre ni des émissions de carbone.

    Non, cela provient de la création de monnaie sans précédent des autorités… et avec la mise à l’arrêt de l’activité des entreprises. Les prix des grains de moutarde ont commencé leur ascension dans le seconde moitié de 2020… comme le reste des matières premières. Il a presque doublé depuis janvier 2020.

    Selon les agriculteurs, la sécheresse a réduit de 41% la production des champs par rapport à leurs attentes. Mais quand vous regardez les statistiques, vous voyez qu’ils avaient planté 35% de semences en moins en 2020.

    Un haut rendement cette année-là avait permis de compenser, mais en 2021, face à une mauvaise récolte, un déficit s’est déclaré.

    Perte de savoir

    La fermeture des économies a interrompu les habitudes et comportements.

    Mais les grandes exploitations agricoles ou encore les champs de pétrole et de gaz avaient pris des années d’investissement et d’adaptation. À présent, les marchés doivent prendre en compte la possibilité de fermetures, restrictions sur les déplacements, ou épisodes d’inflation des prix.

    Dans un marché, les prix reflètent l’accumulation de savoir (par l’expérience) des participants, et vous ne pouvez pas remonter en arrière et rayer les événements des deux dernières années.

    Les soucis de production et les hausses de prix vont continuer parce que les économies vivent avec une épée de Damoclès au-dessus d’elles.

    À tout moment peut avoir lieu un retour en arrière, vers les restrictions, la création de centaines de milliards d’euros ex nihilo, ou, comme nous en avertissons, une dévaluation de la monnaie.

    Contrepoints

     

             

  • Bientôt une pénurie de lait en France?

    Après l’huile de tournesol, la moutarde et le poulet, les industriels s’inquiètent d’une pénurie de lait. Comment notre pays, deuxième producteur européen, peut-il manquer de lait?

    Inflation et sécheresse

    Le principal syndicat de la filière laitière redoute une accélération des départs des éleveurs. Ces derniers sont découragés par l’inflation. Leurs charges ont doublé alors qu’ils vendent le lait aux industriels au même prix. Seule une augmentation de 20% du prix du lait leur permettrait d’absorber cette inflation. Autre raison : les sécheresses. Les éleveurs doivent en effet compenser le manque d’herbe par l’achat de foin.

    De moins en moins d’éleveurs en France

    Ces 20 dernières années, le nombre d’éleveurs de vaches laitières a été divisé par deux. Aujourd’hui ils sont 50.000 éleveurs français. Nombreux sont ceux qui veulent changer d’activité ou partent à la retraite sans être remplacés.

    Pénurie de lait en poudre pour bébé aux Etats-Unis

    Les Etats-Unis sont actuellement confrontés à une pénurie de lait en poudre pour bébés. Certains politiques américains appellent même à prioriser la production de lait en poudre dans les usines face au désarroi des familles. L’une des causes est le confinement en Chine. En effet "si la plupart des grandes marques de laits en poudre (…) fabriquent leurs produits localement pour le marché américain, elles dépendent, néanmoins, de certains ingrédients ou boîtes de packaging importé de Chine ou ailleurs", expliquait le Wall Street Journal, propos rapportés par nos collègues de France 24.

  • N'achetez plus de la bouffe cuisinée!!!

    Origine de la viande: la fin très discrète de l’étiquetage obligatoire

    Les éleveurs français s’inquiètent de la place prise par les importations, souvent de pays dont les standards de qualité ou de bien-être animal sont moins élevés.

    Un voile d’opacité est-il en train de s’abattre sur les rayons de nos supermarchés? Les cordons-bleus, jambons crus, cassoulets en conserve, pizzas, sandwichs au jambon préemballés… Bref, tous les produits transformés sont débarrassés d’une contrainte depuis le début de l’année : celle d’indiquer l’origine de la viande qu’ils contiennent.

    Cette obligation de transparence aura duré cinq ans. Elle avait été instaurée début 2017, peu de temps après la fameuse affaire des lasagnes à la viande de cheval. À l’époque, cette fraude d’ampleur avait révélé les zones d’ombre de certains circuits d’approvisionnement de l’industrie agroalimentaire : après être passé dans les mains d’un trader néerlandais, du cheval roumain avait été revendu comme du bœuf… La falsification avait touché des lasagnes de marque Findus mais aussi, on s’en souvient moins, des dizaines d’autres références de produits (couscous, moussaka, hachis parmentier, raviolis…) de grandes marques comme de celles de distributeurs.

    Consommateurs et éleveurs déplorent ce recul réglementaire

    La mention de l’origine fait aujourd’hui les frais d’une réglementation européenne défavorable. Elle n’était en vigueur en France qu’à titre “expérimental”. Et c’est l’expérimentation autorisée par Bruxelles qui a pris fin en catimini le 31 décembre dernier.

    Elle bénéficiait pourtant du soutien des associations de consommateurs comme des éleveurs. “Les consommateurs ont soif de transparence sur la manière dont sont fabriqués les aliments transformés, autant sur leur recette que sur l’origine des ingrédients”, assure Olivier Andrault, chargé de mission alimentation à l’UFC-Que Choisir. Les représentants des différentes filières (boeuf, porc, volaille) contactés par L’Express déplorent aussi ce recul réglementaire.

