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Loisirs - Page 11

  • Des trucs à savoir....

    Une fois jugée comestible, une espèce vivante va encore subir de nombreuses opérations classificatrices: certains aliments sont purs, d’autres impurs, on ne consomme pas un aliment avec n’importe quel autre aliment, certains sont consommés crus, d’autres cuits, d’autres sont réservés à certains groupes (chefs, femmes enceintes.), à certaines périodes de la journée, de l’année etc. Tous ces classements complexes et largement inconscients forment un système culinaire, une cuisine, ils nous situent dans le temps et dans l’espace, en tant qu’individus et en tant que groupes.

    Tous les êtres humains parlent, chaque groupe a sa langue ; tous mangent, chaque groupe a sa cuisine.

    Le principe d’incorporation

     

    Il veut que, lorsque nous introduisons un aliment dans notre corps, nous lui fassions franchir la frontière entre le monde et le soi, entre le dehors et le dedans. De manière universelle, l’être humain est convaincu que l’aliment agit non seulement sur l’état de son organisme mais sur sa nature même: on est ce qu’on mange. Dans la plupart des cultures il est tenu pour évident que ce que l’on mange modifie ce que l’on est ; les exemples sont légion, et pas seulement dans les sociétés dites primitives. De nombreuses personnes pensent que la viande rouge donne de la force et les boxeurs, il n’y a pas si longtemps, allaient aux Halles le matin pour boire le sang frais des bêtes puissantes.

    Ce principe d’incorporation explique aussi les tentatives des êtres humains pour maîtriser leur identité corporelle ou symbolique par leur alimentation ; " que tes aliments soient ta seule médecine " disait Hippocrate.

    Le paradoxe de l’omnivore

    Le paradoxe de l’omnivore implique que l’être humain doit chercher sans cesse de nouveaux aliments potentiels tout en restant prudent tant qu’il n’a pas la certitude de leur innocuité. Les omnivores ne peuvent survivre qu’en arbitrant constamment entre 2 motivations concurrentes, la néophilie, ou appétence pour les nourritures nouvelles et la néophobie, c’est-à-dire la peur de celles-ci. Cette ambivalence installe chez l’omnivore neuronal une anxiété constitutive de l’alimentation elle-même.

    L’urbanisation, l’industrialisation, la mondialisation, la circulation de l’information, l’affaiblissement des préceptes religieux, les changements à l’œuvre dans le domaine de la famille viennent bouleverser ces schémas millénaires sur lesquels sont assises en partie nos identités personnelles et collectives.

    Fausse sécurité ou liberté culinaire

    Nos anciennes classifications sont chamboulées par l’éloignement des lieux de fabrication des produits alimentaires, leurs transformations technologiques et leur surabondance.

    Le principe d’incorporation se voit lui aussi remis en cause: on est ce qu’on mange mais quand on ne reconnait plus ses aliments, qui devient-on vraiment en les mangeant?

    Enfin, dans ce monde de nouveautés permanentes portées par la communication des firmes, on ne sait plus quoi est quoi, ce qui est ancien et ce qui est nouveau, et notre naturel omnivore ne sait plus où donner de la fourchette.

    Loin des campagnes d’antan, face à une offre alimentaire plus large que jamais, de moins en moins soumis aux cadres culturels et religieux traditionnels, exposé aux injonctions contradictoires de l’information nutritionnelle, l’individu moderne se retrouve libre, seul, en situation d’avoir à renouveler chaque jour sa culture culinaire.

    Cet environnement inédit est anxiogène et explique pêle-mêle le succès des livres de recettes, les régimes et gourous de tous poils, le succès des émissions culinaires, et…le refuge dans la fausse sécurité du bio.

    Pourtant un regard distancié nous permet de constater que la plupart de nos contemporains vivent nutritionnellement un âge d’or, dégagés de la crainte millénaire de la famine et protégés par la technologie. Rappelons que les infections alimentaires tuaient encore 15 000 personnes par an dans la France des années 50 du siècle dernier pour 150 aujourd’hui.

    Oser manger par toi-même

    Dans ce champ ultrasensible de l’alimentation, ce qui est à l’œuvre, comme partout ailleurs, c’est le combat entre la liberté assumée des individus et le retour fantasmé à un univers protecteur mais prescrit.

