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actualité - Page 16

  • Président menteur

    Prix de l’électricité: il y aura finalement rattrapage sur les futures factures, contrairement aux promesses du gouvernement

     

    La facture des ménages ne devait pas être impactée : le bouclier tarifaire annoncé en septembre 2021 par l’ancien Premier ministre, Jean Castex, devait permettre de geler les tarifs du gaz et de l’électricité sur la durée. Côté électricité, ce dispositif devait permettre de limiter la hausse des tarifs à 4%, au lieu des 44,5% qui ont été calculés par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Et pourtant… C’est ce même organisme qui, le 31 mars dernier, dans une délibération rendue publique, explique que les Français devront mettre la main à la poche, dans le cadre d’un rattrapage tarifaire. […]

    La Dépêche

    Un rattrapage destiné à compenser le gel des prix de l’électricité de cette année se rajoutera finalement au prochain mouvement tarifaire contrairement aux déclarations du gouvernementhttps://t.co/1KOnxwgTbo

    — Le Parisien (@le_Parisien) May 30, 2022

     

  • Bon à savoir

    L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie régulièrement la liste des effets secondaires associés aux « vaccins » utilisés en France contre le Covid-19. Du moins ceux qui lui ont été remontés du terrain : de nombreux praticiens préfèrent, pour des raisons qu’on devine aisément (la profession pratique volontiers l’adage « pour vivre heureux, vivons cachés »), éviter d’alerter l’ANSM par l’intermédiaire de sa plateforme dédiée et attribuer l’état de leurs patients à des causes annexes. l’ANSM utilise également les synthèses des enquêtes menées les centres régionaux chargés de la pharmacovigilance et des mises à jour du suivi des vaccins. Ces enquêtes sous-estiment vraisemblablement fortement les remontées du terrain. Pour l’instant, en France, seuls deux praticiens ont eu le cran d’assigner un laboratoire en justice.

     

    ***

     

    Après ceux liés aux vaccins de Moderna et Pfizer, l’ANSM publiait le 29 avril dernier la liste mise à jour des effets indésirables associés au vaccin AstraZeneca (prudemment renommé Vaxzevria par le laboratoire anglo-suédois… ). La liste est longue : prenez votre souffle, cher lecteur :

     

        Saignements cutanéo-muqueux (principalement des ecchymoses et des saignements du nez),

        Elévation de la pression artérielle,

        Dyspnées et asthme associés à des syndromes pseudo-grippaux,

        Pathologie démyélinisante centrale,

        Erythème noueux,

        Colite ischémique,

        Vascularites,

        Surdité/baisse de l’audition,

        Myocardites/Péricardites,

        Troubles du rythme cardiaque,

        Echecs vaccinaux,

        Vascularites cutanés,

        Artérites à cellules géantes,

        Pancréatites,

        Syndrome de Parsonage-Turner,

        Sarcoïdose,

        Maladie de Still,

        Evénement thromboembolique veineux et artériel,

        Infarctus du myocarde,

        Pseudopolyarthrite rhizomélique,

        Réactivations virales,

        Vascularite nécrosante systémique,

        Syndromes pseudo-grippaux : l’Agence européenne du médicament (AEM) a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et la survenue de syndrome pseudo-grippaux.

        Thromboses associées à une thrombocytopénie : à ce jour, on retient un total de 30 cas répondant à la définition de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV),

        Syndrome de fuite capillaire : l’AEM a conclu que le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria peut entraîner de façon extrêmement rare un syndrome de fuite capillaire et a considéré que le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents de syndrome de fuite capillaire. Le résumé des caractéristiques du produit (RCP) et la notice ont été mis à jour avec ces informations,

        Syndrome de Guillain-Barré (SGB) : après une analyse des cas de syndrome de Guillain-Barré déclarés en Europe, l’AEM considère qu’ils constituent un effet secondaire possible très rare du vaccin AstraZeneca-Vaxzevria. La mention de cet effet indésirable figure dans le RCP et la notice de ce vaccin,

        Thrombopénies immunitaires : l’AEM a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de thrombopénies immunitaires. La mention de cet effet indésirable, accompagnée d’un avertissement pour les professionnels de santé et les patients figure désormais dans le RCP et la notice de ce vaccin,

        Paralysie faciale : l’AEM a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de paralysie faciale. La mention de cet effet indésirable figure désormais dans le RCP et la notice de ce vaccin,

        Myélite transverse : l’EMA a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de myélite transverse.