     

    (…)

    lexpansion.lexpress.fr

  • Promenade en famille?

    Attention aux tiques

    Elles pullulent dans les forêts et même votre jardin!

    Cas en forte augmentation! Les facteurs de cette augmentation sont la présence de beaucoup plus de visiteurs en forêt pendant les années de pandémie Covid 19, alors que l'activité des tiques n'a pas été particulièrement élevée depuis 2020. Les mois de mars à juillet sont les mois avec la plus forte activité de tiques en moyenne sur de nombreuses années.

    Rappels sur la maladie de Lyme

    La maladie de Lyme, ou « borréliose de Lyme », est une maladie bactérienne qui touche l'être humain et de nombreux animaux. La bactérie responsable de l'infection est un spirochète du genre Borrelia, Borrelia burgdorferi. Les espèces réservoirs sont des souris, des écureuils ou des cervidés.

    Les Borrelia pathogènes semblent surtout transmises aux humains par des tiques du genre Ixodes.

    Chez l'homme, trois grands types de manifestations initiales existent (ou coexistent), avec une symptomatologie à dominante nerveuse, arthritique ou dermatologique. Le traitement repose sur l'antibiothérapie.

    Il est recommandé de prendre des précautions pour minimiser le risque d'exposition aux tiques par l'application des mesures suivantes:

        appliquer un répulsif contenant du DEET sur la peau exposée;

        porter des vêtements imprégnés avec un insecticide approprié;

        porter des pantalons longs et des chemises à manches longues;

        enlever les tiques dès que possible;

        rester au centre de sentiers pédestres.

    En cas de fièvre, de rougeur de la peau (en forme d'anneau) ou d'autres symptômes nouveaux après une piqûre de tique, consultez rapidement un médecin.

    Source: ProMED.

  • Rappel de confiserie contaminée…

    par la bactérie Salmonella au Royaume-Uni et dans plusieurs pays européens Médecine des voyages

    Auteur : Jacques MORVAN

    Au Royaume-Uni, l'entreprise Ferrero a rappelé des lots de Kinder Surprise en raison d'un risque de contamination par la bactérie Salmonella.

    Les produits fabriqués en Belgique sont concernés, sont concernés les Kinder Surprise 20g et 20g x 3m, de toutes les dates de péremption entre le 11 juillet 2022 et le 7 octobre 2022. La Food Standards Agency, ainsi que Food Standards Scotland, ont conseillé aux clients de rapporter ces produits dans les magasins où ils ont été achetés.

    Plusieurs cas de salmonellose ont été signalés chez de jeunes enfants. Les enquêtes menées par la UK Health Security Agency, Public Health Scotland, Public Health Wales et Public Health Agency Northern Ireland ont trouvé un lien entre les cas signalés de salmonellose à travers le Royaume-Uni et le produit fabriqué par Ferrero.

    D'autres pays sont également concernés : près de 100 personnes seraient touchées au Royaume-Uni, en Irlande, en France, en Allemagne, en Suède et aux Pays-Bas. L'Italie vérifie également si certains de ses résultats d'analyse sont liés à l'épidémie de Salmonella Typhimurium monophasique.

    RAPPELS SUR LA SALMONELLOSE :

    La plupart des personnes infectées par Salmonella développent de la diarrhée, de la fièvre et des crampes d'estomac 6 heures à 6 jours après avoir été exposées à la bactérie. La maladie dure généralement de 4 à 7 jours et la plupart des personnes se rétablissent sans traitement. Chez certaines personnes, la maladie peut être si grave que le patient doit être hospitalisé. L'infection à Salmonella peut se propager des intestins à la circulation sanguine, puis à d'autres parties du corps.

    Les enfants de moins de 5 ans, les adultes de 65 ans et plus et les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont plus susceptibles de souffrir d'une maladie grave.

    Sources : Food Safety News.

  • Ce qu'il faut savoir

    Sanitaire: le bilan de Macron doit empêcher sa réélection

    ll faut informer les manipulés par les médias qui tentent de faire croire que le gouvernement, dont Buzyn puis Véran (ou McKinsey?) a géré la santé, aurait été " bon " au moins dans ce domaine, malgré les morts évitables, la perte de libertés inutile, les monstrueux dégâts généralisés dans tous les domaines. Le DR G Delépine en fait une recension dans cet article:

    Le bilan de la politique sanitaire du quinquennat d’E. Macron est désastreux – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

    La prochaine étape serait une validation large de l’euthanasie (non choisie) pour les plus âgés et handicapés et une poursuite de la politique d’injections géniques obligatoires à tous âges et pour tout (cancer, Alzheimer). Il faut stopper le massacre.

    Le bilan sanitaire de la stratégie anti-Covid française depuis deux ans ne montre que morts évitables, destruction de l’économie et de l’instruction, flambée de suicides et de dépressions, etc. UN GÂCHIS MAJEUR!  par le Dr G Délépine

    Ce n’est pas l’épidémie qui est responsable de l’état catastrophique actuel de la France et des Français, mais seulement les mesures restrictives des libertés souvent ubuesques qui nous ont été imposées sans aucune justification scientifique (sur les conseils de McKinsey?).

