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Nutrition news - Page 86

  • Allez, hop, tout le monde à la plage!

    Une nouvelle étude rapporte que la vitamine B3 ou niacine, sous forme de nicotinamide, pourrait réduire le risque de récidive de cancer de la peau chez des personnes qui ont déjà été touchées par cette maladie. Ces résultats pourraient changer la façon dont les médecins traitent les personnes ayant un risque important de développer un cancer de la peau, et ce, sans recourir à de nouveaux produits pharmaceutiques à prix élevés. Les résultats seront présentés à la réunion annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO).

    La vitamine B3 ou niacine, qu'on appelait autrefois PP, est une vitamine hydrosoluble. Elle existe sous deux formes : l'acide nicotinique et le nicotinamide.

    Leurs résultats montrent que ceux qui ont reçu des suppléments de vitamine B3 chaque jour ont un risque de développer un nouveau cancer de la peau réduit de 23% par rapport à ceux qui ont pris un placebo. Les bénéfices de la vitamine B3 sont visibles dès la première visite de contrôle, réalisée 3 mois après le début de l’étude. Les chercheurs ont également remarqué que les bénéfices disparaissent lorsque les patients arrêtent de prendre leur supplément de vitamine B3.

    Les rayons UV du soleil peuvent endommager l’ADN dans les cellules de la peau, augmentant ainsi le risque de cancer de la peau. Selon les chercheurs, la vitamine B3 donne aux cellules de la peau un regain d’énergie, améliorant ainsi la réparation de l’ADN et protégeant le système immunitaire de la peau des UV.

     "La vitamine B3 (nicotinamide) est un composé sûr, peu coûteux et déjà largement disponible dans le commerce " explique le Dr Diona Damian, auteure de l’étude. Mais la chercheuse souligne également que plus de recherches sont nécessaires pour vérifier si chaque personne peut bénéficier de ce traitement. "A ce stade ce n’est pas un traitement que nous recommandons pour l’ensemble de la population. Nous avons évidemment toujours besoin d’utiliser de la crème solaire et d’autres stratégies de prévention de cancer de la peau mais nous avons maintenant un autre moyen de prévention facile à mettre en œuvre et ce de manière immédiate".

    Bon, tant que j'y suis, je vous mets les aliments riches en niacine;

    (parce que c'est vous!)

    On la trouve surtout dans la levure de bière; le blé germé; l'amande et l'abricot. Et dans le café; Pour que la vitamine PP des pommes de terre soit assimilable, il faut que celles-ci soient  grillées. Le foie de tous les animaux, cacahuètes, sardines, maquereaux, viande de veau, de poulet, de dinde, de bœuf et de porc, le jambon, le boudin noir, les rognons et la cervelle, les saumons, champignons de Paris, pèche, banane, lentilles, haricots blanc, riz, camembert, brie, bleu, pâtes.

     

  • Allez-hop! tout le monde fait son café filtre avec les cafetières d'antan

    J'ai mis ma cafetière électrique au rebut depuis 3 ans car l'eau bouillante qui passe à travers des tuyaux plastiques, cela faisait 4-5 ans que cela me “défrisait“ tant que je finissais par moins boire de café. D'ailleurs, si vous n'êtes pas au courant, les machines à café dans les bars ont les tuyaux…. en plomb!

    Donc, si vous êtes restaurateurs ou cafetiers et que vous préparez en vitesse vos enfants le matin en faisant chauffer le pot de lait ou pour les ados, le café! Bonjour les dégâts: vous empoisonnez vos gosses: bourreaux d'enfants!

    Pour les amateurs quotidiens qui vont faire un tour le matin au rade, danger… même si vos neurones sont en place depuis votre adolescence, plus vous vieillissez, plus vos neurones s'asphyxient… donc, le café dans les machines en plomb, à votre aise… D'autant que l'eau de la Garonne mise au robinet contient des tas de molécules pharmaceutiques et un tel rajout de chlore qui me tord les entrailles, moi, le café à Toulouse, non merci! je me contente de mon café filtre quotidien. Je parle de l'eau de la Garonne mais vous pouvez remplacer par l'eau de la compagnie qui vous sert. A part la seule ville de France qui a de l'eau de source au robinet, toutes les autres, j'ai dis et j'affirme TOUTES on l'eau du robinet contaminée par les molécules pharmaceutiques qu'aune société ad-hoc ne peut analyser et traiter. Vous pouvez chercher sur le net, je vous fiche mon billet que j'ai raison… je crois que des spécialistes ont trouvé le moyen de le faire… mais, cela n'est pas appliqué car je suppose que c'est trop cher.