  • Elites occitanes, un peu pourries, non?

    Antisémitisme; les accommodements hypocrites de Madame Delga

     

    La mort atroce de Jérémie Cohen, tabassé par des racailles à Bobigny, a suscité beaucoup de réactions politiques, toutes dénonçant la violence d’un acte antisémite. Madame Delga, Président de la Région Occitanie, ne manque évidemment pas l’occasion de se joindre à cette meute d’hypocrites, dénonçant bruyamment à la suite des autres, l’antisémitisme et l’extrême droite. S’il faut se réjouir de cette unanimité à dénoncer la haine des juifs, comment ne pas s’étonner de voir se positionner ainsi tous ceux qui, de droite comme de gauche, ont soutenu depuis des années, soit activement pour certains, soit passivement pour les autres, la montée de l’islamisme corollaire d’une immigration voulue par leurs maîtres payeurs du patronat?(..)

    Tout démontre pourtant que la seconde guerre mondiale a définitivement et fort heureusement relégué cette immonde relique dans les poubelles nauséabondes de l’Histoire. En effet si cet échafaudage idéologique a séduit pendant de nombreuses années, les imbéciles et les mous de tout poil, il ne résiste plus à l’examen une seule minute. (..)

    Rappelons aussi que c’est Eric Zemmour, taxé par une gauche imbécile, d’extrême droitisme voire de négationnisme, malgré ses propres origines, qui a fait sortir l’affaire Jérémie Cohen, des poubelles où la Justice l’avait complaisamment reléguée. C’est lui qui qui a aidé les parents de la victime à forcer les autorités à y regarder enfin de plus près. Une extrême droite sémite plutôt qu’antisémite donc, idéologiquement proche du Likoud israélien et de la ligue de défense juive. Comment pourrait-elle être antisémite? Voilà ce que Carole Delga serait sans doute incapable de voir, sans parler de concevoir. (..)

    Quelle hypocrisie et quelle trahison !

    Dans ce panthéon de trahison et de compromission, nul doute que Madame Delga figure en bonne place. C’est en effet bien elle qui a participé à l’inauguration de la mosquée d’Empalot de Toulouse avec l’imam Tâtai, notoirement auteur de prêches appelant à la mort des juifs, c’est bien elle qui lui serra la main, rééditant une sorte de Montoire.

    Monsieur Moudenc, maire de Toulouse qui était aussi de la partie, eut lui, le nez creux et dénonça l’imam en question à la Justice quelques jours après. Outre son inaction à ce sujet, Mme Delga est donc toujours dans le déni. Obnubilée par une extrême droite antisémite qui n’existe plus que dans son imagination et ses fantasmes, Mme Delga ferme les yeux sur l’antisémitisme islamique pourtant omniprésent dans les cités, favorisé depuis quarante ans par ses amis socialistes.

    Pire, elle l’encourage par contrecoup avec sa politique de collaboration avec les remplaçants du peuple français, qui augmentent l’occupation de notre territoire et propagent l’idéologie islamique. La présidente du Conseil Régional d’Occitanie ne manque pas une occasion de financer les flux de migrants, en faisant voter avec la complicité et la collaboration de la droite Les Républicains, des millions d’euros de subventions aux associations pro-migrants de type SOS méditerranée. Véritable Tartuffe en talons, elle est donc, lorsqu’elle dénonce bruyamment l’antisémitisme, non seulement hypocrite mais atteinte de myopie. La voici en effet aujourd’hui engagée dans un procès dans laquelle elle accuse Emmanuel Crenne, ex conseiller régional d’Occitanie royaliste d’un prétendu outrage; il avait en effet osé dénoncer en hémicycle le 25 Mars 2021, la collaboration de Madame Delga à l’inauguration de la mosquée avec cet imam notoirement antisémite dont il est question ici, le tout suivi d’un vigoureux " Vive le roi " !

    (..)

