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Opinions - Page 22

  • ACTUALITE: CE QUE PERSONNE NE DIT

    Tous les salariés français payent deux fois pour les saint-diktats

    … même s'ils n'ont pas la carte et abhorrent les saint-diktats… QUI NE SERVENT A RIEN DE RIEN

    le pire, ceux qui sont encartés payent une troisième fois!

    Voici comment:

    Avant 2014, les saint-diktats se goinfraient n'importe comment, faisant feu de tout bois: soit-disant vente du muguet, faux-adhérents ou obligation de payer des pubs de complaisance dans les journaux d'entreprises et autres chantages divers aux patrons (tu payes -en espèces de préférence- où on te fout la grève perpétuelle dans ta boîte… Cf le scandale du Médef il y a quelques années)… Mais, bien sûr, la grève, ils la faisaient!

    Puis une loi de  mars 2014 a institué le Fond pour le Financement du Dialogue Social (sic, il fallait l'inventer!!!): taxe de 0,016% sur la masse salariale de l'entreprise (donc, votre salaire et, ne vous étonnez pas s'il n'augmente pas beaucoup, car plus on augmente la masse salariale plus l'entreprise paye cette taxe (environ 94,3 millions d'euros net en 2018) et, vous comprendrez que les patrons ne sont pas très chauds pour être encore plus ponctionnés).

    Ce fond est augmenté d'une taxe supplémentaire sur l'entreprise qui doit impérativement l'abonder sur ses fonds propres.

    Ce fond est, de plus, engraissé d'une somme importante de 32,6 millions -versée par l'état-  donc par LES IMPOTS DE TOUS LES FRANÇAIS et toutes les autres taxes diverses et avariées: sur les cabanons du jardin, de la TVA, sur les piscines, sur le carburant etc…

    (comme disait l'autre: tu sème un fonctionnaire de Bercy dans le jardin et il pousse des taxes, je dirai même plus: des tas de taxes nouvelles et anciennes).

    (Quand vous êtes pris pour des (con…) moutons sur le quai de la gare, ils doivent bien se marrer les camarades syndiqués!!!).

    Et ENFIN, les idiots inutiles qui veulent se donner de l'importance et qui adhèrent et donc, payent leur carte aux saint-diktats (et là je ne parle pas des malfaisants qui veulent uniquement l'argent du beurre et se présentent aux élections syndicales, pas pour vous défendre croyez-moi!*)….

    SAVOIR: ce fonds a versé:

    19,5 millions à la CFDT

    18,9 millions à la CGT

    13,1 million à la CFE-CGC

    12,8 millions à la CFTC

    et des clopinettes pour les organisations syndicales patronales qui -bien évidemment- sont elles aussi des syndicats… et c'est normal que les patrons se fédèrent pour contrer de leur mieux ces rapaces des saint-diktats.

    *Savoir aussi que vos représentant syndicaux sont payés par les patrons ce qui représente l'équivalent de 1903 postes à plein temps de faignants et faignantes qui se la coulent douce en vous faisant croire qu'ils et elles se préoccupent de vos problèmes!

    Voilà, j'ai tout expliqué d'après un article de Valeurs Actuelles du 5 décembre.

     

    J'ai dis Valeurs Actuelles et pas Valeurzactuelles.

    On lit ce qui est écrit et on articule les deux mots à part: c'est ce qui fera la différence lorsque vous serez devant un employeur et que 500 candidats se disputent un emploi!

  • Vous prendrez bien une tasse de café?

    L’odeur du café nous ravit et nous stimule. Qui plus est, rien ne peut être aussi réconfortant que de se laisser envelopper par son arôme quand nous nous levons le matin. C’est un plaisir pour les sens, le palais et le cerveau. En fait, une étude récente nous révèle que son parfum est capable de nous motiver, de renforcer nos processus cognitifs et également d’améliorer notre humeur.

    Nous en avons tous déjà fait l’expérience, et plus d’une fois. Il suffit d’ouvrir l’emballage du café, que ce soit la boîte où s’empilent les capsules classiques ou ces paquets de café moulu pour ressentir un plaisir indéfinissable au niveau olfactif. Nous adorons son odeur, ses nuances et cette profondeur veloutée qui nous transporte vers des endroits plus chaleureux et agréables.