    Achetez-donc une cafetière à l'ancienne en fer, avec l'intérieur en émail… on en trouve peu sur le net, mais j'en ai bien trouvé une. De plus, vous allez être surpris-e du bon goût du café que vous allez déguster… cela dure une bonne semaine, à la longue on s'habitue… mais, les premiers jours, vous allez vous rendre compte combien est différent l'arôme du café filtre à l'ancienne. C'est, je le dis, carrément stupéfiant.

    Bon, je vous mets ma méthode pour du bon café filtre maison plus bas, après l'article de l'Anses. Curieux article, pourquoi ils disent n'importe quoi? un peu de jugeotte ne nuit guère croyez-moi.

    Depuis que les filtres à café en papier brut existent, c'est ceux-là que j'utilise… j'en parle sur mon site qui vous met en garde contre les toxiques qui polluent votre cuisine

    www.tradi-cuisine.com

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    Bon, voici l'article de l'ANSES

    Contaminations chimiques et café

    Les dosettes et capsules de café des machines "expresso" n’augmentent pas l’exposition aux contaminants chimiques

    Depuis quelques années, diverses machines dites "expresso" apparaissent sur le marché français et équipent de nombreux foyers. L’Anses, en partenariat avec l’Institut national de la consommation (INC), a initié une étude afin de comparer les teneurs en différents contaminants chimiques des cafés préparés à l’aide de ces machines avec celles du café filtre traditionnel. Cette étude montre que ces nouvelles pratiques ne modifient pas les conclusions des évaluations de risque précédentes concernant l’exposition des consommateurs aux contaminants chimiques.

    De nouvelles habitudes de consommation du café

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  • Dernières nouvelles nutrition et cuisine

    Que sont les AGE? Des produits chimiques qui résultent d’une réaction entre un sucre et un acide aminé. Cette réaction chimique s’appelle "Réaction de Maillar ", du nom du chimiste français qui l’a découverte en 1912. Cette transformation ne fait pas intervenir d’enzyme, elle a lieu spontanément: dans un premier temps, le groupement carbonyle du sucre réagit avec une fonction amine et donne ce que l’on appelle une base de Schiff. Ensuite cette base de Schiff va elle-même subir un réarrangement moléculaire pour donner ce qu’on appelle un produit d’Amadori. Ce dernier entre dans la phase terminale de la réaction de Maillard et aboutit à la formation des AGE, parfois appelés produits de la réaction de Maillard ou produits terminaux de la glycation.

    Les premières étapes de la réaction sont réversibles: on pourrait revenir en arrière et retrouver nos sucres et nos acides aminés. Malheureusement les étapes finales sont irréversibles : quand un AGE est là, il y reste ! Et à moins d’être éliminés grâce à nos reins dans les urines, les AGE s’accumulent dans notre organisme avec des conséquences majeures.

    La glycation: un phénomène spontané dans notre corps

    Si les conditions sont favorables: sucre sanguin, pH, température, le corps fabrique les AGE tout seul. Les deux premières étapes de la réaction de Maillard donnent des produits de glycation précoces. Leur formation est proportionnelle à la concentration sanguine en sucre (glycémie). Dans la dernière étape de la réaction de Maillard, on obtient des produits de Maillard, les fameux AGE. La formation des AGE, contrairement à celle des produits de glycation précoces, ne dépend pas de la glycémie mais de la durée d’exposition des protéines aux sucres et du temps de renouvellement protéique.

    Mais c’est également un phénomène culinaire

    La glycation, ou réaction de Maillard, est une réaction à laquelle nous pouvons assister tous les jours lorsque nous cuisinons. Lors de la cuisson, la réaction entre les sucres et les protéines alimentaires donnent des AGE alimentaires. Tous les aliments ne contiennent pas la même quantité d’AGE (voir tableau des sources d’AGE). La formation de ces AGE est d’autant plus importante que la température de cuisson augmente. Les modes de cuisson sont donc responsables de la quantité d’AGE que l’on va trouver dans notre assiette, quantité qui peut parfois être très importante. En cuisine, ces réactions sont indispensables car ce sont elles qui donnent aux aliments leur couleur dorée et leur fumet appétissant. Le rôti tout juste sortit du four avec sa belle couleur caramélisée? C’est la réaction de Maillard. L’arôme puissant du café torréfié? Encore la réaction de Maillard. La belle croûte dorée du pain? Toujours la réaction de Maillard. Incontestablement, tout cela stimule nos yeux, notre odorat et ravit nos papilles. Hélas, en matière d’alimentation, ce qui est bon… n’est pas toujours bon pour la santé.

    Quels aliments privilégier? Lesquels éviter?

    Pour ce qui est de déconseiller tel ou tel aliment, il est encore un peu tôt. En revanche, on peut d’ores et déjà faire des recommandations sur les modes de cuisson à utiliser préférentiellement. On sait que le fait de frire ou griller des aliments augmente considérablement le taux d’AGE alors que le fait de les faire bouillir engendre moins d’AGE.