    Les politiques, les media, les scientifiques ne doivent pas jeter de l’huile sur les feux de ces peurs explicables, ils doivent accompagner rationnellement l’autonomie nouvelle de chacun dans ses choix alimentaires et culinaires.

    Kant donnait pour devise aux Lumières " ose savoir par toi-même " ; " ose manger par toi-même " voilà une belle devise pour une liberté alimentaire encore à construire.

    Richard Guédon - Contrepoints.org

    Richard Guédon est docteur en médecine, ancien Directeur médical d’une mutuelle d’assurances et ancien administrateur d’une caisse d’assurance maladie.

     

     

  • Comment mangez-vous au restaurant?

    La dernière fois que vous êtes allé au restaurant, vous avez commandé un plat nutritionnellement peu recommandable? Eh bien, ne vous en faites guère: c’est probablement la faute du menu!

    D’après une étude de l’université Cornell publiée dans International Journal of Hospitality Management, la présentation de la carte du restaurant inciterait souvent les clients à faire de mauvais choix.

    Si à la maison il est possible de maîtriser la composition d’un repas du début à la fin, ce n’est pas le cas au restaurant. Même avec de la bonne volonté, il arrive que dans ces circonstances on ne fasse pas les meilleurs choix nutritionnels.

    Deux chercheurs se sont intéressés à la façon dont la présentation de la carte des restaurants pouvait influencer le choix des clients. Ils ont analysé 217 menus et les choix de 300 personnes. Ils ont ainsi pu montrer que deux facteurs semblaient jouer un rôle non négligeable dans le choix: la mise en page de la carte et la description du goût supposé des plats.

    Les chercheurs ont tout d’abord constaté qu'un plat attire davantage l’attention s’il est écrit en gras, s'il est surligné ou s'il est encadré; il serait alors plus souvent commandé. Pas de chance : d’après Brian Wansink, auteur principal de l’étude: "Dans la plupart des cas, ce sont les plats les moins sains du menu".

     

    Les scientifiques constatent également que les plats décrits de manière alambiquée se vendent mieux car ils laissent supposer qu’ils ont meilleur goût. Les auteurs citent ainsi une étude dans laquelle les noms des plats avaient été changés pour qu’ils soient plus descriptifs. Un filet de poisson était devenu un "Succulent filet de poisson italien" et un plat de riz accompagné de haricots rouges des "Haricots rouges et riz Cajun", sans que la recette soit changée. Les chercheurs ont observé qu'avec des noms compliqués, les plats étaient demandés plus souvent avec une augmentation de 28% du nombre de commandes. Les participants estimaient aussi qu’ils avaient meilleur goût et ils étaient prêts à payer 12% de plus.

    Par conséquent, pour éviter de se faire influencer par la présentation de la carte et mieux manger au restaurant, la solution est de demander directement au serveur quels sont les plats les plus légers. Les restaurateurs pourraient aussi utiliser ces résultats pour aider leurs clients à choisir des plats plus sains mais aussi plus chers: il suffirait d’attirer leur attention sur ces plats par une mise en page appropriée et un nom bien choisi.

    Brian Wansink, Katie Love. Slim by design: Menu strategies for promoting high-margin, healthy foods. International Journal of Hospitality Management, 2014; 42: 137 DOI: 10.1016/j.ijhm.2014.06.006

     

    Non mais! vous avez lu les intitulés de plats dans les très grands restaurants? les toqués de la

  • Stoppons les escrocs et

    ... autres manipulateurs

    J'ai aperçu un bout d'émission sur Cnews -il y a deux jours- dans lequel une animatrice a fait venir trois ou quatre personnes pour je ne sais quel genre de débat: je me suis trouvée devant l'émission au moment où un abruti parlait de son livre à peu près intitulé: la vie après la mort existe… à ses côtés une inénarrable médium qui “voit ou parle avec les morts“.

    L'auteur indiquait qu'il avait reçu plus de 100 témoignages de veuves éplorées juste après le décès de leur mari ou compagnon: elles affirment qu'en se couchant le lendemain, elles avaient “senti“ leur mari s'allonger auprès d'elles.

