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Opinions - Page 21

  • Une info qui nous la Sorbonne (sort bonne)

    On a découvert que les bières fortes peuvent contenir des bactéries bénéfiques pour le microbiote intestinal, comme, vous le savez déjà, les yaourts

    Je vous informe -si vous ne le saviez déjà- que le corps humain contient autant de bactéries que de cellules, il n’est donc pas surprenant que les aliments et compléments probiotiques (incluant yaourts, laits fermentés, choucroute, kéfir*) soient devenus si populaires au fil du temps. En effet, de plus en plus de gens savent que ces aliments aident à rétablir la flore intestinale, suite à un traitement antibiotique par exemple.

    *le pain au levain est réalisé avec du levain fermenté!

    Heureusement pour celles et ceux qui n’apprécient que peu ces produits, des études récentes suggèrent que boire une bière (forte) chaque jour pourrait également aider à maintenir un microbiote intestinal sain. Heu… sauf si vous êtes contre l'alcool car, vous vous doutez que les bières fortes en questions sont assez alcoolisées.

    Un chercheur, Eric Claassen (de l’Université d’Amsterdam) a publié ses recherches sur la bière, expliquant comment certaines marques contiennent un nombre considérable de micro-organismes bénéfiques.

    Alors que la plupart des bières ne subissent qu’un seul processus de fermentation, certaines (des bières belges) plus fortes, sont fermentées deux fois afin de décomposer davantage de sucres -contenus dans la matière végétale- en alcool.

    Contrairement au premier cycle habituel de fermentation, ce second utilise, généralement, un type de levure qui produit des acides toxiques pour de nombreuses bactéries responsables de maladies.

    Ainsi donc, chaque fois que quelqu’un boit une bière forte, celle-ci renforce son armée de défenseurs microscopiques intestinauxs ces millions de bactéries, qui éliminent les agents pathogènes. Bien que cela puisse potentiellement avoir un effet bénéfique sur la santé du buveur. Mais, comme nous oblige la loi française, je tiens à souligner que la modération est nécessaire. D'ailleurs, si vous ne voulez pas avoir un pneu à la place de l'estomac….

    En fait, il faut savoir qu'à forte concentration, l’alcool est -c'est entendu- mauvais pour l’intestin. Mais si vous ne buvez qu’une de ces bières (fortes) chaque jour, cela pourrait être bénéfique pour vous. Heu… c'est une nouvelle quelle est bonne, n'est-ce pas?

    Pourtant, n'oubliez pas que des études antérieures ont montré qu’une forte consommation d’alcool endommage les bactéries intestinales, conduisant à une composition anormale du microbiote intestinal. S’appuyer uniquement sur la bière pour améliorer sa santé n’est donc pas une bonne idée…

    Il convient également de noter que, malgré les nombreuses affirmations relatives aux avantages pour la santé des aliments probiotiques, il n'existe pas beaucoup de preuves pour étayer la plupart de ces hypothèses. La plupart des probiotiques contiennent des bactéries appartenant au genre lactobacilles (Lactobacillus) ou Bifidobacterium, mais les chercheurs ne savent pas encore exactement quels sont les rôles de ces bactéries dans le maintient de l’équilibre du microbiote.

    Et pour contrebalancer ces informations qui pourraient faire sauter de joie certain-es, le houblon de la bière est ana aphrodisiaque, c'est à dire, qu'il endort votre libido… Alors, courir le guilledou ou boire, il faut choisir!

    Et comme une femme avertie en vaut quatre, mesdames si votre mari vous fatigue trop au lit, faites-lui des bortch (rata hongrois à la bière) des crêpes à la bière, etc….

  • Taxer la viande, la fausse bonne idée!

    Dans un monde très sensible aux marchands de peur, l’État infantilise par la généralisation de ses dogmes ceux qu’il entend protéger de leurs choix considérés comme irréfléchis ou incompétents.

    Depuis la plus haute antiquité, tous les États ont prélevé des taxes sur les marchandises, choisissant souvent de frapper les produits les plus nécessaires. Plus habiles pour légitimer leurs prélèvements, les États modernes tentent de nous faire croire qu’ils nous taxent dans notre intérêt voire pour mieux satisfaire nos ambitions!