    Cependant, les hautes températures permettent également de former des produits finaux de la réaction de Maillard, polymères bruns aussi appelés melanoidines et qui sont associés a un effet antioxydant. Nous avons aujourd’hui beaucoup plus de données scientifiques sur ce sujet, au travers d’études financées par les industries agro-alimentaires.

    La cuisson à haute température permet en effet de conférer aux aliments goût et couleur et texture croustillante, caractéristiques sensorielles très appréciées du consommateur. Malgré ces données, il est raisonnable en terme de bénéfice/risque de recommander d’éviter de griller les aliments et de préférer la cuisson à l’eau.

    On a établi des liens de cause à effet entre les AGE et certaines maladies. Les pathologies rénales par exemple sont aggravées par les AGE alimentaires. Ceux-ci sont mal excrétés, il y a alors une accumulation d’AGE ce qui favorise un terrain inflammatoire.

    Dans le cadre du diabète, on a une surproduction endogène d’AGE favorisée par l’excès de glucose sanguin. Les diabétiques sont donc soumis à une exposition chronique à un excès d’AGE.

    En diminuant les AGE dans leur alimentation, les diabétiques, les personnes qui souffrent de maladies rénales pourraient prévenir les complications liées a ces pathologies mais certainement pas soigner la pathologie elle-même.

    Dans l’obésité? Pour ce qui est de la lutte contre l’obésité on ne peut décemment pas envisager la restriction des AGE, les données de la littérature sont encore très éparses et controversées.

    Par contre on peut supposer dès a présent un lien évident avec le risque de surconsommation alimentaire: les produits de la réaction de Maillard augmentent l’appétence des aliments. Ces derniers prennent donc une belle couleur dorée et une odeur parfumée qui incitent les gens à en manger. Par exemple si on vous propose des pommes de terre bouillies ou des pommes de terre frites, vous aurez peut-être tendance à manger plus de frites car elles vous semblent plus appétissantes, et pourtant les frites apportent deux fois plus de calories que la pomme de terre.

     

  • Une assiette qui compte les calories.

    C'est l'invention de l'américain Anthony Ortiz, à Philadelphie (États-Unis). Après la montre connectée, le stylo connecté, la fourchette connectée... l'assiette connectée: la SmartPlate. Avec ses trois compartiments, ce plat intelligent identifie les aliments, les pèse, vérifie le nombre de calories pour vous aider à surveiller votre alimentation.

    À l'aide de petits capteurs photo, l'assiette identifie visuellement les aliments.

    Ensuite, les informations sont envoyées à une base de données pour analyser leurs qualités nutritionnelles. Le but? Trouver un moyen de freiner les envies de grignotage et surveiller ce que l'on mange. Dans un monde de plus en plus connecté, ce nouvel élément de notre vie quotidienne qui contrôle nos gestes, cela peut paraître un peu effrayant. En réalité, la SmartPlate présente de nombreux avantages.

    Grâce à une application pour smartphone reliée en Wi-Fi, vous aurez des conseils pour adapter votre alimentation selon l'objectif désiré. L'assiette vous envoie des notifications s'il faut enlever une partie du contenu du plat, où même si vous mangez trop vite. En suivant nos repas au quotidien, cela aidera une personne en régime à se conformer à son programme. En France, près de 70 % des femmes ont déjà fait au moins un régime dans leur vie selon une étude NutriNet-Santé de 2012, alors elle pourrait être d'une réelle aide ! Cet objet est donc un assistant en diététique, que vous pouvez écouter (ou non, d'ailleurs).

    Si elle n’a séduit qu’environ 300 personnes jusqu’ici, elle ne manque pourtant pas d’atouts: la SmartPlate apparaît comme le futur de nutrition. Elle rassemble les fonctionnalités des différentes applications et objets connectés qui existent déjà en matière de diététique connectée. SmartPlate est la première assiette intelligente et connectée qui identifie, analyse et pèse les calories des aliments à l’heure où l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) rappelle que l’obésité est une véritable épidémie de santé publique.

    D’ailleurs, une récente étude de l’Observatoire Withings révèle que la moitié des utilisateurs de ses capteurs sont en surpoids. En 2014, 39% des adultes étaient en surpoids.

    Elle serait également conseillée pour les sportifs suivant un régime strict. En attendant, le créateur de l'assiette cherche des donateurs pour lancer la production et commercialiser le prototype. Il demande ainsi 100 000 dollars au grand public pour réaliser son projet, à travers du site participatif Kickstarter. S'il obtient le financement, le plat intelligent devrait être commercialisé fin 2016, alors nous avons encore le temps de manger ce que nous voulons et dans les quantités que nous voulons!