    Si j'avais été là, j'aurais juste demandé à l'imbécile heureux qui pense fermement que c'est une preuve de l'au-delà (et comme je ne lirais jamais son livre, j'espère qu'il y a d'autres affirmation pour étayer sa thèse débile). J'aurais demandé au “ravi“ de service qu'il m'indique le nom -allez, je vais être pas trop regardante- et le numéro de téléphone de quelques 10 de ces veuves éplorées pour que je les contacte afin de leur demander de vive voix si l'impression du mari qui revient dans son lit dure trois, six, douze mois et durant combien d'années le “manège“ du mort à continué…..

    Je vais installer dans quelques jours un film-textes où j'indique TOUTES les formes d'hallucinations qui existent, répertoriées par la science, tout de même, sur mon compte Youtube. Je mettrais le lien ici, ne vous en faites pas.

    Sur ce compte, il y a de nombreux film-textes où j'indique les télépsychies (psychokinèse) qui me sont advenues depuis ces 45 années où je m'intéresse aux pouvoirs du cerveau. J'ai eu la peine immense, jamais guérie de voir mourir ma petite sœur (à mes côtés) mon papa (à l'âge de douze ans), le père de ma fille, ma marraine adorée et des tas d'autres proches (des cousins) et figurez-vous que si quelqu'un devait recevoir la visite d'un décédé, j'aurai été un petit peu au courant puisque j'ai fais profession de voyante (et guérisseuse) des 35 dernières années, profession déclarée, auprès de toutes les administrations voraces et rapaces que vous connaissez.

    Je n'ai jamais “vu“ ou “aperçu“ un quelconque de mes chers décédés autrement que par rétrocognition (lire des exemples sur mon compte Youtube). Quand à l'idiote consanguine qui se prétend médium en contact avec les morts, il faudrait un peu qu'elle étudie les capacités du cerveau, la totalité des pouvoirs de voyance, télépathie, etc… elle saurait ainsi ne pas mélanger la discussion avec les morts de la rétrocognition.

    Les quelques personnes qui se flattaient stupidement d'être des médium (définition exacte: contact avec les décédés par l'intermédiaire de) à qui j'ai demandé de “voir“ un des nombreux décédés de ma famille m'ont toutes dit à peu près la même chose: je vois une personne très âgée, une femme…. silence (pour que j'acquiesce ou que je révèle: c'est ma tante, ma cousine, ma sœur, une des femmes que j'aimai tant!)… silence de ma part, donc, personne décontenancée qui s'enferre: elle a un beau chignon argenté… un grand tablier noir… elle a des petites lunettes….. elle est souriante… silence très embarrassé entre chaque phrase et silence de rigolade intérieure de ma part… j'ai dit finalement: ha, c'est ma tante que j'adorais… oui, oui, c'est elle! répondait invariablement le ou la médium…. sauf que ma tante était bel et bien vivante (en ce temps-là), qu'elle n'avait pas de chignon… que mes grand-mères décédées n'avaient pas du tout ce profil et que je ne reconnaissait personne de ma famille qui aurait pu coller à ce portrait, qui, vous le constatez, et un portrait disons passe-partout d'une grand-mère qu'on a -presque- tous eue, gentille, avenante, serviable.

    Donc, personnellement, je n'ai aucune raison de croire à ces fatras de métempsycose débile d'ignares qui se la jouent en se révélant en public. Il se peut que dans les deux jours du décès de quelqu'un on ait une vision ou l'on fait l'objet d'un truc bizarre… c'est plus que  souvent le désarroi du grand chagrin qui fait que le cerveau “piétine ou déraille“ une courte seconde. Nous évoluons avec des hormones qui nous font agir: ne me dites pas qu'un orage hormonal ne se produit pas lors d'un choc violent, d'une angoisse, d'une inquiétude mortelle, d'un désarroi immense…. demandez à Marie-Antoinette qui, la veille de monter à l'échafaud, a vu, en une seule nuit, sa chevelure blanchir….

    Evitez d'aller visionner les conférences ou les discours de ces gens: chaque fois que vous tentez d'écouter, vous augmentez le nombre de vues. Par contre, il n'ai pas interdit de faire circuler cet article partout autour de vous! :-)

    Ma chaîne:

    https://www.youtube.com/

  • La preuve que les Toulousains....

    SONT LES PLUS INTELLIGENTS DE FRANCE!

     

    HO PUTAIN et …. PUTARAGNE!