    "Parmi les luxes de la table, le café peut être considéré comme l’un des plus précieux. Il excite la gaieté sans ivresse, et ouvre agréablement l’esprit sans jamais être suivi de tristesse ni de langueur ".

    -Benjamin Franklin-

    Ces expériences si prometteuses sont favorisées par notre sage et habile cerveau, qui est à son tour guidé par l’un des sens les plus puissants chez la majorité des êtres humains: l’odorat. L’odeur du café voyage du cortex cérébral au système limbique, jusqu’à ces fabuleuses régions où les émotions et la mémoire partagent les mêmes circuits, les mêmes routes.

    Si ce parfum de café améliore notre rendement, ce n’est pas parce qu’il nous donne un pouvoir ou une capacité subite. Nous parlons seulement d’émotions et de bien-être, d’un simple effet placebo. Il s’agit sans aucun doute d’une donnée très intéressante qui vaut la peine d’être approfondie…

    Notre cerveau adore le café

    Nous entendons souvent dire qu’il n’y a aucun endroit aussi riche en idées que l’intérieur d’une tasse de café. Les écrivains le savent, tout comme les étudiants, les philosophes et n’importe qui qui en boit le matin pour se réveiller ou le soir pour mieux affronter de longues heures d’études ou de travail. Ce n’est pas un hasard si cette boisson était la préférée de Napoléon avant d’entamer chaque bataille (même si son estomac ne pensait pas la même chose).

    La caféine est l’un des alcaloïdes que notre cerveau apprécie le plus. Il s’agit d’un stimulant naturel du système nerveux. Ses effets se font ressentir 15 minutes après l’avoir ingéré et peuvent durer jusqu’à 6 heures. C’est une chose sensationnelle, cela n’en fait aucun doute, et tout est dû à sa structure moléculaire. La caféine est capable de bloquer les récepteurs d’adénosine, ces molécules qui nous font nous sentir fatigués.

    Mais ce n’est pas tout. Le café ne fait pas que nous aider à nous réveiller le matin ou à être plus efficace au niveau de notre travail. Il nous produit aussi une grande sensation de plaisir et la responsable de ce fait n’est autre que la dopamine. Ce neurotransmetteur nous plonge dans un état d’activation, de bien-être et de motivation très caractéristique; et il est aussi responsable, parfois, de notre véritable addiction au café…

    L’odeur du café, une ressource très puissante mais méconnue

    Une étude publiée en juin dans le Journal of Environmental Psychology nous révèle une chose très intéressante. L’odeur du café améliore nos capacités cognitives, c’est-à-dire qu’elle optimise notre attention, notre capacité d’analyse, de résolution de problèmes ainsi que notre rendement professionnel et académique en général. Cela paraît relever de la magie mais l’auteure du travail, Adriana Madzharov, nous explique quelque chose d’aussi passionnant que curieux: il s’agit d’un simple effet placebo.

    " Le café est un baume pour le cœur et l’esprit. "

    -Giuseppe Verdi-

    Les responsables de cette recherche ont pu démontrer qu’il suffit d’une salle ou d’une pièce qui dégage une odeur de café pour que 90% des personnes ressentent du bien-être. En outre, nous savons déjà que le cerveau adore le café. La caféine le stimule, l’active et lui donne une sensation de plaisir. Par conséquent, ce simple arôme peut aussi activer tous ces processus grâce au parcours neuronal qui se fait entre le cortex cérébral et le système limbique: nous nous sentons motivés en songeant à ses bénéfices.

    L’effet placebo a sans aucun doute un grand pouvoir sur l’être humain. Qui plus est, les experts en neuromarketing nous suggèrent que nous négligeons souvent le grand effet de notre odorat. Cette ressource cérébrale est pratiquement sous-utilisée alors qu’en réalité, il s’agit d’un lien direct vers nos émotions et notre mémoire, d’un canal exceptionnel qui est capable de nous offrir de l’inspiration, du calme, une activation, d’améliorer notre attention et introspection, de nous rendre plus créatifs et réceptifs à notre environnement…