    Et jamais Molière ne fut donc si à propos;

    Au travers de son masque, on voit à plein le traître,

    Partout, il est connu pour tout ce qu’il peut être;

    Et ses roulements d’yeux, et son ton radouci,

    N’imposent qu’à des gens qui ne sont point d’ici.

    On sait que ce pied plat, digne qu’on le confonde

    Par de sales emplois, s’est poussé dans le monde

    Et, que, par eux, son sort, de splendeur revêtu

    Fait gronder le mérite, et rougir la vertu

    Quelques titres honteux qu’en tous lieux on lui donne

    Son misérable honneur ne voit, pour lui, personne

    Nommez-le fourbe, infâme, et scélérat maudit

    Tout le monde en convient, et nul n’y contredit.

    Cependant, sa grimace est, partout, bienvenue

    On l’accueille, on lui rit; partout, il s’insinue;

    Et s’il est, par la brigue, un rang à disputer

    Sur le plus honnête homme, on le voit l’emporter.

    Molière – Le Misanthrope – Scène 1

     

    Jean de Rouergue

  • Spaghettis à la tomate et aux boulettes de viande

    C'est mon plat préféré!

    Pour 6 personnes

    500 g de bœuf haché ou de chair à saucisse de Toulouse

    60 g de chapelure; 2 oignons hachés finement

    1cuilère à soupe de basilic frais haché

    1 œuf; de l'huile d'olive; 350 g de tomates concassées

    1 feuille de laurier; 1 branche de thym

    1 petit piment (facultatif); Sel, poivre

    500 g de spaghettis; Gros sel entier

    Fromage râpé; 1cuilère à soupe de basilic ou persil frais

    Dans un grand bol, mélange la viande hachée ou la chair à saucisse, la chapelure, l'oignon, le basilic, l'ail, et l'œuf. Salez et poivrez. Façonnez la préparation en boulettes. Réservez.

    Dans une grande poêle ou dans une cocotte, verser un filet d'huile d'olive et faire revenir l'oignon haché. Salez et poivrez. Ajoutez ensuite les tomates, 1 verre d'eau, le thym et le laurier, et laissez cuire à feu doux pendant 25 minutes, rectifiez l'assaisonnement.

    Porter à ébullition l'eau avec le gros sel de mer entier, puis ajoutez les spaghettis et cuire le temps indiqué sur le paquet. Égouttez ensuite les pâtes, les passer sous un filet d'eau froide, versez dans un saladier, ajoutez un filet d'huile d'olive et mélanger.

    Faire revenir les boulettes dans une poêle avec un filet d'huile d'olive. Faites cuire environ 10 minutes. Finir de les cuire dans la sauce tomate.

    Servir les pâtes avec la sauce, les boulettes, et du basilic frais ou du persil ciselé, chacun verse un peu de fromage râpé dans l'assiette

    Si, comme moi, vous avez beaucoup de kg en trop et vous voulez vous en débarrasser très, très vite...

     

     

  • Superieure intelligence des députés LAREM!

    Fin des emballages en plastique: genèse d’une décision démagogique

    Une nouvelle réglementation interdisant les emballages en plastique des fruits et légumes est entrée en vigueur au 1er janvier 2022. Relater sa genèse est plus intéressant et instructif que gloser sur les désagréments et catastrophes à venir. Ce fut priorité à la bien-pensance et la démagogie au détriment de l’efficacité économique et sociale.

    Le 1er janvier 2022 est entré en application le Décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021 relatif à l’obligation de présentation à la vente des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique.

    Père Ubu a encore frappé

    Il définit notamment… les notions de "fruits et légumes" (!), de "conditionnement" et de "matière plastique", le cas échéant par référence à d’autres textes, histoire de compléter le labyrinthe législatif (mais le résumé explicatif initial vient un peu à notre secours).

    Si nous avons bien compris, le ruban adhésif entourant une botte de poireaux est concerné par le dispositif.

    Pour la partie vraiment opérationnelle, le décret définit les fruits et légumes qui sont

    –provisoirement–  exemptés de l’obligation mentionnée dans son titre. C’est un catalogue à la Prévert. Le premier des sept points, par exemple, se lit:

        1° Les tomates à côtes, les tomates allongées relevant du segment Cœur, les tomates cerises ou cocktail (variétés miniatures), les oignons primeurs, les navets primeurs, les choux de Bruxelles, les haricots verts, le raisin, les pêches, les nectarines, et les abricots, jusqu’au 30 juin 2023.