     

    Selon la science, les gens qui jurent beaucoup auraient un meilleur vocabulaire que ceux qui ne jurent jamais

    Si vous avez déjà été accusé d’être moins intelligent car vous jurez trop, rassurez-vous, la science est de votre côté. Une étude de 2015 a révélé que les personnes possédant un vaste répertoire de jurons, sont également plus susceptibles d’avoir un vocabulaire plus riche.

    Cela remet en question le vieux stéréotype disant que les gens jurent car ils ne peuvent pas trouver de mots plus intelligents avec lesquels s’exprimer. Comme l’a dit un jour Stephen Fry, " le genre de personne qui pense que jurer est en quelque sorte le signe d’un manque d’éducation ou d’un manque d’intérêt verbal, est un pu**** de lunatique ".

    Les psychologues Kristin Jay et Timothy Jay du Marist College et du Massachusetts College of Liberal Arts ont émis l’hypothèse que les gens qui connaissent de nombreux jurons variés, sont également plus susceptibles d’avoir une plus grande fluidité dans leur manière de s’exprimer en général.

    Pour la première expérience, ils ont réuni 43 participants (dont 30 femmes) âgés de 18 à 22 ans, et leur ont d’abord demandé de prononcer autant de jurons que possible en 60 secondes. Ensuite, ils ont dû réciter autant de noms d’animaux qu’ils le pouvaient, également en 60 secondes. Les chercheurs ont utilisé les noms d’animaux comme une indication du vocabulaire général d’une personne et de son intérêt pour la langue.

    Comme tout mot ou expression étaient permis, les participants ont réussi à générer un total de 533 mots tabous et jurons. Les participants ont également été soumis à des tests standardisés de fluence verbale.

    Lors d’une deuxième expérience, 49 autres participants (dont 34 femmes) âgés de 18 à 22 ans ont été invités à effectuer une tâche similaire : cette fois, les participants ont été invités à écrire autant de jurons et de noms d’animaux possibles, commençant par la lettre " a ". Ils ont également complété divers tests de fluence verbale, afin d’évaluer leur aisance générale dans la langue.

    Les chercheurs ont également constaté que les jurons étaient générés à des taux plus élevés que les simples insultes, et qu’il y avait peu de différence entre ce que les participants féminins et masculins pouvaient proposer. " En accord avec les résultats qui ne montrent pas de différence entre les sexes quant à la taille du lexique de jurons, aucune autre différence de sexe n’a été obtenue ", expliquent les chercheurs.

    Ils ont également constaté que la capacité de générer de nombreux jurons n’était pas un indice de la pauvreté linguistique globale: en fait, ils ont constaté que la fluidité des jurons était positivement corrélée avec d’autres mesures de fluidité verbale.

    "Autrement dit, un vocabulaire volumineux comprenant de nombreux jurons peut être considéré comme un indicateur de capacités verbales saines, plutôt que comme une couverture de leurs déficiences", expliquent les chercheurs. "Les locuteurs qui utilisent des mots tabous comprennent leur contenu expressif général ainsi que les distinctions nuancées qui doivent être utilisées pour employer les insultes de manière appropriée. La capacité à faire des distinctions nuancées entre les jurons et les insultes par exemple, indique la présence de plus de connaissances linguistiques plutôt qu’une pauvreté de vocabulaire", ajoutent-ils.

    Bien entendu, il s’agit d’une étude menée sur un petit échantillon d’individus, il faudrait qu'une plus grande cohorte puisse être analysée.

     CQFD -  Macarel et macaniche!

  • Impissant par Paris avec mes sabots…

    en passant par la Lorraine avec mes sabots (bis)

    rencontré 3 capitaines avec mes sabots dondaine

    hohoho, avec mes sabots....

    ils m'ont dit que j'étais vilaine avec mes sabots (bis)

    cherchez la suite sur le net!

     

    Un urinoir écologique. Ce petit bac rouge d'environ un mètre de large, surplombé de petites plantes, est avant tout écologique : l’urine récoltée est recyclée et doit servir de compost aux plantes du bac, pour les faire pousser. "L'urine est stockée avec de la matière sèche (de la paille, ndlr) qui peut ensuite être transformée en compost", explique Laurent Lebot, l'un des deux designers de l'entreprise nantaise Faltazi, à l’origine de sa conception.

     

    Pissous, pissou, pissou

     

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    Comment son ancêtre a pu être qualifié d'hidalgo? c'est pas croyable d'avoir un QI de betteraves!!!

    Absurde ces Parigots!!!!