    Le pouvoir de l’odorat

    Helen Keller, la célèbre écrivaine et activiste politique, a perdu les sens de la vue et de l’ouïe à seulement 19 mois. À partir de cet épisode, Helen a appris de façon très précoce à être en syntonie avec les odeurs. Son monde a acquis des formes et des nuances en fixant son attention sur chaque parfum, chaque changement, chaque nuance du vent, de la terre, des personnes qui l’entouraient…

    L’odeur du café était aussi l’une de ses préférées. Ainsi, dans un monde d’obscurité et sans le moindre son, son univers est devenu infiniment et immensément riche grâce au pouvoir de l’odorat. C’est une chose que connaît parfaitement l’industrie du marketing et que le monde du travail, ainsi que les organisations, vont probablement commencer à prendre en compte. Il suffit souvent d’une odeur de vanille, de cannelle, de café ou de chocolat pour améliorer le bien-être et la productivité des travailleurs… Ce sujet est plein de possibilités.

    https://youtu.be/8C2W6X_vmF8

     

  • Pas ragoûtant!

    “L’industrie agroalimentaire fabrique des produits pollués, nocifs et le cache“

    Ancien industriel de l’agroalimentaire, Christophe Brusset dit avoir fourni pendant plus de vingt ans des grandes surfaces en cèpes pleins d’asticots, en miel composé de sirop de fructose, en piments broyés avec des crottes de rat… Trois ans après avoir écrit Vous êtes fous d’avaler ça ! (Flammarion), il raconte dans un livre paru en octobre, Et maintenant, on mange quoi ?, les coulisses de la fabrication des aliments industriels et analyse pour le consommateur les techniques de marketing, les tromperies d’étiquettes et les additifs cachés.

  • Yes! résistons!

    Lyon: un syndicat étudiant accusé d’islamophobie après un tract saucisson-vin-baguette

    A Lyon, l’UNI a distribué un tract sur lequel sont célébrés le saucisson, le vin et la baguette. De quoi faire réagir au sein de l’université de droit, certains y voyant une référence islamophobe.

    Moins d’écriture inclusive pour plus d’apéros saucisson et vin. C’est ainsi que peut être résumé le message d’un tract distribué à l’université Jean Moulin, à Lyon, par l’Union nationale inter-universitaire (UNI) […] le syndicat se réclamant de la "droite universitaire" y place deux combats en opposition: celui contre "l’écriture inclusive" (la plus grosse connerie de ces 50 dernières années N. de la Rédactrice) et les "assemblées générales" face à celui pour les apéros "franchouillards".

    Certains y voient même un message islamophobe. Pour certains, avoir accolé du saucisson et du vin au-dessus d’un message de l’UNI dénonçant le " communautarisme " n’est autre qu’une façon de dire que le syndicat vise les musulmans.

     [Le tract] a été distribué dans la ville même où un étudiant, Anas K., s’est immolé par le feu devant un Crous pour montrer son désespoir. Taxée d’indécence, l’UNI ne se démonte pas […].

    […] Mais que répond le syndicat aux critiques l’accusant d’islamophobie? "Il n’y a aucune arrière-pensée", assure son porte-parole Clément Marot.

    "C’est juste notre côté franchouillard". Selon lui, l’alcool et le porc ne sont d’ailleurs pas une référence aux interdits alimentaires de l’islam mais un clin d’œil régional: "Ça se passe à Lyon, ou la culture gastronomique locale, c’est beaujolais et rosette".

    LCI

    … et à Toulouse, c'est le cassoulet, avec la Saucisse de Toulouse, le saucisson à l'ail, les couennes, l’andouillette, l'échine de porc, la poitrine de porc…. le cul d'un jambon cru parfois...

    Non mais, hé! on va pas se laisser guider par des QI de betterave qui se prosternent le cul en l'air... et qui nous massacrent pour ce que nous sommes...

    Vive la gastronomie française! au patrimoine mondial de l'UNESCO excusez du peu!

    boucherie-gros2.jpg

     

  • Vive la Saucisse de Toulouse!

    Royaume-Uni: à la demande d’étudiants vegans l’université de Cambridge fait retirer une peinture du XVIIe prêtée par un musée

    Certains étudiants de l’Université de Cambridge auraient peut-être pu considérer comme un privilège de manger sous une peinture à l’huile du 17ème siècle. Mais pas si les élèves sont végétariens ou vegan, et que l’œuvre met en vedette des animaux destinés à la table du dîner.