    Les dernières décennies ont ainsi vu se multiplier des législations dont le but est clairement d’agir sur l’offre alimentaire et sur le comportement des consommateurs, avec l’ambition de lutter contre les graisses saturées, ou contre la consommation excessive de sucre (nutriscore, taxe sur les sodas), pour faire face au développement des maladies non transmissibles, telles que maladies cardiovasculaires, obésité, diabète.

    Dans un monde très sensible aux marchands de peur, l’État infantilise par la généralisation de ses dogmes ceux qu’il entend protéger de leurs choix considérés comme irréfléchis ou incompétents. Comme si l’État était le mieux placé pour connaître nos besoins, lui qui n’entend en général que les plus bruyants.

    Convergence des peurs et pression de l’actualité

    De façon plus subtile, émergent aujourd’hui des projets de taxation sur la viande, exploitant les trois grandes peurs du moment : peur de la météo, peur de la misère, et peur de la maladie.

    Découvrant les conséquences de certains de ses excès, la société se prend à redouter les effets du changement climatique, l’érosion des terres, la pollution des eaux, l’effondrement de la biodiversité.

    Il faut trouver d’urgence une victime expiatoire: la voiture, c’est embêtant, l’agriculteur ce pollueur, c’est mieux, la vache émettrice de gaz, c’est encore mieux!

    On découvre aussi que le changement climatique augmente les inégalités sociales ; il accroît la misère des populations qui souffrent déjà de la double peine (malnutrition et obésité).

    La misère fait peur à son tour et l’on organise des campagnes de lutte contre le gaspillage.

    Enfin, le Centre international de recherche sur le cancer a classé la consommation de viande rouge comme cancérigène probable, instillant la peur de la maladie en raison de l’association positive entre consommation de viande rouge et risque de cancer du côlon, suggérée par l’épidémiologie nutritionnelle.

    Si le danger lié à l’effet promoteur du fer héminique est bien réel, la réduction du risque d’incidence d’adénomes coliques ne l’est pas moins par une consommation mesurée (et non exclusive ou excessive) dans le contexte d’une alimentation diversifiée (comportant notamment des fruits et légumes sources d’antioxydants et des produits laitiers sources de calcium).

    Dans ce contexte de peurs, l’État se voit pressé d’agir par les thuriféraires du changement climatique qui, après avoir adressé une requête préalable au gouvernement, envisageaient un recours juridique à l’encontre de ce dernier, accusé de carence fautive et d’action défaillante pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Dans le même temps on enregistrait une multiplication des actes de vandalisme contre les boucheries, actions " signées " par des mouvements antispécistes, niant toute hiérarchie entre l’Homme et l’animal, et donc refusant à l’Homme le droit d’utiliser l’animal de quelque façon que ce soit. Plus d’une centaine de boucheries auraient été la cible de telles attaques en l’espace d’un an.

    Une réflexion tronquée et bien imprudente

    Ainsi pressé d’agir, sensible à l’addition des peurs de l’époque, défié dans sa fonction régalienne face à une forme de négation de notre humanité, l’État envisagerait-il de renouer avec le rite grec antique de l’hécatombe, ce sacrifice de 100 bœufs ?

    Tant au niveau national que dans les méandres du Parlement européen, l’idée fait son chemin de taxer la viande de bœuf pour que l’on en consomme moins, donc que l’on en produise moins, afin de réduire les émissions de gaz (CO2, méthane) des troupeaux, tout en dégageant de belles recettes fiscales pour financer des politiques environnementales.

     

    On notera l’illogisme et l’hypocrisie de la démarche.

    Pour que la taxe soit intéressante à collecter, il faut qu’elle soit rémunératrice ; il faut donc que la consommation continue et que la taxe soit significative, mais pas trop élevée pour ne pas étrangler la consommation.

    Par ailleurs, on va certainement nuire aux agriculteurs-éleveurs qui ont déjà beaucoup souffert des règlementations bruxelloises, cours mondiaux, et décisions administratives de tous ordres. Mais ils ne sont pas les plus nombreux, et ils sont déjà la cible de ceux qui pensent l’environnement dans les salons.

    On omet aussi de prendre en compte le fait que globalement l’élevage apporte des bénéfices importants, démontrés par une expertise collective de l’INRA, pour la préservation des paysages, le maintien de la biodiversité et des écosystèmes dont certains procurent de réelles aménités.