    Mortalité Covid record, innombrables victimes collatérales par défaut de soins, explosion des problèmes psychiatriques, forte progression de la pauvreté, débâcle de l’enseignement, crise économique la plus sévère depuis la dernière guerre, fragmentation de la société sont quelques-unes des conséquences des mesures autoritaires contre lesquelles aucun des organismes supposés défendre la démocratie, ni aucun parti politique lourd, ni la plupart des personnalités politiques, médicales, scientifiques, syndicales, associations ne se sont opposés, figés dans la collaboration et/ou dans la sidération induite par les médias aux ordres des milliardaires qui les possèdent. Nous estimerons ici les conséquences purement sanitaires de la politique Covid du gouvernement, laissant de côté les innombrables conséquences désastreuses économiques, sociales, éducatives, etc., traitées ailleurs.

    Mortalité Covid-19 globale: la France parmi les mauvais pays du monde

    Au 21 mars 2022, avec 2058 morts par million d’habitants, la France compte trois fois plus de morts que la moyenne mondiale (758/M) et la comparaison avec des pays qui consacrent beaucoup moins d’argent à leur système de santé montre que notre politique du tout vaccin a été une erreur.

    Les partisans de la tyrannie sanitaire prétendent parfois que ce mauvais résultat serait seulement la conséquence de l’âge avancé de notre population.

    Mais la comparaison avec le Japon montre qu’il n’en est rien. Le Japon qui n’a jamais confiné et dont la population est plus âgée que la nôtre (27 % de Japonais âgés de plus de 65 ans contre 20 % de Français) recense une mortalité près de dix fois inférieure à la nôtre.

    Le directeur général de l’OCDE observait récemment: " Les Espagnols, comme les Italiens ou les Britanniques, sont convaincus que leurs pays respectifs ont eu la pire réponse face au Covid-19. " La mortalité Covid-19 place juste la France derrière eux en très mauvaise place également.

    Malheureusement, l’intensité de la propagande et de la désinformation que nous subissons en permanence est telle que trop de nos compatriotes sont encore dupes.

    Non, la politique de santé menée depuis deux ans n’a pas été la meilleure: une autre stratégie sanitaire aurait pu éviter environ 100 000 morts de Covid, et 15 000 à 25 000 victimes collatérales, la vague massive de dépressions, de flambées de cancer, etc.

    Ces très mauvais résultats de la politique sanitaire d’E. Macron sont la conséquence de mesures autoritaires non fondées sur la science telles que l’interdiction des traitements précoces, et l’interdiction aux médecins de soigner, l’usage immodéré du Rivotril, les confinements, les plans blancs et les autres restrictions sanitaires, les passes et les pseudo-vaccins.

    Les confinements et les autres mesures privatives de liberté inefficaces ont aggravé la situation

    Le confinement ne repose sur aucune base scientifique ni aucune expérience médicale, — on le savait d’emblée d’après l’Histoire des épidémies des siècles précédents — mais seulement sur la peur créée ex nihilo par la croyance aveugle en une prophétie mathématique délirante de non-médecins et de médecins non-cliniciens répétée 24 heures sur 24 par tous les médias complices de la mise en condition de la " pandémie "[1] décrétée par l’OMS, Bill Gates et leurs complices.

    Niels Ferguson et ses complices de l’Imperial College dans le rapport 9[2] et ses élèves de l’institut Pasteur ont prétendu que " seul le confinement pourrait éviter un record de morts et le blocage complet des hôpitaux " et " que ce confinement devrait s’étendre jusqu’en décembre 2021 ou l’arrivée d’un vaccin ".

    En France, le rapport 9 n’a été ni publié, ni analysé par des médecins indépendants, ni discuté à l’Assemblée nationale avant la décision autoritaire du confinement. Les agences sanitaires suédoise, finlandaise, biélorusse, japonaise et coréenne n’ont pas cru cette simulation folle et ont refusé de confiner aveuglément. Ils avaient raison: leurs hôpitaux n’ont jamais été débordés et ont accueilli normalement les malades tout au long de l’épidémie.

    En Suède, sans aucun confinement (refusé par le conseiller du gouvernement devenu héros national) ni port de masque, le pourcentage d’occupation des lits de réanimation et le nombre de morts a été dix fois inférieur aux prophéties de l’impérial College comme le montrent les figures suivantes.[3]

    Le confinement aveugle[4] (ne séparant pas les malades de la population saine!) s’est même révélé susceptible d’accélérer la propagation de l’épidémie, ainsi que le montre la comparaison du début de l’épidémie en Belgique (qui a confiné le 17 mars 2020) et aux Pays-Bas qui n’ont pas confiné dans cette période.

    L’augmentation des contaminations a été suivie de l’augmentation de la mortalité ainsi que l’illustre la courbe comparant les mortalités Covid-19 cumulées par million de personnes des pays qui ont confiné à l’aveugle (USA, Belgique, Italie, Grande-Bretagne, Espagne, Portugal, France) et de ceux qui n’ont pas confiné (Suède, Belarus, Finlande, Japon, Corée, Vietnam)

    Au 20 mars 2022, les pays qui ont refusé le confinement affichent une mortalité plus faible que la nôtre. La Suède comptait 15 % de moins de morts Covid-19 par million que la France (et environ dix fois moins que les prévisions catastrophiques de N. Ferguson), le Belarus trois fois moins (711/M), la Finlande quatre fois moins (500/M) et les pays asiatiques encore moins, entre 5 et 10 fois moins que la France (entre 200 et 400/M).