    The Fowl Market, de l’artiste flamand du 16ème siècle Frans Snyders, a été retiré de la salle à manger de Hughes Hall à la suite de plaintes selon lesquelles il dégoûtait de leur repas les non-consommateurs de viande.

    Le tableau présente une collection d’animaux morts, dont un cygne, un sanglier, un cerf et divers gibiers à plumes.

    Il avait été prêté à long terme par le Musée Fitzwilliam. […]

    The Telegraph

    Quand on est si désespéré de la vie, au point de martyriser son corps, à quoi bon vivre?

     

  • Il n’y a pas de mal à manger de la viande.

    N'en déplaise aux végans, spécistes et autres débiles mentaux...

    Bon sang! il y a des gens qui sont trop heureux -avec la peau du ventre bien tendue- sur cette terre pour s'inventer des croisades anti-ceci ou anti-cela.... bientôt, ils seront trop heureux-ses de se trouver un bout de viande à se mettre sous la dent... et, plus vite qu'il ne le croient encore!....

     

    Vous n’avez pas à vous sentir coupable, vous les carnivores!

    Si vous voulez être végétarien, pas de problème. Si vous voulez aller encore plus loin et être végan, alors je vous dis: allez-y et bonne chance! Votre vieillesse risque d'être pas triste avec des tas de soucis de santé. La sécu devrait ne pas prendre en charge ceux qui rendent leur corps malade parce qu'ils cèdent à des modes mortifères….

    Et les végans! n'oubliez pas de vous munir d'un casque anti-bruit pour ne pas entendre crier la salade qui pleure quand on la coupe!

    La nourriture est un choix personnel et je ne veux changer les préférences de personne. Je suis heureuse que notre industrie agroalimentaire diversifiée puisse satisfaire autant de besoins et de désirs différents.

    Mais personne ne devrait arrêter de manger de la viande pour les raisons énumérées par tous les écolo-bobos terroristes verts et l’insinuation désinvolte que les éleveurs, traitent le bétail avec cruauté… totalement inepte!

    La production de viande ne nuit pas à l’environnement, sa consommation est bonne pour la santé, et personne ne se soucie autant du bien-être des animaux que les éleveurs et les agriculteurs qui les soignent quotidiennement.

    Les éleveurs sont souvent critiqués parce qu’ils travaillent avec du bétail, car les animaux -parait-il- émettent des gaz à effet de serre et contribuent au changement climatique. Cependant, selon l’Agence de Protection de l’Environnement, la grande majorité des gaz à effet de serre provient des transports (29%), de l’électricité (28 %) et de l’industrie (22%). L’ensemble de l’agriculture ne représente que 9% – et le bétail n’en représente qu’une fraction.

    Non mais, il a fallu mettre des tas d'appareils au cul des vaches pour savoir cela! Grotesques, vous êtes… pour parler comme dans La Guerre des Etoiles.

    La viande est -on le sait bien- une excellente source de protéines et fait partie d’un régime alimentaire sain. Elle fournit un bon équilibre avec des légumes, des fruits et d’autres types d’aliments. C’est nutritif et délicieux.

    Dire que les animaux sont maltraités, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. D’une part, les animaux en mauvais état ne sont pas rentables. Les animaux en bonne santé apportent les meilleurs prix à la vente puisque on voit une viande de très bonne qualité.

    Les éleveurs veulent, aussi, qu’ils soient heureux.

    Cela signifie créer un environnement sans stress. Ils veillent à ce que chaque animal ait suffisamment d’espace pour brouter. Lorsqu'il est auprès d’eux, il tente de parler d’une voix monotone pour ne pas les effrayer. Lorsqu'on doit le déplacer, on ne le force pas à aller là où il ne le veut pas, mais l'éleveur le persuade de se diriger dans la bonne direction.

    Les animaux ne tombent pas souvent malades, en partie parce que l'éleveur les fait vacciner, tout comme on vaccine des enfants. Bien sûr, rien n’est infaillible et parfois, ils souffrent de maladies. Lorsque cela se produit, ils sont confiés à des vétérinaires pour le remettre en forme.

    Et quand vient le temps de les abattre, leurs derniers moments sont rapides et sans douleur. Les éleveurs prennent soin d’eux de la naissance à la mort.