    Qu’importent ces observations ; on pourra encore faire appel à la menace d’un risque de cancer et valoriser la lutte contre le gaspillage.

    On en vient enfin à oublier quelques fondements de notre physiologie humaine ! Notre organisme fonctionne selon des mécanismes complexes très finement régulés. Malgré la mode en faveur d’une alimentation végétarienne, végétalienne, voire vegan, les besoins nutritionnels en protéines de qualité subsistent.

    Nous devons ingérer des protéines alimentaires pour pouvoir construire ultérieurement nos propres protéines : structures membranaires et tissulaires, enzymes cellulaires et digestives, neuromédiateurs, hormones, protéines immunitaires etc.

    Non seulement nous avons besoin d’un apport de protéines exogènes, malgré les facultés de recyclage d’une partie des ressources endogènes, mais la qualité des protéines alimentaires, leur valeur biologique, résident dans leur composition en acides aminés. Elles doivent contenir tous les acides aminés indispensables dans de bonnes proportions, ce qu’aucune source ne permet à elle seule (d’où la nécessité d’une alimentation variée). Mais il reste une certitude : les produits animaux (œuf, lait et viande) sont les meilleures sources.

    S’il est donc naturellement exclu de manger trop de protéines, de viande en l’occurrence, il ne saurait être question d’en réduire la consommation sous une contrainte de prix, ce qui nuirait évidemment d’abord aux plus fragiles.

    Taxer la viande est une très mauvaise idée

    On connaît les effets malheureux de la malnutrition protéique encore très présente dans le tiers monde. À propos de la privation de protéines, J.M. Bourre rappelle dans l’un de ses ouvrages que " de tout temps, les gourous de multiples sectes ont affamé leurs disciples en leur imposant des régimes alimentaires plus ou moins draconiens, afin de mieux les diriger – une diminution de leurs facultés intellectuelles facilitant leur asservissement ". Nous n’irons pas jusqu’à prêter au législateur d’aussi mauvaises intentions.

    Cependant, avant de disserter sur les tonnes d’équivalent carbone produites par les animaux d’élevage, rappelons qu’il y a 10 000 ans, les êtres humains représentaient sans doute tout au plus 0,1% des mammifères, alors qu’ils en constituent aujourd’hui quelques 90 %.

    Alors amusez-vous à calculer combien de CO2 est produit par la seule respiration des quelques 8 milliards d’êtres humains qui peuplent la planète, et laissez les vaches brouter en paix.  Pour ma part je réclame le droit à un statut d’omnivore raisonnable.

    https://www.contrepoints.org

    Jean-Paul Laplace est Directeur de recherches honoraire à l'INRA. Il est membre de l’Académie Vétérinaire de France et de l’Académie nationale de Médecine. Docteur Vétérinaire, docteur en Physiologie animale, docteur d’État en Physiologie de la Nutrition, Jean-Paul Laplace a fait une carrière de chercheur en physiologie digestive, nutrition et neurophysiologie, à l'INRA.

    S'il ne reste qu'une seule mangeuse de viande sur la terre, ce sera moi!

    Mais, avant qu'il n'en reste qu'une, faudra chercher longtemps!

  • Parait que notre gastronomie s'est enrichie!!!!

    Selon elle, grâce aux Chance de la France (vous m’avez compris, les adeptes de l’islam issue d’Afrique du Nord), notre pays s’est enrichi et devinez de quel actif culturel il s’agit…

        Innovation en mathématique, littérature, chimie? Vous n’y êtes pas!

        Sculptures, peintures? non, haram en islam!

        Musique? Non, cela risque de transformer en singe, dixit l’iman de Brest!

        La France s’est enrichie de LA GASTRONOMIE! Non, ne riez pas!

    C’est l’affirmation de Marlène (opposant cet argument à Éric Zemmour, qui ne voyait pas ce que nous avait apporté cette population) justifiant l’accueil de tous ces déçus du colonialisme qui viennent vivre chez leurs anciens colons, par simple grandeur d’âme, prouvant par là qu’ils savent pardonner.