    Quelques publications ont prétendu que le confinement aurait sauvé des vies. Elles ont toutes été rédigées par des auteurs qui ont prôné ce confinement, et sont très liés aux gouvernements qui l’ont imposé. Aucune ne fait l’analyse des faits avérés et toutes reposent sur des simulations aussi fausses que le report 9.

    Leur principe d’autoglorification consiste à comparer une simulation catastrophique au réel. Il suffirait de prophétiser par exemple qu’il y aurait 5 millions de morts sans confinement, puis constatant qu’en réalité il n’y en aurait eu que 500 000, elles proclameraient fièrement " le confinement a sauvé 4,5 millions de personnes " alors que la conclusion scientifique logique aurait dû être " notre prédiction était exagérée et nous le regrettons ". C’est exactement ce qui a été fait par plusieurs gouvernements et publications autrefois scientifiques.

    Ainsi, la caricature de ces textes d’autosatisfaction est parue dans la revue Nature qui a osé prétendre, selon ce procédé, que le confinement aurait sauvé 3 millions de vies[5]. Malheureusement, leurs auteurs n’ont pas assez soigné leur argumentation. Dans leur tableau présenté en annexe, ils estiment le nombre de vies sauvées dans chaque pays par le confinement et précisent: 560 000 allemands et 26 000 suédois grâce au confinement alors que ces pays n’avaient pas confiné dans la période concernée et que ces chiffres démontraient très simplement que la simulation initiale catastrophique du report 9 était totalement erronée.

    L’acceptation de cet article montre aussi l’inefficacité et/ou la complicité du comité de lecture de Nature qui n’a pas fait corriger de telles contre-vérités pourtant évidentes.

    De très nombreuses études réalisées par des chercheurs indépendants[6][7][8][9][10][11][12][13][14] ont analysé les évolutions avérées de l’épidémie selon les restrictions imposées et ont toutes conclu, comme la dernière macro-analyse de l’université Johns Hopkins[15] qui les résume:

    " Les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. "

    Cinq membres du comité scientifique, dont le Pr Delfraissy du comité scientifique gouvernemental français, l’ont d’ailleurs reconnu dans une lettre au Lancet[16] restée confidentielle de fait.

    L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. "

    " Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. "

    Mais leurs constatations ont été ignorées par les médias et le gouvernement qui continue périodiquement de nous menacer de confinement si nous n’obéissons pas à leurs lubies pseudo sanitaires, en réalité purement politiques et manipulatoires.

    La mise à l’écart des médecins et l’interdiction des traitements précoces ont été responsables de très nombreuses morts évitables et de maladies évolutives

    Au début de la crise, le gouvernement a répété " n’allez pas voir votre médecin, restez chez vous et prenez du Doliprane, car il n’existe pas de traitement efficace contre le Covid-19 ". L’exemple de l’Algérie qui a rejeté ces injonctions montre qu’elles étaient infondées. Elles ont été très mortifères.

    L’Algérie dépense près deux fois moins que nous pour sa santé (6 % du PIB contre 11 % en France) et sa population est semblable à la nôtre par l’âge et les autres facteurs pronostiques connus du Covid-19. Elle a basé sa stratégie Covid sur l’application précoce du protocole Raoult[17] et compte au 24 mars 2022 treize fois moins de morts Covid par million que la France. (156/M vs 2093/M)

    Grâce aux traitements précoces ", a affirmé le ministère de la santé algérien.

    Si nous avions appliqué la même stratégie thérapeutique, nous aurions pu espérer avoir le même résultat et ne compter guère plus de 11 000 morts.

    Isolement et prescription de Rivotril ont accru la mortalité des vieillards

    L’objectif officiel mis en exergue du ministère de la Santé aurait été de protéger les plus fragiles, mais les décrets de mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.). Immédiatement applicables, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient les utiliser, etc.). Rien. Cet isolement brutal les séparant de leurs familles les a rendus plus vulnérables, les entraînant dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. De véritables drames ont été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse: " On applique les ordres ; on n’y peut rien " et cette autre octogénaire verbalisée parce qu’elle était sur la voie publique en essayant de voir son mari en EHPAD au travers d’une vitre. Les témoignages sont légion.

    Le Conseil national d’éthique avait pourtant rappelé:

    " L’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre. "

    Le fameux syndrome de glissement…

    Le confinement de nos parents âgés n’a pas constitué une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les a mis en prison en leur supprimant même les parloirs!

    Les mesures contre les personnes âgées ont culminé avec la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Veran qui prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé, appliqué y compris chez des personnes de 70 ans et des handicapés, même jeunes) par injection intraveineuse de médicaments contre-indiqués dans les détresses respiratoires (benzodiazépines). Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort sans le consentement éclairé du patient (en abus de faiblesse) ni de sa famille (interdite de visite).[18]

    Les prescriptions de ces drogues[19] ont été bien analysées par F. Pesty[20], qui estime leur surprescription globale durant la première vague à près de 100 000 ampoules. Il regrettait à juste titre que l’Inspection générale des affaires sociales n’ait pas expertisé les dossiers médicaux de tous les résidents d’EHPAD et de toutes les personnes vivant à leur domicile qui ont fait l’objet de ces prescriptions " hors AMM pour Covid-19 ". Ces pratiques ont été prolongées jusqu’à maintenant.