    Ici, ce n’est pas vraiment dramatique sur le plan de la sécurité sanitaire des aliments. Mais que penser, par exemple, des jeunes pousses (exemptées jusqu’au 31 décembre 2024) ou encore des graines germées (exemptées jusqu’au 30 juin 2026)?

    La frénésie anti-plastique a visiblement pris le dessus sur les contingences pratiques et, on peut le craindre, la santé publique.

    Un monument d’"écologie punitive"

    Le décret a été pris pour l’application de la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire dont l’article 77 prévoit notamment:

        À compter du 1er janvier 2022, tout commerce de détail exposant à la vente des fruits et légumes frais non transformés est tenu de les exposer sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique. Cette obligation n’est pas applicable aux fruits et légumes conditionnés par lots de 1,5 kilogramme ou plus ainsi qu’aux fruits et légumes présentant un risque de détérioration lors de leur vente en vrac dont la liste est fixée par décret.

    À notre sens, le décret n’est pas conforme à la loi en ce qu’il prévoit des dates limites pour les fruits et légumes délicats. Mais le législateur pourra toujours prendre conscience de sa bourde et la corriger le moment venu… l’espoir fait vivre.

    Cet article 77 est un monument d’"écologie punitive". Tenez:

        À compter du 1er janvier 2022, la mise sur le marché de sachets de thé et de tisane en plastique non biodégradable au sens du 16 de l’article 3 de la directive (UE) 2019/904 du Parlement européen et du Conseil du 5 juin 2019 relative à la réduction de l’incidence de certains produits en plastique sur l’environnement est interdite. Les modalités d’application de cette interdiction sont définies par décret en Conseil d’Etat.

    À notre connaissance, il n’y a pas de décret…

    Les deux paragraphes précités illustrent l’incongruité législative et, pour tout dire, l’irresponsabilité de leurs auteurs: toute matière plastique est interdite dans le cas des fruits et légumes – et on dira adieu en particulier au film transparent qui permet au consommateur de voir ce qu’il achète et au distributeur, la qualité de ce qu’il a en rayon; dans le cas du thé et des tisanes, seuls les plastiques non biodégradables sont interdits.

    Le paysage – s’agissant des fruits et légumes – ne serait pas complet sans l’évocation d’une autre interdiction, proposée par M. François-Michel Lambert, qui bouleverse tellement les mœurs commerciales qu’elle a fait l’objet d’un article séparé, le 80 (le précédent traite des lave-linges et le suivant, de " la mise à disposition, à titre gratuit, de jouets en plastique dans le cadre de menus destinés aux enfants "…):

        Au plus tard le 1er janvier 2022, il est mis fin à l’apposition d’étiquettes directement sur les fruits ou les légumes, à l’exception des étiquettes compostables en compostage domestique et constituées en tout ou partie de matières biosourcées.

    Il y a aussi dans l’article 77 l’interdiction à compter du 1er janvier 2021 des "tiges de support pour ballons et leurs mécanismes, à l’exception des tiges et mécanismes destinés aux usages et applications industriels ou professionnels et non destinés à être distribués aux consommateurs".

    Le législateur a même prévu une interdiction à compter du 1er janvier 2020 dans une loi du 10 février 2020 ("pour les gobelets et verres ainsi que les assiettes jetables de cuisine pour la table"). C’est manifestement une bourde, mais cela illustre le niveau de délabrement de l’activité législative.

    Pour rappel, les cotons-tiges avec tige en plastique et les piques à steaks ont été interdits le 1er janvier 2020 et 2021, respectivement.

    La dysenterie législative

    Le gouvernement a déposé son projet de loi le 10 juillet 2019 et a engagé la procédure accélérée (une seule lecture dans chaque chambre). On peut considérer que c’est là un usage abusif de cette procédure. C’était du temps de Mme Brune Poirson, qui portait le projet, et de M. François de Rugy.

        Sinon, pour protéger un œuf, la nature a inventé un emballage ingénieux qui s’appelle la coquille!

        Bravo @Leclerc_MEL pour cette fantastique innovation