    Mais, Marlène (veuillez me pardonner cette familiarité, mais je ne veux pas qu’elle se sente discriminée), ne nous a pas précisé de quelle gastronomie nous nous sommes enrichis.

    S’agit-il du kebab dont s’entiche notre Hamon national, amoureux de ce plat au risque de le déguster sous le nez de Robert Ménard à Béziers? Lequel Ménard n’a pas compris la chance qu’il avait d’accueillir cette population enrichissante.

    S’agit-il du couscous merguez ou au poisson ou encore au poulet ou à la viande de bœuf?

    Non, ce n’est pas ça non plus, ce plat a été apporté avec les pieds-noirs chassés de chez eux après l’indépendance des pays du Maghreb.

    Peut-être le tajine? Ou le mouton de l’Aïd el-Kebir?

    Bref, cette richesse n’a pas été précisée. Marlène, par pitié, dites-nous ce qui nous a enrichis, et de quelle manière?

    En surcharge pondérale? En population exogène? Quel est cet enrichissement qui nous coûte (entre autres, liste non exhaustive) nos déficits à la sécurité sociale, nos retraites et autres territoires perdus de notre République?

    Merci d’avance pour votre riche réponse, Marlène.

    Guy Sebag

    https://ripostelaique.com/selon-marlene-les-cpf-nous-enrichissent-par-la-gastronomie.html

  • 22 à Asnières

    Des soucis avec votre opérateur téléphonique historique?

     

    http://saga-mandarine.hautetfort.com

     

    Racontez vos déboires!

  • L'avenir de Toulouse

    Une aire urbaine gigantesque. L’aire urbaine autour de Toulouse rassemble 453 communes et 1 250 000 habitants. (chiffres Insee 2008). Elle s’étend au-delà de 50 km de la place du Capitole, aux limites des départements voisins: Tarn, Aude, Ariège, Gers. Par conséquent, l’autorité politique et l’État disposent d’une zone d’épandage à très grande grande échelle pour des apports massifs de populations.

    Le Schéma de cohérence territoriale, SCOT de la grande agglomération toulousaine prévoit une véritable explosion démographique. Voici ce qui figure page 13 du document de synthèse du SCOT présenté en 2017“:

    “Afin d’être en capacité de répondre aux sollicitations du territoire, le SCoT de la Grande agglomération se prépare à accueillir de 250 000 à 300 000 habitants supplémentaires et 140 000 emplois à l’horizon 2030. En ce qui concerne l’offre de logements, le SCOT se fixe pour objectif de permettre et d’encourager la construction de 200 000 à 230 000 logements“.

    D’où vient un tel accroissement de population? Jamais depuis les années 60/70, le retour des Pieds-noirs et la fin de l’exode rural, on n’avait vu une telle croissance de la population, ni autant d’aménagement urbains de masse (zac) ou de programmes immobiliers dans et autour de Toulouse. Or, il y a bien longtemps que l’exode rural a pris fin. Il y a bien longtemps que les villes moyennes à 200 kilomètres à la ronde ont fini de se vider vers Toulouse et on n’attend plus de Pieds-noirs. Enfin, dans la France entière, il y a bien longtemps que la population de souche est en décroissance démographique. Par conséquent, cet accroissement extraordinaire ne peut venir que d’ailleurs.

    Pas de données chiffrées.
 En l’absence d’études démographiques différenciées, en l’absence de statistiques différenciées, en l’absence d’information, chacun se fera sa propre opinion. Toutefois, l’œil nu est un instrument de mesure extrêmement fiable et il suffit d’observer pour savoir.

    Et que ceux qui nous traiteront de complotistes publient des statistiques différenciées objectives et sincères ou qu’ils la ferment définitivement.

    Un véritable boum de la natalité d’origine africaine. On le verra plus bas, l’accroissement du nombre de jeunes est impressionnant. Bien entendu, il ne se fait pas par la natalité des couples de bobos du centre-ville ou par celle de la classe moyenne de souche du périurbain qui ne se reproduisent plus assez pour assurer le renouvellement des générations. Il se fait par la surnatalité galopante des populations venues principalement d’Afrique. La carte de la dépranocytose indiquait 35% en moyenne dans les 8 départements de Midi-Pyrénées. Pour l’agglomération toulousaine, les chiffres ne sont pas communiqués, mais c’est probablement beaucoup plus. La réalité se voit à l’œil nu à la sortie des écoles de certains quartiers.