    Bizarrement le Rivotril®, et les autres benzodiazépines recommandées par la SFAP, n’ont pas fait l’objet d’une analyse par EPI-PHARE le Groupement d’intérêt scientifique associant l’ANSM et la CNAMTS, dans leur étude épidémiologique des produits de santé publiée le 5 octobre 2020.

    L’isolement de nos aïeux et les prescriptions de Rivotril ont certainement pesé pour 10 000 à 20 000 morts dans le surplus mortifère de la politique sanitaire du gouvernement.

    Les trop nombreuses " victimes collatérales " du plan Blanc

    En plus des victimes directes du Covid qui auraient pu être évitées par une stratégie plus respectueuse de la science et de la pratique médicale, le bilan de la politique gouvernementale a été aggravé par la dictature du " plan blanc ".

    Le plan blanc interdit toute intervention ou tout traitement jugés non urgents par les Agences Régionales de Santé si ce traitement nécessite une hospitalisation (soit environ 70 % de l’activité chirurgicale normale), tant en public qu’en privé (soumis aux mêmes contraintes).

    Déclenché dès le 26 février 2020 dans les hôpitaux de Creil et de Compiègne, le plan blanc a été étendu par le Premier Ministre dans les hôpitaux des régions du Grand Est et Île-de-France le 6 mars 2020 avant d’être généralisé à tous les établissements de santé le 13 mars 2020. Levé progressivement à partir de mai 2020, il a été réactivé dans plusieurs hôpitaux français le 15 décembre 2020 et redéclenché au cours de l’été 2021 puis début décembre 2021.

    Ces quatre à 6 mois (selon les régions) d’applications du plan blanc ont été particulièrement dommageables pour les malades en attente de greffe d’organes, pour les patients en urgence vitale non diagnostiqués restés à domicile, les cancéreux en traitement ou non repérés, et les malades chroniques parfois en grande souffrance physique et psychique, etc.

    En Île-de-France, le confinement et le plan blanc ont fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. " Les Franciliens ont eu moins recours aux soins, ce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. ", a avoué l’agence régionale de santé d’Île-de-France.

    L’académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020: " Depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées. "

    Des greffes d’organes ont été annulées ou retardées de plusieurs mois et globalement, pour les malades qui ont survécu à ces retards, elles ont diminué de 25 % en 2020 et de 10 % en 2021 (par rapport à 2019) selon l’Agence de biomédecine. Actuellement, plus de 20 000 Français sont en attente de greffe alors que les donneurs se sont nettement raréfiés et qu’on ne voit pas comment le gouvernement pourrait recruter 300 infirmières spécialisées supplémentaires, comme il l’a annoncé s’il ne supprime pas l’obligation vaccinale qui a exclu de la profession près de 10 % d’entre eux et s’il n’améliore pas de façon drastique les émoluments et plus encore les conditions d’exercice de l’ensemble des soignants très rapidement.

    Le traitement des cancers a été désorganisé par les retards de soins et de diagnostic. L’Institut national du cancer a noté un recul de 17 % des chirurgies d’ablation de tumeurs ou d’organes entre mars et août 2020. Ces retards de plusieurs mois aux traitements en cours des cancers pourraient être responsables de très nombreux décès évitables dans les années à venir.[21]

    Le diagnostic précoce représente un facteur essentiel du pronostic du cancer et environ 30 000 nouveaux cancers étaient dépistés chaque mois avant le plan blanc soit environ 150 000 cancers qui n’ont pas pu être diagnostiqués durant les 5 mois des différents confinements. Début décembre 2020 le Pr Axel Kahn constatait " après la première vague de Covid-19, un déficit important de diagnostics de cancer a été observé, parfois de 30 à 50 % selon les territoires ". " Les chiffres varient, mais on sait qu’un mois de retard fait perdre entre 5 et 20 % de chances de guérison selon les tumeurs ", souligne JYBlay, président d’Unicancer, qui craint que les retards de diagnostic soient fort préjudiciables.[22][23]

    Ainsi, par l’abandon des dépistages et des diagnostics précoces, les perturbations des traitements en cours et le retentissement psychologique de ces retards, le plan blanc aura probablement entraîné lors de la première vague de l’ordre de 4 à 11 000 morts supplémentaires (à venir) de cancéreux.

    Le plan blanc a également nui au traitement optimal des urgences vitales cardiaques et vasculaires (phlébites et accidents vasculaires cérébraux) dont les consultations hospitalières ont chuté de près de 50 %, les patients terrorisés ne se rendant plus aux urgences.

    Le professeur J. Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié-Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. " Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps. " On estime qu’au moins 3000 à 5000 malades sont morts de ces retards durant cette période.

    Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F. Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. " On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. "

    Les traitements des maladies chroniques (diabète, hypertension, insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique…) ont également été gravement perturbés par le plan blanc du fait des hospitalisations retardées ou annulées et souvent de la reconduction d’ordonnances sans aucun examen. Aucune estimation du nombre de victimes potentielles n’a été jusqu’ici publiée à notre connaissance par les instances officielles.

    Globalement, les plans blancs ont déjà conduit à plus de 5000 morts évitables et seront vraisemblablement responsables de 10 000 à 20 000 décès supplémentaires dans les années à venir. Ceci est d’autant plus triste qu’ils n’ont servi à rien, car les lits d’hospitalisation ainsi libérés sont presque tous restés vides comme l’a récemment confirmé l’analyse officielle de l’activité hospitalière 2020.[24][25]

    Mais les bureaucrates des agences de santé ne sont apparemment pas intéressés au sort de ces victimes collatérales. Ils auraient soi-disant dû faire de la place pour que les plus jeunes atteints de Covid (moins de 70 ans?) ne soient pas refusés aux urgences, afin que la population ne réalise pas l’état pitoyable dans lequel leur politique comptable des trois dernières décennies a mis l’Hôpital public. Les motivations n’étaient probablement pas limitées à cette propagande, car rien n’imposait d’interdire les traitements précoces à domicile…

    En France comme partout en Europe, les passes ont totalement échoué

    La Grèce, espérant ainsi sauver sa saison touristique, a fortement milité pour la vaccination et a été la première à imposer les pass à sa population alors qu’elle recensait moins de 500 cas journaliers. Mais depuis les passes, le nombre de cas quotidiens a atteint 36 000! 180 fois plus!

    L’Autriche a instauré le passe le 1er juillet 2021 à une période où l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours: 79 nouvelles contaminations journalières). Mais depuis l’instauration du passe, l’épidémie est repartie de plus belle pour atteindre 500 fois la valeur d’avant passe (44 275 cas/jour le 19/3/2022).

    En France, avant l’instauration du passe sanitaire le nombre quotidien de cas s’élevait à 1800 ; depuis les passes il a atteint les 365 000, 200 fois plus!

    Dans aucun pays d’Europe, les passes sanitaire et/ou vaccinaux n’ont permis de ralentir le nombre d’infections. Partout ils ont été suivis par un accroissement considérable des contaminations journalières. Constatant leur totale inefficacité sanitaire, la plupart des pays d’Europe les ont abandonnés dans le courant du premier trimestre 2022.

    L’Italie et la Grèce, pays pionniers de la tyrannie vaccinale, ont annoncé qu’ils abandonneraient leurs mesures autoritaires le 1er mai 2022. C’est la confirmation de l’inutilité totale de ces mesures qui a précipité leur abandon et non pas une prétendue efficacité des vaccins.

    Combien de temps les Français supporteront-ils une simple suspension de ces passes inutiles qui constituent une négation de notre devise: " Liberté, Égalité, Fraternité "? Il faut les supprimer définitivement ainsi que tous les fichiers nominatifs qu’ils ont permis d’établir et qui constituent une menace pour notre démocratie.

    En France, comme dans le monde, les vaccins ont totalement échoué

    L’idéologie officielle des passes reposait sur la croyance infondée en l’efficacité des pseudo-vaccins. Mais ce ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes), mais des thérapeutiques géniques à ARN messager. Ils sont issus d’une technologie expérimentale qui n’avait jamais été utilisée en infectiologie. Leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023 et jusqu’à cette date ils restent par définition expérimentaux.

    On peut cependant dès maintenant estimer leurs résultats en population réelle en observant l’évolution de l’épidémie depuis leur mise en œuvre début 2021.

    D’après l’OMS, au 18 mars 2022, près de 11 milliards de doses de vaccin ont été administrées, mais cette extrême diffusion a été incapable d’empêcher l’épidémie de s’étendre et, même récemment, de s’accélérer.

    On peut même se demander si les injections ne facilitent pas la progression d’Omicron, car les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie est actuellement la plus vive.

    Et contrairement à ce que les laboratoires pharmaceutiques et les médias prétendent constamment, les pseudo-vaccins sont également incapables de protéger des formes graves et de la mort comme le montre l’exemple d’Israël. Dans ce pays modèle champion des injections Pfizer, le nombre total de morts est passé de 3040 avant les injections à 10 449 (+250 %) en 15 mois. La comparaison avec la Palestine peu vaccinée est très parlante.

     

    Cette incapacité à prévenir les formes graves et la mort se confirme au niveau mondial où les pays les plus vaccinés souffrent tous d’une mortalité plus élevée que l’Afrique, très peu vaccinée.

    Incapable d’empêcher les contaminations, ni de prévenir les transmissions, ni d’éviter les formes graves, ni la mort, ces injections anti-Covid constituent l’échec récent le plus sévère de la vaccination de masse.

    Et les nombreuses complications observées, dont un nombre totalement inhabituel de morts post injections, rendent la balance bénéfice/risque de ce traitement expérimental totalement défavorable et singulièrement chez les moins de 65 ans qui, statistiquement, ne risquent rien du virus SARS-CoV-2 en dehors d’une symptomatologie grippale plus ou moins visible.

    Explosion des problèmes psychiatriques

    Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques et les futurs suicides prévisibles liés entre autres à la crise économique.