    Fonctionnement de SmartPlate :

    Grâce à des algorithmes de reconnaissance des aliments couplés à des capteurs de poids intégrés à l’épaisseur de l’assiette, SmartPlate est capable de peser les aliments qu’elle contient pour en déterminer la teneur nutritionnelle et l’apport calorique.

    L’assietteSmartPlate est pour cela divisée en 3 compartiments et le tout est connecté en WiFi et Bluetooth afin d’être pilotable à partir d’un smartphone ou d’une tablette sous iOS ou Android. Les informations sont envoyées au Cloud et restituées à l’utilisateur sous forme d’alertes s’il a dépassé la limite calorique conseillée. Différents coloris existent pour cette assiette qui peut également passer au four à micro-ondes.

    Disponibilité et prix:

    Il reste au projet 39 jours pour atteindre son objectif de collecter les $100.000 nécessaires à la phase de commercialisation prévue à l’été 2016. Les soutiens pourront espérer pré-réserver le produit en deçà de son prix d’environ 200 dollars.

     

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  • Le bon gras, c'est quoi?

    J'ai déjà indiqué dans le descriptif détaillé de mes recettes de la cuisine à l'ancienne qu'il ne faut pas succomber à la mode: en fait, il ne vous faut que 3 huiles pour votre cuisine: 1 huile d'olive de bonne extraction mais pour cuisiner, de l'huile de pépins de raisin, qui est neutre pour les frites, les beignets, le poisson, par exemple, et l'huile de noix ou de noisettes pour vos salades, uniquement pour les plats crus.

    Voici la preuve que je dis vrai:

    Les vertus du régime méditerranéen sur le cerveau, confirmés par une nouvelle étude

    Vanté pour ses bienfaits cardiovasculaires, le célèbre régime méditerranéen serait également bénéfique pour le cerveau. En effet, d’après une étude espagnole, une alimentation à base d'huile, de fruits, légumes et poissons permettrait de lutter contre les risques de déclin cognitif.

    Vanté pour ses bienfaits cardiovasculaires, le célèbre régime méditerranéen serait également bénéfique pour le cerveau. En effet, d’après une étude espagnole, une alimentation à base d'huile, de fruits, légumes et poissons permettrait de lutter contre les risques de déclin cognitif.

    Le régime méditerranéen serait aussi bon pour le cerveau que pour le cœur.

    Très récemment, une étude canadienne démontrait les bienfaits d’une alimentation saine sur le déclin cognitif. Dans le même registre, des scientifiques espagnols de l’Hospital Clinic de Barcelone (Espagne) ont cherché à prouver les effets du régime méditerranéen sur la santé mentale.

    Les antioxydants bénéfiques à la santé mentale

    Depuis les années 1980, de nombreuses études ont mis en lumière les bienfaits du régime méditerranéen ou crétois sur la santé. En fait, grâce aux antioxydants présents dans les fruits, légumes et l'huile d'olive, les effets du vieillissement cérébral et du déclin cognitif, ainsi que le processus de neurodégénérescence pourraient être retardés. Pour démonter cet effet, les chercheurs ont étudié 447 volontaires âgés de 55 à 80 ans en bonne santé, (sans toutefois être considérées obèses) mais plus à risque de développer une maladie cardio-vasculaire.

    Durant 4 ans, les participants ont été soumis de façon aléatoire à un régime méditerranéen comportant un apport supplémentaire d'un litre d'huile d'olive chaque semaine, ainsi qu'une ration de 30 g de noix quotidienne ou à un régime faible en matière grasse. Tous ont ensuite dû passer une série de tests neuropsychologiques à l'issue de l'étude.

    Leurs conclusions révèlent que les cobayes soumis au régime crétois obtenaient de meilleurs résultats, notamment sur la mémoire, que le groupe soumis au régime pauvre en graisse. Chez ce dernier, les scientifiques ont même pu observer une diminution des performances cognitives.

    Un régime à adopter à tout âge

    "Il n'est jamais trop tard pour changer votre régime alimentaire en vue d'améliorer votre santé", explique le Dr Emilio Ros, coauteur de l'étude et chercheur au Hospital Clinic de Barcelone (Espagne).  Une précédente étude, menée en mai 2013 sur le même groupe de volontaires, mais sans les suivre durant plusieurs années, avait constaté les mêmes effets sur le cerveau.

    Ces résultats sont surprenants et prometteurs, soulignent leurs auteurs, même si l'étude est basée sur un faible échantillon et n'établit pas de corrélation importante entre régime méditerranéen et déficience cognitive légère, l'un des signes précurseurs dans la maladie d'Alzheimer.