    Des apports considérables venus des pays de l’Est. Toulouse est également envahie de Roms venus d’Europe entière, mais aussi de musulmans albanais et kosovars, et plus récemment du Moyen-Orient. Avec l’aide des réseaux d’ultra gauche fortement implantés depuis toujours dans la ville, ils squattent de nombreux bâtiments publics. Les entrées de ville sont truffées de bidonvilles, et les parkings et terrains vagues de la périphérie sont blancs de caravanes. C’est à Toulouse que l’on trouve un squat record de 500 personnes en plein centre-ville.

    Des besoins scolaires exponentiels. Alors que la natalité de la population de souche est à l’arrêt, le département de la Haute-Garonne se voit dans obligation de programmer la construction de 13 collèges supplémentaires d’ici 2024 et de 11 autres d’ici 2027. Le département compte 58 000 collégiens aujourd’hui. Il en comptera 66 000 dans 10 ans; soit 15 % supplémentaires. Le phénomène ne date pas d’hier. Il avait déjà fallu construire 6 900 places de collèges lors de la dernière décennie, il va falloir en construire 8 000 de plus dans les 10 prochaines années. Parallèlement, il va falloir construire 10 lycées d’ici 2022. Bref, le département est obligé de faire face à une véritable explosion de la démographie scolaire autour de Toulouse.

    Une véritable politique de peuplement. C’est à cette échelle que les décideurs planifient la répartition des populations et l’aménagement urbain qui va avec. La métropolisation s’accompagne d’une véritable politique de peuplement, terminologie qui renvoie aux pires expériences totalitaire. L’objectif : transférer les populations en dehors de la ville vers le périurbain pour y noyer la classe moyenne de souche. Ainsi, c’est non seulement dans Toulouse intra muros, mais aussi dans les premières communes autour de Toulouse que vont se construire les milliers de logements sociaux destinés à accueillir ces populations qui ne cessent de croître.

    Les zones périurbaines visées par l’implantation de populations allogènes. Elles ont massivement voté RN aux dernières élections départementales et régionales ; menaçant l’oligarchie socialiste départementale et régionale qui ne s’est maintenue que par un jeu de combinaisons politiciennes de troisième tour, trahissant la volonté populaire. En fuite éperdue, l’oligarchie ne compte plus se maintenir que par la submersion des populations périurbaines. Il est donc urgentissime de les noyer sous les populations allogènes acquises au statu quo. C’est bien ce que laissait entrevoir la campagne de conditionnement de 2106 sur les seuls réseaux de bus du périurbain.

    Conclusion: À Toulouse, il est très clair que depuis bien longtemps déjà, l’acceptation de quotas d’immigrés a été la contrepartie de l’implantation locale d’activités de pointes. Les élus locaux ont accepté ce deal, le visage de l’agglomération s’en trouve profondément changé. Quant à l’accroissement de population évalué à 10 000 par an, il provient de la surnatalité explosive des immigrés déjà présents et de la venue incessante de nouveaux migrants. Contrairement à ce que l’on tente de nous faire accroire, même si bien sûr il y en a, la part des cadres hi-tech venus de l’extérieur est très minoritaire.

    Force est de le constater, comme le revendiquait le président du conseil départemental avec sa campagne d’affichage, à Toulouse l’avenir est en train de prendre un nouveau visage. Grand Remplacement et épandage de masse vont se poursuivre à grande échelle et dans la durée.

    Martin Moisan

    https://ripostelaique.com/toulouse-boum-demographique-inexplique.html

     

     

  • Profs de merde!

    J'ai vu hier soir sur une chaîne infos du satellite des jeunes d'Agen obligés de marcher sur des livres scolaires pour entrer en classe et passer des épreuves du bac, la moitié de l'écran était occupée par une putassière syndiquée qui osait dire: “ce sont des ouvrages périmés qui doivent aller à la benne“ ne se rendant même pas compte que c'est ce que l'on reproche aux gens de daech qui on fait sauter Palmyre et les autres, en Afghanistan, qui ont fait sauter des statues anciennes de plusieurs centaines d'années.