    La propagande terrorisante du gouvernement qui se poursuit, les périodes de confinement et couvre-feu, la peur de la maladie, pour soi et ses proches et les conditions de vie bouleversées dues aux mesures sanitaires, et donc économiques, ont entraîné des conséquences graves sur la santé mentale des Français et particulièrement inquiétantes chez les enfants et adolescents.

    L’hystérisation de la maladie décrite par les gouvernements et par les médias comme une " guerre ", " contre une peste " due à un " ennemi invisible, mais très intelligent ", menaçant toute la population[26] et la culpabilisation des enfants par des publicités mensongères les accusant de " contaminer leurs grands-parents " a généré un sentiment de peur et de stress qui se pérennise.

    Les complications psychiques des personnes antérieurement saines confinées sont nombreuses et bien connues: dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace sont avérées et souvent catastrophiques.

    Les enfants déterminent leurs réponses émotionnelles et comportementales selon celle des adultes proches et les parents angoissés leur transmettent leurs inquiétudes. Les familles qui ressentaient de la peur et de l’anxiété ont eu une qualité de vie inférieure aux rares familles n’éprouvant pas ces émotions négatives. À l’opposé, les enfants qui ont pu poursuivre une activité physique pendant le confinement ont présenté un niveau d’anxiété et de stress plus faible que ceux ayant une diminution des activités physiques imposées.

    Anxiété et stress ont conduit à des pathologies psychiatriques comme la dépression (25 à 40 % selon les enquêtes 2020 contre 13 % en 2017), le stress post-traumatique (30 %), divers troubles de l’adaptation (16,7 %), le deuil pathologique (16,7 %) et même le suicide chez de très jeunes enfants. Ces suicides et tentatives chez les moins de 9 ans ont constitué une grande nouveauté tragique de cette période.

    Aux USA, après le confinement 41,5 % des enfants avaient pris du poids, 34,2 % présentaient une augmentation du temps de sommeil et 69,3 % une augmentation de l’utilisation d’Internet.

    Dans la région niçoise, les mesures sanitaires, l’arrêt des activités scolaires et l’obligation de port des masques ont entraîné une réactivation de la peur et des symptômes du syndrome post-traumatique éprouvé au lendemain de l’attentat terroriste du 14 juillet 2016 durant lequel plusieurs enfants ont été confinés avec leurs parents dans des restaurants ou dans des appartements autour de la Promenade des Anglais, en attendant que le danger passe. Pour certaines familles, cet enfermement s’est poursuivi pendant plusieurs semaines, de peur qu’une nouvelle attaque ne se produise.

    L’augmentation de la demande de soins en psychiatrie va certainement perdurer, car la peur installée persiste (et est entretenue) dans la population comme le montre la persistance du port des masques qui n’ont pourtant jamais fait la preuve de leur utilité contre le Covid, et au contraire de bien des inconvénients.[27]

    Mais dans toute la France, le gouvernement, via les ARS, continue de fermer des lits ou des services de psychiatrie comme à Auch[28], Laval[29], Cholet[30], Thonon[31], Draguignan[32], Saint-Maurice[33], Sevrey[34], ou près de Lyon au centre hospitalier du Vinatier…

    Conclusion

    Le bilan sanitaire de ces deux ans de politique du gouvernement Macron est réellement catastrophique avec un excès considérable de morts Covid évitables (130000-140000 morts?) liées à l’interdiction des traitements précoces, les euthanasies au Rivotril, mais aussi les trop nombreuses victimes collatérales du plan blanc (15 000-25 000?) et d’un véritable tsunami de troubles psychiatriques alors qu’on retire aux hôpitaux les moyens de les traiter.

    Et ce bilan purement sanitaire ne tient pas compte des autres conséquences des mesures sanitaires: crise économique la plus sévère depuis la dernière guerre, fragmentation de la société, forte progression du décrochage scolaire et de la pauvreté, mise à mal des hôpitaux et du personnel soignant, dérive autoritaire foulant aux pieds de nombreux droits fondamentaux garants de la démocratie…

    Ainsi analyserons-nous dès que possible le gouffre financier du " quoiqu’il en coûte ".

    Notes 

     