    Peu de viande dans le régime méditerranéen

    Le régime méditerranéen se caractérise essentiellement par une importante consommation de fruits, de légumes, de poissons, de légumineuses et de céréales. La principale source de matière grasse, l'huile d'olive, n'est pas proscrite, tout comme le vin rouge, à condition d'être ingérée avec modération. La consommation de viande rouge et de produits laitiers est, par contre, plus limitée (voir nos conseils pour limiter la consommation de viande rouge).

    Le régime méditerranéen répond d’ailleurs aux principales recommandations suggérées par le Programme national nutrition santé (PNNS). La diète méditerranéenne est également inscrite par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité depuis 2010, tout comme la gastronomie française.

    Source : Mediterranean Diet and Age-Related Cognitive Decline, C. Valls-Pedret and al,  JAMA Internal Medicine, 11 mai 2015

    Donc, ce régime alimentaire (huile d’olive extra-vierge riche en antioxydants et de noix) améliore les capacités cognitives et la mémoire des personnes âgées. L’étude clinique, dont les résultats ont été publiés dans le JAMA Internal Medicine, montre effectivement qu’un régime alimentaire riche en légumes en en grains entiers et faible en aliments d’origine animale, comme la viande et le beurre, peut contrecarrer les effets du vieillissement sur la capacité du cerveau à fonctionner adéquatement.

    Il faut, surveiller son poids mais, certaines personnes devront travailler plus dur pour perdre du poids, selon une étude. Selon une croyance populaire, maigrir serait plus facile pour certains que pour d'autres. Une équipe de recherche l'a démontré au laboratoire pour la première fois.

    Les résultats renforcent l'idée que certaines personnes obèses devront peut-être faire plus d'efforts pour perdre du poids, à cause des différences métaboliques, indique un des chercheurs.

    Compte tenu du débat actuel sur le sport et son impact ou non sur la perte du poids, il est important de noter que l'étude en question s'est concentrée plutôt sur la restriction des calories.

    Les chercheurs ont travaillé avec 12 hommes et femmes obèses au Phoenix Epidemiology and Clinical Research Branch (PECRB), une division des National Institutes of Health aux États-Unis.

    Tout d'abord, le métabolisme de chaque participant a été quantifié à l'aide d'un calorimètre indirecte, outil qui collecte des échantillons d'air afin estimer les dépenses énergétiques d'un sujet. Ces dépenses sont calculées à partir d'une évaluation de la quantité d'oxygène consommé et de dioxyde de carbone produit.

    Les chercheurs ont évalué chaque participant à l'aide de cet outil après une journée de jeûne afin de déterminer leur métabolisme de base. Ils ont pris en compte l'âge, le sexe, la race et le poids de base de chacun.

    Ensuite, pendant six semaines, les participants ont suivi un régime qui réduisait de 50 pour cent la quantité de calories ingérées. En pension au PECRB, ils n'avaient aucune possibilité de tricher.

    Ceux dont le métabolisme avait baissé lors de la journée de jeûne ont perdu le moins de poids pendant le régime de six semaines, ce qui indique que certains avaient un métabolisme plus rapide que les autres.

    "Quand les personnes obèses diminuent leur consommation de nourriture, les réponses métaboliques varient énormément, et un métabolisme plus 'économe' contribuera éventuellement à une perte de poids moindre", indique Dr. Susanne Votruba, co-auteur de l'étude et chercheuse clinique au PECRB.

    À ce stade, cependant, les chercheurs ignorent si les individus sont nés avec leur métabolisme ou si l'allure de celui-ci peut évoluer avec les années.

    "Alors que des facteurs comportementaux, comme le respect d'un régime, influent sur la perte du poids dans une certaine mesure, notre étude indique que nous devrions prendre en compte un tableau plus large, y compris la physiologie de chacun", continue Dr. Votruba.

    L'étude a des incidences significatives pour le développement d'une approche personnalisée à la perte du poids, bien que de nouvelles études s'imposent afin de déterminer si ces différences biologiques sont innées, et pour comprendre les meilleurs moyens de lutter contre un métabolisme lent. Mais pour l'instant le Dr. Martin Reinhardt, un chercheur postdoctoral au PECRB et auteur principal de l'étude, est optimiste.

    "Les résultats renforcent l'idée que certaines personnes obèses devront peut-être faire plus d'efforts pour perdre du poids, à cause des différences métaboliques. Mais la biologie n'est pas le destin. Une alimentation équilibrée et de l'activité physique régulière sur la durée peuvent être très efficace dans la perte du poids", observe-t-il.

    L'étude a été publiée dans la revue Diabete

     

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  • Ne vous laissez mener en bouteille!

    Ici, on nous vend de l’eau avec un petit quelque chose en plus… totalement inutile.