    Tu sais au moins ce que c'est un autodafé? la plus monstrueuse atteinte et insulte à l'intelligence humaine!

    J'ai eu un haut le cœur et les larmes aux yeux, moi, qui allait à l'école, entre 1954 et 1958, à pieds, sur 2,5 km alors âgée de 4 à 8 ans; lorsqu'il arrivait que j'étais fiévreuse, je vous jure sur mon honneur, que je secouais le thermomètre, en cachette, pour faire baisser la température marquée et pouvoir ainsi aller à l'école.

    J'ai vu des documentaires montrant des gosses d'un dizaine d'années faisant une dizaine de km, tous les jours, dans la froidure, le soleil brûlant, grimpant des éboulis au-dessus de précipices ou louvoyant entre des épineux du désert, d'autres faire une soixantaine de km à cheval dans des conditions de météo tout aussi difficiles pour aller à l'école où le prof n'a qu'un livre pour les plus de 40 élèves la classe. Quel courage et quelle ténacité!

    A 14 ans, j'ai dû aller dans une usine à confection, ramener une petite paye à ma mère, veuve avec six enfants. On m'a trouvé un QI de 130 et nul doute que j'aurais pu faire de longues études dans une fac.

    Et quand je vois ces ponctionnaires à la peau du ventre bien tendue, se comporter de cette façon, je me dis que si la sclérose en plaques se transmettait par le sang, j'entaillerais profondément mes mains et j'irais à la ville voisine de Toulouse, leur coller des gifles avec grande joie et bonheur, me foutant totalement de devoir faire un séjour en taule!

    Quand on pense que la majorité des profs sont reçus à leur diplômes avec 3,5 sur 20, je me dis que de nombreux enfants de leur classe sont, sans aucun doute, plus intelligents qu'eux.

    Ce n'est pas du pognon et des prébendes supplémentaires qu'il leur faut car la conscience professionnelle ne s'achète pas!

    C'est un retour à la maternelle pour leur enfoncer dans le crâne l'art d'être un ponctionnaire capable d'empathie avec les enfants qui leurs sont confiés par des parents qui veulent que leurs enfants ne soient des gilets jaunes, comme eux.

    3,5 sur 20!!! pas croyable!!!

    J'assume totalement ce que j'écris et je me tape des émotions perturbées de ces fragiles poulpes qui se prennent pour des intellectuels.

    Mierda à la gauchiasse.

  • Le gâteau de crêpes

    Pour 8 personnes

    Pour la pâte à crêpes :

    250 g de farine; 15 g de sucre semoule (une cuillère à soupe rase)

    3 œufs; 1/2 litre de lait; 175 g de beurre fondu; un peu de rhum agricole, d'Armagnac, ou d'une de vos liqueurs maison

    350 g de framboises fraiches, myrtille, etc… écrasées fraîches, par vous, en coulis. (facultatif)

    Faites la pâte à crêpes: pour commencer, cassez les œufs dans un grand saladier de verre, ajoutez un peu de sucre et remuez fortement. Ajoutez un peu de lait et un peu de farine, incorporez puis, rajoutez un peu de lait et un peu de farine. Bien fouetter régulièrement pour éviter les grumeaux. Rajoutez le reste de lait et le beurre fondu. Parfumez la pâte avec un goutte d'alcool fort.

    Si vous n'avez plus de beurre sous la main, ajoutez une cuillère à soupe d'huile de pépins de raisin -c'est une huile neutre que j'ai toujours chez moi pour faire cuire les poissons par exemple ou, la mélanger avec une noisette de beurre quand je veux faire cuire une viande, pavé d'autruche ou de cerf, sans qu'une huile forte ne dénature ce goût fin de viande spéciale.

    Faites fondre du beurre dans une casserole avec une grosse cuillère à soupe de sucre fin et gardez au chaud.

    Faites cuire les crêpes une à une. Chaque fois qu'une d'entre elles est cuite, posez-là sur un plat un peu creux et faites couler du beurre fondu sucré sur la face.

    Vous pouvez y insérer également un coulis de framboises avec un peu du sucre dans une casserole. Laissez bouillir puis mixer le tout. Réservez.

    Montez le tas de crêpes l'un sur l'autre. Vous le découperez en tranches, en hauteur et pas en le séparant une par une.