    PDF A4

    1.  [1] Les critères ont été modifiés pour permettre de décréter une épidémie " pandémie " avec des chiffres plus bas.[]
    2. [2] Report 9—Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand
      https://www.imperial.ac.uk/mrc-global-infectious-disease-analysis/covid-19/report-9-impact-of-npis-on-covid-19/[]
    3. [3] https://evaluation-modelisation-covid.github.io/france/[]
    4. [4] Lire " autopsie d’un confinement aveugle " N et G Delépine qui relate au jour le jour les évolutions de la politique sanitaire de mars à juin 2020.[]
    5. [5] Seth Flaxman et al Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature 08 June 2020
      https://www.nature.com/articles/s41586-020-2405-7[]
    6. [6] Ari R Joffe et al COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.
      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/[]
    7. [7] Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence AIER Staff — December 19, 2020
      https://www.aier.org/article/lockdowns-do-not-control-the-coronavirus-the-evidence/[]
    8. [8] Rabail Chaudhry et al A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes”. EClinicalMedicine 25 (2020) 100464.
      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32838237/[]
    9. [9] Christof Kuhbandner et al Was Germany’s Corona Lockdown Necessary?”. Advance: Sage Preprint, June 23, 2020
      https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Dehning_et_al_Science_15_May_2020_eabb9789_Inferring_change_points_in_the_spread_of_COVID 19_reveals_the_effectiveness_of_interventions_/12362645[]
    10. [10] Stefan Homburg and Christof Kuhbandner Comment on Flaxman et al. (2020): The illusory effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe” by. June 17, 2020. Advance, Sage Pre-Print.[]
    11. [11] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic” by. MedRxiv Pre-print May 1, 2020
      https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf[]
    12. [12] Surjit S Bhall Lockdowns and Closures vs COVID-19: COVID Wins
      https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69c
      https://indianexpress.com/article/opinion/columns/lockdowns-dont-work-6855411/[]
    13. [13] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022/October 2021
      https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf[]
    14. [14] Eran Bendavid Assessing mandatory stay‐at‐home and business closure effects on the spread of COVID‐19 Eur J Clin Invest. 2021 Feb 1: e13484.
      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7883103/[]
    15. [15] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf[]
    16. [16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet: 2021 February 18,
      https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext[]
    17. [17] Abderrahmane Benbouzid, ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière algérien a annoncé le 23 mars 2020, que son pays aurait recours à la Chloroquine pour le traitement des malades atteints de l’épidémie du coronavirus.[]
    18. [18] Décret Rivotril: compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) publié dès le 6 avril 2020. Comment les médecins ont-ils accepté une horreur pareille contraire au serment d’Hippocrate, au code de Nuremberg et à toutes les lois et conventions (Oviedo etc.), régissant notre profession?[]
    19. [19] à défaut de midazolam, la SFAP propose: le clonazépam (RIVOTRIL®), 0,5 à 1 mg en induction (IV, IM, SC), puis 2 mg/24 h, ou le diazépam (VALIUM®), 5 mg (IV très) à 10 mg (IM) toutes les 4 à 6 h ou le clorazépate (TRANXENE®), 60 mg en induction, 120 mg/24 h en relais) destinées à l’euthanasie.[]
    20. [20] F. Pesty Chronique n° 33 — " Combien de morts sur ordonnances en EHPADs ou à domicile avec le Rivotril, à cause du covid et des refus d’hospitaliser? " France soir 22/10/2020 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-covid-ndeg33-combien-de-morts-sur-ordonnances-dans-les-ehpads-ou[]
    21. [21] Camille Maring The impact of the COVID-19 pandemic on cancer deaths due to delays in diagnosis in England, UK: a national, population-based, modelling study www.thelancet.com/oncology Vol 21 August 2020
      https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1470-2045%2820%2930388-0[]
    22. [22] Retard de diagnostic du cancer: jusqu’à 6000 morts en plus à cause du Covid
      https://www.leparisien.fr/societe/sante/retard-de-diagnostic-du-cancer-jusqu-a-6000-morts-en-plus-a-cause-du-covid-08-12-2020-8413033.php[]
    23. [23] https://www.unicancer.fr/fr/communique-de-presse/unicancer-presente-les-conclusions-de-son-etude-relative-aux-retards-de-diagnostics-en-cancerologie-lies-a-la-crise-sanitaire-et-deplore-labsence-de-revalorisation-des-praticiens-des-centres/[]
    24. [24] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf[]
    25. [25] Aboutissant à des licenciements de personnels dans le secteur privé faute de patients (les malades covid n’étant quasiment pas adressés dans ces établissements).[]
    26. [26] Alors qu’en réalité les jeunes ne risquaient presque rien. Relire " Les enfants sacrifiés du covid " N et G Delépine fauves éditions janvier 2022.[]
    27. [27] Jetez ces masques que je ne saurais voir! Jetez les muselières qui ne protègent personne! — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
    28. [28] https://www.ladepeche.fr/2022/03/29/hopital-psychiatrique-dauch-la-cgt-denonce-une-fuite-en-avant-10201079.php[]
    29. [29] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/laval-un-service-entier-de-psychiatrie-ferme-a-l-hopital-de-laval-be806d9c-8b42-11ec-88ed-2ead809b0816[]
    30. [30] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/cholet-fermeture-du-service-de-psychiatrie-les-elus-de-gauche-soutiennent-les-soignants-ade4c2ea-3b2d-11ec-82a9-f13e64837724[]
    31. [31] https://www.lemessager.fr/36254/article/2022-02-03/fermeture-de-l-unite-psychiatrique-de-thonon-laisse-faire-deplore-un-ancien[]
    32. [32] https://www.varmatin.com/sante/non-a-la-fermeture-des-urgences-psychiatriques-a-draguignan-une-petition-deja-signee-par-plus-de-30000-personnes-743734[]
    33. [33] https://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/fermeture-dune-unite-psychiatre-a-lhopital-saint-maurice-cest-la-fin-dun-suivi-digne-de-ce-nom-13-01-2022-S4ORKSMYWJDMND3N36BQ476ANI.php[]

    [34] https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/bourgogne/saone-et-loire-fermeture-de-25-lits-au-centre-hospitalier-specialise-de-sevrey-2364106.ht[]