    Hydratez-vous! Le conseil, martelé par les nutritionnistes, est repris en chœur par les fabricants d’eaux minérales. Jamais à court d’idées, ils proposent des variantes fruitées, censées remplacer par du "naturel" les sodas mis à l’index. Attitude responsable, sauf que l’eau cache des surprises…

     

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    Sucre caché. Dans le flacon Volvic, le composant le plus important juste après l’eau, c’est le sucre. Ni vu ni connu, une bouteille de 75 cl fait avaler plus de trois morceaux de douceur indésirable. Le corps a certes besoin d’énergie, mais pas sous cette forme!

    Additifs inutiles. Les fruits promis sur l’étiquette sont présents sous forme d’arômes naturels: du citron et de la limette, mais pas seulement. D’autres arômes naturels figurent dans la composition – on ne sait ni lesquels ni combien – ainsi que de l’acide citrique. Ces composants sont tout droit sortis d’un labo, rien à voir avec la nature. Quant au benzoate de potassium, c’est un additif qui peut provoquer des réactions chez les asthmatiques ou les allergiques à l’aspirine.

    Pour le reste, il vaut mieux boire de l'eau en bouteille que de l'eau du robinet... malgré ce que disent les autorités, l'eau du robinet contient énormément de molécules pharmaceutiques que l'on ne peut pas encore déceler ni supprimer dans les stations d'épuration!

    On se plaint de la stérilité masculine? ils boivent au robinet de l'eau qui contient des molécules de.... la pilule!

    ... et je ne parle pas de la contamination par les traitements chimio ou antibio!

    Moi, perso: depuis 1992, je fais mon café, mes bouillons, comme le pot-au-feu avec de l'eau en bouteille!

    Comme j'ai la sale habitude le matin en me levant de m'asperger le visage d'eau froide pour me réveiller, depuis 3 ans, je toussais... je tousse encore car, j'ai cette sale habitude tenace et parfois, hop, j'oublie et je m'asperge... la chaleur m'oblige, hélas, donc j'oublie...

    Malgré tous les examens et antibio avalés, sans compter la cortisone et tout un tas de sal.. je continue à tousser.... parce que en me mettant de l'eau sur le visage, je suis sans aucun doute embêtée par la chlorine, un composé de Javel qui s'évapore devant nous en faisant couler l'eau du robinet.... Sachez que depuis les attentats américains de 2001, en France, le chlorage de l'eau a été doublé! ce qui nous fait très souvent des "yeux de lapin" en sortant de la douche... et le Javel des piscines rend, très souvent, les champions de natation très allergiques... alors, à vous de conclure!

    De plus, il faut savoir que les normes de propreté de l'eau en bouteille sont deux fois plus sévères que l'eau du robinet (l'émission de Cymes me l'a appris il y a 7 ou 8 mois)... Résultat, non seulement nous payons très cher le traitement (qui est complètement bidon) de l'eau dans nos factures, mais, en plus, nous devons uniquement utiliser de l'eau en bouteille pour notre santé. Ce qui revient plutôt cher.... Un conseil, ne buvez pas l'eau au goulot, le plastique dans la bouche, c'est bisphénol et compagnie.... et, quand il n'y a plus d'eau, jetez la bouteille, au bout de 9 mois, le plastique se dégrade et l'eau que vous boirez sera biphénolisée! donc, prudence en achetant vos eaux...

    Sur le net, beaucoup de filles se lavent les cheveux avec seulement l'après shampooing car elles pensent protéger leur chevelure: IDIOT; elles n'ont rien compris: la faute de l'eau du robinet...

    Si après avoir lavé vos cheveux le matin, ils grasseyent déjà le soir ou le lendemain, ce n'est pas votre shampooing: c'est l'eau du robinet. Je vous conseille de faire un dernière rinçage après lavage des cheveux avec 1 bouteille d'eau et vous verrez la différence! En hiver, vous la chauffez un peu dans une casserole et vous rajoutez du vinaigre pour la brillance... avec ce système et dans des conditions de vie normales (sans le sport qui fait transpirer) vous devriez pouvoir avec des cheveux propres durant pratiquement une semaine.. par contre, les allergiques doivent retirer les allergènes des cheveux;

    Petit truc pour avoir des cheveux propres sans les laver... mon truc du temps où j'avais les cheveux tellement longs que, lorsque je m'asseyais, il me fallait les soulever pour ne pas avoir la tête bloquée: des cheveux longs, c'est très long à sécher... donc, je mettais un vieux collant dans la brosse à cheveux et je brossais... rapidement, le morceau du collant va au fond des poils de la brosse à cheveux: vous verrez toute la poussière, c'est absolument incroyable... pour continuer un peu, déplacer le morceau de collant pour avoir un propre et recommencez à vous brosser... vous allez être suffoqué-e de la poussière que vous récupèrerez! bien sûr, vous aurez beaucoup de poussière quand les cheveux seront plutôt sales. Le bon sens n'est pas "près de chez vous" comme dit la pub, il doit être en vous!

    Ces trucs n'ont rien à voir avec la cuisine... mais, il y en plus d'un millier sur mon site

    www.tradi-cuisine.com

    Vous êtes de plus en plus nombreux chaque jour a y passer, plus de 800 visites par jour, merci!

     

  • Dernières nouvelles de la recherche nutritionnelle

    La sécurité des aliments passe par le lavage des mains

    Malgré des communiqués interminables sur le lavage des mains afin d’avoir des aliments sûrs en cuisine, en restauration commerciale ou lorsque l’on donne à manger à un animal, peu de recherches ont été effectuées pour quantifier ce qui fonctionne réellement quand il s’agit du lavage des mains.

    Les recommandations du gouvernement américain sont en faveur d’un lavage des mains pendant 15-20 secondes avec de l’eau courante après toute contamination potentielle, ce qui peut ne pas être pratique dans un environnement de restauration commerciale.

    Le Dr Donald Schaffner, professeur en sécurité des aliments à l’université Rutgers et ses collègues ont tenté de mettre un peu de science dans cette discussion.

    "Beaucoup de personnes semblent avoir des opinions bien ancrées sur le lavage des mains ", dit Schaffner, " mais la recherche pour conforter ces avis fait défaut. Notre recherche commence par dissiper certaines croyances populaires sur le lavage des mains".

    Les chercheurs ont montré que même un simple lavage des mains (d’un minimum de 5 secondes, sans savon) peut enlever environ 90% des bactéries sur les mains.

    En outre, la recherche a montré que le séchage avec des essuie-mains en papier est beaucoup plus efficace que les autres méthodes en raison de la friction mise en jeu enlevant physiquement des bactéries des mains.

    Schaffner dit "Tout le monde a une opinion sur le lavage des mains, mais notre recherche commence à fournir des données réelles pour aider à informer sur un protocole raisonnable".

    Contact : Dr Donald Schaffner, schaffner@aesop.rutgers.edu

    Voici donc le résumé de l’étude portant sur la quantification de l’effet de la durée du lavage des mains, l’utilisation du savon, la présence de souillures à base de viande hachée de bœuf et les méthodes de séchage des mains sur l’enlèvement de Enterobacter aerogenes présents sur les mains

    Résumé.

    Le lavage des mains est reconnu comme une étape cruciale pour prévenir la transmission de maladies d’origine alimentaire en limitant le transfert de contamination entre les mains, les surfaces et les aliments.

    Cette recherche a été entreprise afin d’établir l’importance de plusieurs facteurs clés (le savon, la souillure, la durée et la méthode de séchage) dans la réduction de micro-organismes lors du lavage des mains. Enterobacter aerogenes, un substitut non pathogène de Salmonella résistant à l’acide nalidixique, a été utilisé pour évaluer l’efficacité de l’utilisation ou non du savon pendant 5 ou 20 secondes sur des mains avec ou sans souillures à base de viande hachée de bœuf et un séchage des mains avec un essuie-mains en papier ou par air. Chaque expérience a consisté en 20 répétitions, chacune à partir d’un individu différent ayant ~ 6 log ufc/ml de E. aerogenes sur leurs mains. Une réduction de 1,0 ± 0,4 et 1,7 ± 0,8 log ufc de E. aerogenes a été observée respectivement lors d’un lavage sans savon pendant 5 secondes et 20 secondes avec un lavage des mains avec du savon. Quand il n’y avait pas de souillures sur les mains, il n’y avait pas de différence significative entre le lavage des mains avec ou sans savon pendant 20 secondes (P > 0,05). De même, il n’y avait pas de différence significative dans les réductions obtenues lors du lavage sans savon, avec ou sans souillure sur les mains (P > 0,05). Une réduction significativement plus importante (P < 0,05) de E. aerogenes (une réduction plus élevée de 0,5 log ufc) a été observée avec le lavage des mains avec du savon quand des souillures de viande hachée de bœuf étaient présentes sur les mains. La plus grande différence (une réduction plus élevée en moyenne de 1,1 log ufc) dans l’efficacité s’est produite lorsque la présence de souillures de viande hachée de bœuf étaient sur des mains et un lavage à l’eau pendant 20 secondes a été comparée avec un lavage des mains pendant 20 secondes avec du savon. Des réductions significativement plus élevées (P < 0,05) ont été observées avec un séchage avec un essuie-mains en papier par rapport à l’air (réductions plus élevées de 0,5 log ufc).

    Des essuie-mains en papier usagés peuvent contenir des niveaux élevés de bactéries (>4,0 log ufc par essuie-mains) lorsque les mains sont fortement contaminées. Nos résultats indiquent que des futures évaluations quantitatives des risques microbiens sont nécessaires pour gérer efficacement les risques de maladies d’origine alimentaire dans lesquels les mains des personnels travaillant dans alimentaires sont une cause primaire.

    Jensen, Dane A.;Danyluk, Michelle D.; Harris, Linda J.;Schaffner, Donald W. Quantifying the effect of hand wash duration, soap use, ground beef debris, and drying methods on the removal of Enterobacter aerogenes on hands. Journal of Food Protection®, Number 4, April 2015, pp. 636-858, pp. 685-690(6).

    NB : Source article de Doug Powell du barfblog.

    Commentaires. Etude très utile mais on pourra aussi se référer à l’énorme travail de Pete Snyder dans A "safe hands" Hand Wash program for retail Food operations: a technical review, publié en 1999. Travail historique toujours utile !

     

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    Comment Salmonella survit à une attaque acide des macrophages?

    Les macrophages détruisent les bactéries en les engloutissant dans des compartiments intracellulaires, qu’ils acidifient puis tuent ou neutralisent les bactéries. Certaines bactéries pathogènes telles que Salmonella enterica, continuent d’exister et même de se développer au sein de ces compartiments acidifiés. Cependant, la façon dont Salmonella répond à l’environnement acide et comment l’environnement peut affecter la virulence de pathogène ne sont pas claires. Une nouvelle étude révèle que Salmonella combat l’acide avec un acide, en abaissant le pH de son propre intérieur en réponse à l’acidification du compartiment contenant Salmonella dans les macrophages, et en utilisant un faible pH comme signal pour activer les gènes nécessaires pour établir une l’infection.

    Des chercheurs de l’Université de l’Arizona ont trouvé que les consommateurs peuvent réduire le risque d’intoxication alimentaire par Campylobacter jusqu’à 99% en utilisant des lingettes désinfectantes dans leur cuisine après avoir préparé de la volaille.

    Les infections à Campylobacter sont communes, provoquant des vomissements et de la diarrhée, et peuvent être très dangereuses pour les jeunes enfants, les personnes âgées, et toute personne ayant un système immunitaire affaibli.

    "La chose effrayante à propos de Campylobacter est que vous n’avez vraiment pas besoin d’ingérer de nombreuses bactéries pour être malade, et donc nous devons nettoyer les surfaces de la cuisine et se laver les mains après préparation d’une volaille ", a dit le chercheur Gerardo Lopez dans un communiqué.

    Pour l’étude, les chercheurs ont utilisé des lingettes antibactériennes sur différents matériaux de plans de travail, granite, stratifié et carreaux de céramique, pour voir s’ils réduisent le risque d’ingérer des bactéries nocives.

    Avec les essais, les chercheurs ont revu des données provenant d’autres études qui ont examiné le transfert des bactéries provenant des aliments, des surfaces et des mains, et, finalement, vers la bouche. Ils ont également calculé le potentiel de réduction du risque d’infection avec l’utilisation de lingettes désinfectantes. Le résultat a été une réduction du risque annuel d’infection à Campylobacter jejuni allant jusqu’à 99,2%, ce qui réduit le risque de 2:10 à 2:1000.

    Cette nouvelle étude suggère que le nettoyage avec une lingette désinfectante directement après déballage et/ou préparation de la viande de volaille pourrait encore protéger les gens contre l’infection.

    " Nous avons constaté qu’il n’y a pas que l’enlèvement physique des bactéries par la lingette qui aide, la solution antibactérienne laissée sur la surface du plan de travail continue à désinfecter durant les minutes suivantes ", a dit Lopez". Il est également important que les consommateurs nettoient avec une lingette tout de suite après la préparation de la volaille. Si les gouttes et les éclaboussures de la viande restent, les bactéries peuvent se transférer à d’autres aliments à partir des surfaces et des ustensiles sales. Si la zone est laissée sécher, les bactéries peuvent parfois coller à la surface de travail, ce qui la rend encore plus difficile à nettoyer, plus tard".

    Pour la plus grande protection, les lingettes doivent être utilisées pour désinfecter toutes les surfaces qui pourraient avoir été éclaboussées ou qui ont reçues des projections – ce qui pourraient comprendre l’évier et les robinets, les plans de travail et le dessus de la cuisinière.

    NB : L’étude est publiée dans le Journal of Applied Microbiology (Impact of Disinfectant Wipes on the Risk of Campylobacter jejuni Infection During Raw Chicken Preparation in Domestic Kitchens. Gerardo U. Lopez, Masaaki Kitajima, Samendra P. Sherchan, Jonathan D. Sexton, Laura Y. Sifuentes, Charles P. Gerba and Kelly A. Reynolds).

    Il sera utile de voir comment les essais ont été réalisés, car comme l’on dit, avant de désinfecter, il faut au préalable nettoyer les surfaces …

    Blog Albert Agmar